Il y avait une fille qui me plaisait physiquement dans mon lycée, mais c’était une bécheuse, toujours avec les mêmes filles et les mêmes garçons. Impossible de l’approcher, surtout moi qui était très timide à l’époque. Alors, je me branlais en pensant à elle. A ses seins que j’aurais aimé voir, à sa chatte. Je l’avais déjà suivie plusieurs fois quand elle était seule mais chaque fois qu’elle se retournait, je m’étais caché.
J’étais rentré du lycée et je m’étais réfugié dans ma chambre. Ma mère ne rentrait jamais qu’à sept heures tous les soirs. Il ne m’avait pas fallu longtemps pour avoir la trique en regardant une revue pleine de filles nues avec de gros lolos et je m’astiquais dans la porte de ma chambre s’est ouverte et ma mère est entrée.
– Tu ne vas donc jamais arrêter, m’a lancé ma mère ! Tu n’en as pas marre de salir tes draps ?
J’étais sidéré que ma mère m’ait surpris mais la nature poursuivait son œuvre et le sperme à jailli et le premier jet m’a atteint sur la joue et les autres se sont écrasés sur mon pull.
– Tu es bien comme ton père, a ajouté ma mère ! J’en ai marre de vos sales manies !
J’ai attendu que ma mère sorte de ma chambre pour réparer les dégats. J’ai essuyé le sperme sur ma joue et sur mon pull puis je suis allé la retrouver. Elle était dans la cuisine. J’étais bien incapable de dire un mot et je suis allé vers elle.
– Ne me touche pas, tu me dégoûte, m’a lancé ma mère !
J’ai pourtant continué à avancer et elle ma tourné le dos et j’ai serré mes bras autour de son ventre puis j’ai monté mes mains sous ses seins et j’ai enfoncé mes doigts dedans.
Ma mère avait de gros nichons, ce que j’avais pu vérifier en regardant l’étiquette de ses soutiens-gorges : 105F, ce qui était une belle taille pour une femme de cinquante ans.
– Qu’est-ce que tu fais, a gémi ma mère ?
Je lui ai répondu que je veux me faire pardonner et j’ai continué à triturer sa poitrine. C’était un peu de sa faute parce que chaque fois qu’une femme était enceinte dans notre famille, elle leur racontait qu’elle m’avait donné le sein jusqu’à plus d’un an. Je n’en avais aucun souvenir bien sûr mais je pouvais imaginer aisément.
– Arrête ! Tu me fais mal, a encore gémi ma mère !
Je voulais lui dire quelque chose qui la marque.
– Tu disais pas ça quand je tétais, lui ai-je lancé !
– Ce n’est pas la même chose, a encore gémi ma mère qui se tortillait entre mes bras !
Son cul frottait sur ma bite.
– Tu es fou ! Mon fils est fou, a fait ma mère !
J’ai continué à lui tripoter la poitrine puis je n’ai plus laissé qu’une seule main et je me suis servi de mon autre main pour lui peloter le cul.
– Chéri, fait pas ça, a gémi ma mère !
J’ai quand même continué et quand j’ai passé la main sous sa robe, ma mère a gémi encore plus et j’ai glissé ma main dans sa petite culotte. Maintenant, j’avais la raie de ses fesse comme objectif.
– Chéri, qu’est-ce que tu fais, a miaulé ma mère !
J’ai glissé mon index dans sa raie et quand j’ai atteint son anus, je l’ai enfoncé dedans.
– Ah, ! fait ma mère ! Ah !
J’ai continué pendant quelques instants et j’ai fini par retirer mon index que j’ai remplacé par mon pouce.
– Hon ! Chéri, qu’est-ce que tu fais ?
Une fois mon index libéré, j’ai pu l’enfoncer dans son vagin. Celui-ci était tout trempé.
– T’aimes ça, ai-je demandé à ma mère ?
– C’est maman !
Ce fut sa seule réponse avant de me dire, quelques minutes plus tard, qu’elle jouit. Alors, j’ai couché ma mère sur la table de la cuisine et j’ai enfoncé ma bite.
– Ah, chéri, a gémi ma mère !
Son con était un vrai boulevard où je pouvais aller tranquillement d’avant en arrière.
– Ah, chéri, c’est maman !
J’ai compris qu’elle avait joui et j’ai joui à mon tour et quand ma mère s’est relevée, elle avait les deux seins à l’air.
– Petit cochon, m’a-t-elle dit encore ! Tu devrais avoir honte !
– Mais j’ai pas honte, maman ! Je veux juste que tu sois heureuse !
