Agathe Lecaron, toujours impeccable dans sa blondeur, nous présente en direct son émission quotidienne sur France 5, La maison des maternelles (qui s’appelait Les Maternelles avant 2016), à 9h20. Beaucoup de mamans et de futures mamans en congés de maternité ne ratent jamais cette heure de télévision qui leur consacrée.
Aujourd’hui, le thème est un peu spécial : « mon fils ne parvient pas à éjaculer ».
Nous avons le témoignage de Sandra, une maman de quarante ans dont Sam, le fils de dix-huit ans, n’éjacule toujours pas, malgré ses efforts pour le stimuler. Tous deux s’expriment sous l’égide de la belle et douce Agathe. Sam est intimidé, mais sa mère lui a promis que tout se passerait bien. Pour le rassurer, il ne se trouve que des femmes sur le plateau. En l’absence de Benjamin, Marie est là pour seconder Agathe afin de permettre à Sam de s’exprimer.
Après l’introduction de la présentatrice, Sandra prend le micro :
– Sam a beau se masturber frénétiquement, son pénis reste désespérément sec. Je l’ai emmené consulter un médecin, une doctoresse très compétente spécialiste de la sexualité des adolescents, qui l’a examiné nu, puis stimulé avec ses mains et même invité à la pénétrer, mais rien n’y fait. Alors, elle lui a prescrit des exercices qu’il pratique avec moi, tous les jours. Je vais vous montrer.
S’adressant à son fils :
– Sam, tu veux bien te déshabiller, s’il te plaît ?
Le garçon rougit beaucoup, mais Agathe, Marie et Sandra lui sourient, ce qui finit par le persuader à ôter ses vêtements. Seul le slip reste bloqué par la pudeur autour de son bassin. Sandra l’abaisse d’un geste autoritaire, libérant la verge en érection qui jaillit comme un oiseau auquel on ouvre la cage.
– Oh, s’exclame Agathe en palpant malicieusement le membre du bout des doigts, il est magnifiquement membré ! Félicitations !
– Effectivement, dit la maman : il possède une très belle anatomie masculine. De plus, il adore qu’une femme le tripote comme vous le faites actuellement. Quel dommage qu’elle ne fonctionne pas ! Depuis que mon mari est parti, j’aimerais bien qu’il me fasse un enfant.
Allongée sur son canapé, Catherine regarde sa télévision, fidèle à l’émission de la belle Agathe. Elle est enceinte de sept mois et son ventre est lourd. Pour autant, elle n’en a pas perdu ses désirs de femme et laisse trainer ses doigts sur sa vulve poilue, sous sa robe de chambre. Elle trouve l’émission très intéressante et s’émerveille des génitoires exhibés du jeune Sam.
Repassons de l’autre côté de l’écran. Marie vient de prendre un triple décimètre afin de mesurer la longueur du phallus exposé, et annonce la valeur qu’elle lit : vingt-deux centimètres. Agathe s’exclame :
– Quel bel engin tu possèdes, Sam ! J’aimerais bien que mon mari ait le même organe.
– Allons, Sam, masturbe-toi comme nous le faisons tous les deux, chaque jour.
La maman, assise alors que le garçon reste debout, prend doucement la main droite de son fils afin de la porter vers la verge tendue et qu’il se frictionne fermement afin de s’adonner à un plaisir pas du tout solitaire. D’abord réticent, au bord des larmes, il finit par s’apaiser. Puis il effectue le geste demandé. Elle l’invite à écarter les cuisses, et lui chatouille les bourses du bout des doigts.
– Cela lui procure beaucoup de plaisir, et il nous arrive de continuer pendant une heure ou deux.
– Tout ce temps, s’exclame Agathe ! Cela doit l’irriter, au bout d’un moment, non ?
– Nous utilisons de l’huile de massage parfumée comme lubrifiant. Regardez : je lui enduis mes mains généreusement pour qu’il se branle avec force. Il est charmant, n’est-ce pas ?
– Sam est effectivement un très beau garçon, convient Agathe. Est-ce que vous avez déjà pratiqué la masturbation assistée en public ?
– Oui, il y a quelques mois, au cours d’une réunion de famille où ses cousines et ses tantes étaient toutes présentes. Cela leur a bien plu. Sam a été très excité qu’il y ait autant de filles et de femmes, qui sont restées habillées, autour de lui déshabillé. Le moment le plus excitant est d’ailleurs lorsqu’il se met à nu en public, sous les yeux des filles que cela émoustille beaucoup. Il y en a qui se moquent de lui ; heureusement, il a l’esprit profondément masochiste, ce qui l’aide à supporter cette épreuve et même lui procure une excitation supplémentaire. Mais, pour autant, il n’a pas éjaculé. Hélas.
