Je suis la reine du shopping…
Samedi 16 février 1991
J’ai trouvé enfin du travail à Barcelo, chez un expert-comptable. C’est un vieux un peu strict, et j’ai une collègue de bureau très sympa, Florence, la trentaine. Nous faisons la journée continue, de 11H30 à 19H30. Comme ça, je peux faire la grasse matinée et prendre un gros déjeuner avant d’aller travailler.
Pour ce travail, je dois un peu étoffer ma garde-robe, et surtout des soutifs, car je ne pense pas que mon patron approuve le fait qu’on aperçoive mes seins nus à travers mes chemisiers. Comme je n’en ai pas, c’est l’occasion de descendre à Marseille. J’y vais seule, car Ju est retenu par un groupe à l’Auberge.
Je commence donc mes courses par la boutique de lingerie près du boulevard Garibaldi. Elle est petite, mais bien fournie en dessous sexy. La gérante, une femme dans la cinquantaine, me connaît déjà bien depuis quelque temps. En ce milieu de matinée, le magasin est désert. Comme l’essentiel c’est que mon patron aperçoive le relief et la couleur des bretelles du soutif sous le tissu des chemisiers, je choisis une demi-douzaine de balconnets sans bonnets, et des strings assortis.
Je vais à la cabine d’essayage et j’enlève tranquillement mon manteau, puis ma robe, et c’est tout, puisque je suis nue dessous. pas de soucis, la boutique est bien chauffée. J’enfile le premier ensemble puis j’ouvre et je fais face à la commerçante:
— Il était temps que j’en achète, je n’avais plus rien à me mettre!
Elle en reste baba de me voir sortir dans cette tenue. Je continue à la jouer nature:
— Et vous allez me donner votre avis. Pas la peine que je ferme à chaque fois.
Je retourne dans la cabine mais je laisse le rideau ouvert. Je suis peut-être la première cliente à oser le faire ici. J’enfile successivement les ensembles, prenant des poses devant la glace. Je garde le plus beau pour la fin, un modèle où le peu qui reste des bonnets est une fine bande de résille autour de l’armature, et un string très mini devant, dans la même matière. Je prends les autres dans la main et vais au comptoir:
— J’adore cet ensemble! qu’en pensez-vous?
Comme je la joue toujours nature, elle le prend enfin avec amusement:
— Si c’est le plus sexy que vous recherchez, vous l’avez trouvé!
A cet instant, une cliente entre dans le magasin et tombe sur mes fesses. Je me retourne et ne lui laisse pas le temps de réaliser:
— Tiens, vous arrivez à pic, j’aimerais votre avis! Que pensez-vous de cet ensemble?
Elle louche sur mes tétons qui pointent vers elle:
— Euh… C’est peut-être un peu osé, euh… Mais sinon c’est mignon, euh… Enfin, vous le portez bien! En tout cas, moi je n’oserais pas.
— Bon, c’est décidé, je prends ces deux-là, et celui que je porte. Je vais l’enlever pour que vous me les emballiez. Pas la peine de faire un paquet-cadeau.
Je fais sauter l’attache du soutif, puis glisser le cache-sexe, et les tends à la vendeuse. La cliente reste bouche bée devant mon culot et en s’apercevant que j’ai aussi laissé mes poils au vestiaire. Je vais à la cabine enfiler ma robe, et reviens au comptoir pour payer. Je relance la cliente:
— Vous devriez quand même en essayer, je suis sûre que ça plairait à votre mari.
La vendeuse lui demande:
— C’est vrai, au fait, qu’est-ce que je peux pour vous?
La cliente se fait servir une paire de bas, règle son achat, et ressort rapidement. Dès qu’elle est sortie, la commerçante rigole:
— Dites donc, vous êtes culottée, vous!
— Non, justement, je suis plutôt sans-culotte!
Vendredi 29 mars 1991
Comme promis à ma sœur, je lui ai trouvé un job pour les vacances de Pâques. Le magasin de sport avec lequel travaille Ju a besoin de renforts pour les vacances de la zone Marseille. Elle a été embauchée et commence samedi. Elle va donc passer la quinzaine chez nous et je descends la chercher en voiture. Ayant deux autres choses à faire, j’ai pris un jour de congé.
Aujourd’hui je vais d’abord faire les boutiques à Marseille avec Valy. elle veut s’acheter des strings, et je vais lui faire connaitre ma boutique préférée. Ensuite, je passerai la nuit chez Marie-Lou. C’est l’occasion idéale de piéger Ben.
Mais en attendant, nous voici toutes deux entrant dans la boutique de lingerie. La commerçante est en train de montrer quelques parures sexy à un beau quadragénaire. Elle me reconnait et me demande un instant. Je lui réponds que nous avons tout notre temps, et je m’approche du comptoir en lançant au gars:
— C’est pour un cadeau?
