Mais quel job de merde. Cétait tout ce que javais trouvé, placeur dans un petit théâtre minable de banlieue. Toute la journée, des racailles tournaient autour, mais elles ny entraient que pour utiliser les chiottes. Le public était composé de vieilles croûtes habillées bizarrement et qui trouvaient fantastiques des spectacles dans lesquels il ne se passait rien. Sûrement que ces gens se masturbaient le soir en lisant « En attendant Godot ».
En plus, javais une vieille mamie comme patronne (beaucoup moins vieille que la moyenne du public néanmoins). Elle était super gourde, et me parlait toujours comme si javais 5 ans. Je lui aurais bien fourré ma grosse bite dans le cul pour lui faire comprendre que jétais sorti de lenfance. En attendant, elle maimait bien. Il faut dire que malgré mon jeune âge, jétais le plus âgé des placeurs. Le théâtre prenait des jeunes, comme ça ils acceptaient le salaire de misère. Du coup, jétais le plus âgé, le plus sérieux Si elle avait pu lire dans mes pensées, elle aurait eu une autre image de moi, mais en apparence, jétais souriant, poli et serviable. Je me ratt****rais le jour où je trouverais un meilleur job et que je pourrais claquer la porte.
« Joëëëëëël ? Vous pouvez venir maideeeeeer » Argh, putain de bordel de merde, la vieille mappelait. Je pensai « Quest-ce quelle me veut la vieille ? ». Je dis : « Jarrive de suite, Madame ! » Il fallait transporter des cartons remplis de prospectus que des blaireaux avaient posés dans les coulisses au lieu de les mettre devant lentrée. Jattendais néanmoins systématiquement de recevoir des instructions précises avant de lever le petit doigt, ceci afin de ne pas me fatiguer. Il fallait que jeunesse se fasse sans efforts inutiles.
Après avoir suivi ma patronne dans les coulisses, je la vis saffairer autour de ces cartons. Son cul sagitait devant moi. Mais cest quil était encore correct ce cul. Ça avait même lair dêtre la partie la mieux conservée de lensemble. Jeus donc automatiquement envie de le tester. Je me dis que si je me faisais virer, ce nétait pas si grave. Je nétais pas un mec du genre à faire trop de calculs. Alors je vins derrière elle et collai mon bassin à son cul. Je bandais déjà, il men fallait peu. Je ne vous explique pas la surprise de la nana. Mais elle ne bougea pas. Elle était donc peut-être daccord. Qui ne dit mot consent. Je me permis donc de lui saisir les nichons. Il y avait du volume. Je ne pus mempêcher de frotter ma queue entre ses deux fesses, même si ce nétait guère élégant. La mamie parla enfin. « Enfin »
Avais-je mal compris ? Elle attendait ça depuis que je bossais là ? Et que dirait son mari ? Héhé. Cette pensée me fit regretter de ne pas avoir mieux préparé mon coup. Jaurais pu cacher une cam afin dimmortaliser ma partie de baise avec elle et la faire chanter. En effet, je ne crois pas quun divorce lui aurait rendu service, car si elle avait un bon poste, cest parce quelle était la belle-sur du maire. Tant pis, me dis-je, ça serait peut-être pour une prochaine fois. Je lui descendis son pantalon et sa culotte. Je navais pas le temps dêtre délicat, le spectacle commençait dans une demi-heure, et elle semblait pressée aussi. Je lenculai aussitôt. Bon, finalement le cul nétait pas si bien que ça, mais ce nétait pas grave. Ces temps-ci, jétais un peu en manque, ce qui expliquai que je me jette sur cette vieille peau, et je me consolai avec ses gros nichons par-dessus son pull. Ça, cétait bon. Même ses cris de vieille chienne mamusèrent beaucoup, comme, au fond, la scène elle-même. Ainsi donc jétais en train denculer cette vieille conne, cétait vraiment trop drôle, je mamusais moi-même. Je me retirai juste avant de juter et lui déversai mon jus sur le cul. Même ça, ça lui fit sortir de son gosier de vieille oie ma plumée des cris dextase.
En général, après une première partie de baise avec des femmes matures, jen demande toujours plus, je suis super exigeant avec la nana. Mais là, je pensais en avoir fini et retourner bosser. Cétait sans compter sur la nymphomanie de ma vieille amante du soir. Alors que jallais faire demi-tour, elle se jeta sur moi, malgré son cul recouvert de mon foutre, et me saisit la queue redevenue molle. Ça ne lempêcha pas de labsorber totalement. Et évidemment, au bout de quelques instants, elle redevint bien dure. Par habitude, je me mis à lui caresser la tête et à regarder comment elle sy prenait. Seulement, pour moi qui ai plutôt lhabitude de me faire des jeunettes, le tableau était moins excitant que dordinaire. Je cessai donc et posai mes mains contre le mur et regardai ailleurs. Cela me calma aussitôt. Je ne pus mempêcher dimaginer que je me faisais sucer par quelquun dautre. Et dans ce genre de moments, pas mal de trips peuvent survenir : les ex, les filles que je nai jamais pu sauter, et même des idées perverses que je garderai pour moi. Elle était peut-être plus très fraîche, mais elle savait sucer. Faut dire quelle devait être super motivée de sucer un beau jeune homme comme moi, alors que les copines que je me faisais étaient parfois un peu lassées et suçaient de façon trop mécanique. Ce fut donc avec plaisir que jéjaculai une seconde fois dans ces coulisses.
Je nai pas trouvé dautre job depuis, et je me sens obligé de me la faire de temps en temps, mais cest pas grave, un trou est un trou et elle aime bien sucer, ce qui fait toujours plaisir. En plus, figurez-vous que mon salaire a augmenté. Elle ma créé le poste de placeur en chef, ce qui ne veut rien dire, si ce nest que je suis mieux payé que les autres. Par contre, si elle pouvait arrêter de faire ce sourire ridicule chaque fois quelle me voit, ça marrangerait.
Ajouter un commentaire