Je m’appelle Lisa, et l’histoire que je vais vous raconter est arrivée il y a quelques années, Alors que je venais de finir ma première année d’étude à la faculté de la Réunion. Je n’avais que 19 ans…
Ce soir là je devais passer al soirée chez une amie Carine qui habitait chez ses parents à quelques centaines de mètre de l’université. C’était une amie que j’avais rencontré en début de cursus scolaire, et le fait que ses parents habitaient aussi près de la fac, arrangeait bien des situations lorsque je devais réviser et éviter de rentrer chez moi à 4 villes plus loin.
Ce n’était pas donc la première fois que moi et 2 autres copines également passaient la nuit chez les Parents de Carine. Nous connaissions donc bien connaitre ses parents Alain et Maryse, que l’ont trouvaient tous adorables et très sympathique. Il avait tous deux à la fin de la quarantaine, et donnait l’impression d’être un couple très complice et amoureux.
Ce genre de soirée révision entre copine était également un moyen facile pour nous quatre de se retrouver sans nos copains respectif pour discuter encore plus que ce l’on faisait la journée. Après de petites révisions, ce soir là notre soirée à très vite dérivée sur les papotages habituelles. Les garçons de l’université étaient bien entendu au centre des conversations. Chose qu’on ne pouvait se permettre en présence de nos copains. Le mien de copain était surtout là pour mon image, je n’étais pas spécialement accros de lui, un peu amoureuse sans doute mais sans plus non plus. D’ailleurs, mon expérience en cette matière n’avait jamais été très époustouflante. J’ai toujours été avec un garçon depuis mon entrée au lycée, car il faut dire que je n’ai pas un physique désagréable (brune, yeux bleus, 1.75m, 60 kg, 90c, 60, 90 avec une allure de femme fatale, souvent habillé très court…), mais aucun ne m’avait jamais vraiment comblée, surtout sexuellement. Je faisais parti des filles toujours insatisfaites, qui ont du mal à identifier des orgasmes.
A 19 ans, mes hormones était en ébullition constantes, mon regard sur les garçons avait changé, je remarquais que j’avais une vision différentes des hommes. Surtout ceux plus âgés que moi. L’imagine de père de famille que j’avais d’eux s’était changé en amant expérimenté. C’était également le cas pour Alain, le père de Carine, je ne lui avais jamais avoué ça, mais ça faisait quelques mois que son père m’inspirait beaucoup plus que de la sympathie. C’était un métissé des îles très typé, bronzé, cheveux très courts, une musculature d’homme de 40 ans quelque peu dissimulé sous la pilosité de son torse, créole à l’oreille, toujours en tenu de plage après le bureau. Je ne lui étais pas non plus indifférente, même marié et amoureux, il restait un homme que furtivement j’aimais aguicher par des petites tenues sexy et courte. A chaque fois que je passais près de lui, je m’arrangeais pour qu’une partie de mon anatomie le plus souvent mes seins ou mes fesses le frôle, et lorsque mon regard croisait le sien dans ces instant j’y voyais des pensées obscènes…
Ce soir là, notre discussion entre filles sont assez vite arrivé sur la sexualité, chacun de nous racontait les petites histoires qu’elles avaient vécu ou aimerait vivre, le niveau de détail était devenu assez croustillante et les filles se lâchait, parlait de sexe, de position, de bite énorme qu’elle aimerait accueillir entre leur jambes, etc… Carine alla même faire quelques recherches sur internet, et ce débat accompagné d’image finit par faire montée mes ardeurs. Lorsque tout le monde alla se coucher, je n’avais pas l’esprit tranquille, toutes mes pensées s’emmêlait avec tout ce qu’avait dit les filles, et mon esprit s’égarait vers l’objet de mes fantasmes, c’est-à-dire Alain. Je n’arrivais pas à trouver le sommeil, et je savais que je ne serais pas arrivé sans apaiser les émotions qui me perturbaient dans mon bas ventre.