— Euh… Oui, pour l’anniversaire de ma femme. Je n’avais pas trop d’idées, alors…
— Alors vous avez pensé joindre l’utile et l’agréable. Vous avez eu raison. On peut vous aider pour le choix?
— Tiens, oui, un conseil de femme, c’est une idée. Faites comme si c’était pour vous!
— O.K.! Mais si c’était pour moi, je ne prendrais pas ça. Au fait, elle fait quelle taille? Vous avez regardé dans ses tiroirs?
Par chance, elle fait les mêmes mensurations que moi. Je demande donc à la marchande de sortir quelques pièces dans mon style, bien sexy. Le gars prend un peu des couleurs en voyant les articles sur le comptoir, mais je vais plus loin avant qu’il ne se rebiffe:
— Tiens, le mieux pour que vous voyez ce que ça donne, c’est que je les passe!
Je vais avec les articles dans la cabine et tire le rideau. Je reviens avec un string en dentelle et un balconnet demi-seins qui laisse libres mes tétons. Le gars accuse le coup, surtout que je me régale à lui montrer la convergence des ficelles entre mes fesses. Je me remets face à lui, bien cambrée, les mains sur les hanches:
— Alors, ça a de la gueule, non? Imaginez votre femme là-dedans…
— Euh, je crois que c’est un peu trop osé pour elle…
— Mais non, c’est une femme, donc elle va aimer ça. Et vous aussi, je le vois à votre pantalon!
Il tente de masquer l’érection qui déforme le tissu, mais je le stoppe:
— N’ayez pas honte! C’est flatteur pour moi, et ça prouve que vous êtes sensible aux belles choses. Allez, on passe aux modèles suivants!
Je continue avec un mini-string en résille et le soutif seins-nus qui va avec, puis un petit cache-sexe pailleté à ficelles transparentes en nylon avec des capuchons assortis pour les tétons, un ensemble assez festif…
La vendeuse n’ose pas rire de la situation, mais on voit bien que ça l’amuse. Le gars est complètement cramoisi, il va exploser. Il finit par dire en gargouillant qu’il prend les trois ensembles.
Je retourne à la cabine, mais cette fois, je reviens entièrement à poil, lui dévoilant mon épilation radicale. Je demande à la patronne:
— Vous avez des toilettes?
— Oui, bien sur, c’est cette porte. Vous pouvez y aller.
— Non, c’est pas pour moi… C’est plutôt monsieur qui en a besoin pour mettre un peu d’ordre dans sa tenue avant de sortir dans la rue!
Je provoque le client en mimant une branlette:
— Allez, on sait ce que c’est, ne vous gênez pas…
Pendant ce temps, Valy a commencé les essayages et nous revient au milieu du magasin avec une nuisette transparente qui lui arrive au ras de la moule. Le client n’en peut plus. Il se fait faire un paquet-cadeau avec ses achats, il paye et s’en va prestement. Dès qu’il est dehors, la commerçante explose de rire:
— Eh bien vous, alors! vous êtes vraiment gonflées! Depuis vingt ans que je tiens cette boutique, ça ne m’était jamais arrivé avant votre numéro de la dernière fois. Mais là, c’était trop amusant! La tête du client…
— Heureuse que ça vous plaise! Et en plus, il a explosé son porte-monnaie. Bon, maintenant sortez-nous vos maillots-strings les plus bandants!
A deux reprises pendant nos essayages, des clientes entrent dans le magasin, et ressortent assez vite sans commentaires après un petit achat du genre paire de bas.
Puis enfin, alors que je porte un sling rouge dont j’ai positionné les bretelles pour qu’elles passent bien sur mes tétons et que Valy arbore un bikini bleu fait de lanières dont le haut laisser respirer ses cabochons et le bas ne cache rien de son plumeau de poils, une belle rousse entre et se montre moins timorée:
— Tiens, je venais justement pour la même chose! Il faut que je change de maillot pour cet été. Sortez-moi donc le même que ce rouge, si vous l’avez en vert!
La femme s’éclipse dans la cabine, et nous avons la surprise de la voir revenir parmi nous en tenue de plage. Les bretelles du sling sont bien calées pile sur ses cabochons bien durs dont les larges aréoles débordent du tissu, et elles sont tendues par sa poitrine généreuse qui tient bien droite toute seule. Elle nous demande:
— Alors, votre avis, vous qui avez l’air d’avoir les mêmes goûts?
— Ça vous va encore mieux qu’à moi! Et mes compliments pour vos seins, ils sont franchement superbes!
— Merci, j’en suis assez contente, en effet. Et ce sont des vrais à cent pour cent!
Elle enlève le sling, nous dévoilant au passage un petit confetti de poils roux:
— Bon, je le prends, il ira trop bien à Cap d’Agde.
