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Marie-Jeanne, collection Histoires vécues

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VI. Marie-Jeanne, collection Histoires vécues

Je reprends la parole, car une amie vient de me confier quelque chose d’original, pas inédit, mais assez salace pour que je trahisse son secret et vous le livre tel quel…

Marie-Jeanne est une femme de 40 ans. Belle, maman heureuse, ses jumeaux sont partis du nid cette année, et elle se retrouve seule dans sa belle maison où rien ne manque, sauf justement, eux, et accessoirement un mari…

Marc, pharmacien, dans le petit village lui apporte une douce sécurité matérielle. Elle a vécu 20 années de bonheur, très occupée par ses jumeaux, son jardin et son mari qui la comblait d’attentions…
Bijoux, voiture cabriolet, restaurants, parfois un week-end, en hôtel sympa, bord de mer ou montagne…

Les enfants grandissaient et se géraient eux-mêmes…
Et d’un coup, ce vide…

Marc ne semblait pas aussi affecté. Elle comprit quelques semaines plus tard…
Les soirées entre bourgeois, les pokers, servaient d’excuse !

Le salaud la trompait…

C’est chez la coiffeuse qu’elle eut la puce à l’oreille…
Madame Duchemin, pipelette de service, aimait à raconter les potins du village qui grandissait…
Des nouveaux, des nouvelles, cela apportait de la viande fraîche et mettait du piment dans les réunions scolaires, les festivités municipales, et autres rassemblements comme la fête de la musique ou le 14 Juillet…

Elle y allait gaiement, buvant ses paroles, décrivant avec les détails, les ragots rapportés d’autres commères…
Mais cette fois, elle la trouva silencieuse… Surtout depuis qu’elle était entrée…
La coiffeuse évitait son regard, la Duduche se plongeait dans un mensuel féminin…

– Vous êtes bien calme Mme Duchemin ? Rien à rapporter ? De croustillant ?
– Bof, vous savez, c’est pas toutes les fois… Y a pas eu de marché avec la neige.
– Ce n’est pas parce que je suis arrivée plutôt ?
– Oh, non, madame… Au contraire… Je… Je vous aime bien et vous m’écoutez si gentiment… Non… Juste que… Enfin…
– Chut, tais-toi bavarde… Mme n’a pas le temps d’entendre tes sornettes !

Je regarde leurs têtes plongées dans le silence, il y a quelque chose…

– Oh, si c’est de mon couple, je suis au courant, mon mari est public et je sais ses penchants…

Je n’aurais jamais dû dire cela, avec tant de détachement, comme à confesse…
Dieu, pendant une heure, elle n’a pas arrêté…

Mon mari avait visité une arrivante, seule chez elle… Il portait un sac, et était resté plus d’une heure, ressorti l’air changé, heureux, marchant d’un pas léger…
Il avait rejoint l’officine où même ses assistantes l’avaient trouvé d’humeur plus légère à son retour…

Si mon mari s’est vidé chez une putain, je ne vais pas en faire un fromage…
Elles me regardaient bouche bée…

– Bien Marie-Jeanne, je ne te savais pas si moderne sexuellement… Si tu bénis ton cocufieur de mari, c’est que tu as du grain à moudre…
– Même pas, je suis encore vierge, enfin du côté cour…
– Oh ! Quelle nouvelle !… Je vais en rêver !
– Mais non, je plaisante, mesdames ! Je suis choquée que vous puissiez colporter des ragots concernant mon auguste époux… Si aimant, si tendre, si droit…
– Mais la Marie du Fernand me l’a confirmé, ils se sont embrassés devant sa grange, elle a vu les mains de ton époux si droit, passer sous le chandail de cette étrangère, et se la peloter à en être jalouse… car la Marie, elle est vive et encore bonne…

Bref, ces propos m’ont hantée les jours suivants et j’ai noté les retards, les excuses, les dates, les jours… Le poker, je l’accepte depuis son installation ici, cela fait partie des usages, les notables se rencontrent autour d’un verre…

Puis au bout de quelques jours de traque, j’ai relevé des indices concordants, les vendredis, jour de marché… Puis le poker décalé au vendredi suivant, pour cause de férié…
Ensuite, sur le plan perso, c’était le calme plat, et même en essayant, je récoltais des vannes ou carrément des râteaux…

