Lundi matin, rentrée des classes. Je pars donner cours. On m’a fait mettre une jupe que je trouve un peu courte, un pull léger, col bateau qui met en valeur les épaules, en laine chinée blanche et bleue, à mailles larges. De près, la peau se révèle dans la maille. Mes aréoles libres de soutif aussi. De profil, le galbe est mis en valeur par la transparence.
Il est court, trop par rapport à la ceinture de la jupe. Bras levés, mon nombril est nu.
Une paire de bas, des chaussures, un sexe nu…
Je rentre à la quatrième heure du matin dans la C de terminale. M… . Au premier rang, un gars que je connais : il joue au tennis au club. J’ai un doute pour un autre au milieu. Je suis gênée de savoir qu’il m’a vue en jupette.
Je donne mon cours debout. Assise, je crains que ma jupe ne recueille ce qui sourd de mon sexe. Debout, c’est pas évident. Écrire au tableau, c’est lever les bras, se mettre de profil, se mettre de dos.
L’heure se termine. C’est la dernière heure du matin. Benoît reste assis en me demandant s’il peut poser une question. Nous restons à deux. Il m’annonce, sourire aux lèvres, que son frère c’est Yves qui me connaît TRES bien. L’impression de recevoir un coup de poing dans le ventre. Toujours souriant, il me dit qu’il n’a rien dit aux autres. Deuxième coup de poing : son classeur est ouvert et en 2 de couverture, plastifiée, une photo de moi, toute nue.
Il me prend par le bas du pull et me tire vers lui. Il met sa main sur mon genou gauche. La main remonte et touche la lisière du bas. Petit sourire satisfait. Il continue à remonter. Sourire TRES amusé quand il arrive sur mon sexe. Là, je me sens très mal. État second. Il me dit de lever mon pull. J’obéis comme un automate. Je suis là, tétons au vent, chatte offerte.
Il me dit qu’il compte « brosser l’après-midi » et qu’il veut que je le ramène chez lui. Il me répète qu’il a été gentil de ne rien dire. La menace est claire…
Il me rejoint au parking de l’école. On arrive chez lui. Je vous passe les détails. Le seul truc vraiment sympa c’est une minette de rêve : il m’a léchée à me faire hurler de plaisir. C’est limite du viol mais il baise bien, très bien même.
Mardi matin, je repars au turbin.
J’ai une robe noire. Noire, courte, col en V. J’ai la chance d’avoir de petit seins parce que la robe est une taille trop petite.
J’arrive à l’école. Je rentre dans ma classe. Au tableau une phrase : « Patricia a un beau cul ». C’est une autre classe que la veille. J’ai un souci. Je frotte le tableau, dos tourné vers la classe que je sens en train de rire. Ma robe me semble beaucoup trop petite.
À la récré, Benoît m’entraîne dans un coin de couloir. Il m’embrasse, la langue bien à fond. Il me pelote les seins. Il tire sur la robe, un téton prend l’air, la main soulève le bas de la robe.
Mon enfer a commencé. Je ne suis pas certaine à ce moment qu’il n’a pas offert un spectacle à d’autres.
Je le saurai bientôt…
Mercredi
Robe sage et départ vers l’école.
Ici, c’est congé l’après-midi.
À midi, Benoit me demande de le ramener chez lui. C’est clair. Parents absents, un après midi au lit garanti.
Je monte dans la voiture et je l’attends à 5 minutes à pieds (discrétion quand même). Je me crois tirée d’affaires : il n’est pas seul. Ils doivent revoir leur cours de math à deux.
À peine démarré, il me chuchotte de m’asseoir directement sur le siège. Patrick est assis derrière moi donc ne voit rien. Je m’exécute. Au premier feu, il met sa main sur mon sexe. La voiture a une boite automatique.
Je les dépose. Ouf ! Pour une fois, c’est terminé
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