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camp de vacances

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Je m’appelle David, j’ai 26 ans et je vais vous raconter mon histoire qui s’est déroulée dans un camp de vacances l’année dernière. C’est la coutume dans notre école de choisir quatre étudiants, deux filles et deux garçons et les inviter à passer cinq jours de vacances dans un camp.

J’ai participé à ce camp en compagnie de Jack qui avait aussi 19 ans. Les filles s’appelaient Tosca et Léonie, deux jolies brunettes de 18 ans.

Tosca était grande et sportive, elle possédait un grosse paire de nichons et un beau petit cul. Léonie était un peu plus petite que Tosca et elle était aussi sportive qu’elle.

Il y avait également deux professeurs pour les accompagner : Maaike et Juliet qui étaient deux belles femmes. Maaike était professeur d’économie.

Elle était petite, elle avait 23 ans et avait des cheveux roux et des taches de rousseur qui lui donnaient un certain charme.

De plus ses nichons étaient très mignons et son cul était bien rebondi. Juliette était prof d’anglais, elle avait 29 ans, elle était blonde et ses longs cheveux tombaient sur ses épaules, ses seins étaient en forme de poire et son cul était ferme et bien rond.

Premier jour :

Nous nous sommes installés dans notre bungalow et tout le monde est sorti à cause de la chaleur. Je suis resté dans le bungalow pour me rafraîchir. J’étais le dernier qui nétait pas encore allé dans la salle de bain.

C’était donc mon tour. Je rentrais dans la douche et j’ouvris le robinet, lorsque je vis Léonie entrer dans la salle de bain.”Je n’ai pas pris de douche, c’est ce que je voulais faire, mais je vois que c’est occupé”. « Non j’ai terminé”.

A ma grande surprise, je vis qu’elle commençait à se déshabiller. « Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je viens avec vous. Vous pourrez ainsi me savonner le dos”. C’était une surprise totale pour moi, mais c’était une surprise agréable.

L’instant d’après Léonie m’avait rejoint sous la douche. Je ne pus m’empêcher de la regarder.”Elle me dit en riant : « Vous pouvez continuer à me regarder mais prenez du savon”.

« Oui, je continue à vous regarder.” « Eh bien dans ce cas je sais que ne pourrions faire quelque chose de bien plus agréable.

Elle s’agenouilla prit ma bite raide dans sa bouche et commença à me sucer. Elle suçait bien ma bite en la pressant fortement entre ses lèvres tout en caressant mes couilles.

Elle suçait si bien qu’après deux minutes, je déchargeais mon foutre dans sa bonne bouche, elle ne put pas avaler le foutre en totalité et une partie se répandit sur son cou qu’elle fit disparaitre en faisant couler de l’eau sur cette partie de son corps que je venais de souiller.

Je glissais mes doigts dans son con et je commençais à jouer avec son clito.

Elle gémit de plaisir et appuya sur ma tête pour la diriger sur ses nichons. Je suçai goulûment ses mamelons qui étaient durs, son clito enfla et elle jouit pour la deuxième fois en poussant un cri.

Maintenant je vais te baiser. Je l’ai soulevée et je l’ai poussée contre le mur en formant un siège avec mes mains pour son cul.

Elle a passé ses jambes autour de ma taille et j’ai dirigé ma pine vers sa chatte, j’ai lentement posé la pointe de ma bite sur son con et je suis glissé dedans, ses muscles enserraient ma hampe en essayant de l’enfoncer le plus profondément possible dans son minou.

Je commençais à pousser doucement mais ça n’a pas plu à Léonie qui me cria: ” plus fort, plus fort, plus vite”. Je fis de mon mieux et je m’efforçais de la défoncer violemment pour lui donner le plaisir qu’elle m’implorait.

A chaque coup de bite que je lui assainis de toutes mes forces, elle me demandait de la baiser encore plus fort, elle voulait que je la transperce littéralement.

Nous avons baisé comme si ce fut la dernière fois, afin de jouir simultanément.

Je lui ai envoyé un long jet de foutre et ses muscles serrèrent ma bite pour recevoir une seconde rasade de cette liqueur délicieuse qui est si bon dans le cul d’une femme, dans le con d’une femme, dans la bouche et dans la gorge d’une femme.