Enfin, la preuve ! Le rouge à lèvres, un mouchoir en papier dans la voiture, qu’il ne prenait que pour aller jouer chez un ami du village voisin…
J’osais même appeler le vendredi suivant, inventant une urgence, pour joindre mon époux, panne de frigo…
Personne ne répondit, chez le maire, le médecin, l’instituteur…
Il para d’une réponse sèche, il était chez sa maîtresse…

Trois heures du matin… Pour un poker coquin ?
Il riait… J’en restais là…

Le vendredi suivant je le suivis avec le scooter de ma voisine…
Et là, je l’ai vu rentrer seul, dans une villa moderne, que je ne connaissais pas… J’attendis la nuit pour aller lire le nom sur la boîte aux lettres, inconnu au bataillon… Mme Dupuis…

J’attendis, et personne ne sortit, ni n’entra, jusque vers 2h30… La BMW de mon époux sortit comme par magie du garage, et dans les phares je vis le baiser, le dernier, à la portière, et son déshabillé transparent qui ne me laissa aucun doute sur ce qui venait de se passer entre eux…

Mis sur le fait accompli, il s’affala…
Certes, un écart, le premier… Mais ce n’était que passager, et juste du sexe, cette femme mariée s’ennuyait, occasion, rencontre fortuite, renseignement notarial et voilà, trois mois se sont passés…

Pas de pleurs, je lui signifie juste que l’on fera chambre à part désormais, je ne peux plus le toucher, je l’ai vu, et sa pute en transparence m’avait glacée…
Je ne dis rien sur la suite que je donnerai après réflexion…

D’abord des vacances, il aura le champ libre pour aller la sauter les autres jours aussi…

Ensuite, une somme versée sur mon compte chaque mois, un peu comme un salaire rétroactif pour vingt années de bons et loyaux services… 2 enfants à la clé, et une maison en ordre…
La maison à mon nom dès la semaine suivante… Voilà pour le présent…

Le lendemain, je pris mon cabriolet et allais à la ville, j’y connaissais un bar sympa…
2 verres de whisky, une grand blond se rapprochait de ma table en lorgnant mes seins…

J’étais ronde quand je me levais, pas question de conduire…
Une heure m’avait suffi pour vider ma tête et désirer me venger…

Il était apparu, comme un sauveur possible…
Lui ou un autre ? Il avait l’air gentil, il me plaisait, pourquoi pas mon premier amant ?
Mais mes pensées avaient un goût nouveau, un parfum d’aventure, de sexe…

Il riait souvent quand je racontais mon adolescence, mes premiers baisers…
Je parlais trop, mal, vite et fort…
Il me soutint quand on prit la direction du parc, je m’accrochais à son bras, il me serrait contre lui… En titubant… Je sentais sa chaleur, parfois il m’effleurait un sein… En moi j’avais déjà dit oui…

– Tu… Es… Un gentleman… Je suis soule… Viens sur un banc, accompagne-moi, je vais dormir sous un arbre, et cette nuit il me cherchera, ce con… Et non, sa femme a fait la malle ! laissant le lit vacant…
– Tu es belle surtout, je ne veux pas que tu tombes en de mauvaises mains… Je vais te raccompagner chez toi…
– Pas question mon bon… Pas chez moi… Chez toi, si tu veux ! Ma chatte est désormais au chômage… On baisera comme il l’a fait avec elle, sans doute à la hussarde, comme une chienne, je me donnerai à toi, premier coup de canif dans ma vie tranquille de bourgeoise exemplaire…
– Tu délires, tu es malheureuse ? D’avoir été trompée ou de devoir te venger ?…
– Et mon cul, il est malheureux ? On baisait tous les soirs, certes un peu moins maintenant, mais je n’ai jamais dit non à sa bite de pharmacien …
Il m’envoyait au ciel dès les premiers coups de reins, et il s’acharnait tant que je n’avais pas demandé grâce, me prenant comme une catin, par tous les trous possibles, jusqu’au bout de la nuit… Voilà mes nuit d’amour avec mon ancien mari…
– Tu aimes ça…
– Oh, oui, j’aime l’amour, le sexe du mâle… J’aimais sa bite… Depuis 20 ans je suce, je baise, je me sodomise avec… Alors il prend le commandement et il me détruit, me laissant écartelée au milieu du lit et va dormir dans l’autre chambre… Cela te fait envie hein ? Tu te taperais bien la vieille salope saoule ?
– Du calme, Marie-Jeanne… Tu déraisonnes… Tu me plais, mais tu n’es pas toi-même…
– Si… Je sais que tu y penses… Tu baves de m’imaginer les seins à l’air… Je vais te sucer pour te le prouver, on ne nous voit pas ici, sous cet arbre millénaire… Le soir, la nuit, sont à moi, et j’ai envie de sucer une queue nouvelle !… Prends-moi dans tes bras, serre-moi contre toi… Caresse mes seins… Jusqu’à ce que je te désire…