A ce moment-là, le réveil s’est mis à sonner. J’ai vérifié l’heure. Six heures et demi. Après seulement, j’ai cherché ma mère dans mon lit mais elle n’y était pas. En allant à la salle de bains, j’ai regardé dans la chambre de mes parents et ma mère dormait aux côtés de mon père et j’ai compris que j’avais fait un rêve. Quelques mois plus tard, en lisant les chiens écrasés dans le journal, j’ai trouvé un article qui parlait d’une femme qui couchait avec son fils. Quelqu’un les avait dénoncés et ils étaient en prison tous les deux. La femme avait donné pour raison qu’elle est seule et le fils n’avait rien dit.
En arrivant dans l’atelier, j’ai compris que c’était l’info du jour dont mes collègues parlaient presque tous.
– Quand même, baiser sa mère, disait l’un !
– Ça dépend, si elle est bien roulée, lui a répondu un autre !
D’entendre parler de ce genre de trucs, ça m’a donné la trique une fois de plus. Je suis passé près du vestiaire des femmes et j’en ai entendu une dire que si son fils est mieux gaulé que son mari, il n’y aura pas photo et vu le sourire qu’elle avait en sortant du vestiaire, j’ai pensé qu’elle en serait bien capable.
Une fois de plus, j’allais me conduire en goujat. On avait tous nom et prénom ainsi que le numéro de l’atelier brodés sur nos tenues de travail et j’ai tendu le bras comme si je voulais vérifier ce qu’il y avait d’écrit sur la blouse de la femme et pour ça, il fallait bien que je touche son sein.
Colette S…, ai-je lu pour ne pas dévoiler son nom !
– Eh, pas touche, m’a répondu la jeune femme !
Elle m’a aussi mis une baffe et elle m’a fait sauter mes lunettes et elle s’est mise à rire mais ce n’était pas méchant.
Sa collègue les a ramassées et elle me les a rendues tout en me disant que si je m’y prenais mieux…
J’ai essayé de m’y prendre mieux et trois semaines plus tard, je suis sorti la première fois avec Colette. J’avais une voiture et c’était un avantage. Les ouvrières en ce temps-là n’avaient pas froid aux yeux et certaines couchaient pour une prime ou un avancement.
Elle s’est assise à côté de moi et j’ai commencé à rouler mais elle n’a pas tardé à déboutonner mon pantalon puis elle a sorti ma bite et elle a commencé à me branler et elle m’a conseillé de surveiller la route. Cinq minutes plus tard, j’ai joui.
– T’es content, m’a demandé Colette ? Ne me dis pas que tu es encore puceau !
Je n’ai pas eu besoin de lui répondre.
– Oh, chéri, Colette va être très gentille avec toi !
Il n’a pas fallu une semaine pour que tous les ateliers sachent que Colette m’avait dépucelé mais je m’en moquais parce qu’elle avait fait de moi un homme. A l’époque, il n’y avait pas de pilule et c’était soit le préservatif, soit le retrait mais Colette avait une autre solution. Elle m’a expliqué qu’on ne peut pas faire l’amour tout le temps parce que sinon, elle aurait… Elle m’a montré avec ses deux mains et elle a ajouté que je serais papa, ce que je ne voulais pas.
– Tu veux pas, m’a-t-elle demandé ?
Elle était très sérieuse tout à coup.
– Si tu veux que je te fasse un bébé, il faudra que tu m’épouse, a-t-elle ajouté ! En attendant, quand ça ne sera pas le bon moment, je veux bien que tu me prennes dans mon petit trou !
Je ne comprenais pas et elle m’a dit qu’il faut tout m’apprendre. Plus tard, en fouillant dans son sac, je me suis rendu compte qu’elle aimait la lecture et le livre qu’elle lisait ce jour-là, c’était un bouquin de Gide que je n’avais jamais lu.
Un jour qu’elle m’avait branlé dans le bois et fait jouir, elle m’avait proposé de me montrer sa poitrine. Je lui avais répondu que je veux la voir toute nue.
– Ah, mon bébé, m’avait-elle répondu avant de retirer sa robe. Tu veux vraiment ? J’avais insisté et elle avait retiré ses sous-vêtements, à part son porte jarretelle parce qu’elle mettait des bas. Elle avait un superbe buisson très foncé sur le ventre et elle m’avait proposé de l’explorer et j’avais pu écarter ses poils et elle m’avait demandé si c’est beau. Au moins, elle en était sur. Je l’avais déjà baisée plusieurs fois, mais dans le noir. Oui, c’était très beau.
– Ce soir, on peut pas, avait ajouté Colette ! Sinon, on va peut-être être obligés de se marier !
J’avais compris. Elle m’a branlé pour que je sois bien raide puis elle m’a sucé et elle m’a encore dit de la mettre dans son petit trou et elle m’a guidé mais c’était difficile d’y entrer.
– Pousse, mon bébé ! Pousse ! Tu vas y arriver !
J’ai fini par y arriver.
– Tu es content, m’a demandé Colette ? Alors, vas-y !