Puis nous nous sommes rhabillés car nos collègues sur le point de rentrer se seraient demandés où nous étions passés.

Le reste de la journée, je ne pouvais pas bien me concentrer car je restais abasourdi après cette fantastique partie de baise.

Deuxième jour :

Tout le monde passa la journée à bronzer. Compte tenue de la chaleur qui régnait au cours de cet été, nous étions toujours en maillot de bain.

Léonie et Tosca avait un joli bikini serré qui mettait en valeur leur forme. Quant aux professeurs elles avaient un bikini plus large mais c’était bien agréable de les regarder quand même.

Je décidais d’aller faire un tour. J’avais à peine parcouru une centaine de mètres, quand Tosca vint me rejoindre. Elle me demanda si ça me gênait qu’elle m’accompagne.

Je lui répondis que je ne voyais aucun inconvénient à marcher avec une jolie femme en bikini.

Elle répondit avec malice : « Vraiment ?” Je sais que l’on peut faire autre chose de bien plus agréable que de se promener.” Je compris qu’elle voulait passer un bon moment avec moi, sans doute Léonie lui avait raconté nos exploits sous la douche….

Tosca était une très jolie jeune fille et cette occasion, je ne voulais pas la manquer. Je commençais à l’embrasser sur la nuque et elle se mit aussitôt à presser ma bite.

Elle réagit rapidement car sa main était déjà dans mon slip et elle était bien occupée à me gâter. « Viens je connais un endroit, le propriétaire du camping cultive des plantes tropicales et il y a non loin d’ici une serre où nous pourrions aller. Tosca m’amena à cet endroit.

Comme il n’y avait aucun risque qu’on vole les plantes, le propriétaire n’avait pas mis de serrure à la porte de la serre, de sorte que nous avons pu y pénétrer.

Une fois à l’intérieur, Tosca arracha mon slip de bain de mon corps, et saisit ma bite pendant que je lui enlevais son soutien gorge et libérais ses seins, tandis que je commençais à glisser ma main dans son slip de bain et je me mis à la doigter.

Elle était très excitée et gémissait, elle a joui immédiatement, ce qui ne signifiait en aucun cas que je devais m’arrêter là.

Mon autre main pétrissait ses nichons et de nouveau en gémissant elle atteint son deuxième orgasme. Puis elle m’a laissé assis sur le sol.

Elle avait encore envie de ma bite. Elle enleva son slip et se laissa tomber sur ma pine.

Elle montait et descendait le long de ma bite et ses nichons dansaient devant mon visage. Ses muscles enserrèrent ma bite de telle façon qu’elle ne put glisser en dehors de son con brûlant.

Nous ne pensions qu’à baiser en pensant aux positions d’amour les plus fantasques. Tosca a joui pour la troisième fois et je jouis à mon tour en lui envoyant une giclée de foutre dans sa chatte.

Après lui avoir donné un long baiser, nous sommes rentrés. J’avais passé un après midi très agréable.

Troisième jour :

Ce matin là, je suis allé au terrain de golf avec Jack. Maaike nous a demandé si elle pouvait nous accompagner. Étant donné que tout le monde portait un maillot de bain à cause de la chaleur, nous ne voyions aucune objection à ce qu’une jeune femme sexy en bikini nous accompagne. Ses nichons ballotaient allègrement et lorsqu’elle se baissait, son slip descendait un peu et nous pouvions alors admirer une partie de son beau cul. Arrivé au quatorzième trou, nous avions tous les deux du mal à retenir notre érection tant notre bite était raide.

Maaike avait le visage tourné vers nous. Lorsqu’elle se baissa pour frapper la balle, nous avions l’avantage de pouvoir admirer sa superbe paire de doudounes et notre pine grossissait encore plus.

Elle remarqua l’effet bienfaisant que son cul et ses nichons exerçaient sur une des parties les plus nobles de notre anatomie. Quand son slip tomba davantage sur ses hanches, elle nous demanda :”Êtes-vous impressionnés ?” Nous ne savions pas quoi répondre.

