Étudiant, j’ai eu une expérience à quatre qui reste gravée dans ma mémoire. Cette époque avant sida nous offrait des possibilités qui ne sont plus si facilement accessibles. Une petite présentation avant de se lancer dans l’aventure. A l’époque encore jeune et svelte, mon mètre quatre vingt, mes yeux bleus, mes cheveux bouclés et mes épaules et bras de handballeur attiraient souvent les regards coquins des étudiantes. Ma copine Pascale du haut de son mètre soixante cinq cheveux blonds coupés court sur des yeux verts, arborait un délicieux 85C surplombant une taille de guêpe et des hanches joliment dessinées. Ses fesses lui valaient souvent des caresses furtives dans la foule et des sifflements d’admiration dans la rue. Thierry, mon complice de promotion, brun aux yeux noisette avait cette allure élancée typique des coureurs de fonds pour 1m85. Sa compagne, Nathalie avait un charme fou et faisait tourner bien des têtes à l’université. Ses cheveux bruns bouclés laissaient entrevoir un petit minois agrémentés d’yeux bleus turquoise. Pour 1m60, elle avait des formes à se faire damner un saint. Son 90C ne passait pas inaperçu dans ses décolletés suggestifs. Ses hanches rebondies sur un fessier arrondi offraient des poignées confortables à qui savait mériter de les agripper.
Nous étions donc réunis une fin d’après midi de fin de printemps. Les filles ont demandé un strip-tease des mecs sous forme de défi. Avec Thierry, nous avons commencé à danser en se déshabillant lentement. Une fois nus et après quelques caresses pour nous mettre en forme, j’ai invité Nathalie à danser pendant que Thierry en faisait de même avec Pascale. Pendant qu’elles nous caressaient le dos, les fesses et nous embrassaient nous les avons déshabillé en douceur. Une fois tous nus, nous nous sommes naturellement allongés au sol en poursuivant les explorations corporelles. Allongé en 69 sur Nathalie, je savourais une superbe fellation tout en dégustant avec bonheur son minou qui s’humidifiait. Alternant mes doigts et ma langue, j’explorais ses recoins pendant qu’elle me suçait en me caressant les couilles. Pivotant sur elle, je remontais ma bouche sur ses seins voluptueux pendant qu’elle écartait ses jambes pour m’accueillir en elle. Avant de m’introduire en elle, je jetais un regard à ma copine pour l’apercevoir prise en levrette par Thierry. Ses seins ballotaient pendant qu’il la besognait en lui agrippant les hanches. Les yeux fermés et la bouche ouverte, Pascale émettait des sons rauques témoignant son appréciation de la saillie. Mon érection s’est accentuée. Ma partenaire et moi les avons admirés un moment avant de démarrer un coït tout en douceur. Tout en allant et venant dans son sexe ouvert et chaud, je levais la tête pour regarder ma copine se faire prendre en profondeur. Nathalie m’a attrapé les fesses et m’a tiré à fond en elle pour que j’accélère mes va et vient. La pièce était remplie de gémissements et de souffles. Le clapotis des sexes féminins s’amplifiait et j’ai fini par me répandre dans le sexe de Nathalie qui se contractait en vibrant sur mon sexe. A ce moment, j’ai vu mon Thierry s’arcbouter et lancer sa queue dans le sexe de Pascale pour y placer son hommage au plus profond de son sexe bouillant. Elle a accompagné cette dernière poussée d’un cri qui résonne encore dans ma mémoire. Nous avons tous échangé des regards complices tout en nous caressant pour se remettre de l’effort et des émotions.
