Histoires de sexe à l'école Histoires érotiques au travail

Jeremy Stories 4 – Faire le trottoir

Jeremy Stories 4 – Faire le trottoir



Note : Mes histoires sont basées sur de réelles expériences insolites qui me sont arrivées, même si je romance un peu ou ajoute/enlève des détails. Bonne lecture !

J’avais 21 ans, je finissais mon DUT en multimédia dans ma petite ville où l’histoire n°4 s’est déroulée, un an auparavant. On était un dimanche de Juin particulièrement ensoleillé et chaud. Je décidais donc de sortir me balader en ville, simplement histoire de marcher… Mais je m’ennuyais beaucoup et depuis quelques semaines je n’avais pas fait l’amour (je ne sortais plus pendant les examens). J’étais en manque de sexe.
Tout au long de mes déambulations en ville, je matais toutes les femmes que je croisais : j’observais leurs jambes dénudées, la courbe de leurs hanches, la proéminence de leurs poitrines, le contour de leurs bouches… Je m’émerveillais de la beauté follement variée des femmes et je m’imaginais faisant l’amour à chacune d’elle. Mes pensées érotiques ne tardaient pas à faire effet, et je cherchais une rue tranquille et de l’ombre pour pouvoir dissimuler mon érection naissante. Éviter la foule est probablement un bon réflexe dans ce cas-là.

Je me retrouve le long d’une longue rue calme, peu fréquentée, mais pourtant très large : c’était la rue où se trouvaient tout les services de la CAF. Mon érection redescendue, je m’assis sur un banc et j’observais quelques dizaines de minutes : de nombreuses femmes seules se garaient, me passaient devant, se rendaient à la CAF et en ressortaient pour repartir. Le manque de sexe me gagna de nouveau et une idée folle germa devant mon esprit : et si je me plaçais en évidence sur le trottoir bordant la CAF et que je tentais d’attirer l’attention des femmes ?
Dis comme ça, avec le recul, c’est un peu ridicule… mais attendez la suite !

Adossé contre le mur bordant l’entrée de la CAF, je faisais semblant d’attendre quelqu’un. A chaque fois qu’une femme passait, je lui souriais. Si elle me rendait mon sourire, je tentais de l’aborder. Bien évidemment, de nombreux échecs s’accumulaient et les rares discussions entamées se clôturaient bien vite par manque de temps de ces dames.
Une femme que j’avais manqué à l’aller manqua de me percuter en sortant. Elle avait la trentaine, menue, d’environ 1m60 et maigrichonne, brune aux yeux verts, les cheveux attachés en natte. Elle portait un tailleur gris et semblait hyperactive. Elle se confondit en excuses immédiatement, auxquelles je répondis par un large sourire que je voulais rassurant. Je lui pris l’épaule en lui demandant si elle allait bien.
Elle me répondit que oui mais qu’elle avait beaucoup de choses à faire, à penser, bref qu’elle n’avait pas le temps. Je la laissais alors rejoindre sa voiture et lorsqu’elle s’installa sur son siège, je fis quelque chose que je n’avais pas fait aux autres : lorsque nos regards se croisèrent, je lui fis un signe de la main lui demandant explicitement de venir me voir, avec un sourire équivoque.

Lorsque je la vis ouvrir sa portière et arriver vers moi à grands pas, je regrettais immédiatement d’avoir fait ça. Qu’est-ce qui m’avait pris ? Pourtant à ma grande surprise, elle me sourit et me demanda :
« On ne se connaîtrait pas, par hasard ? »
Je ne l’avais jamais vu de ma vie, mais je décidais de jouer le jeu pour aller plus avant dans la conversation :
« Hé bien votre tête ne m’est pas inconnue, mais je n’arrive pas à me rappeler d’où…
– Tu es étudiant ? me questionna-t-elle.
– Oui, à l’IUT juste derrière le parc, par là-bas.
– Oh, je vois ! J’ai dû te prendre en stop, il m’arrive de prendre en stop des étudiants lorsqu’il pleut ! »
Je n’habitais pas loin du tout de l’IUT à ce moment-là donc je ne faisais jamais de stop, mais je me gardais bien de le faire remarquer !
« Euh oui, ça doit être ça… »