Maaike se mit alors à rire. « Si vous voulez, je peux vous aider peut-être?” D’abord nous ne pouvions pas croire ce qu’elle nous proposait, mais en la regardant dans les yeux, nous avons vite compris qu’elle avait bien l’intention d’aller de l’avant. Elle nous amena en pleine nature.

Arrivée là, elle a retiré son bikini et nous avons ôté notre maillot de bain.Maaike s’agenouilla devant nous et saisit nos bites raides, elle ferma sa bouche sur ma bite et commença à la sucer, pendant qu’elle branlait la bite de Jack.

Nous avions du mal à ne pas décharger, puis elle suça la bite de Jack et se mit à branler ma pine, elle n’arrêtait pas de changer de partenaire pour sucer comme pour branler.

Finalement, nous avons joui tous les deux bruyamment et à ce moment là, elle était en train de sucer Jack qui lui envoya une salve de foutre qui remplit sa bouche. Quant à moi, ma jouissance était devenue incontrôlable et je ne pus retenir mon foutre qui gicla sur sa jolie joue rousse.

Elle se débarrassa de ma semence en la léchant et en l’avalant. Puis elle s’est levée. « Maintenant vous pouvez me gâter.” Elle se mit devant moi en écartant les jambes.

Je me suis précipité sur sa chatte et je commençais à la lécher comme un fou, Jack se plaça derrière elle et posa ses mains sur ses nichons et se mit à les masser, Maaike gémissait fortement et était sur le point de jouir.

Ses cheveux roux flottaient dans le vent et elle rejeta sa tête en arrière , puis elle a joui et sa mouille dégoulinait le long de ses cuisses. Nous bandions tous les deux très fort. Elle se releva lentement et enserra Jack entre ses jambes. « J’ai bien envie d’une bonne partie de baise.” Jack commença à lui donner immédiatement de grands coups de bite.

Elle frappait ses jambes et se cramponnait à Jack et jack était prêt à décharger dans son joli petit con. Je m’agenouillais et je regardais comme il rentrait sa bite dans la chatte gourmande de la jeune fille. Jack ne pouvait plus se retenir et il déchargea abondamment dans le minou charmant de Maaike. Maaike me fit signe et je poussais Jack à côté de moi.

J’ai pris sa place dans la chatte, j’ai commencé alors à la besogner et à chaque coup de bite elle répondait en poussant son cul pour que je l’empale plus profondément.

Elle était si excitée qu’elle jouit tout comme moi et je lui donnais tout mon foutre avec un plaisir infini. « C’était une belle partie de golfe n’est-ce pas ?” Puis elle se leva pour enfiler son bikini, du foutre coulait encore de sa chatte. Nos avions terminé nos jeux amoureux et nous somme rentrés au camping.

Arrivé sur les lieux, je vis Maaike en grande conversation avec Juliet et je me doutais qu’elle lui racontait ce qui s’était passé sur le terrain de golfe.

Ce soir là, j’étais déjà au lit, lorsque Léonie vint me réveiller gentiment (Je partageais une chambre avec jack). Elle portait seulement un pyjama et me fit signe d’aller avec elle. Je la suivis jusqu’à sa chambre qu’elle partageait avec Tosca.

Elle nous regarda de son lit et finit par me dire : « Léonie et moi même nous en avons déjà parlé et nous aimerions faire un trio avec toi, nous avons pensé que tu pourrais être le partenaire idéal, si tu consens à participer à ce trio, bien sur. Je n’ai pas eu besoin de réfléchir longtemps. Un deuxième trio dans la même journée! Je prie Léonie dans mes bras et nous ôtâmes nos pyjamas.

Tosca tira la couverture pour que je puisse la voir toute nue. Nous avons sauté sur le lit et les filles ont pris aussitôt l’initiative. Deux paires de nichons bien fermes me chatouillaient le ventre et je suis monté immédiatement au septième ciel. J’étais allongé sur le lit et Léonie s’est empalée sur ma bite et s’est mise à monter et à descendre.

Nous étions maintenant bien occupés et on entendait dans la chambre que de légers gémissements. Léonie serrait les mâchoires pour ne pas hurler en jouissant. Elle engloutit ma bite rapidement et me suça jusqu’à ce que je décharge.

