Cette histoire m’est arrivée avec ma copine Julie, il y a quelques temps maintenant.
J’avais à l’époque 26 ans et ma copine 25 ans.Julie est une très jolie fille, assez petite 1m 65, de longs cheveux blonds, des petits seins fermes mais surtout un cul de fou et un regard bleu très coquin.
On était ensemble depuis 2 ans et tout se passait plutôt bien excepté une baisse de notre libido depuis quelques temps. En effet, la routine s’était installée et on avait moins souvent des rapports et ils étaient également moins passionnés.
Les choses ont vraiment commencé à se détériorer quand elle s’est rapproché d’un de ses collègues de travail; Jean. C’était un queutard qui travaillait avec elle depuis plusieurs années et j’avais constaté qu’il lui tournait autour. J’avais eu l’occasion de le rencontrer à une soirée organisée à son travail. C’était un grand brun, assez beau gosse qui aimait les femmes et qui l’aimaient en retour. J’avais remarqué plusieurs fois des textos mais les réponses de Julie m’avaient toujours satisfaites car il n’y avait pas d’ambiguïtés Cependant, plus notre vie sexuelle s’affaiblissait plus ses textos se faisaient volage.
Un jour, alors qu’elle était sous la douche je regarde son téléphone et voit une conversation qui m’a dérangé:
-Jean: » Ça va ma chérie? Toujours dans ta vie de couple ennuyeuse?
-Julie:Oui et toi mon chou? Ahah t’es con, dis pas ça, c’est pas si mal.
-Arrête je vois bien comment tu me regardes, ça se voit que tu en as marre.
-C’est vrai que t’es pas mal mais j’ai un copain, je suis fidèle.
-On verra…
-Je suis impénétrable lol …
-Vraiment? 🙁
-Ça dépend de la taille de ta clé… 😛
-Une grosse clé de 25cm.
-Pfff, arrête, c’est des proportions d’acteur porno, n’abuse pas.
-Je pourrais si je voulais mais j’aime trop travailler avec toi pour quitter mon job.Mais si t’es sage je te la montrerais un jour.
-Pas tant que j’ai un copain Jean.Et de toute façon on est juste pote.
-Ça va je rigole. »
Voyant, ces textos je me devais de lui demander une explication.
« -Tu te fous de ma gueule, je viens de regarder ton portable,c’est quoi ces textos?
-Oh ça va m’emmerde pas, tu vois bien que je rigole. En plus, je lui dis que j’ai un copain et qu’il se passera rien.
-Tu vas me dire que tu l’allumes pas?
-Mais non, pas du tout je rigole.
-C’est juste un pote alors?
-Mais oui. »
Cependant, je n’étais pas rassuré, un jour où elle était dans la salle de bain je regarda ses conversations Facebook. Je fut intrigué par une discussion avec sa meilleure amie Séverine. Julie lui expliquait que le sexe était vraiment bof avec moi et que Jean l’excitait de plus en plus; qu’elle se touchait en pensant à lui. Ma chérie demanda à sa copine qui avait déjà couché avec si les rumeurs à propos de lui étaient vraies. Malheureusement pour mon orgueil, elle lui répondit qu’il avait vraiment une queue gigantesque et qu’il savait bien s’en servir le salaud.
J’étais vraiment énervè et déçu que Julie pense cela de notre vie sexuelle et surtout qu’elle en parle à sa copine. Cependant, je ne lui en parla pas afin d’éviter une nouvelle engueulade et pensa que chacun avait le droit à ses fantasmes. De plus, lui en parler ne le ferait que devenir plus prévoyante et ainsi cacher ses conversations.
Pendant quelques temps les choses se sont améliorées. Un soir, après le travail j’avais décidé de nous faire un repas en amoureux. Je m’étais vraiment donné du mal, foie gras, champagne et compagnie. Le repas fut vraiment sympa et afin de pimenter notre fin de soirée, j’avais décidé de faire un jeu coquin avec ma chérie, un jeu simple mais efficace d’action ou vérité. Elle accepta avec plaisir, étant légèrement éméchée par le champagne et le vin. Elle commença; « Action ou vérité mon chou? » L’entendre m’appeler de la même manière que l’autre enculé de Jean m’irritait au plus haut point mais je décida de ne pas gâcher cette soirée et répondu donc vérité.
