Je vais vous raconter ici notre nouvelle sortie libertine avec quelques considérations sur ces expériences, ce milieu.
Le jour (ou plutôt) le soir venu, notre choix s’est jeté sur un club beaucoup plus petit que pour nos quelques sorties libertine précédentes. Choix risqué, car nous avons déjà connu l’angoisse du club libertin vide, mais nous voulions tenter quelque chose de plus « cosy ».
Arrivés sur place, l’ambiance est assez froide. Le lieu à beau être assez petit, il n’y a pas foule et nous, désormais très à l’aise, constatons que les deux ou trois couples arrivés avant nous sont tassés chacun aux opposés des coins banquettes, à se scruter sans rien faire. Ça valait le coup de venir !
Nous visitons l’endroit et une chose est sûre : sortir en ces lieux pour siroter une coupe de mauvais Champagne dans un coin et rentrer chez nous, ce n’est pas possible. Nous filons donc tous les deux dans les coins câlins, très jolis par ailleurs, et ma femme commence de me sucer. Bien sûr, ce qui devait arriver arriva et un ou deux mecs seuls, attirés par le spectacle, nous approchent, le sexe à la main. Enfin un peu d’action !
Beaucoup de couples rechignent à baiser avec les hommes venus seuls en club. Je trouve que c’est une erreur : j’aime voir ma femme batifoler avec quelques beaux mâles, et ceux venus nous voir ce soir là sont plutôt pas mal. Elle me suce pendant qu’elle se fait pilloner la chatte par derrière, en position de levrette.
Vu son petit cul adorable et accueillant, les mecs ne tiennent pas longtemps et jouissent comme des gros cochons dans leur capote, au fond de la chatte de ma douce épouse. Comme je les comprends !
Je pense que les hommes qui craignent ce type d’exercice, voir leur femme se donner à plusieurs hommes, réagissent principalement par jalousie. Et pourquoi ? Parce qu’ils ont peur qu’un, ou plusieurs, de ces hommes, ne fasse jouir mieux qu’eux même leur compagne. Il peut être troublant en effet de voir sa propre femme jouir à gorge déployée sur les coups de bites de beaux mecs musclés. Cela démontre en premier lieu un grand manque d’assurance de soi. Ceci est tout aussi valable pour les femmes qui n’aiment pas voir leur ami, mari, aux prises avec une autre femme en soirée libertine.
Toujours est il que à ce moment là, les hommes qui baisent ma femme sont des jouets. Ils sont délicats, patients, et c’est qui décide qui aura droit de manger le cul de ma femme et de la tringler comme la superbe salope qu’elle est. Une complicité existe entre eux et moi, ils attendent mon accord alors que ma femme, le cul en arrière, la chatte en feu, attends encore plus de queues.
Je suis surpris par le fait que nombre d’hommes en cette situation, même jeunes, ont du mal à bander très facilement. Les jeunes (car ils étaient jeunes) chanceux qui ont pu fourrer ma douce épouse sont souvent intimidés, certains même n’y arrivent pas, et je note que mon sexe est souvent plus gros que le leur. Mon épouse me l’a fait remarquer également à la suite. L’exotisme en prends un bon coup et si plusieurs maghrébins et un black étaient là ce soir là, force est de constater que la vigueur et la taille n’étaient pas vraiment au rendez vous. A cette heure et en ce lieu, les conventions sociales volent en éclat, les races aussi, et les petits lascards, doux et sympas il faut le dire, ont pu se taper une jolie petite blonde mature à la chatte béante. Tout le monde s’y retrouve. Seul un type, européen la quarantaine, présente un sexe très conséquent. Ma femme s’en est régalée, me confirmant une chose dont je suis bien désormais convaincu : la taille compte, et pas qu’un peu. Les magazines féminins qui disent le contraire doivent venir faire un reportage en ces lieux, ou la politesse laisse le pas aux attirances les plus nues.
