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Punie très sévèrement 5

Punie très sévèrement 5



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Troisième séjour en enfer (5)

Premier mercredi de captivité
Je viens de passer la nuit dehors couchée sur la paille, les membres écartelés et attachés par des lanières à des piquets plantés dans le sol.
Après m’avoir entravée puis sodomisée mon maître a enduit les tétons de mes seins, mon anus, ma chatte et mon clitoris de produit qui m’a chauffée, je suis restée en chaleur pendant un bon moment avec des envies de bite m’empêchant de dormir.
Je suis vaseuse quand le matin il vient me détacher et m’amène chez lui tenue en laisse

Après avoir fait sa fellation habituelle à mon maître je déjeune et fais ma toilette
Mathieu ne m’affuble pas des grosses chaînes, il met une ceinture de cuir autour de ma taille équipée de deux bracelets dans lesquels il emprisonne mes poignets puis fixe aux bracelets de mes chevilles une chaîne courte qui m’oblige à faire des petits pas.
Je garde ma muselière/bâillon.
Il ouvre le coffre de sa voiture et me dépose à l’intérieur en me soulevant comme une plume.
Il referme le coffre et je me retrouve recroquevillée dans le noir.
Ma situation n’est pas idéale et je ressens les cahots et autres pendant le trajet qui heureusement n’est pas très long.
La voiture s’arrête, mon maître m’extrait du coffre, Jacques l’obèse nous attend sur le pas de sa porte, heureux il se saisit de ma laisse.
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Jacques me fait entrer chez lui me tirant par la laisse puis il referme la porte à clé et nous gagnons le salon.
<<à genoux ici et attends moi sans bouger>>.
J’obéis.
Il quitte la pièce et revient quelques temps après, il s’est changé et a revêtu une robe de chambre qui a du mal à cacher son ventre très proéminent.
Il s’assoit sur le canapé.
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Je me lève et m’approche de lui pour qu’il retire ma muselière et libère mes poignets ensuite je me mets à genoux entre ses jambes, je dégrafe la ceinture de sa robe de chambre et en écarte les pans ensuite je caresse son pénis qui est en érection.
Je mets ma tête sous les bourrelets de son ventre et en repoussant ceux-ci ma bouche se trouve au niveau de sa queue. Je l’embrasse, la lèche pendant un bon moment en insistant sur le gland puis la prends dans ma bouche ce qui le fait sursauter.
Je serre au maximum mes lèvres sur son sexe pendant que je le suce et m’active, ce n’est pas trop long il râle et son corps se crispe quand avec des soubresauts il arrose ma gorge de sperme.
Sans enthousiasme j’avale et continue à sucer un peu puis je me retire et m’accroupis à coté du canapé attendant la suite.

Ensuite commence ce qu’il appelle s’amuser.
Je dois aller chercher une cravache dans un placard et lui amener.
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Obéissante je fais ce qu’il me dit ce qui le fait rire.
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Je m’exécute et à chaque fois que je passe devant lui la cravache cingle mes fesses me faisant sursauter et m’arrachant un cri, il me demande d’aller plus vite.
Au bout d’un moment je fatigue, mes fesses me cuisent et suis en sueur avec les genoux douloureux mais je continue tant qu’il ne me dit pas d’arrêter.
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Et c’est reparti, les coups de cravache pleuvent car il me trouve beaucoup trop lente. Je n’en peux plus de son jeu stupide et pénible ainsi que des coups que je reçois.
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A genoux, couchée sur le dos puis sur le ventre, jambes levées ou repliées, sur le sol, sur le canapé, il me même faire le poirier.
Il est très exigeant concernant les positions que je dois prendre et je fais de gros efforts pour le satisfaire.
Ensuite je m’allonge sur la table et prends les poses qu’il exige.
Je dois ouvrir au maximum ma chatte avec mes deux mains, masturber mon clitoris, me doigter la chatte et l’anus. Sans compter que je dois utiliser un gode qu’il est aller chercher et qu’il observe de près ce qui se passe au niveau de mon sexe.
Il n’arrête pas de prendre des photos.
Il en profite pour mettre ses gros doigts et le manche de la cravache dans ma chatte et mon cul.
J’évite de regarder son visage et ses yeux, très excité il a un air sadique et me fait peur.