Elle va dans la cabine et enfile la robe sous laquelle elle ne portait visiblement rien, règle la facture et sort avant que j’ai pu penser à la brancher. Trop tard, et vu comment je suis habillée, pas question de sortir dans la rue. De toute façon, je pense que si elle avait cherché plus, elle l’aurait dit.
A tout hasard, je donne mes coordonnées à la gérante pour la rousse si elle revient. Nous terminons nos emplettes avec deux autres bikinis extrêmes et un string plus classique pour faire un cadeau à ma tante.
De retour à Bouc-Bel-Air, nous enfilons nos achats pour les montrer à Marie-Lou. Je commence par le sling et Valy par un string à micro-triangle. Marie-Lou est un peu décontenancée quand elle découvre son cadeau, car nous lui avons choisi un string-bandeau. Mais finalement elle va l’enfiler.
Ben est un peu cramoisi, mais Marie-Lou ne nous dit rien quand nous restons comme ça jusqu’au dîner ou nous enfilons un T-shirt. Puis nous montons nous coucher dans la chambre de Valy, juste contre celle de Ben.
Avant toute chose, j’enlève le T-shirt et je vais faire un brin de toilette, faisant en sorte de tomber sur Ben en train de se brosser les dents. Je lui demande juste un peu de place, et je fais de même à ses côtés, en me frottant un peu à lui sans insister. En me rinçant je m’éclabousse un peu les seins. Je les essuie en les faisant ostensiblement pointer au-dessus de la serviette.
Je vois bien que son caleçon fait une bosse quand nous ressortons ensemble de la salle de bains. De retour dans la chambre, je propose à Valy de tester mon nouveau jouet, un gros strapon (gode à ceinture). Nos ébats n’étant pas totalement silencieux, Ben doit être en train d’en profiter sur notre compte!
C’est décidé, Marie-Lou devant s’absenter demain après-midi, Ben va avoir droit à une exhibition dans les règles de l’art!
Samedi 30 mars 1991
Nous flemmardons au lit en attendant qu’il y ait du bruit dans la chambre de Ben pour aller nous doucher. Valy y va en premier, puis elle descend rejoindre sa mère en bas. Je prends sa suite en laissant la porte entr’ouverte et je commence à me savonner.
Rapidement, j’aperçois du coin de l’œil à travers le pare-douche embué mon cousin qui mate depuis le couloir. Je fais comme si je ne le voyais pas et je lui en donne pour son argent en me massant bien les seins et entre les cuisses. Il s’esquive au bout de quelques minutes et j’imagine qu’il est allé se branler en pensant à moi. Nous somme toutes les trois en bas lorsqu’il nous rejoint.
Valy décrète qu’avec ce magnifique début de saison, ce serait dommage de ne pas en profiter pour bronzer dès ce matin. Je la suis, et nous enlevons nos T-shirts. Bien qu’elle ne se formalise pratiquement plus de notre quasi-nudité devant Ben, et qu’elle ait elle aussi mis son string, Marie-Lou tique un peu devant devant ce que nous appelons des maillots. Il faut dire que mon mon nouveau string est à peine un cache-clitoris rose avec trois fils transparents, et que Valy a mis juste le bas de son ensemble à lanières qui dévoile absolument tout. Mais elle n’ose rien dire.
Ben décline notre invitation et remonte dans sa chambre sous prétexte de devoirs. Certaines qu’en fait il nous mate derrière ses rideaux, nous nous étalons bien, et alternons les positions dos et ventre pour qu’il ne perde rien. A midi, ma tante nous demande tout de même de remettre un T-shirt pour passer à table.
Vers deux heures, dès qu’elle est partie, nous sommes de nouveau en string sur la terrasse et je dis à Valy, volontairement assez fort pour que Ben qui est resté dans le salon m’entende:
— Dommage qu’il y ait Ben, j’aurais bien bronzé intégral.
Sautant sur l’occasion, il vient nous dire qu’il doit sortir pour aller travailler un exposé avec un de ses camarades de classe. C’est évidemment un gros mensonge. Une fois seules, je commence par prendre quelques photos de Valy qui veut bien être publiée elle aussi dans notre magazine de cul préféré, puis nous abandonnons nos corps nus à la caresse du soleil.
Au bout d’une demi-heure, nous entendons la porte d’entrée s’ouvrir et se refermer en douceur. Nous prenons vite des poses suggestives, Valy sur le ventre avec les jambes assez écartées, et moi sur le dos, les cuisses bien ouvertes en direction de la maison. Je fais celle qui somnole et se caresse le clito sans s’en rendre compte.