A mon avis, c’était la même chose que par devant. Je tenais mon amie par les hanches et je m’enfonçais et je ressortais et je m’enfonçais encore.
– Qu’est-ce que tu penses de ma poitrine, m’a soudain demandé Colette ?
Sa question m’a coupé mon élan. Qu’est-ce que je pensais de ses seins ? Qu’est-ce que je pouvais en dire ? Je lui ai demandé la taille de son soutien-gorge.
– Quatre-vingt-quinze D, m’a fièrement répondu Colette !
Je m’étais longtemps branlé devant des photos de filles aux seins énormes, avec des bonnets G ou H que le D de Colette m’a semblé dérisoire mais elle m’a pris la main et elle m’a obligée à caresser sa poitrine et j’ai compris que c’est plus la forme qui compte et j’ai essayé de deviner en tripotant, ses seins.
– Oh, bébé, qu’est-ce que tu fais, m’a demandé Colette !
Je lui ai répondu que j’admire sa poitrine et elle m’a demandé de continuer puis elle m’a demandé si je lui en voudrais si elle se masturbe et je n’ai pas su quoi répondre et je crois qu’elle s’est masturbée parce qu’elle a été prise de secousses et elle m’a supplié de me dépêcher et j’ai joui sur l’arrière de ses cuisses puis elle s’est essuyé.
J’avais un salaire supérieur à celui de Colette et pour son anniversaire, je l’ai emmenée s’acheter une belle robe et avec cette robe sur le dos, je l’ai emmenée chez mes parents. C’était la première fois que je voyais ma copine avec du vernis sur les ongles et aussi maquillée. Mon père lui a demandé ce qu’elle fait comme travail et elle n’a pas menti. Quant à ma mère, elle m’a demandé si j’ai envie de me marier avec Colette et c’est ça qui m’a décidé. Deux mois plus tard, nous étions mariés et nous avions un appartement dans un immeuble neuf. J’ai suivi la tradition en la portant pour franchir le seuil puis je l’ai jetée sur le lit.
Après, elle a démissionné de son travail et elle a suivi des cours pour devenir professeur et elle m’a vraiment bluffé en réussissant son diplôme.
Colette a été nommée dans un lycée et j’ai démissionné pour la suivre. Un jour elle m’a dit qu’elle s’est fait poser un stérilet parce que c’est trop tôt pour avoir des enfants et pendant dix ans j’ai gaspillé ma semence, de belles manières je l’avoue parce que mon épouse m’avait rapporté un kamasuthra dont nous avons essayé toutes les positions, tout du moins celles qu’on arrivait à imiter, mais ce que j’aimais surtout, c’était enculer ma femme pendant qu’elle se masturbait.
Un soir, Colette est arrivée. Elle semblait affolée et je lui ai demandé pourquoi. J’ai insisté et elle a fini par m’avouer qu’elle m’avait trompé.
– C’est qui, lui ai-je demandé ?
– Tu devrais plutôt me demander avec qui, m’a répondu Colette ! Je n’aurais jamais cru que ça m’arriverait, a-t-elle ajouté ! Je t’ai trompé avec une femme !
Ça, c’était un fantasme que je n’avais jamais osé aborder
– C’est qui, ai-je insisté ? Une de tes élèves ?
J’avais lu ça dans le journal, mais c’était dans le Midi.
– Oui et j’ai honte, m’a répondu mon épouse avant de me dire de me rassurer parce que la fille est majeure. J’ai honte, m’a-t-elle répété encore plusieurs fois !
– C’était comment, ai-je encore demandé à mon épouse ?
– Cette fois, c’est toi qui devrait avoir honte, m’a-t-elle répondu !
– Tu veux recommencer ?
Elle était sur la défensive et elle n’osait pas me répondre.
– Tu veux recommencer ?
– Oui !
– Et tu veux me quitter ?
– Pourquoi je ferai ça, m’a demandé Colette ?
– En fait, tu veux le beurre et l’argent du beurre ?
– Si je pense à elle pendant qu’on fait l’amour, ça sera meilleur pour toi, a-t-elle ajouté !
Je ne sais pas si ça m’avait refroidi mais pendant quelque temps, quand mon épouse rentrait ne serait-ce qu’avec une minute de retard, j’ai pensé qu’elle était en train de me tromper avec son élève.
A la rentrée suivante, j’ai compris que Colette étaient plus zen et quand elle m’a dit que son amie venait de se marier avec un homme, elle a ajouté qu’elle a fait retirer son sterilet.
– Tu n’as pas compris, a-t-elle ajouté que maintenant, j’ai envie que tu m’engrosses ? Qu’on profite au moins de ça !
– Et tes seins, lui ai-je demandé ? Ils vont être moins beaux !
– Oui, je sais, m’a répondu mon épouse ! Je vais avoir d’énormes mamelles à leur place, mais tu vas aimer ça !