Tosca jouit à son tour et sa mouille se répandit sur mon visage. J’en avalais une bonne partie. Léonie se remit à me sucer. Lorsqu’elle m’a libéré, ma bite était de nouveau raide.Tosca poussa Léonie pour qu’elle s’allonge sur le dos et rampa entre ses jambes.

Elle fit glisser sa langue dans sa fente et frotta avec sa main sur sa vulve. Je pris place derrière Tosca et j’enfonçais ma bite dans son con, je la besognais consciencieusement et c’était si bon qu’il n’était pas question d’arrêter.

Léonie se mit à jouir en gémissant. Je baisa Tosca avec vigueur entrant et sortant ma pine pendant dix bonnes minutes. Puis je déchargeais dans son con une abondante quantité de foutre chaud et visqueux.

Léonie joui aussi et elle enfouit sa tête dans l’oreille pour étouffer ses cris. « Ah! Ces filles savaient vraiment bien faire l’amour”. Après avoir échangé quelques baisers, nous sommes allés nous coucher.

Quatrième jour : Je voulais me détendre un peu ce matin (La baise est bien sur une activité que demande des efforts corporels ! ) et je décidais d’aller au sauna.

Arrivé au sauna, je vis Léonie assise sur un banc, elle avait une serviette de bain autour d’elle, mais je pus distinguer ses formes sans difficulté quand même. Elle me dit bonjour amicalement et me fit signe de venir m’asseoir près d’elle.

Je pris place un peu mal à l’aise. Je ne savais pas ce que Maaike lui avait dit, mais je supposais qu’elle avait dû lui raconter ce qui s’était passé au terrain de golfe.

Nous avons parlé pendant un moment et Juliet se mit à me caresser la poitrine avec ses nichons, ce qui m’excita et ma bite ne tarda pas à enfler sous la serviette. Juliet s’en aperçu .

Elle s’exclama: « Qu’est-ce que nous avons dessous?” Et elle retira la serviette. Ma bite était très raide.”Maaike avait raison.” Puis elle retira à son tour sa serviette et m’embrassa.

Je réagis immédiatement et je commençais à l’embrasser partout : sur son front, sur ses joues, sur son nez, sur sa bouche sur son cou, sur ses nichons, sur son ventre, sur son con et même sur son cul. Elle se détacha de moi et vint s’agenouiller devant le banc si bien que ma bite était à la hauteur de ses nichons, je l’encastrais entre ses deux chaudes mamelles .

Elle cracha dessus pour la rendre bien glissante et commença alors à me branler entre ces deux globes merveilleux. Elle pressait ma pine fortement et je ressentis un plaisir encore inconnue, puis elle prit ma bite dans sa main et continua la branlette.

Elle semblait être une experte pour donner du plaisir à un homme. Après m’avoir massé la bite pendant environ cinq minutes, je crachais mon foutre sur ses nichons. Alors elle s’allongea sur le banc et écarta les jambes. Je plantais mes doigts dans sa chatte et je commençais à frotter son clito. Elle suait beaucoup et la peau entre ses jambes était mouillée. Je frottais son clito encore plus fort et j’embrassais ses cuisses.

Lorsqu’elle jouit, elles étaient tout poisseuses au contact de sa mouille. Je la tirais par les jambes et je lui montais dessus. Comme elle ruisselait de mouille et de sueur, je pouvais facilement introduire ma bite dans son minou . Je lui donnais de grand coups, si fort que je craignais de la faire exploser. A chaque coup ma bite disparaissait jusqu’aux couilles dans sa chatte.

Peu de temps après, elle était excitée et gémissait très fort. C’était une bonne chose que le sauna fut éloigné du camping sinon tout le monde aurait entendu ses cris. Alors nous avons joui tous les deux et j’ai laissé tout mon foutre se répandre dans son con.

Elle me donna un gros baiser et elle me dit qu’elle allait se rhabiller. A peine une minute après son départ, je vis arriver Tosca .”A vous entendre, on a l’impression que vous preniez du bon temps!” Elle regarda ma pine et en grimaçant s’exclama : « Crois tu que tu pourras encore tirer un coup?”. Je suis un peu fatigué.” « Mais je peux m’allonger sur toi ?