Thierry et moi sommes allés chercher des boissons pour reprendre nos esprits. Pascale et Nathalie en ont profité pour commencer à se caresser mutuellement. Sous nos regards, elles se sont allongées l’une sur l’autre en 69 pendant que nous reprenions de la vigueur. Nous les avons d’abord laissé se lécher les sexes pour ensuite venir caresser les fesses de Nathalie qui était au dessus. La langue de Pascale s’insinuait dans le sexe ouvert devant nous. Je laissais l’accès libre à Thierry pour qu’il lui caresse l’anus. Constatant son érection reprenant une forme honorable, je laissais ma main rejoindre son sexe pour commencer à le branler en douceur. Un soupir d’encouragement m’incitait à me pencher vers cette bite tendue vers le plafond et la prendre en bouche. Alternant masturbation et coups de langues je sentais se sexe grossir dans ma bouche pendant que les gémissements des deux filles redoublaient. A la faveur d’un mouvement des deux filles, et alors que mon pote dirigeait sa main vers mon sexe, j’ai allongé Thierry sur le dos pour venir me placer en 69 sur lui. Quelques instants plus tard Pascale, le visage luisant de la liqueur de Nathalie ma rejoint pour donner des coups de langues sur les couilles de mon pote. Je me relevais pour la laisser prendre en bouche sous mes yeux se sexe qui grossissait encore. Nathalie, assise, un sourire béat sur les lèvres, se masturbait en nous regardant. Une main sur son clitoris, l’autre fouillant son sexe, elle ne ratait rien du spectacle que nous lui offrions. Thierry s’abonnant de plus en plus aux deux bouches qui s’alternaient sur son sexe avait du mal à se concentrer sur ma queue. Peut être y prenait il moins de gout que moi. Les regards enflammés de Nathalie ont eu raison de ma bisexualité naissante et j’ai fini par la rejoindre pour l’aider dans ses caresses. La voie libre, Pascale s’est allongée entre les jambes de Thierry pour continuer dignement la fellation tout en lui massant les couilles pendant que je suçais les tétons durcis de la spectatrice continuant sa masturbation devenant frénétique. Mes mains parcourant son corps, Nathalie s’est relevée sur ses genoux pour libérer ses fesses charnues et venir embrasser Thierry qui appréciait de plus en plus la fellation que lui administrait Pascale. Ainsi placée à quatre pattes, Nathalie tendait ses fesses vers moi et je n’ai pu résister à la tentation. Après lui avoir caressé les fesses pendant qu’elle continuait à se plonger des doigts dans son sexe dégoulinant, j’ai pointé ma langue dans son anus et déclencher un soupir de bonheur. Ainsi encouragé, j’ai introduit un doigt dans son anus. Son mouvement de recul et ses gémissements m’ont motivé pour continuer cette exploration qui semblait la combler de bonheur. L’érection de Thierry devenant majestueuse Pascale n’a pu résister à venir s’assoir et s’embrocher sur ce sexe tendu à l’extrême. Toujours penchée en avant Nathalie m’offrait son fessier dans lequel deux de mes doigts s’agitaient maintenant. Je me suis relevé et suis venu présenter mon sexe devant son anus qui s’est littéralement ouvert pour s’emboiter sur ma queue tendue. Une fois introduit à fond en elle, je sentais sa main qui n’avait cessée sa masturbation, avec mes couilles qui ballotaient sous mon sexe dont les allées et venues la faisait gémir. Les mouvements se sont accélérés. Pascale montait et descendait de plus en plus vite sur ce sexe devenu énorme. Thierry donnait des coups de reins de plus en plus violents. Nathalie embrassait les seins de ma copine en lui caressant les fesses alors que j’accentuais la sodomie en sentant son anus me serrer la bite de plus en plus fort. Au moment ou Thierry lançait son bassin en l’air dans un dernier gémissement ma copine s’est mise à crier en le sentant l’innonder. Nathalie m’a attrapé les couilles en les tirant vers elle et j’ai fini par me répandre dans ses entrailles pendant qu’elle gémissait en cadence. En sortant ma queue de son fourreau, un filet de sperme à commencé à couler sur ses cuisses. Pascale est venue la nettoyer alors que j’introduisais dans son sexe mes doigts pour y sentir le jus que Thierry y avait déposé. Je me suis penché vers elle pour venir la lécher et recueillir les jus mélangés. Pendant que Thierry me caressait le sexe en douceur Nathalie le prenait en bouche pour le nettoyer à son tour. Nos quatre bouches ont fini par se rejoindre pour un ballet de langues ou se mélangeait salive, sperme et sécrétions féminines.
Après une douche rapide, nous sommes allés nous rassasier dans un petit resto en nous jetant des regards complices tout en souriant à l’idée de ce que les autres convives pourraient penser à ce que nous venions de faire.
Nous n’avons pas renouvelé l’expérience avec ce couple de copains mais une grande complicité s’est installée entre nous.
Je repense souvent à cette expérience en me remémorant les expressions du visage de ma copine avec qui je vis depuis de longues années. Nous avons eu d’autres expériences par la suite mais les enfants et des déménagements successifs nous ont remis sur une harmonie sexuelle plus conventionnelle. Nous fantasmons toujours sur une expérience similaire mais je suis plus attiré par le fait de la voir avec un autre homme que de profiter des charmes d’une autre femme. Elle partage mon fantasme mais ne veut pas brusquer les choses.
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