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Putain assumée

Putain assumée



Je ne fus pas peu surpris de croiser un jour dans le hall mon chef de
service et sa femme. Il avait tout simplement aménager dans mon immeuble
sans remarquer que ce put être mon adresse. Nous plaisantâmes d’une
telle coïncidence. Mes rapports étaient des plus cordiaux avec lui.
c’était au sens profond un brave homme réunissant les capacités de
compétence et d’humanité. Sa femme m’impressionnait davantage. Petite
brune nerveuse et à la voix coupante, elle vous renvoyait d’emblée dans
vos cordes. Elle était l’autorité faite femme.

Était-elle jolie femme ? Oui d’une certaine façon mais son style
réfrigérait dirais-je et lui enlevait le charme auquel elle aurait pu
prétendre. Ses petits yeux clairs et sévères furetaient et semblaient
fouiller jusqu’au tréfonds de votre âme. Il y avait chez elle quelque
chose d’inquisiteur et de policier. Rien ne semblait pouvoir lui
échapper de vos moindres pensées. On baissait malgré soi les yeux devant
elle. Ainsi fis-je la première fois. Mon chef conscient de
l’inconvénient m’expliqua que sa femme n’était pas si revêche qu’on
croyait. C’est sa pudeur qui la fermait ainsi.

Je n’en crus rien et la suite me le confirma. C’était une tueuse, une
amazone. En effet j’eus une seconde surprise qu’elle s’était inscrite
dans mon club de sport où on pouvait indifféremment se muscler,
entretenir sa condition et s’adonner à la danse ou autre cours de gym.
Lorsque mon chef apprit cet autre coïncidence il sourit et eu ce propos
presqu’amère. « Fort bien vous me rapporterez d’elle si elle est sage. »
Ce propos me parut d’abord incongru. Je ne parvins à comprendre ce qu’il
suggérait. Par la suite je compris que ce couple était malheureux car la
femme était volage.

Cette femme d’acier de quarante ans était vêtue toujours de noir et
notamment de cuir. Elle ne dédaignait pas les bas, les courtes jupes et
les escarpins. Tout cela était limité indécent. Un copain de la gym me
dit sans ambages qu’elle Avait des airs de pute. Elle eût vite mauvaise
réputation. Il fut confirmé qu’elle draguait les jeunes hommes. Tel le
serpent elle les fascinait et subjuguait. Sur le parking dans la
pénombre on eût pu voir sa crinière noire émerger sous un volant,t où
elle suçait la queue d’un type. Même qu’elle se faisait quasi au su de
tous besogner sur la banquette.

J’en étais triste pour le patron et en même j’étais gêné quand j’étais
amené dans la salle de la gym à la croiser et à devoir un minimum lui
tenir conversation. Elle faisait effort d’être aimable avec moi. En même
temps je devinais qu’elle me trouvait niais, insignifiant. J’étais
mignon garçon mais je ne disposais pas des muscles requis qui
l’attiraient chez les autres mâles. Le minet ce n’était pas on truc et
puis devant moi me fixant elle me dit un jour tout son mépris pour les
genres intello. C’était curieux car cette femme était lettrée et fort
brillante.

Peut-être voulait-elle se reposer de la trop grande tension qu’inflige
l’exercice quotidien de l’intellect. Elle trouvait dans le muscle et le
barbare un repos. Ces costauds imbéciles avec leur queue constituaient
pour elle cet havre de paix. Elle concevait cependant que je savais sur
ses frasques. Bientôt cela lui parut un inconvénient voire un danger.
Son apparente affabilité était pour acheter mon silence. Elle se crut
devoir aller plus loin. En effet un soir après que j’eus rejoint mon
véhicule, je vis que dans celui d’à côté il y avait mouvement.

En gros on forniquait sans façon. Je mis un temps à comprendre que
c’était la voiture de Miguel, un bon copain black, notoire étalon. Il se
tapait une garce du club. Il le prenait semble-t-il en levrette. Soudain
vis à vis de moi un camion s’arrêta qui inonda de la lumière de ses
phares tout l’espace et là je vis à près d’un mètre de moi le visage de
la femme du patron, yeux exorbités. Elle les ferma un instant puis les
rouvrit. C’est à ce moment qu’elle dut me reconnaître tandis que Miguel
derrière lui ravageait manifestement son cul.