Je ne savais plus quoi dire. Le blanc total. Mon excitation d’alors s’était totalement évanouie et je prenais conscience du poids de la bizarrerie de mes actions. Mais je pensais subitement que tant qu’à faire, autant aller jusqu’au bout et je tentais timidement :
« Je sais que vous êtes pressée, mais je vous trouve charmante et j’aurais voulu vous inviter prendre un verre en terrasse. Avec un soleil comme celui-là, autant en profiter ! »
Elle me sourit et me dit :
« Je n’ai pas beaucoup de temps mais pourquoi pas ? Et on peut se tutoyer !' »
Elle me demanda alors de monter dans sa voiture. Je lui posais la question de notre destination, si elle avait un bar favori et sa réponse me surprit :
« Tu ne préfères pas me faire boire un verre chez toi ? »
J’acquiesçais, trop heureux de cette occasion inattendue que je n’espérais que dans mes fantasmes. Elle se gara dans ma rue quelques minutes plus tard et bientôt nous entrâmes dans mon appartement.

Appartement d’étudiant oblige, je disposais de beaucoup d’alcools différents et de beaucoup de café. Elle prit un café, et nous commençâmes à discuter de tout et de rien. Puis d’un seul coup, elle me fit remarquer que mes tabourets étaient de mauvaise qualité et lui faisaient mal. Je m’excusais et lui répondit que je n’avais rien d’autre en dehors de mon lit. Elle déclara qu’alors nous ferions mieux de nous installer sur mon lit.
La minute d’après, nous étions assis sur mon lit et nous discutions… Je tentais de me rapprocher de plus en plus et elle s’immobilisa lorsque ma main se posa sur sa cuisse.

« Je n’ai pas beaucoup de temps, me dit-elle en me souriant. Je ne pense pas que ça soit possible.
– Ah, dis-je, déçu et un peu honteux d’être démasqué. Je m’excuse si j’ai manqué de tact avec toi.
– Ce n’est rien, je suis juste très pressé aujourd’hui et je dois passer à mon boulot dans deux heures maximum.
– Je comprends, y a pas de soucis, ne t’en fais pas ! » rétorquais-je en osant lui caresser la joue.

Le temps se suspendit, nous nous regardions droit dans les yeux pendant que je lui caressais le visage. Je me penchais alors vers elle et je l’embrassais. Elle répondit à mon baiser avec ferveur, prenant mon visage entre ses mains et enfonçant langoureusement sa langue dans ma bouche. Notre baiser se fît de plus en plus ardent, et mon érection repris de plus belle. Je lui embrassais le cou, mordillais ses lobes d’oreilles, ce qui lui arracha des soupirs de plaisir.
C’est alors qu’elle s’écarta de moi, presque avec v******e et me demanda de fermer les volets.
« Nous n’avons pas beaucoup de temps, mais j’ai trop envie. »
Je n’en croyais pas mes oreilles. Et mes yeux non plus car lorsque je finis de fermer les volets et me retournais vers elle, elle entreprenais de se déshabiller très rapidement et était en sous-vêtements, s’apprêtant à enlever son soutien-gorge. Elle était mince, à la limite de la maigreur si elle n’avait l’air finement musclée, avait des touts petits seins qui rendaient le soutien-gorge en un sens inutile et une jolie peau dorée… Je me jetais sur elle, l’allongea sur le lit et me plaça au-dessus d’elle, la chevauchant sur son ventre. Je me mis à l’embrasser comme un fou, excité par la situation. Je descendais au fur et à mesure mes baisers, passant par le creux de son cou, ses épaules, son torse… et j’en vins à poser ma bouche sur ses tétons déjà durcis. Je les pinçais avec mes lèvres, les contourais avec ma langue, les mordillais avec les dents, les pressais avec les mains… Elle se cambrait violemment, agitée de spasmes, les yeux fermés et gémissant de plaisir. Je n’avais encore jamais vu de femmes si sensible des seins avant elle. Que ça m’excitait !

J’entrepris de me déshabiller également et elle s’était mise à genoux sur le lit pour me lécher les tétons à son tour pendant que je tentais d’enlever mon jean. Difficile à faire lorsqu’on prend autant de plaisir ! J’adorais ça. Je fus bientôt nu, et elle était toujours en culotte. Elle agrippa alors de ses deux petites mains mon sexe turgescent et commença à le branler énergiquement. Elle me demanda de me mettre debout. Et tout en me masturbant à deux mains à vitesse régulièrement, elle pencha la tête et se mit à lécher et aspirer avidement mes testicules… Quelle technique ! Je prenais un plaisir fou à la voir agir ainsi, alors qu’une heure auparavant je ne l’avais jamais vu !

