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Dressage d’une sissy-slut en chasteté: jour 2

Dressage d’une sissy-slut en chasteté: jour 2



Nous arrivons à la maison. Je lui ouvre la porte. Elle entre dans l’appartement et je la suis. Une fois dedans, je me met à quatre pattes et ferme la porte. Je baisse les yeux et vois ses pieds. Elle ne bouge pas. Apparemment, elle attends quelque chose de ma part. Je dis :
– Vos pieds sont magnifiques, Princesse.
– Je sais.
Elle sort son carnet et elle y note quelque chose. Elle range le carnet et reste sur place. J’ai de la peine à me concentrer et à trouver ma faute. En effet, je trouve ses pieds si beau que je ne pense qu’à les baiser. Néanmoins, j’arrive à me souvenir.
– Je suis désolé, Princesse. Je dois toujours être nu devant vous et j’ai oublié, Princesse. Merci de me punir pour cela, Princesse.
– Je t’en prie. Hihi !
Je me déshabille tandis qu’elle va se poser dans le canapé du salon. Je vais vers elle, toujours à quatre pattes et me mets dans ma position habituel devant elle.
– Oui, chien ?
– J’attends vos ordres, Princesse.
– Ah, oui ! Peut-être aurais-tu pu te dire que ta Princesse à faim ? Non ? Il est déjà 13:30 !
– Excusez-moi de n’y avoir pas pensé, je suis trop bête, Princesse.
Pourtant, je savais que cela serait noté dans le carnet et je ne me fie pas prier.
– Puis-je me mettre debout pour préparer votre repas ?
– Oui mais tu restes à quatres pattes jusqu’à la cuisine.
Je m’en vais donc jusqu’au frigo et je me mets debout. Je propose à ma Princesse une salade avec du fromage grecque d’après ce que j’avais pu trouver dans le frigo. Elle me dit qu’elle avait envie d’une salade et que je me dépêche. J’étais content de lui préparer son plat. En effet, j’avais toujours beaucoup aimé cuisiner et je me débrouillais toujours bien. Je lui prépare une belle salade que je serre à table puis je me remets à genoux pour avertir ma Déesse que le déjeuner est prêt. Elle s’asseye à table. Pour la première fois, elle à l’air vraiment ravie de mon travail.
– Miam, ça à l’air bon. Il y a un reste de pain dans la boîte à côté de l’évier. Ta gamelle se trouve dans l’armoire là-bas. Tu peux la remplir d’eau ça t’aidera avec le pain.
– Merci, Princesse.
Le pain était tout sec. Je me mets parterre pour manger. Je laisse tremper le pain dans l’eau pour le ramollir. Depuis ma place, je peux voir ma Princesse manger et ses magnifiques pieds sous la table. Je m’imagine les lécher et cette vision me fait bander. Elle finit sa salade. Je débarrasse la table, remets ma gamelle à sa place tandis qu’elle est allée s’asseoir au salon. Elle me demande d’amener le sac des commissions. Je prends le sac et vais me mettre à genoux devant elle. Je ne peux m’efforcer de regarder ses pieds. Elle le remarque et croise ses jambes. Elle fait tourner son pieds, bouge ses magnifiques orteils. Je suis terriblement excité et mon érection est total.
– Donne-moi la cage de chasteté !
Elle ouvre le paquet et sort la cage. Elle me semblait encore plus petite que toute à l’heure. Elle regarde mon pénis puis la cage et me fait un sourire.
– Regarde ta bite ! Elle aura rarement cette apparence ces prochains jours.
Elle approche la cage sous mes yeux.
– Elle aura plutôt cette taille, toute petite ! Tu crois que tu pourras bander là-dedans ?
– Non, Princesse.
– Haha ! Bien-sûr que non. Regarde !
Elle prend la cage vers sa bouche et commence à lui faire des baisers. Je m’imagine enfermé dedans et la frustration que cela doit être. Elle sort sa langue sensuelle et joue avec l’extrémité de l’objet. Mon membre se crispe avec les pulsations de mon coeur. Je suis prêt à jouir mais je n’ai pas le droit de toucher à ma bite. Soudain elle arrête et me tend la cage.
– Mets la ! Tout de suite !
Je commence à mettre l’anneau autour de ma bourse mais je n’arrive pas à débander. Et à peine elle se ramollie un peu et que j’essaie de mettre la cage, mon membre se durcit à nouveau. Ma princesse perd patience.