Le gardien du parc les surveillait… Il avait vu entrer ce couple qui était allé juste sous le chêne…
Il était là pour ça, cacher les amours débutantes, les passions soudaines, les urgences aussi, physiologiques et sexuelles…
Il les regardait, elle titubait et parlait fort. Elle était ivre…
Il comprit quelques paroles, baiser, sucer, bite…
Il la vit se tourner contre lui… Il devina qu’elle lui offrait ses seins…
Elle ne parlait plus, se laissant caresser… Puis il vit sa main se refermer sur le sexe du garçon… Elle le masturbait… Elle se tortillait, de plus en plus excitée… Il aperçut un sein, elle était magnifique…
Il commença à bander…
Elle regarda alentours, puis baissa la tête, et emboucha son partenaire…
La tête allait et venait en cadence…
Elle se tourna contre lui, elle fit le grand écart, elle lui offrait sa vulve…

Le gardien se masturbait avec force, elle râlait maintenant, mais la lumière baissait, le jour se couchait… La femme s’assit à califourchon sur son compagnon et s’empala en gémissant…
Elle jouit très vite, il la guidait, la secouait, la maintenait et arriva à ses fins….
Elle l’attrapa par le cou et lui donna un long baiser, se trémoussant contre lui…

Le gardien éjacula sans doute en même temps que l’homme…
Elle s’était remise debout, la robe bien lissée, reboutonnée…
Ils se levèrent, et s’en allèrent agrippés l’un à l’autre…

– Putain, ça fait du bien de tomber sur des couples comme ça !
Les jeunes n’y connaissent rien ! ça va droit au but, elles se laissent prendre sur le banc ou contre l’arbre et basta… Mais celle-là, elle en voulait !… Quel coups de queues il donné ! Je l’ai entendue jouir d’ici, s’en prendre plein la chatte, elle doit couler maintenant… Quelle santé cette femme !… La quarantaine, elle doit être bonne…

Le gardien ne croyait pas si bien dire…

– J’aurais besoin de me laver…
– On va chez moi, ce que tu m’as donné en apéro m’a plu…
– Moi aussi j’ai aimé, tu vois je dégrise, encore une fois et je serai au top ! Mais ça coule sur ma cuisse… Attends, il y a un WC public, j’ai des mouchoirs… Dis, tu n’as pas économisé ton sperme…
– Non, j’avais envie, je te l’ai dit…

Il entre avec elle pour bloquer la porte et regarde la robe remonter et les mouchoirs faire leur office… Le local est grand…
De la voir se toucher, ça le titille… Il sent maintenant une envie irrésistible de la prendre sur les toilettes… Ou en levrette… Il ferme la porte avec le loquet, passe derrière elle, et flatte sa croupe, écartant la culotte…

– Coquin… Tu as de nouveau la trique ?
– Te voir t’essuyer, comme si tu te caressais…
– C’est vrai, je te testais… En fait j’ai envie moi aussi… Tu veux me baiser ici ? En plein parc, ça sent la pisse…
– Ça sent le foutre entre tes cuisses, j’ai envie de t’en remettre, de te remplir encore….
Penche-toi sur le réservoir et écarte tes cuisses…
– Tu me veux en levrette ? Je ne sais pas ton prénom… Moi je te l’ai dit…
– Henry, je suis de Montargis… Oui, je veux te baiser à fond, te prendre comme une chienne, comme tu dis, t’entendre gémir de ma bite qui va te ravager la chatte, ouvrir ton vagin, et ton cul après, tu vas sentir ma queue plonger dans tes entrailles et te faire gueuler de tant de plaisir inconnu…

Elle se penche et tac-tac-tac… Une vraie mitraillette, elle le sent grossir et grossir encore et elle a un orgasme, qu’elle essaye d’étouffer, mais ses coups de bite sont affolants et elle cède, bousculée, défoncée, ayant du mal à tenir debout…
Ses seins se sont échappés de son décolleté et ils ballottent d’avant en arrière, claquant sans cesse l’un contre l’autre… Elle gémit, se maintient difficilement et il continue à la défoncer…