Il était plus de minuit lorsque je suis sorti du lit de Carine qui dormait déjà à point fermé. Je pris la direction de salle de bain, avec l’intention de me satisfaire moi-même. Dans la salle de bain fermé à clé je pris place sur le bord du vasque et une jambe relevé j’ai écarta ma culotte pour commencer mon petit travaille. Avec mon pouce et mon auriculaire j’écartais mes grande lèvre de ma petite chatte toute propre et rose de désir, et de mes autres doigts je titillais ma fente… j’ai lâchais de petit soupir en pensant au père de Carine, que j’imaginais débarqué dans la salle de bain pendant que je me masturbais. J’essayais de ne pas trop faire de bruit, mais au bout de quelques minutes je fis alerter par d’autre soupir que je distinguais mal à travers la porte de la salle de bain. Très doucement j’ai remballé ma marchandise, de peur de me faire surprendre et je suis sorti pour en savoir plus sur ses gémissements. C’est ainsi que j’ai remarqué qu’ils venaient du salon qui se trouvait dans le salon en bas des chambres. J’ai commencé à descendre les escaliers et c’est au bas des marches que j’ai vu que la télévision était allumé avec un faible son et que des scènes cochonnes passait à la télé. Dans le canapé légèrement tourné vers moi, je voyais le père de Carine, seul, la bite à la main, en train de se branler très doucement. Le bas des escaliers n’était pas éclairé, et il ne me voyait pas le regarder. J’avais le cœur qui s’emballais à cause de la situation, mais encore très excitée je me suis dis qu’il aurait été dommage de ne pas profiter de cette vision pour alimenter mes fantasmes.
J’avais peur mais c’était plus fort que moi, je ne pouvais pas remonter devant un tel spectacle. Alors doucement j’ai pris place sur l’une des marches de l’escalier, j’étais resté en top culotte, j’ai ouvert les jambes et repris mon activité de la salle de bain. Mais cette fois, la bite que j’tais en train d’imaginer tout à l’heure était là à quelque mètre de moi. Mes yeux était fixée sur ce beau morceau de chair, éclairé par la lumière de la télévision. Parfois je le voyais plus distinctement, et il était encore mieux que je l’imaginais. Grand, gonflé. Le père de Carine prenait régulièrement de la salive sur sa langue et enduisait sa queue, ce qui lui donnait un aspect luisant encore plus attirant. Il l’entourait de ses grosses main, et exécutait un mouvement lent et régulier, j’étais très excitée la chatte qui commençait à sérieusement devenir humide au bas de l’escalier. Je faisais des petits cercles sur mon clitoris, sans trop chercher à jouir rapidement car je voulais profiter encore du spectacle.
Au bout d’un moment, l’idée folle d’aller plus loin dans cette nuit hors normes me traversa l’esprit. Surprise par mon assurance je me suis levée, et je me suis dirigé vers le salon. Lorsque je suis arrivé au niveau du père de Carine, il ne fut pas surpris, peut-être avait-il déjà vu, je ne le savais pas. Je me suis installé sur un fauteuil à proximité du canapé. Dans le même élan, j’ai replié mes jambes, mis mes pieds dans le fauteuil, mes deux mains se sont enfouies dans ma culotte. Je m’étais installé pour que le père de Carine ait une vision directe de mon entre cuisses. J’étais devenu une petite vicieuse dans un état jamais encore atteint jusqu’à maintenant. Le père de Carine lui n’avait pas relâché ses mouvement de masturbation, c’était comme si que je ne l’avais pas perturbé, mais il avait délaissé la télévision et me fixait au niveau de la chatte. Je voulais lui donner du spectacle moi aussi, alors j’ai écarté ma culotte sur coté et j’ai continué à me toucher. Au bout de quelques minutes il reprit de l’intérêt pour le film qui passait à la télé. Il y avait une belle blonde qui se faisait prendre en sandwich par 2 mecs, et ça devait l’excitée car je voyais son de mouvement de main s’accélérer. Il aimait les belle blonde c’tait un bon point pout moi. Moi aussi je mâtais cette femme, je n’avais jamais une telle scène auparavant. J’étais interloqué par le fait qu’elle avait vraiment l’air d’apprécié d’avoir une bite dans le derrière. Je me posais quelques questions, mais je voyais que je perdais un spectateur. Je finis par enlever entièrement ma culotte pour me retrouver la chatte complètement à l’air et à la vue du père de Carine. J’avais atteint un état d’excitation énorme, j’avais la chatte qui dégoulinait, sur le fauteuil, mes doigts rentrait et sortait de mon vagin, et je fixais la bite du père de Carine. De plus près elle était encore mieux, j’adorais les grosses veine qui la parcourait, c’tétait une belle queue bien raide qui dégageait du vécu. Ma chatte coulait de plus en plus, je n’étais pas loin de l’orgasme, mais je ne voulais pas venir de suite, je faisais tout mon possible pour ralentir cette échéance, mais c’était très difficile. Je voulais qu’il vienne me prendre dans cette posture. Je me tortillais dans tout les sens, mordait les lèvres, lui fixant du regard pour lui faire comprendre que j’étais prête à l’accueillir en moi.