Enfin il ne sait plus quoi inventer, il est satisfait et a de nouveau des envies, sa queue a retrouvée un semblant d’érection. Il m’emmène dans sa chambre.
Je l’embrasse longuement puis j’embrasse et lèche son corps en descendant vers son ventre.
A genoux entre ses jambes après avoir léché son pénis qui est gluant à cause des secrétions causées par son excitation lors de la séance de poses puis je lui fais une fellation.
Rapidement je me positionne à califourchon sur lui et introduis sa queue dans ma chatte, il soupire beaucoup pendant que sa verge fait des aller-retour dans mon intimité. Il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu’il ne se crispe et en râlant n’éjacule en moi.
Je me retire, caresse puis masturbe longtemps son pénis gluant de sperme avant qu’il ne commence à rebander puis je le suce jusqu’à ce qu’il aie une érection satisfaisante.
De nouveau je me mets au dessus de lui mais en sens inverse et tenant sa queue dans une main je l’approche de mon anus, en pesant avec le poids de mon corps je m’empale et j’enfonce entièrement son pénis dans mon cul.
Il soupire de plus en plus fort et me traite de salope pendant que je remue et pour une fois il ne débande pas pendant le coït.
Il se passe du temps avant qu’il ne parvienne à jouir, ce qu’il fait en poussant un long râle. Sa queue tremble et envoie quelques gouttes de sperme dans mon cul.
Je me retire et je me relève puis j’attends debout qu’il récupère.
Il se rhabille et nous retournons dans le salon ou il me dit que je suis une putain très douée pour le sexe.

On sonne à la porte, il va ouvrir.
Il revient avec deux plateaux repas.
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J’attends debout à côté de la table, il m’autorise à m’asseoir en face de lui et nous déjeunons, cela me fait bizarre de manger à table assise sur une chaise.
Ensuite il me remet la ceinture de cuir autour de la taille et immobilise mes poignets dans les bracelets, accroche la chaînette à mes chevilles puis fixe la muselière sur mon visage après avoir fait pénétrer la boule dans ma bouche.
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Accroupie sur le sol j’attends.
Mon maître arrive, tenue en laisse il m’amène jusqu’au coffre de sa voiture dans lequel il me couche recroquevillée.
Heureusement vu la disposition des lieux et la haie d’arbustes qui entoure la propriété on ne peut pas nous voir de la rue.
Retour chez Mathieu.

De nouveau les chevilles et poignets sont affublés des bracelets en cuir il actionne le palan et me pend par les poignets les pieds ne touchant pas terre puis il retourne travailler.
Je commence à avoir l’habitude de souffrir et de pleurer.

Le temps m’a paru très long quand enfin le jardinier, un homme maigre et âgé arrive.
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Il manoeuvre le palan et me libère.
Il mesure le tour de mon cou et de mes poignets.
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Il me déleste de la muselière.
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J’ai compris que je dois le laisser m’enculer ou plutôt faire en sorte que sa queue pénètre mon anus.
Il étale un plaid qu’il avait amené puis s’allonge dessus après que j’aie baissé son pantalon et son slip d’un blanc douteux.
Je l’embrasse ce qui lui plait car il en redemande et sa langue se mêle à la mienne puis j’embrasse et lèche son sexe avant de lui faire une fellation ce qui le fait se trémousser, je suce jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche en gémissant.
Je caresse et masturbe sa queue ramollie pendant un bon moment avant qu’elle ne reprenne difficilement vie puis je la suce de nouveau énergiquement jusqu’à ce qu’elle bande correctement et durablement ce qui n’est pas facile à obtenir.
Je me mets à califourchon sur lui, je fais pénétrer sa verge dans mon vagin puis je m’active pendant un moment, il ne semble pas être prêt à jouir alors après de lui avoir fait une nouvelle fellation je la fais pénétrer dans mon anus puis je fais monter et descendre mon corps pour imprimer des mouvements de va-et-vient de son pénis dans mon cul.
Il n’arrête pas de crier <>.
Il se passe du temps avant que son corps ne se cambre et qu’en poussant un long cri qui ressemble à une plainte il ne jouisse sans que beaucoup de sperme ne coule dans mes intestins.
Il n’en peut plus et me repousse quand après l’avoir laissé récupérer je recommence à caresser sa verge.
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Après m’avoir remis la muselière/bâillon il rattache mes poignets au palan et le fait monter sans aller jusqu’à me faire décoller de terre.
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En fin d’après-midi le jardinier revient, il tient une planche percée d’un gros trou et de deux petits trous.Je constate que ce sont en fait deux planches reliées ensemble par des boulons.
Il manoeuvre la palan et détache mes poignets du crochet de celui-ci.
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Il libère mon cou du collier et mes poignets des bracelets en cuir.
Il désolidarise les deux morceaux qui constituent la planche puis les réunit de nouveau emprisonnant mon cou et mes poignets dans les trous, il revisse les boulons.
Je comprends qu’il a construit un carcan.
<<ça va, les trous ne sont pas trop justes>>.
En bougeant la tête je dis non.
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Je hoche la tête pour dire oui.
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Il actionne le palan, mes bras sont étirés vers le haut et mes pieds ne touchent plus le sol.
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Il part me laissant seule en pleurs avec le corps douloureux.
Il emporte l’engin qu’il a fabriqué pour le montrer à mon maître.