« -Avec combien de filles as-tu couché?
-5.
Ce jeu allait nous permettre de nous découvrir un peu plus car on n’avait jamais tellement de nos relations respectives d’avant.
Je lui demanda donc également combien de partenaires elle avait eut. Sa réponse me frappa, 16 partenaires.
« Tu boudes bébé?
-Non, non, tu fais ce que tu veux. L’important c’est maintenant.
-Exactement. Bon à mon tour. Quelle est la chose la plus folle que tu ais fait niveau sexe?
-Ahah, euh j’ai couché dans un ascenseur. » Dis-je assez fier de moi. « Et toi? »
-T’es sur de vouloir le savoir?
-Oui bien sur.
-Ok, bah j’ai couché avec deux hommes en même temps.
– T’es pas sérieuse?
-Si, si mais comme t’as dit, l’important c’est maintenant. Me dit-elle en se foutant ouvertement de ma gueule.
Découvrir que ma copine s’est faite baisée par deux mecs en même temps me fit me rendre compte que c’était une petite salope.
Ce jeu me donna surtout l’opportunité de savoir si ce qu’elle m’avait dit sur Jean était vrai.
-Oui comme tu dis mais ça me choque un peu. Bon, action ou vérité?
-Vérité.
-Comment tu trouves Jean?
-Oh, bébé, c’est pas des questions à poser à sa copine non?
-Réponds.
-Bah il est beau gosse.
-Est-ce que si t’étais célibataire tu pourrais coucher avec lui?
-Même sans être célibataire. Dit -elle en riant.
-Pardon?
-Je déconne mais oui si j’étais célibataire pourquoi pas. En plus, ma copine Séverine a couché avec et m’a dit que c’était un sacré coup avec une grosse queue.
– Franchement tu me dégoutes, t’as pas honte de me dire ça?
-Oh ça va, chacun ses fantasmes ahaha. Non, mais je suis pompette je sais plus ce que je dis. Tant qu’on est ensemble je te promet il se passera rien.
-Tu sous-entends que si on est plus ensemble…?
-Non j’en sais rien. »
Le soir-même, je décide de faire abstraction de cette discussion et m’entreprends à faire l’amour à Julie. Cependant, assez rapidement j’ai une panne qui me vaut le mépris de Julie et ses critiques. « T’arrives même pas à me baiser. Je vais aller me faire baiser par Jean si ça continue, lui au moins il saura me donner du plaisir. »
-Va te faire foutre.
-J’y compte bien, dit Julie.
Dès le lendemain cependant, Julie me présente ses excuses et me dit qu’elle a déconné.J’en suis ravi et ne lui en tient pas rigueur et étant d’un naturel pas rancunier, je décide de passer à autre chose. S’en est suivi une période relativement longue où nos relations se sont améliorées hormis peut être au niveau du sexe. Cela restait un problème majeur dans notre couple et je restait suspicieux même si Julie paraissait heureuse.
Je ne put m’empêcher donc tout de jeter un nouveau coup d’œil à son téléphone. Par curiosité, ou par contrôle, je ne sais pas. Ma surprise a été grande quand j’ai vu sur son compte facebook qu’elle avait commenté une photo de Jean; où il apparaissait torse nu. Je dois avouer qu’il est bien foutu l’enculé, des pectoraux saillants, des abdominaux bien dessinés. Julie avait commenté qu’il était dommage qu’on ne puise voir sa « clé » sur la photo. Celui-ci répondait qu’il lui enverrait en privé avec plaisir.
Je regarde donc dans les messages échangés avec Jean et découvre une photo de lui à poil, avec sa grosse bite bandée à la main. Quel enculé, je dois bien avouer qu’il en a une grosse, et peut être même de 25 cm. Mais ce qui me foudroya le plus était la conversation qui suivait:
« Julie:Oh,putain, t’avais peut etre raison. Elle a l’air de faire 25cm….Après faut voir en vrai lol
-Jean: Tu pourras mesurer avec tes mains si tu veux.
-J’ai pas assez de mains; je pourrais m’aider de ma bouche?
-De tout ce que tu veux, même de ta chatte si tu veux.