– Putain, tu sais pas contrôler ta bite, sale chien ! Une cage c’est bien ce qu’elle lui faut. Vas chercher un paquet de surgelé au congèle.
Elle me demande de le garder sur ma bite. Le froid est piquant, ça m’excite encore plus mais très vite, je sens que, malgré moi, mon membre se détend. Finalement, elle devient toute petite et je peux mettre la cage. Je cherche le cadenas et je vois que ma Princesse le tient. Elle l’ouvre, sort la clef et la pose sur la table. Elle s’approche et met le cadenas à la cage mais elle ne le ferme pas encore.
– Haaa ! Enfin, je suis tellement contente de fermé tout cela. Tu verras comme tu vas souffrir.
Et elle verrouille le cadenas. Voilà, je suis dans une cage de chasteté, je viens de perdre tout contrôle sur mon pénis. Je ne pourrais plus avoir le plaisir de la masturbation ou seulement à de rare occasion sans que la décision ne vienne de moi. Elle joue avec ses pieds et mon membre dans la cage. Elle me donne de petits coups de pieds dans les testicules mais pas aussi fort que d’habitude. Il ne faut pas beaucoup de temps avant que ma bite ne durcisse. Mais je n’arrive pas à bander. Très vite je sens la cage qui se sert et ce qui était au début un plaisir devient une torture. Mon corps à besoin de gonfler mais il ne peut pas. Ça me sert fort et je voudrai débander. Je n’y arrive pas car ses pieds son magnifique, elle est magnifique. Elle le remarque.
– Alors c’est comment ?
– C’est douloureux et c’est très frustrant, Princesse.
– Mmmmh, très bien. C’est le but. Tu verras que ce n’est que le début. Dans quelques heures ça sera encore pire et dans quelques jours, je n’ose même pas imaginer à quelle point tu seras frustré. Alors, qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci, Princesse. Je vais pouvoir être un meilleur chien avec cette cage. Je n’ai pas le droit de jouir, je me contenterai de la frustration. Merci, de m’offrir un tel plaisir, Princesse.
– Hihihi, mais de rien. Je suis gentille, tu peux embrasser mes pieds pour me remercier.
A peine, elle le dit que mon sexe voulait défoncer la cage. Elle était si dûr. Je me mis à lui embrasser les pieds et c’était encore plus serré. Je sent la cage tenir mon érection, j’ai envie d’exploser. Je profite pour lui sentir les pieds. L’odeur m’excite encore plus.
– Tu aimes ? Ils sentent bon ?
– Oui, c’est merveilleux, Princesse. Merci, Princesse.
– Bon ça suffit ! Tu me dis que tu as mal. Et bien, on va voir. Ça te dit que l’on teste l’électronique et, en plus, on pourra vérifier si la fonction d’alarme fonctionne bien.
Elle prends la télécommande, l’allume et appuie sur un bouton. Je sens une douleur terrible dans les couilles comme un grand coup de pieds. Je n’arrive pas à me retenir et je tombe à quatre pattes. Elle presse à nouveau sur le bouton et je sens que mes bras sont sur le point de lâcher. Elle appuie une troisième fois sur le bouton. Je n’arrive pas à me retenir. Je me retrouve allonger sur le ventre. Je veux me relever mais elle me demande de rester comme ça. Elle se lève, ses pieds s’arrête devant mes yeux. Je sens mon sexe se durcir et c’est d’autant plus douleurs car la cage s’écrase sous le poids de mon corps. Par réflexe, je lève légèrement les fesses et elle le remarque.
– Qu’est-ce qu’il y a ? Pourquoi tu lèves ton cul comme ça ? Je t’ai dis de ne pas bouger.
– Excusez-moi, Princesse. Ma cage me faisait mal, j’ai bougé par réflexe. Je suis désolé Princesse.
Elle ne dit rien. Elle se déplaça en silence vers mon côté. Puis elle se met à genoux sur mon dos. Elle fait comme si je ne pouvais rien ressentir. Elle se tourne de 90 degrée en mettant tout son poids sur ses genoux qui me transperce le dos. Elle place ses pieds sur mes fesse, en gardant l’équilibre avec ses genoux et ses mains. Une fois bien en équilibre, elle s’asseye en arrière et tout son poids bascule sur mes fesses ce qui écrase mon sexe contre le sol. Elle me tire par les cheveux pour me faire monter la tête.