Enfin mon maître arrive, il me libère du palan et positionnée à genoux il me sodomise et éjacule dans mon cul.
Après m’avoir remis les chaînes direction sa maison ou j’attends à genoux le dîner.

Quand il me sort pour que je passe la nuit dehors il pleut.
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Je suis bâillonnée donc je dis non en bougeant la tête bien que je ne sois pas emballée par le fait de passer la nuit nue sous la pluie.
Il m’installe sur la paille mouillée bras et jambes écartés, poignets et chevilles attachés aux piquets plantés dans le sol. Comme je le pressentais je ne dois pas attendre de cadeaux de sa part.
Je grelotte puis le pluie cesse mais trempée je passe une mauvaise nuit.

Premier jeudi de captivité
Le jeudi matin j’attends Amandine debout enchaînée, bâillonnée et attachée par mon collier à un lampadaire dans l’allée.
Elle me délivre de mes entraves et me tend mes vêtements, je m’habille et la suis.
Je fais le ménage chez elle.
Ce qui me gêne énormément, surtout que je dois laver et essuyer le carrelage à genoux, c’est Max son chien qui me suis en permanence, il fourre sa truffe humide et froide entre mes fesses et à tendance à les lécher et il essaye de grimper sur mon dos, je n’arrive pas à m’en débarrasser.
Une fois la corvée terminée, non sans qu’elle ne m’aie frappée sur les fesses plusieurs fois pour travail mal fait, comme d’habitude je dois faire l’amour à ma tortionnaire et la faire jouir plusieurs fois.
Une fois satisfaite elle m’affuble de la muselière/bâillon puis je dois me doigter et masturber jusqu’à ce que j’aie un orgasme.
Automatiquement comme je suis allongée sur le sol le chien continue à me renifler et lécher comme il l’a fait pendant que je faisais le ménage, Amandine m’interdit de le brutaliser et il en profite. Je dois tout supporter de cette bête pendant que me tortionnaire rit et commente en le regardant faire.

Elle prépare le repas et à un moment elle peste car apparemment il lui manque un ingrédient et elle doit sortir pour aller l’acheter.
je ramasse une gifle car elle estime que c’est de ma faute car elle doit s’occuper de moi et de ce fait néglige son intérieur.
Elle décide de m’entraver. Je replie mes jambes et elle attache ma cheville gauche au poignet gauche puis ma cheville droite au poignet droit.
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Je ne peux pas empêcher le chien de me faire des misères surtout qu’il est attiré par l’odeur de ma mouillure, je finis par céder et au bout d’un moment ce que je pressentais arrive, entravée je suis impuissante.
Amandine revient, elle rit et se moque de moi en me voyant pleurer.
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Elle libère mes membres et je dois me nettoyer les fesses et éponger les sol ou une bonne quantité de liquide a coulée.
Elle donne son repas à Max puis elle pose le mien sur le sol. J’ai à peine commencé à manger que le chien dont l’écuelle est déjà vide engloutit mon repas.