– Oh, oui, baise la salope, prends-la, sodomise-la, elle aime les bites, elle aime jouir, elle aime se faire défoncer dans les chiottes publiques, dans les parcs et jardins, elle aime les sucer, les enjamber et s’en pourlécher… Oui, je viens !… Oui !… Encore…
Change de trou, je suis en transe, je te veux, je veux que tu m’exploses, et que tu te vides dans mon cul de salope, en masturbant ma chatte s’il te plaît !
Attention, je vais… Oh ! Oui… Viens !… Oui ! Maintenant ! Oui ! Yes !…

Elle est laminée par ses coups de reins, et sa tête arrive à hauteur du mur, pilonnée par son amant sans ménagement, il la pousse à bout et se lâche soudain, explosant dans son derrière, griffant et claquant ses fesses de chienne.

Quel coup cette pouffe ! C’est la première fois qu’il tombe sur une femelle comme ça, entre deux âges, mais il ne faut pas qu’elle renonce au sexe, elle est super bonne, et elle en veut encore…

Putain, il a joui comme un prince dans son cul si accueillant… Ses seins qui faisaient la navette d’arrière en avant, elle mouillait quand il a masturbé sa chatte, plongeant ses doigts entiers dans son vagin béant, en éjaculant dans son cul de princesse, ce cul si beau, si ouvert, qu’ils pourraient être deux…

Ils ont du mal à récupérer leur souffle, il est en sueur, elle se relève enfin, se tenant à la chasse d’eau… Sa robe est décousue, mais ça tient… Elle s’essuie sans complexe devant lui, frottant sa chatte, et asséchant ses fesses…

– Je suis trempée encore, tu n’avais pas baisé depuis des mois ?
– Justement, un an… En cage, pour des broutilles, carambouille… Il est 20 heures, tu as faim ?
– Oui, ça commence, je me suis dépensée… Et toi ?
– Si…
– On va chez toi ? Tu habites en ville ?
– Ben… Non… Je suis en hébergement offert par la nation, un gite pour les anciens taulards…
– Bon, on prend un hôtel. Je mangerais bien une pizza, tu connais une pizzéria ?
– Oui, et un hôtel, vers la gare, c’est bien, j’y allais souvent quand j’étais commercial…
– Tu emmenais tes conquêtes ?
– Non, je dormais… Si parfois c’est arrivé…

La chambre est honnête dans ce quartier populaire… La pizzeria est sympa, patron jovial qui regarde mes seins avec insistance, un futur plat du jour ?

On mange de bon appétit, on chante avec d’autres clients et le patron prend sa guitare…
La soirée est douce, le vin est plus que bon, je me sens sur un nuage quand la main d’Henry remonte entre mes cuisses sous la table…

On s’embrasse comme des jeunes mariés, les doigts glissent sous la culotte…
Le patron me regarde dans les yeux, il aimerait bien être à sa place…
Du coup, je me saisis du sexe qui pointait vers moi, et le cajole doucement sous la table, en regardant le tenancier…

Il est tout rouge, les clients dansent, s’amusent… Nous, on se frotte l’un contre l’autre, on se masturbe réciproquement… Je dois fermer les yeux et mordre mes lèvres tant c’est délicieux, son doigt tourne autour de mon clito… C’est insoutenable… Je serre mes doigts, en le secouant de plus belle…

Henry vient de gicler dans ma main… Il est temps de réagir…
Je me lève en lissant ma robe devant et derrière, un réflexe…
Henry est sur sa faim… Je me raisonne… On ne va pas baiser dans la salle ?
Le patron me fait un signe, je vais vers lui… Sa grosse patte d’italien m’enserre une épaule…

– Tu es une belle femme… Tu es avec lui ?
– Non, juste rencontré cet après-midi…
– Oh ! Je ne craque plus souvent, mais toi, je te coincerais bien dans la réserve…
– Mais vous ne pouvez pas vous absenter !
– Ils ont tous finis, j’ai encaissé, je vais mettre une cassette… Ils vont danser pendant une heure… Et je ne peux plus supporter de te voir te trémousser et jouir de ses doigts, en le branlant…