– Alors tu as mal là ? Comprends bien que tu auras souvent mal avec moi. J’aime ça. Alors, plus tu me diras que tu as mal plus ça me fera plaisir. Alors, tu veux que je te fasse mal ou tu ne veux pas que je te fasse mal.
– J’ai envie que vous me fassiez mal, Princesse. Votre bonheur est la seule chose qui compte et je suis content de vous servir pour cela, Princesse.
Elle tira plus fort sur mes cheveux.
– Dis que tu es une salope !
– Je suis une salope, Princesse.
– Mieux que ça !
– Je suis une grosse salope. J’adore sucer des bites et boire du sperme. J’adore me faire enculer. Je suis qu’une salope à baiser.
– Mmmh, pas mal.
Elle me lâche les cheveux et se lève pour aller s’asseoir sur le canapé. Je reste dans la même position. Elle allume la télévision et se met à zapper. Je reste ainsi pendant une dizaine de minutes. Soudain, je ressens un énorme coups dans les couilles. Je ne peux empêcher mon corps de sursauter et je laisse échapper un bruit sourd.
– Hahaha ! Ça c’est le réveille. Je vois que ça fonctionne. Alors, je le programme pour 6 heures du matin tout les jours. C’est pratique comme alarme silencieuse. Tu as intérêt à ne pas me réveiller. Tu auras l’interrupteur dans ta chambre pour l’éteindre. Bon, tu peux te remettre à genoux.
– Merci, Princesse.
– Mets-toi devant moi comme une table. J’ai envie de poser mes pieds sur quelque chose.
Je reste ainsi presque une heure. Quand, enfin, elle éteint la télévision. Elle enlève ses jambes et me demande de me coucher sur le dos. Elle pose ses pieds sur mon ventre et se penche en avant. Elle observe la cage. Mon sexe est compressé et tout rouge. Elle le touche avec son pieds. Ce qui m’excite encore plus. Elle le remarque et me regarde avec un sourire.
– Mmmmh, que c’est bon ce sentiment de supériorité. Toi, allongé parterre, tout nu à l’exception de ta bite enfermer dans une cage. Et moi qui a la clef. Tu dois sûrement beaucoup m’aimer pour être prêt à souffrir à ce point. Tu te rends compte que tu m’as laissé enfermé ton sexe et que tu t’en servira plus jamais. Et oui dorénavant, ta bite est complètement inutile mais ne t’inquiètes pas, il te reste encore la bouche et ton cul.
Elle croise ses jambes. L’un de ses pieds est toujours sur mon ventre tandis que l’autre flotte au-dessus de mon visage. Elle s’amuse à la faire tourner et me regarde suivre avec attention le mouvement de chacun de ses orteils. Parfois, elle approche son pieds de ma bouche, de mon nez mais jamais ne me touche. Elle regarde, mon penis enfermé. Il est tout rouge et parfois soulève sa cage par des tentative vaine d’avoir une érection. Cela l’excite beaucoup. Elle décroise ses jambes et met un des ses pieds sur mon visage tandis que l’autre va jouer avec ma cage.
– Ferme les yeux et embrasse mon pieds, sale chienne !
A chaque fois qu’elle m’insulte, cela m’excite énormément. Je m’imagine être sa chienne et plus la personne que j’avais été. Je l’entends gémir. Elle était entrain de se masturber. Je rêvait d’ouvrir les yeux pour la voir mais je n’allais pas prendre le risque. Elle gémit de plus en plus fort. Elle commence à enfoncé son pieds dans ma bouche et donne des coups de pieds dans ma cage sans faire attention à moi. Ses gémissements se transforme en cries. Quand soudain, tout son corps se raidi et elle cria d’une voix aigu pendant quelque seconde. Puis tout son corps se relâcha. Je continue à lui embrasser le pieds. Elle reste immobile, reprenant son souffle et soupirant parfois. S’étant calmée, elle se met assise.
– Il faut que j’aille changer ma culotte. Hihi.
Elle se lève sur mon corps et va en direction de sa chambre. Je reste ainsi allonger. J’étais pour la première fois face à cette irrésistible injustice de la chasteté ; elle venait de jouir tandis que moi j’avais dû rester enfermé. Pourtant, j’en avais sûrement plus envie qu’elle mais j’avais accepté de vivre ses moments à ce prix. Jamais je n’aurais pu entendre une si belle femme jouir. Jamais, je n’aurais senti l’odeur exquise de ses pieds. Je m’imaginais tout l’intimité qu’elle me montrerait et je me dit que le prix que je paie en vaut la peine. Et surtout, je remarque qu’elle adore cela.
