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31 Novembre
La chaleur est insupportable. Pourtant, je fais mes tournées dans les plantations en jeep, heureusement que la plupart du temps c’est le long du fleuve et que je peux me baigner fréquemment pour me rafraîchir.
Clarisse continue à me rejoindre, le soir. Elle à l’air d’aimer ça, c’est une fille sexuelle comme un petit a****l, ardente et réactive. Et puis, elle est magnifique, je ne me lasse pas de la caresser, sa peau, ses seins, ses fesses son des aimants pour mes mains. Par contre, la conversation est au niveau zéro, elle me rejoint le soir et quand je me réveille, elle est déjà partie. Je me demande si sa famille sait que maintenant elle me rejoint presque chaque soir.
Et puis, il y a autre chose qui me dérange. Je suis attiré par son joli cul et souvent, je lui lèche la chatte, et même si elle se tortille en semblant ne pas apprécier, elle me laisse faire. Par contre, à chaque fois que j’approche son trou du cul, soit avec mes doigts quand je la pénètre par derrière, soit avec ma langue, quand je remonte au-dessus de son sexe, elle se dérobe et elle me l’interdit. Elle se tortille en m’insultant. Je comprends que chez les malgaches, l’anal est un tabou et qu’ils vient cela comme une souillure. Décidément, ils ne savent pas ce qui est bon. Et puis, Clarisse est jolie et soumise, mais, elle manque vraiment d’ imagination. Ce n’est que pénétration et jouissance verticale. Je suis content d’avoir une femme dans mon lit, ou dans mon jardin, mais je m’ennuie déjà. J’ai envie d’autre chose.

01 décembre
J’ai rencontré hier à « La Bernique » la nouvelle institiutrice. Une belle rousse aux cheveux longs. Veuve, il paraît. Son mari a disparu en 1940. Mais je m’inquiète pour sa santé. Elle est tellement fine et pâle que je me demande si elle pourra tenir sous le soleil de ce pays.

27 décembre.
Je m’étais inquiété pour rien. Marguerite est bien plus solide et bien plus surprenante que je ne le pensais. Nous avons convenu à « La Bernique » de nous retrouver pour que je lui fasse découvrir les environs, les berges du fleuve, les hauts-plateaux et la bande côtière. Elle est enthousiaste et n’a pas de mots assez enthousiaste pour parler de ce pays. Mais sa peau est tellement pâle que je lui commande de se protéger le plus possible. Pourtant, elle est infatigable. Elle veut tout découvrir et se plait à rencontrer les villageois à chaque étape.
Le premier soir, nous avons dormi à la belle étoile. Elle m’a parlé de son mari défunt, des projets qu’ils avaient en commun, et de ses ambitions d’enseigner outre-mer. Je crois que je n’ai fait que l’écouter.
Mais le deuxième soir, nous avons logé dans un village important sur la côte, avev des bungalows, de l’eau à volonté, et un excellent repas de langoustes et de crevettes au riz pimenté. Elle n’a pas refusé, cette fois, le verre de punch que je lui proposais et après le deuxième, je lui trouvai un regard et un ton assez nouveau. Après le repas, elle me regarda dans les yeux et me dit : »Tu n’as bpas eu l’impression pendant la guerre que nous n’avions pas assez d’amour ? » Je ne sais plus ce que je lui dis, mais ce que je sais, c’est que nous étions ensemble, dans son bungalow, à nous embrasser sur la terrasse. Comment c’était arrivé, j »e ne sais pas, mais Marguerite, une fois passé sa réserve naturelle, semblait très bien savoir ce qu’elle voulait. Tout en m’enfonçant sa langue dans la bouche, elle pris ma bite entre ses mains à travers mon pantalon et me la pressa de telle manière que je me suis senti possédé. Elle colla sa bouche contre mon oreille et me murmura : « Tu veux faire tout ce que tu veux avec moi ? Je veux être ton objet, ta chose. »
Ses paroles ont libéré quelque chose en moi. J’étais déjà sous le charme de cette belle rousse aux yeux marron, aux formes opulentes. Mais là, elle venait de heurter la touche sensible. J’avais envie à la fois de l’aimer comme un amant et de la forcer comme un voleur. Mes mains remontèrent vers ses seins plantureux et se mirent à les pétrir tout en l’embrassant encore plus fougeusement. Ma langue fouillait sa bouche et sa langue répondait à la mienne. Je me sentais aux portes du paradis.
Je n’en pouvais plus, je l’emmenai sur le lit où je la couchai de tout son long, sur le ventre. Et là, pendant que je l’entendais haleter des « oui, vas-y » ou des « fais-moi ce que tu veux », je relevai sa robe sur ses jambes, au-dessus de ses fesses. Son cul était terrible ! Une orbe de douceur et un violent appel à l’amour. Je saisis ses cuisses pour les masser, je m’insinuai dans la partie intérieure avec une force impérieuse et je remontai vers son entrejambe. N’en pouvant plus, je lui écartai les jambes brusquement pour mieux voir son sexe et son cul. Je ne sais pas comment, je trouvai sous la main une écharpe et une serviette avec lesquelles je lui attachai les jambes avant qu’elle ait pu réaliser ce qui se passait. J’écartelai ses jambes sur le lit et les attachai solidement aux montants. Je me sentais maintenant le maître de cette femme, offerte, impudique. Elle se tortillait et m’encourageait : « Vas-y, prends-moi, fais-moi mal, fais-moi ce que tu veux , je veux tout! » Cette invitation, ce consentement libérait dans mon esprit des digues qui se déversaient dans ma bite et dans mes mains.