Henry me sourit, je viens de lui avouer que j’ai vomi, il faut que j’aille nettoyer les toilettes…

Je suis tout émoustillée, à l’idée de tromper mon amant avec un autre homme, presque sous ses yeux… Henry m’a excitée, tant pis pour lui…
Le réduit est étroit, ça sent la farine, sa main se pose sur mes seins dans la seconde et pendant que les haut-parleurs vocifèrent, je me laisse caresser, peloter, débrailler, déshabiller, et son gros zizi apparaît soudain, un monstre !…

Il m’assied sur la table sur laquelle il prépare ses pâtes, retire ma culotte… Ecartelée, je ressens ses moustaches quand il suce ma zézette profondément, puis je le lèche et je le prends en bouche, en ouvrant mes cuisses…

Là, c’est un régal, un festival, un carnaval !…
Il me savoure, m’étreint, et sa grosse bite me pilonne dès l’instant…
Je me sens nouvelle, une autre femme, il me fait un bien fou !…
Je me libère en jouissant sous ses étreintes, feulant sans cesse mon plaisir…

Aimant, tendre et viril, tout y passe… A poil dans cette resserre, à califourchon sur lui, face à face, son membre dans ma chatte explose ma libido, je gémis, tremble, me prends avec fougue, l’emportant dans une cavalcade démente, ondulant mon bassin en tous sens pour mieux apprécier son dard…

Il suce mes seins, me tenant par les hanches, puis je me lève et l’invite à me prendre en levrette, car j’en ai soudain envie…
Je soulève mes fesses, et je me laisse envahir de nouveau, en sueur, trempée de partout, je le sens grossir, il empoigne mes seins à pleines mains et me pilonne avec son marteau-piqueur….

Je me mets à brailler, couvrant la musique, résonnant dans la pièce, me tordant sous son joug, relevant mon bassin, écartant mes fesses avec mes mains, le prenant de plein fouet, jusqu’au bout…
Il saisit mes hanches et redouble ses efforts, ahanant de plus belle et je sens son jet jaillir en moi, dans mon vagin dévasté, en essayant de calmer ma fontaine qui se met à se libérer, inondant la table en jets puissants…

J’en ai plein les mains, il me donne du papier essuie-tout, et, indécente, je me livre à un complet nettoyage de mon four perso, sa baguette est retombée, il me prend dans ses bras et me donne un long baiser…

– Je sentais que tu étais bonne… Une belle salope qui trompe son amant… Et sans doute un mari cocu ?
– Oui, mais ex-mari, je suis libre, je me sens femme, et je veux le prouver…
– Viens demain, je suis fermé, tu sonnes à côté, on ira à mon bateau… Tu peux ?
– Oui, 14h00, je viendrai, j’ai aimé, je veux la suite…

Henry me regarde, les yeux soupçonneux…

– Tu en a mis du temps, les jeunes sont partis…
– Oui, le patron était ravi de me prêter sa salle de bains…
– Ah, OK, oui il est gentil et serviable… On y va ?
– Bien sûr, je suis prête…

Voilà… La nuit est douce et longue, entrecoupée de séances de baise intense, je le laisse décider comment me manger, et j’obéis, soumise, vorace, et comblée…

Quand il se met à ronfler, je repense à Mario, à son sexe qui m’a faite jouir comme une dingue, au point de crier mon plaisir comme une pucelle…

Henry sera bientôt de l’histoire ancienne, mon bel amant, le premier…

Mario, c’est une crème, un vieux fusil, gentil et vicieux à la fois.
Je vais avoir droit à la totale, j’en tremble d’émoi, car ce qu’il m’a donné en apéritif dans sa cave, m’a émoustillée, au point d’en rêver la nuit suivante…

A 14h00, je sonne à sa porte, après des adieux très prenants avec Henry…
Mais il savait que je continuerai ma route… Il se doute que j’ai fauté avec Mario, car il connait et connait son penchant pour la chair fraîche…

Son appartement est meublé en ancien. En parlant avec lui devant un bon café italien, je comprends… Sa femme est partie il y a deux ans, et il tient son restaurant, ce qui lui reste pour s’accrocher… Oui, il a aimé sa femme, mais il les aime toutes, ce qui l’a perdu… Elle est partie avec un livreur bien plus jeune qu’elle…

Bateau ? Pas bateau ?