Derrière mes lunettes de soleil, je vois Ben à travers la fenêtre de la cuisine qui ne me dévoile que le haut de son corps, mais le mouvement de son épaule m’indique qu’il est en train de se secouer vigoureusement. Je fais comme si je m’éveillais:
— Tiens, j’ai soif, je vais chercher un soda!
— Rapporte-m’en un, tant que tu y es.
La cuisine étant en cul-de-sac, Ben est piégé. Il est en train de batailler pour refermer sa braguette quand j’arrive. Je joue l’étonnement et masque ma chatte et mes seins avec mes mains pour simuler ma surprise:
— Ah, mais qu’est-ce que tu fais là? Tu m’as fait peur, on te croyait parti!
— Euh, mon copain avait d’autres choses urgentes à faire, alors je suis revenu plus vite que prévu.
— Et au lieu de venir nous voir à ton retour, tu es venu te planquer dans la cuisine, hein, mon cochon? Bon, maintenant que tu nous as bien matées, plus la peine de se cacher, viens plutôt dans le jardin avec nous.
J’enlève mes mains de mes centres d’intérêt et je sors avec les boissons et Ben:
— Regarde qui j’ai trouvé dans la cuisine, en train de se branler sur notre compte!
— Ah, mon salaud, ça m’étonne pas! Ça fait longtemps que t’étais là?
— Ben, oui… Enfin, non, je veux dire… Quand je suis rentré, vu votre tenue, j’ai pas osé venir vous déranger.
— Donc tu as trouvé plus sympa de te branler en matant ta sœur et ta cousine, c’est du joli! Tu vas voir quand je vais le dire à maman!
— Non, s’il te plait, pas ça. Je ferai ce que vous voudrez pour me faire pardonner.
— Bon, OK! Donc d’abord tu te mets à poil toi aussi. D’accord, Caro?
— Je crois que c’est équitable!
Il s’exécute, les oreilles écarlates de honte. Son sexe s’est tout rabougri à cause du stress. Il tente de garder une main devant ses outils. Je le gronde:
— Non, tu dois tout montrer, comme nous! Et même mieux, Valy m’a dit que ses strings t’allaient très bien. Je demande à voir. Tiens, mets le mien!
Il interroge du regard Valy, qui lui confirme:
— Eh oui, Vous étiez mignons avec vos couilles dans mes strings, toi et tes deux copains en train de faire un concours de branlettes!
Il enfile mon string, qui est trop petit, évidemment. Je remarque:
— Super, ça te fait juste un cache-couilles! Et puisque tu voulais mater, je vais te faciliter la chose.
Je fais le maximum pour l’exciter. Je commence à me passer la crème solaire sur les seins, puis je descends, badigeonnant partout, écartant bien les cuisses pour en enduire l’intérieur, lui offrant une vue éclatée de ma chatte. Valy n’est pas en reste et m’imite. Du coup, le sexe de Ben commence à s’élever au-dessus du string. Il mets instinctivement sa main devant, mais je le dissuade:
— Non, ne nous cache pas ça! On veut tout voir nous aussi.
Sa bite est déjà à l’horizontale puis elle monte par à-coups jusqu’à aller battre nerveusement contre son ventre. Valy en rajoute:
— Ce massage m’a excitée moi aussi, regarde, j’ai les bouts des seins qui pointent dur, et je mouille à mort. Ça te plait, on dirait, mon cochon!
Je renchéris:
— Allez, profites-en, c’est pas tous les jours que tu peux te branler impunément devant deux belles nanas à poil. Et on veut voir ça, tu nous le dois bien! D’ailleurs, j’en peux plus, excusez-moi, mais moi, je commence!
Valy ne tarde pas à m’imiter et devant un tel spectacle, Ben ne voit pas pourquoi il continuerait à se priver. Il commence donc à s’astiquer la tige. Il n’hésite plus à à se rapprocher pour voir de plus près nos doigts qui courent dans nos fentes. Il envoie timidement une main pour me caresser un sein et je le laisse faire mais quand sa main s’aventure vers ma chatte, je le stoppe autoritairement. Je compense en lui caressant les couilles, et il éjacule sur ma jambe. Je ne tarde pas à avoir un très bel orgasme.
Je m’essuie son sperme avec ma serviette, en lui lançant un clin d’œil:
— Bravo, belle giclée! Et regarde ta sœur, comme elle est belle quand elle jouit!
Effectivement, Valy vient à son tour, trois doigts au fond de la chatte! Une fois tous remis, Valy le prévient:
— Attention, ce qui s’est passé reste entre nous. Evidemment pas un mot à maman, ni à tes copains! Et je veux bien rester à poil quand nous sommes seuls tous les deux à la maison, mais ne t’attends pas à plus.
En fin d’après-midi, je passe chez mes parents prendre ma sœur, et je remonte avec elle à Barcelo.
A suivre…
Ajouter un commentaire