Il n’empêche que j’aimerais bien sucer une belle bite et avoir une expérience avec un sodomite en ayant l’assurance que mon partenaire soit sain,autrement quel serait le problème?Ce ne serait pas te tromper,je ne pense pas devenir amoureux d’un homme,je ne suis pas homo ni homophobe, tout comme si tu gouinerais par expérience. Aussi faire l’amour à trois,toi,moi et un autre homme qui de surcrot s’occuperait de mon cas(cul)en plus…Je nous vois bien,lui t’enfilant sa queue dans la chatte,te limer pendant que tu le suces et vis et versa,ensuite me sodomiserait en même temps que je te ferais un cunnilingus. Bon programe,il nous faut trouver la bonne occase qu’il soit à ton goût ,ton type d’homme bien membré ,BCBG…
LE TRIOLING
Notre ami,nous le nommerons-B.G ,il est bien « foutu »,grand brun,la cinquantaine et de bonne éducation. Lors d’une promenade,nous en fîmes connaissance et nous nous retrouvâmes,même heure ,même endroit à nos sorties bucoliques . Ayant bien sympatisé,il se trouvait être en transite dans la région,nous l’invitâmes à la maison;de lui avoir venté mes spécialités culinaires,il accepta.
Ce soir B.G est à notre table,appréci le menu accompagné d’un bon bourgogne,nous avons créé une bonne ambiance,les alcools au salon,tous trois installés sur le canapé,sirotant dégustant,discutant,riant de nos histoires grivoises et gauloises.Il te regarde avec convoitises,t’étant levée pour changer les verres pour des coupes à champagne .Tu as mis une robe trés moulante pour que l’on remarque la ligne de ton corps aux formes avantageuses.
Assises entre nous deux ,trinquons à l’amitié ,l’atmosphère est chaude,B.G un peu grisé devient audacieux ,il te complimente sur ta beauté et ta gentillesse;tes yeux brillent,tu t’empourpres et te troubles,un peu secouée,tu vas jusqu’à lui faire une bise bien appuyée sur le coin des lèvres.
-B.G me dit: ta femme et super(oui paceque maintenant on se tutoie);je lui rétorque-tu peus dire JOËLLE.j’ai relevé le bas de ta robe sur tes cuisses en te caressant discrètement.Tu portes SHALIMAR ce parfum qui envoute les hommes,je suis certain que tu as mis une belle culotte comme je les aime et qu’à cet instant tu en mouilles le fond,car je vois que B.G te plais et ma proposition te revient à l’esprit,ce qui en plus du champe,tu es toute émoustillée,je te souffle à l’oreille-chérie,je bande; tu te troubles encore plus . De tout à traque B.G me déclare-Alain ,JOËLLE me plais beaucoup,toi aussi. Bon ,hé bien le voilà amoureux,c’est fou ce que le vin et une femme aux belles toilettes et aux jolies formes ,font tourner la tête des hommes.
-Bon embrassez-vous puisque vous vous plaisez; il ne se fait pas prier ,le bougre;le voilà posant une main sur tes cuisses,la figure plongée dans ton cou,te fait des bisous (le coquin) -mais non!voyons B.un baiser – je te prend par la taille et je t’embrasse sur la bouche avec la langue.-voilà comme ça, m’adressant à notre ami,un peu gêné ou interloqué,un peu gauche,il te prend aussi par la taille et c’est toi qui es désorientée,tu te laisses embrasser,un peu réticente,un baiser sans la langue.Hé!ça va mieux,décontractés maintenant? demandai-je ,votre étreinte vous a débloqué ,vous devenez plus intimes,les atomes crochus entrent en action,un whisky par-dessus et on est chaud.Tout en dégustant et à l’aise,je demande à B.G- alors comme ça JOËLLE te plais! appelle la JOHNNY c’est le surnom que je lui ai donné.ça vous rapprochera pus.En fait de rapprocher,il se colle contre toi et sans plus de façon ,sa main vient se poser sur ta poitrine,il commence par te peloter ,t’embrasse à nouveau,là avec la langue cette fois(c’est pourquoi on dis » toujours tourner sa langue sept fois avant de…)ha!ha!.J’en profite pour dégrafer et abaisser le haut de ta robe ,tu te renfognes un peu,mais tu te laisses faire,tu as un joli soutien gorge noir à dentelle,galbant avantageusement tes seins.
Je vai à la salle de bain,me faire quelques ablutions, en redescendant en peignoir,je vois B.G vautré sur toi,te mordiller les tétins ,une main sous ta robe.Je me met en retrait,assis sur la liseuse,afin de mieux observer vos attouchements et caresses;ayant passé une main entre l’ouverture de mon peignoir ,je me tripote labite d’excitation.Ta robe retirée,en petite culotte noire et soyeuse;il passe une main par dessus ,te caresse le pubis,n’y tenant plus ,il te renverse sur le canapé,retire ta lingerie,nue,tu t’étales de toute ta longueur,il caresse toutes les parties de ton corps. Il se déshabille,son slip est tendu,on devine un beau paquet,l’ôte ,sa longue verge bondi comme un diable de sa boitte ,grosse et bien veinée,des testicules comme une orange bien juteuse.Il a la peau halée,des fesses rondes et fermes,il a des muscles longilignes et de beaux trapèzes,c’est un bel homme.Je crois qu’il te plais et te fais de l’effet,pour m’en assurer je m’approche de toi,passe une main entre tes cuisses,mes doigts glissent dans la vulve béante,mouillant à souhait les lèvres congestionnées,le clito en érection; à l’oreille je te demande si tout va bien ,tu acquiesces ,on se roule une pelle,tu en profites pour me caresser la bite raide sous mon vêtement de bain;je te couvre de bisqous,tu frémis un peu quandB.G la bite en érection maximale à la main ,s’apprétant à te couvrir de son corps cuivré.D’abord ,il t’enlace, tes bras autour de son torse musclé,vous vous embrassez longuement ,comme pour vous mettre en confiance.Tu ouvres largement les cuisses,tu lui saisis la verge,le masturbes un moment,puis tu la guides à l’entrée de la chatte,en te frottant le clito avec son énorme gland . Il pousse le tout gentiement,tu t’agrippes à ses fesses ,geignant un petit coup ,car il est super bien monté et trés raide,doucement il va et vient pour que tu t’habitues à son gabarit.