-Ça rentrera jamais…
-On parie?
-Ok. Moi je dis ça rentre pas.
-De toute façon on est juste potes non?
-Après avoir vu cette photo, j’ai peut être envie de plus 😉
-Au fait, tu viens avec le reste des collègues demain en boite?
-Ah oui j’avais oublié; oui bien sur je viendrais si tu y vas.
-A demain alors bébé 🙂
-A demain mon chou <3"Foudroyé, totalement foudroyé par cette conversation. Je m’imaginais déjà lui casser la gueule à cet enculé et insulter de sale pute Julie. Mais il fallait que je sois sur avant de prendre une décision hâtive. J’étais fou amoureux de Julie et ne voulait pas tout gâcher sans raison. Elle n’avait jusque là rien fait de trop mal non? Il fallait que j’en ai le cœur net.Quand elle m’annonça qu’elle allait en boite le lendemain, je feins la surprise.
« -Avec qui tu y vas chérie?
-Mes collègues de boulot.
-Jean sera là?
-Bah oui bien sur pourquoi?
-Tu sais que je l’aime pas trop.
-Et alors? Lui non plus t’aime pas. Et puis moi je l’aime bien.
-Comment ça il m’aime pas? Il me connait pas.
-Quand il t’avait rencontré il t’avait pas apprécié.Mais on s’en fout de ça.
-Ok, ok. Sois sage en tout cas.
-Mais oui, t’inquiète.
-Bon bah puisque tu sors, je passerai surement la soirée chez Marc.
-Ok pas de soucis, tu fais ce que tu veux. »
J’avais surtout en tête l’idée d’arriver à motiver Marc d’aller dans la même boite de nuit afin de l’espionner en allant dans la en cachette. Le lendemain, Julie se prépare, et met sa tenue la plus sexy. Robe noire moulante, ouverte dans le dos, et ouverture sur l’avant et talons noires. Elle est magnifique, je ne peux m’empêcher de regarder son superbe cul cambré. Je remarque tout de suite qu’elle n’a pas de sous vêtements et lui demande pourquoi.
« Mais parce que c’est moche et ça fait des marques. »
Je ne pus m’empêcher d’imaginer Jean défaire sa robe par le demain et la pilonner à fond avec sa grosse queue. De plus, elle s’habille jamais aussi sexy pour moi…
Vers 22h ce samedi, elle s’en va donc rejoindre ses collègues et moi je me rends chez Marc, mon meilleur ami. Il y avait d’autres amis à nous chez lui et on commence à boire. Je dois avouer que j’ai bu plus que de raison, ce qui rendit mes idées confuses et hostiles. Je voulais à nouveau lui casser la gueule à ce queutard et insulter copieusement ma copine. Vers minuit, je propose à tout le monde qu’on se rendre en boite. Cependant, personne n’est vraiment motivé. je blêmis et me demande comment faire pour les motiver. Les idées les plus folles me traversent l’esprit, j’imagine Jean se faire sucer par Julie dans les toilettes pour ensuite la défoncer en levrette dans son appart. Il faut que j’empêche ça, je l’aime trop, je la ramènerais à la raison. Après de longues négociations, ils ne veulent toujours pas m’accompagner, prétextant ne pas avoir d’argent.
Suite à un pathétique élan de générosité intéressé je leur dit que je leur paye à tous l’entrée et leurs consos. Peut-être lassé par mes demandes, ils cèdent.
Arrivé à la boite de nuit, je dois être discret afin de surprendre un éventuel écart de Julie. Cependant, mon fort taux d’alcoolémie ne m’aide pas à être discret ou attentif.Après quelques dizaines de minutes de recherche, j’aperçois Julie et Jean. Ils sont sur la piste de danse bien éloigné du reste du groupe de collègues. Ils dansent lascivement collés l’un à l’autre; durant un instant je crois même voir Julie embrasser Jean et lui att****r sa bosse dans le jean. Je fonce alors vers eux pris d’une rage furieuse mais arrivé à leur hauteur l’attitude des deux tourtereaux me laisse sans réaction, comme s’ils étaient complétement innocents et exempt de tout reproche. Je me retrouvais même dans la position d’accusé par ma copine et mon ébriété ne m’aidait pas à me justifier.