– Je suppose que vous avez essayé de le branler vous-mêmes, de le sucer, voire d’avoir un rapport sexuel avec lui ?
– Effectivement, avec moi comme avec différentes personnes de ma famille, mais sans résultat. Finalement, il préfère se toucher lui-même, et que je l’aide en le caressant sur ses parties intimes. Voulez-vous essayer ?
– Ma foi, je veux bien, dit Agathe en passant à l’action à l’aide de ses petits doigts chatouillant sur les bourses juvéniles, tandis que Sandra est passée aux chatouilles des pieds et que Sam se tortille désespérément.
Catherine, toujours allongée sur son canapé, étend son bras vers le placard pour en extraire un vibromasseur qu’elle plaque contre son clitoris déjà érigé par l’excitation que lui procure cette émission. Heureusement que son fils adolescent, Hervé, est déjà parti au lycée, afin qu’elle puisse rester en tenue impudique. Elle sent le plaisir monter graduellement, et espère voir en direct ce jeune Sam éjaculer en direct, pour la première fois. Elle aimerait tant qu’Hervé la laisse pratiquer la même chose sur lui !
À ce moment-là, Hervé rentre du lycée plus tôt que prévu, parce qu’un prof est absent. Après avoir fermé la porte d’entrée sans bruit et ôté ses chaussures, il découvre sa mère en train de se caresser. À dix-huit ans, il ne l’avait jamais vue ainsi. C’est un spectacle magnifique que cette femme au ventre très arrondi s’offrir à la luxure qu’elle croit solitaire. Son pénis bondit dans son caleçon ; il est pris d’une furieuse envie de l’étreindre, mais il se retient, parce que cet élan est tabou.
Puisque la méthode traditionnelle de masturbation assistée ne fonctionne pas, Agathe fait entrer sur le plateau une femme médecin, Julie, qui propose une autre solution : le message de prostate. Julie est vêtue d’une blouse blanche. Elle dispose d’une table d’examen sur laquelle le garçon est invité à te tenir à quatre pattes. Celui-ci est arraché par des sangles aux poignets et aux chevilles, pour ne pas tomber et lui interdire de bouger. Puis Julie revêt un gant de latex qu’elle lubrifie abondamment, avant de glisser l’index et le majeur réunis dans l’anus encore vierge de toute pénétration.
Sam ressent comme une décharge électrique quand les doigts touchent sa prostate. Son pénis émet quelques gouttes d’un liquide clair. De l’autre main, la doctoresse branle le pénis d’une manière très ferme.
– Tu aimes ça, hein, lui murmure Julie à l’oreille ? Tu veux que je continue ?
Sam est très intimidé par autant de privautés sous l’œil complice de tant de femmes ainsi que deux caméras dont l’une filme en gros plan sa rosette écartelée, l’autre son visage rougissant où la volupté se mêle à la honte d’être exposé nu, la première prenant progressivement le pas sur la seconde. Les cameramen sont en fait des camerawomen qui prennent un malin plaisir à filmer la scène, tout en mouillant leur culotte comme jamais.
– Oui, s’il vous plait, Madame, continuez, répond-il d’une voix faible.
– Nous allons passer à l’étape suivante.
Elle revêt un gros gode-ceinture autour de sa taille, le recouvre de lubrifiant, et sodomie Sam qu’Agathe continue à branler pendant ce temps. Marie relève sa robe, retire sa culotte et offre sa chatte à sucer au garçon immobilisé par les liens.
De l’autre côté de l’écran, pendant ce temps, grâce à son petit vibromasseur, Catherine s’adonne au plaisir jusqu’à la jouissance et crie tout son saoul, puisqu’elle croit être seule. Puis elle entend une respiration profonde et remarque la présence d’Hervé, lui aussi en train de se masturber, la braguette ouverte sur une belle verge toute raide. Sans se démonter, elle lui dit :
– Regarde comme ce garçon qui passe à la télé est joli. Tu ne veux pas, toi aussi, que je t’exhibe tout nu devant la caméra ?
– Oui, mais moi, je ne suis pas impuissant comme lui ! Même s’il en a une très grosse !
– La tienne est magnifique. Je t’ai souvent espionné en train de te toucher. Je trouve cela ravissant. Dis, tu ne m’en veux pas ?
– Pas du tout, Maman. Je t’aime !