Vous matant,je bande comme jamais ,je me branle.Nu à mon tour,je vous laisse copuler,j’ai du plaisir à vous regarder ,tu geins un peu plus ,son rythme est devenu plus rapide et ses coups de reins plus forts.Tes jambes relevées ainsi que tes fesses facilitent la pénétration;je vois sa queue toute luisante de ton foutre ,ses lourdes couilles qui battent le périnée;j’admire les contractions de ses muscles fessiers,il s’applique à te faire jouir.
Serait-ce le fait que tu fut trop excitée au début que tu viens d’avoir un premier orgasme!fulgurant celui-ci .Sans débander,il te lime encore ,te cogne à fond le « con »(el conäs)en espagnole,tu gueules,geins,t’exprimes par des:encore c’est bon,mon Dieu vas-y encore plus fort,oui,oui,ouiouiiiii!…Oh!que c’est bon. Il en met un saprés coup ,le gaillard! de temps en temps il sort totalement sa queue pour te la replanter d’unbon coup de reins.Voici un moment qu’il te sabre,tu te cripes à nouveau à ses bras musclés ;un nouvel orgasme se déclanche,tu te relâches dans un long gémissement,de fortes convulsions t’envahissent tout le corps,il reste vissé en toi un court instant,vivement il se retire,la verge longue et épaisse reste bien tendue ,
remises de ta jouissance,t’étant rassises ,tu la lui saisi à deux mains,le masturbes et tu la mets en bouche ,d’abord le gland qui turgescent prend beaucoup de place,tu le lèches; sa queue est enduite de tes sécrétions vaginales,tu engloutis une bonne partie en aspirant et suçant allègrement,tu lui pelotes en même temps les testicules et lui ,te caresse la poitrine et les cuisses.Je me suis collé contre toi,pour te caresser les fesses et la chatte enflée encore trés ouverte,juteuse et sensibilisée;insérant doucement mes doigts. La bouche pleine,tu ronronnes de plaisir à savourer sa bite.B.G prend son pied .Tu le suce depuis un long moment(je sais ,il en a long),tu a l’air d’apprècier lui aussi. Moi ,la quine à la main,en continuant de te peloter et à te regarder à lui faire une pipe,ça me donne envie de te relever la croupe et de t’enfiler à mon tour;tu as deviné mes intentions ,alors sans lâcher notre ami de ta bouche gourmande,tu m’offres ton cul,les fesses tendues,tu me reçois(bien sur ce n’est pas le gros modèle,mais il n’y en a plus en stock,faut t’en contenter et tu t’en contentes,tu remues même du prose,surement pour mieux me sentir et voilà!toutes les issues sont closes;hé:sauf une,mais c’est une petite,défense d’y pénétrer ,propriété privée,c’est chez toi un prolepse.)pourtant j’adore tout chez toi et ta petite pastille me fait délirer. Tu fais des bruits de sucions et des petits gloussements réagissant à ma fornication,tes fesses plaquées contre mon ventre,elles sont douces et chaudes et ta chatte si accueillante mais, je cesse de te limer ,tu commences à être fatiguée,il réalise ton état ,alors il parvint à son orgasme,tu sens qu’il va jouir,les veines de sa verge saillirent,il se retir vivement( il débouche ;bon ,encore une comme ça et je vai me coucher)ah!mais non ce n’est pas terminé.Il se branle vivement (qu’on se couche)à ce jeu la on a pas fini ,_.quoi,j’mamuse!. où en est-il notre copain? Il se crispe,se contracte,se relâche ,s »ensuivi un meuglement ,il envoie « la purée »à grandes giclées saccadées,le foutre épais s’étale copieusement sur ton visage et sur ta poitrine. Pour se remettre de nos émotions et de nos efforts ,un JACK’DANIEL’S et le bien-venu.Nous restons nus.
Heureux B.G,je crois que nous aurons souvent sa visite,avec ou sans moi ,il saura te tenir compagnie.En attendant,là aprés cet interlude,j-ai un désir fou que tu me fasses une pipe,tu sais si bien les faire.Celle que tu viens de faire à notre ami ,était superbe ,il faut dire qu’avec une telle queue,tu t’es régalée,là encore ,il a à peine débandé,le gland retroussé et violacé(l’effet sucion).Rien à jeter chez lui,il est tout bon ,comme le cochon ,de la tête à la queue et j’espère le sucer à mon tour,peut-être si tu m’en lesses.
à suivre
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