Ce n’était pas difficile pour lui de comprendre que j’étais au bord du supplice, mais il restait toujours sur son canapé. La seule chose qui avait changé c’est qu’il s’était un peu redressé, et se concentrait uniquement sur moi. Il me lançait des regards vicieux, je passais ma langue sur mes lèvres. « Viens viens ! Dépêche mon salaud ! JE n’en peux plus là, amène ton pieu et baise moi ! » : Ce sont les mots que je n’arrêtais pas de me répéter dans ma tête. Je n’avais pas la notion du temps, mais ça devait faire près d’une demi-heure que je m’étais installé dans ce fauteuil. Tant pis pour le fauteuil complètement trempée maintenant, mais j’étais dans un autre monde, bien décidée à ne penser qu’à mon plaisir. J’avais la tête basculé en arrière lorsque le père de mon amie, se décida de s’approcher de moi. Quand me suis redressée, il était debout en face de moi. J’ai eu une grosse montée d’adrénaline qui fit battre mon cœur. Il prit mes jambes par les chevilles et les a écartés. Je savais qu’il allait me pénétrer et j’étais entièrement ouverte et offerte à lui ; Je n’attendais que ça. Il s’est penché sur moi tout doucement, le poids de son corps m’écartait davantage les jambes, sa bite toute raide et bien droite est venue se posé à l’entrée de ma chatte. Elle était encore plus grosse et plus gonflée que ce que j’avais connu jusqu’à présent. Jamais tel engin ne s’était encore présenter aux portes de ma chatte. Je n’avais d’yeux pour cette queue qui allait dans une fraction de seconde me perforer ma moule débordante de mouille. J’attendais, quelques seconde il ne venait pas… je n’en pouvais plus. Je lui lança un regard de désespoir, et c’est à ce moment qu’il s’est enfoncé en moi. Cette sensation je ne l’ai jamais oublié, je senti les parois de ma chatte s détendre à l’avancement de cette bite, elle me comprimait les parois comme elle épousait chaque millimètre carré de mon intérieur, avant de venir se loger au fond. Mes yeux se sont écarquillés je ne contrôlais plus rien et j’allais crier lorsqu’il est venu coller ses grosses lèvre sur ma bouche. Il est resté comme ça quelques seconde, mon plaisir est monté, monté, monté, comme jamais jusqu’à présent, mon corps se crispait. C’était une nouvelle sensation beaucoup plus forte et plus intense comme si elle n’allait pas s’arrêter. Quand il est ressorti en parti dans un mouvement ample et soutenu, et est revenu de la même manière, cette sensation qui n’en finissait plus de montée se relâcha brutalement. Mon corps se mis à trembler, à se tordre, il m’empêchait tout mouvement par le poids de sont corps, j’étais en train de jouir réellement pour la première fois. Toujours en m’embrassant il est venu se collé contre moi. Il me lâcha les jambes, passa un bras derrière ma nuque, l’autre sur mes fesses, sans changer son va et vient. Cette sensation perdurait toujours, je l’ai entouré de mes jambes pour le serrant davantage contre moi, et l’incitant à aller encore plus loin en moi. Soudain je senti un liquide chaud se rependre au fond de ma chatte. Alain éjacula en moi en m’embrassant dans le creux du coup. Il continuait quelques va et vient qui se sont estompé en même temps que ma jouissance. Nous sommes restés ainsi quelques secondes, assouvies. Lorsqu’il releva la tête de mon coup on échangea nos regards. Lui avait gardé son regard vicieux d’homme mure, moi j’avais maintenant un regard de jeune femme de 19 ans satisfaite, mais surtout comblée par cette homme de quarante ans encore dans ma petite chatte. On échangea un sourire complice, un dernier baiser, et il se retira de moi, la bite toute dégoulinante. Son dernier geste avant de disparaitre fit de me mettre deux doigts dans ma chatte. Il y cueillit un peu de sperme qui s’échappait déjà le long de mes cuisses. Il porta ses doigts vers ma bouche, m’invitant à la dégustation. Je lui ais léché ses doigts pendant qu’il se dirigeait vers la cuisine, lui offrant un regard de petite vicieuse qui n’attendait que la prochaine fois… après un brin de toilette, j’ai rejoint ensuite ma chambre, auprès de Carine. Au réveil du matin, Carine m’a dit que j’étais souriante, et que j’avais du faire de beau rêve. Elle était loin de se douter de la nuit que j’avais passé avec son cher papa.
Le petit déjeuner s’est dérouler sans encombre, Alain et moi s’échangeâmes quelques regard et quelques sourire, sans que personne ne puisse imaginer nos pensées communes. Avant de repartir pour l’université, Alain furtivement lorsque nous étions à l’écart me souleva la jupe et glissé un papier sous l’élastique de mon string. Le lisant plus tard j’ai, j’y est vu son numéro de téléphone et un rendez vous pour le week-end. Je n’avais pas de raison de ne pas garder le numéro de cet homme qui m’a fait jouir simplement en entrant en moi …
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