Clémentine poursuit des études universitaires. Tous les week-ends et pendant les vacances, elle vient se ressourcer à la maison. Un bonheur pour elle de retrouver ses parents, sa sœur Camille … Mais surtout sa petite amie Alix.
Camille, « sa petite sœur » à eu 18 ans en janvier et passera son bac en juin. Clémentine est homosexuelle, et comme elle, Camille aime les filles, seulement les filles. Et s’il y a une avec qui elle aimerait une relation sexuelle, c’est bien Alix, qui à le même âge que sa sœur : 20ans.
Seulement voilà ! Même si elle rêve d’embrasser ses douces lèvres, de toucher son corps. Si elle se masturbe, les yeux fermés « pour se voir à la place de sa frangine » lui faire l’amour, la faire jouir … c’est « la petite amie » de sa grande sœur … Et donc cela reste à l’état de fantasme pour Camille !
Un jour, pendant les vacances de pâques, alors qu’elle est assise sur son canapé, devant la télévision. Elle entend, enfin, arriver la petite voiture rouge d’Alix. Son cœur s’accélère, elle se lève et cachée derrière le rideau « mate » par la fenêtre, cette jolie brune aux yeux verts, dont la robe noire très courte met en valeur ses jolies courbes. Quand la sonnette égrène sa petite musique, Camille quitte son poste d’observation et descend dare-dare l’escalier pour ouvrir sur une Alix souriante, étonnée de la trouver face à elle à la place de Clémentine.
– Camille ! Comment vas-tu ! Ça fait longtemps que je ne t’ai pas vu !
En même temps, elle la serre contre elle pour lui faire la bise. Camille sent ses mamelons sur les siens qui a ce contact commence à durcir.
– Ta sœur n’est pas à la maison ?
– Non, elle a dû amener maman faire les commissions au supermarché.
– Ah bon ! On devait se retrouver ici !
– Oui, je sais, elle m’a dit de te dire de l’attendre.
Camille, avec sa silhouette longiligne, ses cheveux noir coupés « à la garçon », ses yeux bruns, ses touts petits seins qui tiennent sans soutif et dont les tétons pointent sous un T-shirt quelle porte sur un jean taille basse, est un peu gauche devant cette belle fille, dont elle peut deviner le corps ravissant mis en valeur par sa robe.
– Oui, je vais l’attendre. On doit aller faire les magasins ensemble !
– Monte, en l’attendant, tu patienteras devant la télé avec moi.
En s’asseyant sur le canapé, la robe trop courte d’Alix remonte très haut sur ses cuisses, découvrant une culotte rouge que Camille à le temps d’apercevoir. Cette vision, même éphémère, lui provoque illico une chaleur et une humidité dans son bas-ventre. Toute émoustillée par la vue de son entrejambe, elle bafouille, tout en prenant place à côté d’elle.
– Euh ! … Quoi … Que veux-tu regarder ?.
– Ne fais pas attention à moi, regarde ce que tu veux !
Rétorque Alix, en posant une main amicale sur le genou d’une Camille déjà échauffée. À ce contact, la jeune demoiselle laisse échapper un flot de mouille qui salit sa culotte et sent son sexe se gonfler de désir pour son égérie. La chair à pris le pas sur la raison.
Sentir Alix si près d’elle, son parfum, ses seins qui montent et descendent au rythme de sa respiration. Ses jambes qui se croisent, se décroisent, montrant à chaque fois la culotte … Elle ne tient plus en place Camille … Elle devient moite d’envie de toucher ce corps. Alors elle s’enhardit, vient se blottir contre elle, cuisse contre cuisse, sa tête posée sur son épaule, ses mains dans son entrejambe pressent son propre sexe. Ce qui décuple son excitation. Alix, les yeux rivés sur l’écran ne cille pas, ne bouge pas, ne la repousse pas.
Camille est maintenant trop excitée, alors plus audacieuse, elle tourne la tête et lui pose un petit baiser dans le cou, un suçon qui provoque chez notre jeune ingénue la chair de poule et des frissons dans tout son corps … Mais là, à ce stade, Alix se fâche et tout en se levant réprimande notre jeune dévergondée !
– Camille ! Que fais-tu !? Ça ne va pas ! … Non mais !
– Je, euh … Uhm, je … Alix … Excuse-moi !
– T’excuser ? … Je veux bien ! Mais qu’est-ce qui ta pris, pourquoi tu as fait ça
– Une pulsion ! … Il faut que je t’avoue quelque chose Alix … Tu ne te fâcheras pas ?
– Quoi ? … Dis toujours, je verrai après !
– Tu es trop belle ! … J’ai envie de toi depuis le lycée ! Je me masturbe souvent en pensant à toi ! … Je te veux Alix ! …
Camille se sent soulagé de lui avoir parlé, après toutes ces années de désir platonique ! … Tant pis pour les conséquences, mais il fallait que cela sorte un jour, et c’est aujourd’hui !
Surprise, sous le choc des propos qu’elle vient d’entendre, Alix, mais un temps à se reprendre. Car elle veut ménager la jeune sœur de son amie. Après tout rien de grave ne s’est passé ! et la petite à au moins le courage d’être franche. Cela permettra ainsi de mettre « les choses au clair ». Elle se fait donc plus douce pour lui répondre,
– Je suis flattée ! … Vraiment ! … Mais je suis avec ta sœur, tu le sais ! … Jamais je ne pourrai faire ça avec toi, tu es une belle-sœur pour moi ! … Je ne ressens rien d’autre que de l’affection envers toi !