J’eus vite envie de lui rendre la pareille et je m’allongeais de nouveau pour embrasser son corps en descendant… je m’attardais sur son ventre, léchant ses côtes, son bassin… C’est alors qu’elle m’arrêta.
« Non, attends… ce n’est pas la bonne période… »
Je compris immédiatement et je fus déçu. Je ne fais pas parti de ceux qui ne sont pas dérangés par le fait de faire un cunnilingus pendant la période des règles. Je lui demandais alors ce qu’elle voulait faire, lui assurant que si elle en avait envie, je pouvais la pénétrer malgré tout.
« Non, je suis sensible pendant cette période, ça serait trop douloureux pour moi. »
Je me sentais mal. Floué, en un sens. Mais elle sut retourner la situation en une phrase décrochée avec un beau sourire coquin :
« Par contre, tu peux me prendre par derrière… »
Je n’avais pas beaucoup d’expérience en matière de sodomie, mais je savais que j’adorais ça (voir Jeremy Stories 1) et ça ajoutait à l’insolite de la situation ! Les femmes adeptes de sodomie ne sont pas si nombreuses et pourtant en voilà une chez moi après une rencontre fortuite ! Je décidais d’en profiter au maximum.
Elle s’allongea sur le dos sur ses derniers mots et se cambra vers l’arrière pour m’offrir ses fesses encore dissimulées par sa culotte. Je la baissais, et écartais avec mes mains ses fesses. J’aperçus sa chatte rougie de ses règles et je reportais mon attention sur son anus, dépourvu de poils, rose foncé et serré comme un bouton de fleur. J’approchais ma langue et je l’entendis gémir lorsque je me mis à sucer son petit trou tout en le titillant de mes doigts.
Une paire de minutes plus tard, lorsqu’il fût bien lubrifié de salive et que mes doigts pouvaient y entrer à deux ou trois sans difficulté, j’approchais mon sexe en érection de son anus et y enfonçais doucement mon gland, lui arrachant un cri de plaisir.

Elle était serrée, mais je fus surpris de constater qu’en quelques lents va et vient, son anus aspira mon sexe sur toute sa longueur sans difficulté. Elle avait le cul flexible des adeptes de sodomie, ça me rendait fou de désir.
Je me mis à augmenter l’ampleur et la puissance de mes coups de rein, elle criait au rythme de ma façon de la baiser. Elle s’agitait, emplie de spasmes. Je remarquais alors qu’elle aussi, à quatre pattes, faisait des va et vient en avant et en arrière : je lâchais prise et je la laissais s’empaler sur ma verge ! Elle accéléra ses mouvements ; c’était elle qui baisait ma queue ! Je me remis alors à la baiser et nos mouvements étaient devenus sauvages, presque hors de contrôle, elle baisée comme une chienne, moi la sodomisant comme un chien…
Ses spasmes la secouèrent entièrement, et elle se mit à hurler un :
« PUTAIIIIN C’EST TROP BON, JE JOUIIIIIS !!! »
Elle venait d’avoir son orgasme anal et ça m’excitait encore plus ! S’en était trop et je jouis à mon tour dans son anus. Je me retirais et je vis mon sperme s’écouler par son petit trou. J’étais pleinement satisfait et nous étions tous deux exténués par l’intensité de ce rapport.

Elle me sourit et me déclara qu’elle n’avait jamais fait ça avec un inconnu et qu’elle avait adoré ça. Je lui laissais ma salle de bains pour prendre une rapide douche… Elle se rhabilla en vitesse et me remercia de lui avoir donné ce plaisir.
Je lui demandais alors si nous pouvions nous revoir et si elle pouvait au moins me donner son nom.. Je venais de remarquer que nous ne nous l’étions jamais donné, nous étions encore anonyme !
Elle me répondit :
« Ce ne serait pas plus excitant d’en rester là et de ne pas savoir qui nous sommes ? »
Je devais l’admettre, elle avait raison. J’ouvris la porte pour la laisser s’en aller. Elle m’embrassa une dernière fois langoureusement et partit sur ces derniers mots :
« Mais si l’on se recroise par hasard dans la rue, je prendrais de nouveau un café chez toi avec plaisir ! »

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire