Mon beau-père était resté muet après que je lui ai taillé cette pipe dans la cuisine. Il était sonné comme si il ne croyait pas que c’était vraiment arrivé, qu’il s’était fait sucer par son beau-fils. J’avais disparu dans la salle de bains et m’étais longuement regardé dans le miroir. Je me trouvais très beau et me disais que j’aimerais bien faire l’amour à la créature que je voyais dans le miroir. Je tirais légèrement la langue et constatais avec délice que j’avais encore du sperme dans la bouche. Je repensais à ce gland turgescent et débordant de semence que j’avais lapé comme une vraie salope. En ressortant de la salle de bains un peu plus tard, après m’être habillé, je trouvais l’appartement vide. Mon beau-père était parti. J’avais peur qu’il regrette ce qui s’était passé dans la cuisine et qu’il ne veuille jamais recommencer. Dans la cuisine je découvris un post-it sur lequel était écrit: « J’ai adoré ce que tu m’as fait. c’était la meilleure pipe de ma vie ». J’étais aux anges, totalement rassuré.
Toute la semaine, en présence de ma mère, mon beau-père me regardait à la dérobée avec un petit sourire complice. Un soir, alors que ma mère était dans la cuisine, il m’a même peloté le cul à travers mon jean’s. Le vendredi soir, profitant de ce que ma mère était dans la salle de bains, il m’a glissé à l’oreille:
-Demain matin nous serons seul, ta mère sera dans sa boutique ».
Une bonne partie de la nuit j’essayais d’imaginer comment les choses allaient se passer le lendemain matin. Je ne résistais pas à l’envie de me masturber.
Vers 10h du matin j’entendis du bruit dans la salle de bains. Je savais qu’à cette heure là ma mère était déjà au travail. Je me levais, nu et me dirigeais vers la salle de bains. La porte était entrouverte. Je la poussais et vis mon beau-père totalement nu devant le lavabo. Je me collais contre son dos. Il soupira:
-Ah tu es là mon chéri.
J’adorais qu’il m’appelle son « chéri ».
Je passais mes bras autour de son torse poilu puis descendit ma main jusqu’à son sexe. Il était déjà en érection. Je le massais doucement et chuchotais à son oreille:
-J’ai envie que tu me fasses l’amour. Il regardait le reflet de mon visage dans le miroir en souriant.
-Tu es sur?
-Oui, j’ai envie de toi. Viens.
Le tenant par la bite, je l’entrainais vers la chambre de ma mère.
-Mais qu’est ce que tu fais? Non, pas dans le lit de ta mère!
-Oh si, je t’en prie. J’ai envie de faire l’amour dans les draps où tu as baisé maman.
Je l’entrainais vers le lit et je m’y jetais sur le dos. Il me regardait d’un air effaré.J’écartais les cuisses et relevait mon bassin tout en passant mes mains sous mes fesses pour les écarter.
-Regarde, je suis tout ouvert pour toi. Je te veux.
Il s’assit à côté de moi et se pencha pour m’embrasser. J’ouvris les lèvres pour happer sa langue charnue. Il la fit tournoyer dans ma bouche. J’étais à lui.
Il se redressa et me dit:
-J’ai envie de te lécher d’abord.
-Oh oui, j’adore.
Il plongea entre mes cuisses et le bout de sa langue acheva d’ouvrir mon anus déjà entrebaillé.
-Mais tu mouilles du cul?
-Oui, tu me fais mouiller comme une fille.
Je sentais sa langue sonder mon cul. J’écartais au maximum les cuisses pour l’encourager à m’ouvrir. Je ne pouvais plus attendre. Je voulais sa bite.
-Prends moi, je t’en supplie!
Il se redressa et me présenta sous le nez son gros gland gorgé de sang.
-C’est ça que tu veux? Tu es sûr?
-Ouiiii. Remplis-moi.
Il s’installa entre mes cuisses et collla son chibre sur ma rondelle en chaleur. J’écartais mes fesses et avançais mon bassin pour m’empaler sur son gourdin fièvreux.
-Oh ouiiiii. vas-y, entre dans mon ventre.
Il donna un petit coup de bassin et je sentis sa bite forcer mon anus et glisser dans mon ventre. Un long gémissement de femelle en rut m’échappa.
-Oh que c’est bon d’avoir un homme dans le ventre. Je suis à toi. Baise-moi!
Il cria mon prénom à plusieurs reprises. J’hurlais de plaisir. J’avais envie que tous les voisins m’entendent couiner comme une truie.
-Tu l’aimes mon cul?
-Oui, je t’aime!
-Moi aussi, je t’aime. saillis-moi, féconde-moi. Jouis dans mon ventre. Je t’appartiens. Qu’est ce que c’est bon de se faire enculer!
-Oh, ton cul mon amour…
-C’est mieux que la chatte de ma mère?
-Dix fois meilleur. Après ça, je crois bien que je n’arriverais plus à la baiser!
-C’est vrai? Tu voudras baiser qu’avec moi?
-Oui, et ta mère nous regardera en se masturbant toute seule.
-Oh oui, j’adorerais que tu me baises devant elle, qu’elle voit le plaisir que tu me donnes.
Soudain mon beau-père arrêta son va et vient. Ses yeux se révulsèrent et je sentis un jet continu dans mon ventre comme si une seringue m’avait injecté son contenu. Nous restâmes un bon moment ainsi empalés tout en nous embrassant à pleine bouche.
-Je veux que tu restes en moi tout le temps. Je veux garder ta bite dans mon ventre. Je veux être ta maîtresse, ta minette, ta belle-fille!
-Oui ma chérie!
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