Au moins, elle connaissait bien mon attirance pour les énormes seins et je les lui signalais quand nous étions à la plage, ce qui lui permettait de me dire que j’aimerais bien mettre ma bite entre eux mais je la mettais déjà entre les siens.
Ça nous a quand même pris quelques mois avant qu’un de ses ovules accepte de se faire féconder. Nous baisions un peu plus que nous ne le faisions d’habitude et comme on finissait presque toujours en levrette, elle restait un peu plus longtemps les fesses en l’air, pour que mon sperme envahisse son utérus plus facilement.
Quand ça a été fait, ses seins ont doublé de volume si bien qu’un soir où nous avions été à une réunion chez le préfet, une femme lui avait demandé l’adresse de son chirurgien. Ma femme lui avait répondu que c’est cent pour cent naturel et l’autre femme en était restée bouche bée.
Elle était enceinte de quatre mois quand une nuit ma femme m’a réveillé et elle m’a dit qu’elle a encore envie. Je me suis soumis mais nous avons acheté un gode mécanique qui se fabriquait encore sur commande avant d’être fabriqué en série et j’étais contente de voir ma femme, en rentrant, se faisant baiser par cette machine. Aujourd’hui, je crois que je lui offrirai un lovense mais c’est moi qui tiendrait la commande.
– Eh bien, dis donc, Colette fait du combien, m’a demandé un jour ma mère ?
Je n’en savais rien parce que mon épouse ne mettait plus de sous-vêtements parce que ça la gênait. Mon père m’a dit qu’elle a de ces pis et vexé, je lui ai répondu qu’il confond avec les mamelles.
Nous avons eu une fille. Un an plus tard exactement, nous en avons eu une autre parce que j’avais été trop pressé de recommencer à tirer mon coup puis Colette s’est lassée d’être enceinte et nous avons quand même eu deux fils, des jumeaux, c’est dire la grosseur qu’avait eu son ventre.
C’est après que mon épouse m’a avoué qu’elle m’avait trompé pendant ses grossesses parce qu’elle avait retrouvé son élève qui était enceinte elle aussi.
Il y a des besoins dont on ne peut pas aller contre et d’ailleurs, j’ai toujours continué à me branler en secret. Je ne lui en ai pas voulu et tant que j’ai pu tremper mon roudoudou dans ses trous, ça ne m’a pas gêné. L’année de ses cinquante-six ans, mon épouse m’a averti qu’elle ne va pas bien et un mois plus tard, je l’ai accompagnée au cimetière. Là, j’ai rencontré sa maîtresse et j’ai découvert que parmi ses collègues, il y en avait d’autres parce qu’elle n’avait jamais pu s’en empêcher et j’ai compris que c’était une petite coterie de lesbiennes qui se rassemblaient pour discuter et s’aimer, ce que j’ai pu vérifier sur des photos qu’elles avaient faites ensemble.
Après, je suis resté un moment sans pouvoir me vider les couilles autrement qu’en me branlant puis je suis allé voir des putains et quand j’ai eu internet, j’ai dragué sur des sites et j’ai rencontré les filles avec qui j’avais pris rendez-vous et le plus loin que je suis allé pour ça, c’est au Canada. J’avais dragué cette femme pendant plusieurs mois parce qu’elle ne voulait pas qu’on se rencontre puis un jour, elle avait cédé et j’avais pris l’avion et je l’avais rencontrée à l’aéroport. J’avais prévu de faire un voyage avec elle. La femme m’avait envoyé des portraits d’elle et en la voyant j’ai eu l’impression que c’était sa mère que j’avais draguée et que c’était la fille qui venait me chercher mais c’était bien elle et elle avait bien vingt-trois ans. J’en avais cinquante-huit. Elle m’a dit, la première fois qu’on a fait ça, que la différence d’âge ne la gêne pas, du moment que je lui fais bien l’amour. Un soir qu’on finissait de dîner dans un restaurant, la femme m’a dit en me montrant un homme de son âge, que celui-ci veut la chauffer. Je n’avais pas besoin qu’elle m’explique et elle a ramené le type dans notre chambre à l’hôtel et ils ont baisé devant moi mais ce qu’il voulait aussi, c’était m’enculer et la femme m’a demandé de ne pas avoir honte, qu’elle sera fière de moi et je me suis laissé faire. Il m’a sucé la bite et j’ai sucé la sienne et il m’a enculé et j’ai eu des difficultés à le faire. Je me souviendrais toujours de ce que m’a dit la fille à ce moment-là, que je n’avais jamais de problème à lui mettre dans son trou de derrière. Alors, je l’ai enculée pendant que le type m’enculait une nouvelle fois.
Je n’oublierai jamais cette expérience, ni toutes les autres. Ni d’avoir découvert que beaucoup de femmes mariées ont besoin de nouveauté.
FIN
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