Un couple arrive à son tour, attiré par l’action, la seule action qui a lieu en ce club. D’autres couples étaient passés avant, mais avaient l’air outrés, les épouses surtout protégeant leur regard et leur mari de cette scène inconcevable de baise… ou pourtant certains d’entre eux se seraient bien attardés.
Je note aussi que beaucoup de femmes, rondes, sont limitées aussi dans leur « investissement corporel » par les complexes. Inimaginable de tomber ce paréo, elles observent donc les belles femmes, honorées de sexes finalement bien raides, en rougissant et en traçant la route. Ce n’est pas toujours vrai, mais c’est fréquent.
Un couple fait halte, donc. La toute petite quarantaine à vue d’oeil, lui est « assez rond » mais fort, avec de gros tatouages et les cheveux long. Une sorte de petit Depardieu jeune, l’air assuré. Elle, de petite taille, blonde platine aux cheveux longs, à le teint mat et semble plus réservé. Ni maigre ni grosse, poitrine plate mais belle, semble comme assomée par l’endroit ou elle est.
Lui, appelons le Stéphane, commande sa femme de le sucer. Elle semble appliquée et se jette sur sa queue. Il approche ma femme en même temps, qui vient le sucer de concert avec sa blonde, avec toujours un type collé à l’arrière train, lui limant sa chatte désormais dégoulinante de mouille.
Je me manifeste à cet instant car la nouvelle partenaire de jeu me plaît et je ne suis pas que là pour enfiler des perles. Elle se retourne alors et avale alors littéralement ma queue jusqu’à la garde, en me massant les couilles vigoureusement.
Ma femme ne suce les types qu’avec des capotes, principalement pour des raisons d’hygiène, mais ma « nouvelle amie » avale a fond ma bite, avec un tel talent, un peu de v******e, que je sens que cette belle chaudière, appelons la Laurine, pourrait m’extraire le jus en quelques minute chrono. Je la calme alors et l’allonge, le temps de mettre une capote, pour la tringler comme elle le mérite.
C’est alors que notre groupe de 4 décide de s’isoler des hommes seuls, la plupart la queue pendante après avoir dégorgé dans le minou de ma femme, afin de jouer tranquillement. Nous nous réfugions dans une alcôve à la taille très réduite, les uns sur les autres.
Stéphane est très présent et s’occupe bien de ma femme, je m’occupe de la sienne, ou plutôt elle s’occupe de moi. Elle m’allonge et vient littéralement s’empaler sur ma bite gonflée à bloc. Elle bouge comme une folle et j’ai l’impression qu’elle va arracher ma queue. Elle crie très fort et je sens que je vais venir : ça tombe bien, elle ralentit le rythme puis m’abandonne pour se consacrer… à ma femme.
Nous avons alors droit au plus beau spectacle qui soit : nos deux belles femmes mêlées l’une à l’autre; se caressant, s’embrassant. Laurine mange le minou de mon épouse qui, pas fan du cunilingus d’une façon générale, apprécie malgré tout énormément les rapports entre femme. C’est peut être le plus beau spectacle de la soirée.
S’en suivent diverses positions, échanges, caresses, pénétrations. Stéphane veut que je sodomise sa jolie femme et je ne suis pas en reste, mais cette dernière ne semble pas prête, dommage. Ma femme, assise sur la pine de Stéphane, me montre son anus bien ouvert. Je lui propose sa première double pénétration, mais elle décline, bien que je sais que l’envie soit là. La suite sera bien différente toutefois.
Nous passons au bar sans que personne n’ai joui, volontairement, mais avec beaucoup de plaisirs partagés. Nous buvons un verre, complices, détendus, sans aucune tension. Une jolie brune se joint à nous, un autre garçon… un ange passe. Puis direction le jacuzzi.