Je dus demeurer un instant interdit n’ayant présence d’esprit de tourner
la te^te et de rentrer dans ma voiture. Heureusement soudain le camion
éteint ses phares nous restituant à la nuit. Je pris occasion de
disparaître te de fuir laissant Miguel finir tout son ouvrage. Le
lendemain ce gredin vins vers moi dans la salle tout goguenard. Il avait
vu que j’avais vu. Il me dit : « T’as vu man ce que l’autre pute a pris
dans son cul. » Il me dit qu’elle le chauffait depuis longtemps. Il
avait mépris en général pour les vieilles peaux mais par dépit presque
il avait décidé de lui foutre dans le cul.

Elle par contre et pour une fois baissait la tête tâchant de fuir mon
regard. De toute façon j’en faisais autant. Il y a avait gêne mutuelle.
Miguel par la suite et qui avait pris goût à la salope préférait la
sauter au proche parking d’une usine plus loin. Il me dit qu’elle avait
accepté qu’il la partageât même un soir avec deux autres blacks de la
cité. Ce fut orgie dans le véhicule. Après maints simples et doubles
pénétrations elle était parvenue à vider les couilles de tous. Ils lui
avaient tous gicler en rigolant leur sperme sur le visage. Je
n’imaginais pas qu’elle rentra ainsi souillée jusqu’à son mari.

Il est à espérer que celui-ci n’eût pas la moindre idée des turpitudes
de sa femme. Je me garderais bien de les lui rapporter. Cela l’eût tué.
En attendant j’étais en péril car la garce se mit dans la tête de me
neutraliser irrémédiablement. Au début je ne vis point le coup venir. Me
voyant papoter avec la bande à Miguel elle était humiliée d’être l’objet
de nos plaisanteries. Un an plus tard de toute façon elle eût la sagesse
d’émigrer dans un autre club étant grillée dans celui-ci. Un soir elle
vint en bus au motif d’une panne de voiture et à ce titre elle me
demanda de la ramener.

Miguel toujours goguenard m’incitait à obtenir une pipe au moins à titre
de dédommagement. Il savait mon invétérée timidité avec les filles. Il
me dit qu’avec celle-là je n’aurais qu’à me laisser conduire. La garce
avait son regard dur et dominateur qui m’avait souvent écrasé. Je
percevais une sourde colère à mon encontre que ne contredisait pas le
vague sourire affecté sur son visage. Il semblait qu’elle avait dans le
vestiaire outré le maquillage. Il y avait un rouge trop luisant sur ses
lèvres. Le noir exagérait par trop le clair des yeux. Les cils étaient
protéiformes.

Pour le reste je ne lui avais jamais vu une mini jupe si courte de cuir
au ras des fesses. On lui voyait indécemment la naissance des bas.
Miguel m’assura qu’il m’avait envié ce soir-là de raccompagner une
pareille pute. Son parfum fort satura l’intérieur de l’auto. J’essayais
de ne pas croiser son regard de méduse. J’étais pétrifié. Elle parlait
de façon anodine bien que mécanique des exercices de musculation qu’elle
m’avait vu faire. Elle s’autorisa de certains conseils tous pertinents.
Il me tardait de rentrer or ce soir-là et suite à un accident nous
demeurâmes une heure ensemble.

Elle me demanda si elle pouvait fumer puis ensuite s’avisant des
nombreux CD que j’avais dans l’auto, elle me parla de musique classique
que je goûtais autant qu’elle. Elle me fit observer qu’il était
déplorable que nous n’ayons jamais conversé de littérature ni de
musique. J’aurais pu lui faire observer que c’est elle qui avait
toujours éludé d’en parler me traitant même d’intello. Cette garce
réécrivait l’histoire. Tandis qu’elle conversait elle avait remonté
indécemment sa jupe jusqu’à montrer une culotte de matière claire et
transparente. On y décelait le dessein de sa chatte.

J’essayais de décoller mon regard de cet objet fascinant. A son sourire
je voyais qu’elle se délectait de ma lutte et de mon empêchement.
Soudain et tout en conversant elle glissa une de ses mains dans sa
culotte affectant une caresse. J’eus une érection. Je maudissais la
mécanique infernale de toutes nos bites. Elle triomphait. Elle vint à
parler d’un concert de pianiste où son mari ne pouvait venir. Elle
serait heureuse que je l’y accompagne. Alors suprême horreur elle eût un
autre geste non moins inconvenant. En effet elle avait descendu à
mi-cuisse toute sa culotte.