« Qu’est-ce que tu fais là? Me demande Julie
-Euh Marc, et les autres ont voulu aller en boite.
-Tu fais chier vraiment, je peux jamais être tranquille.
-Calmez vous » intervint Jean.
Je l’avais à peine remarqué; c’était la deuxième fois que je le voyais seulement. Il me donnait des complexes ce salaud. Un grand sourire arborait sa face, et il me paraissait presque sympathique d’un coup, comme une sorte de syndrome de Stockholm.
« -De toute façon on partait bientôt. Dit Jean. Accompagne nous.
-Mais non, c’est la soirée entre collègues dit Julie. En plus, il est bourré, il va me souler. Et tu dois me montrer un truc oublie pas.
-IL doit te montrer quoi? Dis-je.
-Un truc pour le boulot, répondit Julie avec un sourire en coin.
-Mais si t’inquiète pas, il peut venir. Je peux te le montrer quand même.
Etait-ce l’alcool qui me rendait complétement confus ou avait-il vraiment l’attention de baiser ma copine sous mes yeux?
Une fois de plus, j’avais l’impression de devoir tomber sur le fait accompli pour être vraiment énervé.
« -Bon, ok je viens.
-Mais tu nous laisses tranquille. Dis Julie »
Arrivés chez Jean avec Julie et le reste de ses collègues; il sort alors plusieurs bouteilles de vodka et de rhum et déclare qu’il faut continuer la soirée avec des gages notamment.
Le jeu consistait à lancer deux dès. Les deux joueurs avec le plus petit jet de dès avaient un gage. Comme par hasard lors du premier lancer, ce sont Julie et Jean qui étaient gagés. Une de leurs collègues qui avait l’air de vouloir qu’il se passe quelque chose entre eux deux donna comme gage une lutte. Celui sur le dos aurait perdu.
Jean et Julie se mettent alors au milieu de la pièce et commencent à s’att****r par les bras, les hanches les jambes. Puis, Jean se place derrière Julie et lui att**** les seins des deux mains, puis une de ses mains part lui palper le cul fermement.
A ce moment, c’en est trop pour moi et j’interviens.
« Moi:Bon ça suffit là. C’est ma copine quand même.
Jean:Tu la remplaces alors?
Julie:Oh non, on sait pas qui a gagné.
Jean:On verra ça après. Bon alors tu te décides? Dit-il de manière presque agressive.
Je ne pouvais refuser même si la défaite m’humilierait encore plus.
Moi: Ok ok,je le fais. »
Quand elle dit ça tout le monde se mit à rire. Je me sentais humilié, je devais le défoncer. Malheureusement pour moi il était beaucoup plus fort. J’essayais tout pour le mettre sur le dos mais c’était en vain. Après quelques minutes, il décide de m’achever, me fait une clé de bras et m’immobilise au sol. Sa prise me fit hurler de douleur, j’avais l’impression qu’il m’avait casser le bras.
» Jean:Ça va n’en rajoute pas. Viens avec moi dans la cuisine je vais te donner un doliprane.
Une fois dans la cuisine il me donne deux cachets blancs. Je me dis qu’il est peut être temps pour moi de mettre les choses au clair.
« Moi:il y a quoi entre toi et Julie?
Jean: Franchement, il y a rien. On se plait physiquement mais c’est tout. Elle est super ta copine, t’en fais pas.
Moi: Il s’est jamais rien passé?
Jean: Non vraiment. Je toucherais jamais à une fille en couple de toute façon, c’est pas cool.
Moi: Ok ça me rassure.
Jean: Allez viens dans le salon. »
J’étais presque vraiment rassuré, comme si j’avais tout oublié des épisodes précédents.
Le jeu des gages se déroula par la suite sans que ni Julie ou moi ne soyons sollicités, les gens s’en allaient petit à petit et je me sentais de plus en plus fatigué et amorphe. L’association des médicaments et de l’alcool me mettait dans un sale état.
Je demanda donc à Julie de nous en aller.
« Julie: Bah t’es trop bourré pour conduire et c’est Jean qui est venu me chercher.
Moi: On prend un taxi alors.
Julie: Non ça va couter un max. On peut dormir ici non?
