Christine donne un cours sur l’utilisation d’un gode-ceinture.
Le bouche à oreille se répand rapidement et Christine compte bien sur cela.
Une fois par mois, elle tient un atelier pour des femmes qui veulent apprendre :
« comment donner à leurs amis ou maris, l’expérience d’inverser les rôles ».
Elle conduit les différents ateliers d’une main de maître.
Les femmes qui sont présentes et qui ont considérablement apprécié l’expérience, la recommandent chaleureusement à leurs amies, en toute discrétion.
Christine a, personnellement, administré deux lavements à chacun des huit mâles avant le début de l’atelier. Elle met les places dans un secteur contigu et a glissé une cloison, à travers la salle, ainsi ils ne seront pas visibles de suite. Elle s’est chargée des places pour les futurs élèves.
Un homme est attaché, nu debout, contre un mur.
Les femmes inscrites commencent à arriver, se sentent nerveuses sur le sujet du cours et un peu gênées de voir un mâle nu dans la pièce.
Christine a salué chacune elles, personnellement et leur a demandé de prendre place sur les chaises.
« Pour commencer, avant de prendre votre homme, il doit être propre ! Vous lui faites un lavement ! »
Christine montre la préparation et l’administration, soulignant que deux lavements doivent être donnés. Elle explique que le mâle a déjà reçu un premier lavement.
Certaines femmes sont visiblement enthousiasmées à la vue de la démonstration,
en particulier, quand l’homme gémissant et se tortillant, proteste qu’il est plein.
Christine l’avertit qu’il doit encore tenir, environ cinq minutes.
Christine dépose une boite scellée contenant un gode ceinture à ses participantes.
« Maintenant, je veux que vous ouvrez la boite et vous vous familiarisez avec le gode-ceinture. Je dois finir la préparation de l’atelier. Je reviens dans deux ou trois minutes ! »
Elle disparaît derrière la cloison coulissante et seul le mâle reste avec les élèves et les regarde fixer les godes-ceinture autour de leurs tailles.
Les destinataires masculins attendent, chacun plié au dessus d’une poutre capitonnée, sanglé par une ceinture autour de leur taille, chevilles et poignets.
Christine a arrangé de petit boxes de sorte qu’ils ne peuvent pas voir la femme en train de prendre son voisin et leurs visages ne pourraient pas être vus par les autres femmes.
Les femmes ont crié à l’unisson quand Christine a glissé la cloison divisant la salle et qu’elles ont la vue sur le groupe de mâles pliés et attachés sur leur poutre capitonnée.
Elles sourient largement, avancent en se tenant le gode.
« Il est temps de commencer la leçon, que chacune sélectionne un homme ! », a-t-elle annoncé.
Elle est allée au centre du demi-cercle avec son mâle, prit un gant jetable et montra comment lubrifier le cul.
Demanda aux dames d’avancer et de préparer leurs destinataires.
Elles ont activement inséré leurs doigts lubrifiés, mettent une quantités généreuse dans le cul de leur homme.
Ensuite, elles enduisirent leurs gode-ceinture de lubrifiant.
« Maintenant suivez mes directives ! »
Elle montra comment faire :
« Placez-vous derrière votre mâle, frottez le bout du gode, n’entrez pas encore ! »
les dames suivirent les conseils et les mouvements.
« Entrez maintenant, sur environ un centimètre ou deux, puis arrêtez ! »
Un chœur de gémissements des hommes attachés est venu en avant,, pendant qu’ils étaient pénétrés.
Christine montre l’exemple en entrant un peu plus loin, à chaque fois, suivie par ses élèves, jusqu’à ce qu’ils aient le gode enfoncé bien à fond.
Les bruits des destinataires ont augmenté en volume pendant que les godes entraient au plus profond et que les dames avancent sur leurs culs.
« Quand vous pourrez entrer tout le gode, arrêtez-vous pendant une minute, puis retirez-vous, lubrifiez votre gode, et retournez de nouveau dedans ! »
Les halètements multiples des hommes remplissent la salle pendant que les dames inséraient les godes fraîchement lubrifiées dans leurs culs.
« Saisissez maintenant leurs hanches de vos mains, enfoncez-vous plus fort, obligez votre homme à prendre le gode bien au fond ! »
« Uhhhh ! » « Auuughh ! » « Ohhh ! » « Oooooh ! » « Unhhh ! »
Les grognements des hommes aiguise l’appétit des femmes qui découvrent le pouvoir de la domination. La vue des femmes nues ou en lingerie, chacune bougeant rythmiquement leurs hanches et enfonçant les godes dans les culs mis à leur disposition, stimule Christine.
« Allez les filles ! » a haleté Christine en continuant, elle même, les mouvements.
« Il est bon d’obtenir du plaisir de ce que vous faites, laissez-vous partir ! »
Les dames ont accéléré les mouvements plus rapidement. Les réactions des hommes étaient très bruyantes. Une femme a haleté plus vite et plus fort, se coucha sur l’homme qu’elle enculait, elle donna un dernier coup rein sur la pointe de ses haut talons, en s’enfonçant au plus profond et jouit d’un orgasme violant.
Cela donna le départ d’une marée d’orgasmes féminins et leurs cris, de plus en plus stridents, couvrit les gémissements des hommes.
Après quelques minutes, le calme revenu, Christine expliqua aux dames comment nettoyer leurs godes-ceinture.
« Deux solutions !!!!!! »
« La première est de passer le gode sous l’eau chaude ou la deuxième, est de le faire sucer par votre homme ! », dit-elle, en se dirigeant au devant de son partenaire qui ouvrit la bouche et avala le gode.
Les élèves se pressèrent de suivre la deuxième solution, en donnant de nouveaux quelques coups de rein, pour que les hommes avalent bien profondément.
Les honoraires qu’elles avaient payés, inclus le gode ceinture qu’elles avaient utilisé était tout à fait raisonnable.
Environ une heure plus tard, elles quittaient l’entrepôt, avec un sourire de satisfaction.
Christine libéra chaque homme de leur attaches et les obligea à se soulager devant elle.
fin
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