Elle offrait à mon regard toute sa chatte dont je distinguais maintenant
les quelques poils pubiens. Elle sourit passant à l’attaque : « Est-il
vrai que tu es puceau. C’est Miguel qui me l’a dit mais je sais qu’il
plaisante souvent. Il prétend que tu serais homosexuel. Est-ce vrai ? »
Je rougis. On m’avait trop souvent servi ce genre d’insulte. De timide
devenais-je un inverti. Aucune parole ne fut émis de ma bouche. Je
balbutiais. Elle vit ma confusion. Elle diagnostiqua alors que j’étais
timide voire un puceau. Elle apposa sa main sur ma cuisse et dis : » Tu
me plais ! »

Elle tint à prendre les choses et à passer à l’action. Elle retrouva son
ton coupant d’autorité. « Gare toi sur le bas-côté. De toute façon on
avance à deux à l’heure. Laissons passer l’embouteillage. Veux-tu ? »
C’était le pire auquel je pus m’attendre. J’étais enfermé dans un piège.
Je coupais le moteur et machinalement fermais les yeux. Elle prit ma
main pour poser celle-ci sur son sexe. Elle voulait que le caresse et en
dispose. En même temps d’une voix douceâtre elle ajoutait : « Sers toi
mon chéri. Tu as autant droit que l’autre gland de Miguel. Tu as vu
l’autre fois ce qu’il m’a foutu. Pourquoi n’es-tu resté ? Tu aurais pu
te rincer l’œil. » La pute tombait son masque.

A présent j’eus sa bouche sur la mienne. Elle m’embrassait. Peu à peu je
laissais accès à sa langue qui bientôt se mélangea à la mienne. Quelque
chose de brûlant s’immisçait et me tétanisait le cerveau. Telle une
pieuvre elle entrait en moi. J’eus envie une dernière fois d’appeler au
secours. Elle avait maintenant mon sexe dans sa bouche. Elle me suçait.
Elle poursuivait toujours de sa voix impavide : « Tu as une trop belle
bite. Tu vas aimer chérie. Rien ne peut me résister ! » En effet je
n’avais jamais éprouvé un pareil plaisir. Je me convertissais à une
religion.

Nous restâmes ainsi dans l’obscurité une heure voués à nos caresses.
Enfin je m’étais enhardi. Avec ma bouche je savourais ses seins mignons
et sa fameuse chatte. Elle riait. Je crois que de ce moment-là elle me
trouva en fait estimable. Moins nigaud. De nécessité elle fit loi. Elle
décidait pouvoir joindre l’utile à l’agréable. Elle avait envie de
déniaiser le jeune homme que j’étais. Elle m’assurait que je la
baiserais autant mieux que les autres. Dès que possible il me faudrait
la recevoir dans mon lit. Un simple étage nous séparait. Elle aurait son
amant dans l’immeuble.

Je devins en un tournemain son esclave. Peut-être était-il écrit dès le
premier jour qu’elle m’asservirait de la sorte. J’étais devenue un fou
furieux de son corps. Les leçons furent vite apprises. Miguel eût été
bien étonné de voir la rage brutale avec laquelle je la sodomisais. Son
cul devint mon paradis. Je devins un autre homme. Une sorte de monstre à
mes yeux. J’eus du mal à cacher aux autres ma métamorphose. Je découvris
d’un seul coup toutes les femmes en elle. Pourquoi n’avais-je auparavant
goûté à ce fruit défendu ?

Elle eût cependant à se défendre de ma jalousie. J’avais mal à supporter
que je ne pus seul la satisfaire. Elle était irrépressiblement attirée
par d’autres bites. Miguel notamment avait droit à la foutre des fois
sur les parkings. Elle ne se sentait exister que prise par nombre
d’hommes. A ce titre je refusais plus d’une fois de participer aux
orgies dont elle « tait le centre. Enfin et peu à peu elle put me
convaincre de toucher à d’autres femmes, d’autres garces. Ainsi pus-je
me détacher d’elle lui vouant comme je vins à lui dire une éternelle
reconnaissance.

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