Jean: Oui pas de problèmes. Vous pouvez prendre le canapé et moi ma chambre.
Julie:Mais je suis pas fatigué encore.
Jean: On peut mettre un film si vous voulez.
Julie: ça marche.
J’étais pour ma part trop ko pour répondre. J’arrivais à peine à garder les yeux ouverts. J’entendais tout d’une voix lointaine et à peine audible. J’apercevais par moment, l’écran de télé qui diffusait un film érotique. Malgré toute ma volonté pour lutter contre la fatigue, mes yeux se fermaient contre mon gré.
Julie: Ca y est, il dort. Bon alors tu me montres ton monstre?
Jean:Ici?
Julie:Oui, ça m’excite et puis il a qu’à mieux me baiser.
Jean: Bon ok.
Je pouvais juste entendre mais j’arrivais pas à ouvrir les yeux, comme pris au piège dans un mauvais rêve.
J’entends Jean défaire son pantalon.
Julie: Attends, je vais t’aider.
J’entends Jean se lever et ses vêtements tomber à terre.
Waouh, elle est énorme vraiment.
Jean: Je t’avais prévenu.
-Il me reste plus qu’à compter.Une main; deux mains. Il en reste encore la moitié je fais comment? Dit-elle minaudant.
-Sois imaginative.
-D’accord…. *slurp slurp* glo glo glo
J’entendais des sons, je savais qu’elle le suçait. J’arrive à ouvrir et les yeux et vois sa bite énorme remplir la bouche de ma copine. Elle a la mâchoire grande ouverte et les deux mains tiennent la base de sa queue. Toujours incapable de prononcer le moindre son mais j’arrive à ouvrir les yeux . Julie me regarde paniquée.
-Il s’est réveillé.
-T’inquiètes je lui ai donner du GHB, il se souviendra de rien et il peut à peine bouger. Allez viens dans la chambre.
Il porta Julie comme une plume et la déposa sur le lit, la porte de la chambre grande ouverte. Il la pose sur le rebord du lit, et lui metta deux doigts dans la chatte et lui lèche le clitoris en même temps. Elle gémit comme jamais, crie, couine. Je l’avais jamais vu comme ça. Il la fait se lever, et comme je l’avais imaginé, lui enlève sa robe par le devant.
Julie: Tu vas me baiser maintenant?
Jean:oh oui, et on a pas fait notre pari encore.
Julie: Oui mais vu comment je suis mouillé ça va rentrer je pense. Dit-elle haletante.
Jean présente alors à ce moment son énorme gland à l’entrée de la chatte de ma chérie, il la pénétrè doucement mais surement. Il entre de plus en plus en elle, elle cherche son souffle elle crie déjà. Puis, une fois bien au fond de sa chatte, il la pilonne comme un fou lui arrachant des cris de plaisir.
« Défonce moi Jean, je suis ta pute, baise moi comme une chienne. »
Il la retourne, et la prends en levrette sur le lit, sa bite est tellement grosse qu’il en rentre à peine la moitié dans ma copine.
Bam, bam ,bam le lit tape le mur
Julie: » Met toi sur le dos, je veux m’empaler sur ta queue.
La lumière du petit matin en contrejour me laisse apercevoir les ombres formées par les deux amants. Cela me laisse encore mieux me rendre compte de sa grosseur rentrer dans la chatte de Julie. Elle se déchaine, fais des va et vient avec son bassin.
Julie:Encore, encore, j’y suis presque.
Pour terminer ma copine, Jean décide de la soulever et lui met les deux mains sur les murs. Il la prend alors par derrière et la pénètre fortement. Julie n’en peut plus et jouie de toutes ses forces.
« Julie: Vas-y éjacule moi sur le visage, gicle moi dessus.
Jean se retire de Julie, la met à genoux devant lui et vide son énorme bite sur le visage, dans la bouche et les cheveux de ma chérie. Le sperme dégouline de son visage pour tomber sur le sol. Après quelques minutes de récupération, il ferme la porte et j’entendis de nouveaux cris lointains.
Quand je me réveilla le lendemain, ils étaient tous deux dans la cuisine en train de petit déjeuner. Je ne savais à ce moment là toujours pas s’il s’agissait d’un rêve ou de la réalité.
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