– Allons, mon chat, mets-toi tout nu : tu as trop chaud, tu transpires ! Et puis, j’ai envie de voir comme tu es beau…
Hervé se défait en hâte de ses vêtements qui se retrouvent épars dans le salon. Puis il s’assied sur le canapé, les jambes écartées largement afin d’offrir ses organes génitaux à la vue de sa maman qui se tient debout devant lui, et se masturbe avec lenteur, tout en regardant les images télévisées de son alter ego. Inspirée par ce qu’elle a vu faire, Catherine lui chatouille les bourses, les pieds, et différentes parties sensibles de son corps, ce qui a pour effet de démultiplier les sensations érotiques du garçon. Elle lui demande, en lui murmurant à l’oreille :
– Tu aimes te branler avec mon aide, mon coquin chéri ?
– Oh oui, ma Maman adorée !
– Alors, raconte-moi tes fantasmes les plus fous et je te dirai un secret que personne encore ne connait.
– Le plus fou ? Ce serait qu’on fasse ça en public, devant une foule entière.
– Si tu veux, je veux bien le faire en vrai. Quand tu voudras. Il n’en tient qu’à toi.
– Et ton secret ?
– Je ne suis pas enceinte de ton père, mais de toi. Cet imbécile ne veut plus baiser avec moi. Je me suis servie d’un mouchoir dans lequel tu venais de te branler afin de m’inséminer toute seule.
Elle touche son ventre et reprend :
– Il sera ton fils… embrasse-moi, je suis heureuse !
Elle s’assied sur lui, glissant elle-même la verge humide dans son vagin non moins moite, et tous deux se tournent d’un quart de tour afin de regarder ensemble la suite de l’émission.
Pendant ce temps, de l’autre côté de l’écran, Julie pilonne continuellement Sam avec fougue tandis que deux autres femmes s’occupent de lui d’une autre manière. Mais toujours pas d’éjaculation en vue !
– Voulez-vous essayer, Sandra, propose la doctoresse en lui tendant son gode-ceinture ? Peut-être que vous aurez plus de réussite que moi. On sent bien que ça y est presque.
– Volontiers, dit la maman en enfilant l’engin autour de sa taille. À nous deux, Sam !
Tout en effectuant de puissants va-et-vient au moyen de sa tige de plastique, Sandra saisit le pénis afin de le masser vigoureusement. Marie jouit à grands cris, et d’une manière particulièrement humide, du cunnilinctus que lui prodigue le garçon, aspergeant celui-ci d’une abondante et torride mouille.
– Oh, mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu, répète Sam qui sent l’orgasme le foudroyer !
– Calme-toi, mon garçon, lui dit Julie : ne te crispe pas, laisse la vague de plaisir te submerger.
Les caméras s’approchent afin de ne rien manquer de l’inéluctable issue. Les yeux de Sam se révulsent ; Sam a l’impression de quitter son corps, saisi par l’extase. Des milliers de téléspectatrices, qui se masturbent devant leur écran, les unes avec leurs doigts et les autres avec leurs sex-toys préférés, jouissent en même temps qui lui, sidérées par tant d’impudeur et de concupiscence. Julie positionne un bécher afin de recueillir la semence. C’est un véritable geyser qui jaillit du braquemart. Le récipient, pourtant de grande contenance, déborde. Sam hurle de plaisir.
Agathe prend des coupes où elle répartit le nectar masculin, puis les tend aux autres dames.
– Eh bien, Mesdames, levons nos verres à la virilité enfin acquise de notre ami.
Elles boivent toutes, d’un trait, le sperme épais et parfumé que contient leur verre.
Sam, presque évanoui sous la puissance de son premier orgasme, reste tout pantelant. Julie le détache. Lui et sa mère s’embrassent à pleine bouche. Il est encore en érection, car une seule éjaculation ne lui suffit pas pour épuiser dix-huit années de sècheresse.
– Maintenant, je sais enfin comment procéder pour qu’il vienne, dit Sandra en se léchant les babines afin de ratt****r une goutte de sperme qui s’était échappée sur ses lèvres.
Catherine est émerveillée de ce qu’elle voit à la télévision. Tout cela est si puissamment obscène qu’elle en éprouve des frissons sur tout le corps. Hervé éjacule en elle et cette sensation lui procure un plaisir immense, tandis que l’enfant tressaille de joie dans son ventre. Dans le même temps, des milliers d’autres couples mère – garçon sont inspirés de la même manière et s’aiment tendrement sur leur sofa.
Générique de fin. La maison des maternelles est terminée pour aujourd’hui. Les deux camerawomen, enfin libérées de leur tâche, sautent sur Sam pour profiter enfin de sa virilité nouvellement profuse en semence. Demain, à 9h20, le sujet sera : « mon fils est addict au porno et moi aussi », avec des témoignages de mamans et de leurs garçons qui se soignent ensemble devant XHamster. Merci de votre fidélité.
Magnifique recit tres realiste