J’hésite… Quand on sonne à la porte…
Il avait demandé à deux amis de l’aider à mettre son bateau en marche… Gentil, mais…

Il me présente Pierre et Hervé, deux habitants du quartier, des pêcheurs, ayant chacun une petite barque. Mario c’est un cabin-cruiser, un monstre de 500 chevaux, qui est remisé à sec. Il faut le faire gruter et remettre en route le moteur, tout vérifier, et surtout les équipements de sécurité.

Ils prennent un café aussi, et je leur dis que ce n’est pas la peine de perdre du temps, il remettra son bateau en mode vacances un autre jour, c’était pour m’en mettre plein la vue…

Ils rient de bon cœur… Mario est d’accord… On boit une grappa, puis deux, ils racontent des blagues, me draguent devant Mario qui savoure cette ambiguïté, racontant notre rencontre chez lui, avouant que j’ai quitté mon amant pour venir à ce rendez-vous…

– Pas du tout, je voulais faire du bateau, j’adore la mer, et les marins…

L’ambiance devient chaude, la grappa coule à flot, c’est ma quatrième… Ma robe est relevée, et mes cuisses s’ouvrent aux regards des deux compères qui sont face à nous…

– Marie-Jeanne, c’est une drogue, c’est la marijuana…
– Ah, oui !… On peut y goûter aussi ?
– Demande-lui, Pierre, moi je partage mes trouvailles et celle-ci est à point…
– Tu penses quoi Marie ? On reste avec vous ici ? On fait connaissance ?
– Je… suis… soule, et bof… les amis de mes amis, et plus on est de fous…

Mario m’embrasse en me prenant dans ses bras, ses mains enserrent ma poitrine, ouvrent mon décolleté, et libérent mes seins…
Je me laisse aller en fermant les yeux…
Je sens d’autres mains se joindre aux siennes, ma robe est dézippée, et tombe, mon soutif la suit, puis on me retire ma culotte…

Mario bande comme un taureau, je le suce, les autres se déshabillent à leur tour, et nous regardent flirter…

Ils viennent à mon côté, profitant de m’entraîner dans la chambre et m’allongent sur le lit immense…

Chacun prend un sein, Mario me suce, mouillant abondement mon trouffignon, une bouche vient sur la mienne, je cherche leur queue avec ma main, puis les masturbe quand Mario s’introduit en moi…

Je les branle en commençant à jouir, ils sont tournés vers moi, et Mario me possède… Je peux alors les sucer chacun leur tour, puis Mario laisse sa place à Pierre, qui me prend à un autre rythme, plus doux, j’en jouis immédiatement repensant à mon mari…
Ils me tournent sur le côté, Mario mouille mon anus… Hervé glisse ses doigts sur mon clitoris et masturbe et je plane en gémissant…

Je suis sur le ventre, empalée par le sexe de Pierre, et je sens Mario pénétrer mon derrière, Hervé pose sa bite sur mes lèvres, je le suce en délirant…

– Oh, oui… Oh !… Oh… Ah !… Allez-y, baisez-moi… Faites-moi jouir, sodomisez-moi, à deux si vous le pouvez… Je suis chienne aujourd’hui, je veux ressentir vos queues en moi, cassez-moi le cul, explosez ma chatte !… Oh, oui, comme ça Pierre ! Oh, oui, Mario, je te sens bien, ouh !… Ouiiiiii !!!!!!

Mes tétons sont rougis d’être pincés et mordillés, et je ne sens plus mon ventre… Leurs sexes sont entrés… Tous les trois ! Deux dans mon cul et la grosse bite de Mario dans ma chatte… Ils me travaillent ensemble et je me sens partir vers un orgasme… Oui… Ils me prennent ensemble et me font monter vers mes nuages, on s’embrasse, tous les trois cherchent mes lèvres, leurs mains sont partout, mon corps est parcouru de spasmes, et je jouis…

– Oh, oui !… Je vous ressens en moi, prenez-moi comme une salope, baisez-moi comme une pute, j’aime vous sentir en rut ! Vous bandez comme des ânes ! Jouissez avec moi, donnez-moi votre foutre, inondez-moi de semence !… Oh, c’est bon, enculez-moi bien, jutez tous les deux dans mon fion…Oh, Mario, tes copains sont des vicieux, j’adore… Oh je pars de nouveau ! oui !… Oh !…