Je m’allongeais sur le dos et Tosca n’a pas eu à me sucer la bite très longtemps pour que redevienne raide. Puis elle s’est reournée pour me présenter son dos. Elle faisait ainsi rentrer ma bite rapidement dans son con et la ressortit vivement. Je sentais son cul contre mon bassin, c’était charmant.

Je passais mes mains de ses cuisses à ses hanches et quand elle montait je donnais de grands coups pour la faire redescendre, afin que ma bite puisse s’enfoncer profondément en elle. Nous sommes restés ensemble à haleter et à gémir, couverts de sueur. J’ai déchargé en hurlant, Tosca continuait à traire ma bite, jusqu’à ce qu’elle atteignit un orgasme violent. Ce fut une matinée très chargée, le reste de la journée, je n’ai pas fait grand chose.

Cinquième jour : Le dernier jour je voulais prendre un bain de soleil, aussi je suis allé à la recherche d’une plage isolée située non loin du camping. Jack et les filles sont allés en ville pour prendre du bon temps. J’étais à peine arrivé sur la plage que Juliet vint s’asseoir à côté de moi.

Elle me dit en riant :”Vous êtes d’accord pour que je reste avec vous ?Après ce qu’il s’était passé la veille, je n’avais rien à redire bien entendu. Elle s’est étirée nonchalamment et a pris une pose suggestive.

Elle était très séduisante en bikini et ma bite commença à durcir car j’étais déjà bien excité. Elle regarda autour d’elle, aperçut le renflement dans mon slip et leva ses yeux pour me faire comprendre ce qu’elle attendait de moi.

Je me suis penché en avant et je lui ai donné un petit baiser, puis un long baiser d’amour sur sa bouche fraiche. Je glissais ma main dans son slip de bain pour caresser son con.

Elle ôta son soutien gorge et libéra ses jolis nichons, je me suis avancé et j’ai sucé les pointes de ses doudounes, ce qui déclencha chez elle un long gémissement.

Elle retira son slip, elle s’allongea et écarta ses jambes devant moi. J’ai posé ma tête sur ses genoux puis j’ai glissé ma langue sur son trou d’amour qui était déjà très mouillé après le massage de mes doigts.

Elle ferma de nouveau ses jambes et me prit entre ses cuisses. Au moment où Juliet jouissait, nous entendîmes quelqu’un tousser. Maaike en bikini se pencha sur nous : « Oh! C’est bien ici”, je peux participer ?” Elle n’attendit pas notre réponse et retira son bikini et s’agenouilla près de nous. Juliet avait déjà joui et Maaike pouvait m’avoir pour elle seule.

Elle arracha mon slip de bain et commença à me sucer. C’était tellement bon que je ne pensais qu’à jouir et je me laissais gâter sur le sable. La seule chose que je pouvais voir, c’était Juliet qui se caressait et les cheveux de Maaike qui volaient au vent, pendant qu’elle me suçait.

Je jouis sans l’avertir et je remplis sa bouche de mon foutre chaud. Elle continua à me sucer mais ma bite qui durcit de nouveau me faisait un peu mal. Maintenant tu peux me gâter et elle s’allongea sur le dos. J’étais très excité et je me laissais tomber sur elle et la pilonna de toutes mes forces.

A chaque poussée, je frottais son clito vigoureusement. Maaike a commencé à crier et elle m’a tiré violemment contre elle pour que je puisse lui donner de plus forts coups de bite. Elle était complètement hystérique, lorsqu’elle a jouit. Je suis sorti de sa chatte la bite encore toute raide.

Juliet s’était fait du bien en se touchant et en se caressant, mais elle voulait maintenant recevoir une bite dans son con. Elle me poussa dans le sable, planta ma bite en elle et me chevaucha sauvagement. Je pouvais admirer ses gros seins et pétrir son beau cul.

Juliet était tellement excitée qu’elle jouit rapidement. Sa chatte serrait ma bite merveilleusement. Sous la pression, je ne pus me retenir et je déchargeais dans son utérus un énorme quantité de foutre. Nous sommes rentrés alors tous les trois au camping. Le lendemain, nous sommes partis.

Je ne suis pas prêt d’oublier ce camp de vacances.

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