– Esclave ! Viens ici !
Elle était dans sa chambre. J’arrive à quatre pattes. La porte est ouverte. Je la vois. Elle m’attend au milieu de la chambre. Je rentre dans la chambre. Elle est debout et en sous vêtement. Elle porte un string en dentelles roses et un soutient gorge assorti. Je la trouve terriblement belle. J’ai envie d’arracher ma cage de chasteté. Elle tient dans sa main une culotte blanche qu’elle me montre
– Regarde, mon petit chien. Tu sais ce que c’est que ça.
– Votre culotte, Princesse.
– Oui. Celle que je portais tout à l’heure. Mais, tu sais j’ai du la changer parce que elle était toute mouillé. Hihi. Tu sais, des fois, je suis une vrai petite coquine.
Je suis désespéré et elle le remarque.
– Mmmmh. Ça m’excite tellement de te voir comme ça. Tu es pathétique. Tu as pour la première fois de ta vie une meuf super bonne en face de toi, en plus, à moitié nue et toi ? Hahaha ! Ta bite est enfermée, totalement inutile et tu es à genou. Je suis sûr que tu t’es déjà imaginé sauter une meuf comme moi. N’est-ce pas ?
Je suis très gêné. Effectivement, je m’étais imaginé cela. J’ai peur de répondre oui. Elle me met une claque et m’ordonne de répondre.
– Oui, Princesse.
– Et tu penses que ça arrivera ?
– Non, Princesse. Ma bite est inutile, Princesse.
– Haha ! Tout-à-fait. Ça doit être terrible de ce dire que ta petite bite ne verra plus de chattes pour le restant de sa vie. Et que jamais tu te feras une meuf aussi bonne que moi. Hahaha ! Bon, malgré tout, je peux te faire un petit cadeau. Tu voudrais sentir ma culotte ? Celle que je tiens dans ma main.
– Oh oui, Princesse. J’en meure d’envie. Cela serait trop d’honneur, je vous en serais infiniment reconnaissant, Princesse.
Je voulais vraiment sentir sa culotte. L’odeur de son intimité et même le goût.
– Hahaha ! Pathétique. Le jour où enfin tu te trouves face à une jolie fille, tu la supplies de sentir sa culotte sale. Hahaha ! Tu es une vrai petite cochonne. Je sais pas si je devrai te le laisser. Mais bon, si elle est mouillée s’est un peu grâce à toi aussi. Bon, je te donne une deuxième chance. Si tu me supplie correctement, je te laisserai sentir ma culotte.
– Princesse, vous savez à quel point je vous vénère. Vous êtes la plus belle, la plus intelligente et la plus juste des femmes. Je ferais toujours tout pour vous faire plaisir, Princesse. Je souffre dans cette cage mais je souffre en plaisir, Princesse. Pour moi, plus rien ne compte hormis vous. Vous êtes pour moi une déesse. Je n’ose pas imaginer le plaisir que cela serait de sentir votre culotte. C’est un honneur. Je pense que je suis chanceux. Oui, je fantasmais sur des femmes très belle en espérant un jour me retrouver dans leur lit. Cela n’est jamais arrivé. Alors, si je peux sentir la culotte de la plus belle, aujourd’hui, j’aurais fait cent fois plus. Je vous en supplie, si je puis me le permettre, de me laisser sentir votre culotte, Princesse. Je veux être votre chien, je vous en prie, laissez-moi renifler votre sous-vêtement, Princesse.
– Hahaha ! Totalement pathétique et fier de l’être.
Elle posa la culotte parterre.
– Tu peux la sentir mais pas touche.
Alors, je m’approche de la culotte et commence à sentir. Quelle odeur ! Je continue en sentir, à genoux, à ses pieds. Ma respiration s’accélère. J’ai l’impression que la cage va exploser. Je continue à sentir cette odeur exquise. Une odeur légèrement forte qui se mélange à la douceur de son parfum. Une odeur chaude et salé qui m’excite au plus au point. Alors, je répète en boucle
– Merci, Princesse. Merci, Princesse.

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