Ma tortionnaire apporte ma robe que j’enfile puis elle me ramène chez mon maître.
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Elle me guide et je vois le carcan que le jardinier a fabriqué fixé dans les rainures de deux poteaux plantés dans le sol.
Une fois déshabillée et affublée de la muselière/bâillon, dont elle a introduit la boule dans ma bouche sans ménagement, je me retrouve debout coubée en avant,le cou et les poignets enserrés dans l’engin ainsi que les bracelets en cuir de mes chevilles accrochés à des chaînes fixées en bas des poteaux.
Elle rit et se moque de moi puis s’en va à mon grand soulagement.

En cours de l’après-midi je vois surgir trois hommes qui n’en reviennent pas de voir la position dégradante dans laquelle je suis.
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Ils tournent autour de moi mettant leurs mains partout sur mon corps et mettant leurs doigts dans ma chatte et mon cul, malaxant mes seins et triturant les tétons.
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Ils modifient ma position et je dois courber plus le dos.
Ils retirent ma muselière.
Ensuite en commentant ils se soulagent plusieurs fois dans ma bouche, ma chatte et mon cul.
Pendant ce temps je ne prononce pas une parole.
Ils me quittent après m’avoir remis la muselière/bâillon.
Ils partent en riant et plaisantant, évidemment c’est moi qui paye.
Du sperme s’échappe de mon intimité et de mon cul et coule sur mes cuisses et entre mes fesses.

Plus tard deux autres hommes apparaissent.
Ils me libèrent du carcan et de la muselière et me prennent par tous les orifices dans différentes positions avant de me remettre dans l’état d’esclave ou j’étais à leur arrivée.

Quand mon maître arrive il me dit:
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Deuxième vendredi de captivité
Le matin je fais le ménage chez mon maître.
Amandine ne se prive pas de me frapper avec une cravache dés qu’elle en a l’occasion, tous les prétextes sont bons.
Ensuite comme d’habitude je la fais jouir plusieurs fois puis je me masturbe et doigte jusqu’à atteindre l’orgasme.
Sans parler de Max son chien qu’elle amène comme à chaque fois et qui me fait ce qu’il veut sans qu’elle n’intervienne, je dois subir et me conformer aux exigences de ma tortionnaire qui a décrétée qu’un homme ou un chien c’est pareil.

L’après-midi plusieurs hommes viennent se servir de mon corps pour assouvir leurs besoins sexuels.
En fin de journée Mathieu tarde à venir me voir.
Je le vois arriver tenant en laisse une femme brune assez grande avec des hanches larges et des gros seins. elle a les poignets et les chevilles menottés plus une boule/bâillon dans la bouche.
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Je hoche la tête de haut en bas pour dire oui.

Deuxième samedi de captivité
Le jour est levé depuis un moment quand mon maître vient me chercher pour aller prendre le petit déjeuner et faire ma toilette.
Tenue en laisse je le suis gênée par mes grosses et lourdes chaînes.
Dans la cuisine je vois que Viviane, la deuxième putain qui passe le weekend comme captive, est là à genoux, bâillonnée, les chevilles et poignets menottées, la laisse qui est accrochée à son collier est attachée à un pied de table.
Mathieu retire nos bâillons puis s’assoit, il regarde Viviane:
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A genoux elle sort la queue du pantalon et lui fait une fellation, elle se démène et rapidement il éjacule dans sa bouche, elle se retire après avoir avalé le sperme et léchée un peu la queue pour la nettoyer.
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Je prends rapidement la place de Viviane pour éviter qu’il ne débande trop.
J’embrasse et lèche la grosse queue gluante sur toute sa longueur pendant un moment puis tout en caressant ses cuisses je la prends dans ma bouche.
Je commence une fellation énergique en enfonçant le plus que je peux la grosse verge au fond de ma gorge, les aller-retour de ma bouche sur sa queue sont rapides.
Mathieu est long à venir et je dois beaucoup m’employer, je suis soulagée quand enfin sa verge augmente de volume dans ma bouche et est agitée par des soubresauts pendant que le sperme envahit ma gorge.
J’avale et continue à sucer, il repousse ma tête.
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