Dans la piscine, les femmes s’aiment entre elles encore de plus belle, et à la suite, femmes et maris s’échangent et c’est très, très chaud. Baisers profonds, caresses… mais pénétration interdite dans le jacuzzi, et il nous faut des préservatifs, alors nous retournons dans les coins calins.
Je propose que nous prenions une alcôve fermée, pour nous isoler des hommes, mais Laurine souhaite elle un endroit ouvert. J’ai noté dans le jacuzzi déjà qu’elle avait envie « d’autres hommes », de pluralité masculine. Elle souhaite donc comme elle dit « qu’on nous voie, se faire doigter si ça lui plaît ». Le message est adressé à Stéphane qui semble ne pas vouloir partager trop plus qu’avec moi. Ah !
Nous baisons là aussi dans de nombreuses positions et quelques hommes en effet tentent leur chance. Certains ont droit à un petit coup de langue et ma femme prends plaisir à vider les couilles des plus beaux mâles avec son petit cul divin. Je ne m’oppose pas, bien au contraire.
Laurine chevauche Stéphane et ce dernier me propose de me joindre à eux pour une double pénétration. Je ne me fais pas prier, Laurine tends son cul et je rentre très facilement dans son anus. Elle prends alors un pied énorme pendant que, sa chatte prise par son homme, je lime son adorable trou du cul. Ma femme prends grand plaisir à me voir faire crier notre partenaire du soir.
Stéphane jouit alors, de concert avec Laurine, et ils sont pris alors d’une secousse violente. L’orgasme a ejecté ma queue du délicieux trou de Laurine, sans que j’ai joui, et ils se lovent tous les deux l’un sur l’autre, victimes de tant de plaisir.
Capote retirée, je repousse le beau mâle qui est en train de limer ma femme pour prendre place dans son sexe élargi, trempé, et loin des scènes de baise et des grands coups de boutoir qu’elle a encaissé dans l’heure écoulée, je la prends doucement, délicatement, je fais l’amour à la plus belle femme qui soit, la mienne. Je joui alors profondément en elle, je suis le seul à avoir le contact direct avec sa peau, ses fluides, c’est trop bon.
Elle n’a pas joui et une fois douché, que nous nous séparons de nos amis d’un soir, délicieux, nous rentrons en voiture. Elle n’a pas eu son compte et sur l’autoroute elle écarte se jambes sous sa route et me fait toucher sa chatte trempée. C’est d’autant plus plaisant que ce n’est pas son genre, il faut la connaitre au quotidien… mais ces soirées ont le don de libérer les choses, de redonner un peps incroyable au sein d’un couple : quand tout le monde est bien au clair !
Rentrés à la maison, je la prends comme elle le souhaite, je la sodomise comme elle aime, tout dédié à son plaisir. Je pourrais lui faire l’amour des heures. Elle a un violent orgasme et nous nous endormons repus de plaisir, de sensations, de nouveautés, de souvenirs…
Le lendemain mon épouse redevient cette femme standard. J’espère que derrière chaque femme « normale » chaque mari sait se faire dévoiler une jolie amatrice de plaisir. Il faut les aider à profiter de tout cela, sinon trop souvent les couples se meurent dans le non dit, la frustration de l’un ou de l’autre et trop de maris, d’épouses vont trouver le plaisir ailleurs, mettant en péril des foyers complets pour un simple manque sexuel, manque d’aventures, manque de liberté.
J’ai toujours dit qu’un couple, uni à 20 ans, 30 ans, ne pouvait pas envisager tout le reste de sa vie sans avoir ni tentation, ni ne plus toucher à personne d’autre. C’est une belle idée, mais qui ne survit pas à la réalité. Il faut donc, lorsque la complicité est assez forte, pouvoir en parler, imaginer les choses à deux, puis passer peut-être à l’acte.
Un plaisir fort et partagé vaut mieux qu’un mensonge mesquin ou une séparation dramatique pour toute une famille. Et si vous vous dites que votre mari / épouse « n’a pas besoin de ça »… vous vous trompez sans doute.
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