Les bruits changent, ils ont obéi, et leur foutre me remplit et leurs queues glissent comme dans de la soie, jusqu’à la dernière goutte… Mario m’embrasse avec passion, et se délivre en rageant, me possédant comme une pute, accompagné de « flic-floc » à chaque coup de rein…

Oh, oui, je jouis sans relâche, pilonnée, griffée, écartelée… Ils échangent leurs place, essayant de me reprendre encore et encore…

Pierre m’a prise par devant et sa queue me laboure, reprenant forme, et je replonge encore dans les brumes de l’amour… Mario me sodomise, sa large queue plonge en cadence, je suce le troisième, et la bite reprend forme dans ma gorge, bercée et choyée…

Je suis désarticulée, portée, transportée, écartelée, rebaisée par Hervé en levrette, je le sens qui grossit, il me tient par les hanches et je crie mon plaisir de nouveau, beuglant comme une truie sous ses coups de bite qui me transpercent le vagin détrempé par tout le sperme accumulé…

Une orgie blanche qui forme une corolle sur sa queue, les autres regardent, un verre à la main… J’att**** celle de Mario et la caresse Hervé donne ses derniers coups de reins et je le sens exploser en moi, en finissant de fourrer ma chatte…

Il retombe sur le côté, je reste fesses relevées, offerte, la tête entre mes bras…
Pierre s’approche et son sexe, émoustillé par mes appâts offerts, glisse sans aucun problème dans mon vagin luisant de mouille et de jus…

Il me porte aux nues une fois de plus, doucement, saisissant mes seins en s’enfonçant encore et encore… Il entre dans mon fourreau, mon vagin dilaté, mon clitoris énorme, mes lèvres gorgées de sang l’accueillent avec tendresse, et on jouit encore, ensemble et je serre mon vagin, et il jouit, sans trop de sucs sans doute, mais heureux, comme moi d’être allé au bout de cet ultime coït…

Je sens des doigts partout, des langues, et je tombe dans un sommeil profond, ivre de caresses, bercée entre leurs bras, et couverte de baisers…

– Alors, tu es réveillée ? Salut, nous sommes seuls, les copains sont partis, heureux, délivrés, tu es une maîtresse femme, tu nous as pompé comme jamais, plusieurs fois, par tous les trous, tu nous as épuisés…
– C’était le but non ? Tu avais bien monté ton affaire… je ne suis as dupe…
– Je sais, mais je savais que tu aimerais ces deux lascars, ils baisent comme des soudards, jusqu’à plus soif…
– Tu n’es pas en reste Mario. Ils m’ont baisée à deux… C’est la première fois que je fais l’amour avec trois hommes, ensemble dans mon corps…
– Tu as aimé ?
– Sur le plan plaisir intense sans doute… Expérience avec des gens sains et des sexes de bonne taille… Mais le côté tendresse est parti, sauf quand tu es revenu me prendre seul, et j’ai senti autre chose, tu m’as fait l’amour vraiment…
– Tu es une sacré bonne femme…
– J’ai décidé de vivre, voilà… Il fallait que je me ratt****, et quitte à le faire, autant oser plus loin qu’une simple baise à 2… Le fait que je me sois donnée à toi dans le fenil, sous les yeux de mon amant ou presque, a du t’interpeler sur mon état d’esprit…
– Tu étais soule, et là aussi, tu aimes te désinhiber, te donner du courage…
– Oui, j’aime avoir un coup dans le nez, avant d’en prendre dans le cul…
– Quelle salope !… C’est gentil pour moi, c’est un compliment car on a tous joui de ton corps, de tes caresses, de ta chatte, de tes lèvres… Salope c’est se comporter librement, s’offrir pour le plaisir… J’aime cette définition, viens dans mes bras…
– Oui, mais je n’ai toujours pas fait du bateau… Et puis moi c’est Marie-Jeanne, pas Marie-Salope…
– Tu vas retourner chez toi ?
– Je crois, oui, je suis calmée… Et merci à toi, tu seras un bon souvenir de ma vie de débauche, ma vie de vengeresse…
– Tu vas le reprendre ?
– Oh, non, je vais me reposer quelques temps et puis je verrai…
– Si tu t’ennuies…
– Bien reçu, tu es en premier sur ma liste, et tes pizzas sont super bonnes…
– Demain, je crée la Marie-Jeanne : Craquante à l’extérieur, fondante à l’intérieur avec du piment et une option saucisse…
– Salaud…

FIN
Marika842010 juin 2019

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