– je suis désolée ! Réponds une Camille, toute rouge qui regarde ses pieds. Mais qui dans sa tête et dans son corps, ne désarme pas.
– Pourtant, je pourrais te faire sentir si bon ! … Te faire plein de choses … Je suis sure de te rendre belle ! … S’il te plaît donne moi une chance ! … Une seule fois ! … Se sera notre secret a toutes les deux !
– Je ne peux pas, Camille ! … Je viens de te le dire ! Tu es la sœur de …
Camille ne lui laisse pas finir sa phrase. Elle bondit comme une petite chatte et prend Alix dans ses bras, qui surprise ne réagit pas. Ses lèvres sur les siennes. Profitant de la confusion, notre petite coquine force la bouche de la brune à la recherche de sa langue.
Alix stupéfaite met trop de temps à réagir. Le tourbillon de cette langue dans sa bouche, ce corps menu contre le sien, cette cuisse entre les jambes qui la frotte, à raison d’elle. Alors, tant pis pour les suites ! Elle ferme les yeux et rend fougueusement ce baiser à Camille qui comprend qu’elle tient ce qu’elle veut !
Pendant que leurs bouches se dévorent, Camille, lentement, passe sa main sous la robe d’Alix. Caresse son sexe sur le tissu, puis s’insinue sous l’élastique de cette culotte que ses yeux ont tant convoitée tout à l’heure. Elle sent sous ses doigts la chaleur et l’humidité qui se dégage de cet abricot fendu.
Alix a fini par écarter les jambes pour lui faciliter l’approche de son intimité. Alors elle pousse deux doigts dans ce trou de chatte mouillé et pose son pouce sur le berlingot de la belle.
Sous cette masturbation Alix n’a plus qu’une envie, qu’une idée en tête : jouir ! Elle se laisse aller au plaisir qui l’envahit. Pose sa tête sur l’épaule de Camille qui en profite pour lui sucer le lobe de son oreille pendant qu’elle s’agite dans son con. Les halètements d’Alix se transforment rapidement en gémissements plus bruyants.
– Assieds-toi sur le canapé, je veux te goûter ! … Murmure Camille a son l’oreille. Des mots qui font mouiller Alix un peu plus.
Assise sur ses cuisses, Camille fait passer la robe de la belle par-dessus sa tête. Lui retire son soutien-gorge, révélant des seins magnifiques aux mamelons foncés et aux tétons érigés qu’elle caresse, suce, mordille, étire.
Maintenant accroupie entre ses jambes, elle écarte les genoux pour agrandir son compas. Embrasse l’intérieur des cuisses tout en remontant vers son pubis qu’elle picore de baisers. Lui retire sa culotte, bonne à essorer, révélant une chatte dont la toison brune, très fournie, est humide et collante de cyprine.
A genoux, elle taquine de sa bouche la vulve d’Alix, joue de la pointe de sa langue sur sa fente, s’insinue dans les chairs, s’éloigne, pour mieux revenir. Sous l’emprise de la jouissance qui la gagne Alix laisse échapper, sans aucune retenue des gémissements langoureux. Et en quémande plus.
-Lèche-moi, s’il te plaît ! … S’il te plaît ! … Je veux sentir ta langue me fouiller ! … Ta bouche sucée mon clito, l’aspirer, le lécher … Fais moi jouir ma puce !
– Belle-soeur ! Je voulais que tu me supplies de te faire jouir ! … Tu vois que j’avais raison, c’est bon avec moi !
Dit en riant Camille qui se met à lécher, tourner sur son clitoris avec toute sa langue. Cette fois, mouillure, gémissements, soupirs sont orgastiques et provoquent des spasmes de plaisir chez Alix qui gigote, cramponnée à cette tête. Ses hanches vont à la rencontre de cette bouche vorace. Celle qu’elle croyait une « sainte-nitouche » est en train de lui faire prendre « un pied » pas possible ! Elle est proche de l’orgasme.
– Mets deux doigts recourbés, Camille, et frotte moi le « G »
Obéissante, elle remplie donc le vagin de la polissonne, cherche et trouve rapidement le point G de la belle qu’elle frotte de plus en plus vite. Tout en continuant de grignoter son petit bourgeon. Le résultat ne se fait pas attendre. Dans un râle continu, les jambes de la brune commencent à trembler, se raidir … Et c’est l’apocalypse ! La fin du monde pour Alix ! Son ventre se contracte, ses jambes partent en transes incontrôlables, et elle expulse un orgasme monstrueux ! …
Camille lève la tête pour contempler son œuvre. Son nez, sa bouche, luise des sécrétions de son amante. Et avec des yeux gourmands qui semblent dire « Merci … Tu es délicieuse ! » Elle lui dit en souriant.
– Je crois que ça t’a plu !
– oui … J’ai peut-être un peu aimé ! … Réplique d’un ton badin Alix.
Elles éclatèrent de rire ! …
C’est le moment choisi par Clémentine et sa mère pour faire leur retour a la maison. Heureusement qu’elles entendent la voiture arrivée ! Le temps qu’elles rentrent, qu’elles montent. Alix est rhabillé et Camille a remis de l’ordre dans sa tenue. Mais elles sont, tous les deux, rouges, en sueur et décoiffées ! … Et bien sur Clémentine s’en étonne :
– Tout va bien ?
– oui, oui ! Répond Alix … On s’est taquiné avec ta sœur, ça c’est terminé en bataille sur le canapé ! … C’est pour çà que nous sommes dans cet état !
À suivre …/
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