Je commençai par pétrir ses fesses charnues, je les caressai, je les fessai même et à chaque fois, son cri de surprise et de douleur finissait sur une note de plaisir. Sa belle peu de rousse gardait des marques bleues de mes mains sur ses fesses. Puis je revins vers cette zone que j’aime par-dessus tout, dans l’intérieur des cuisses, juste sous le sexe, et là, par trois fois, je crachai toute la salive que je pouvais pour la lubrifier et je remontai, avec les pouces, cette salive vers son con et son anus. Et je saturai les lèvres de sa chatte de cette salive onctueuse, qui se mêlait à la cyprine qu’elle exsudait, je massai ses lèvres entre mes doigts, je remontai vers son clitoris qui saillait comme un petit penis. Elle avait un mont de vénus si charnu qu’on n’aurait pu l’avaler que par moitié à chaque fois.
Il me vint à l’idée de frapper cette motte de mes doigts, d’abord gentiment, puis de plus en plus fort. Je réajustai ma position, au-dessus d’elle, pour tapotter ses jambes écartelées comme un petit tambour. Mais comme elle mettait ses mains en gémissant pour éviter la souffrance, j’attrapai le drap de lit, lui liai les mains et les attachai à la tête de lit. « Maintenant, tu es sans défense, lui dis-je, je peux faire absolument ce que je veux, et personne ne viendra ici. » Il est vrai que nous étions à de des milliers de kilomètres de la civilisation. « Oh oui, fais-moi tout ce que tu veux » me répondit-elle. J’enfouis mes doigts dans sa chatte et les fit aller et venir, doucement d’abord, prenant connaissance des moindres replis intérieurs de son intimité, puis de plus en plus vite, ne sentant à la fin que l’échauffement et la brûlure intérieure de ses chairs tuméfiées. Puis je sentis ses muqueuses s’engorger, se gonfler, j’entendis ses halètements s’envoler et je pressentis son orgasme s’approcher. Je plaquai ma bouche contre son clitoris et le malmenai de ma langue, qui rejoignais aussi mes doigts dans son vagin le plus profond qu’ils pouvaient. Les pulsations se firent de plus en plus violentes et, brusquement, elle se mit à éjaculer dans ma bouche en hurlant. Je recevais le jus de son plaisir en pleine bouche. Il était si abondant et si puissant qu’il éclaboussait sur mon visage et tout autour mais je ne me reculai pas. Au contraire, je plaquai ma bouche contre son sexe pour boire toute cette explosion. Pouah ! Que c’était salé ! mais quelle douche, quelle extase de se tenir là, au coeur de ce geyser de plaisir. Je continuai longtemps à lécher consciencieusement de ma langue cette chatte détendue qui avait bien dû gicler pendant une minute au moins. J’étais trempé et le lit aussi, mais j’avais dû en boire bla moitié.
Subitement, je réalisai que mon ardeur était encore insatisfaite et que mon sexe était dur comme de la pierre. Je la détachai fébrilement pendant qu’elle reprenait ses esprit et je la retournai sur le ventre, puis, je l’obligeai à se mettre à genoux, la tête dans les oreillers en lui disant, « maintenant, je vais t’enculer, et tu vas aimer ça ». « Oh oui, me répondit-elle, encule-moi, j’adore ça ». Je lui claquai le fesses avec une brutalité que je ne me connaissais même pas et finis par une serie de fessées portées directement sur la région de l’anus pour le rendre plus sensible et réceptif.
Après ces coups qui nous excitèrent encore plus, je lui crachai directement sur le cul et lui enfournai deux doigts de la main d’un coup pour la préparer. Elle poussa un cri de douleur au premier abord, mais qui se changea en un gémissement de plaisir et de bonheur comme je n’en avais jamais entendu. « Oh, j’adore ce que tu me fais » dit-elle. Je sentais au fond de son rectum les sanies de sa digestion, mais je m’en foutais. J’étais au fond d’elle et elle aimait ça. Je lui caressai l’intérieur de l’anus dans tous les sens, en haut, en bas, à droite, à gauche, le pouce dans le vagin pour rejoindre les doigts en massant les parois et son foutre jaillissait par saccades de son sexe. Je joignis finalement deux doigts de l’autre main dans son cul en écartant bien les parois pour la préparer. Là, elle suffoquait mais en redemandait encore plus. N’en pouvant plus, je lachai son trou du cul et la saisit par les hanches pour la pénétrer de ma bite d’un seul coup. Malheureusement, en deux ou trois mouvements, j’avais déjà atteint le summum de mon excitation et j’éjaculai tout ce je pouvais dans ses fesses. Je m’effondrai sur elle et je continuai à aller et venir pendant plusieurs minutes en râlant de plaisir. Elle aussi ondulait des fesses pour prolonger sa jouissance. « C’est bon ce que tu m’as fait, mais la prochaine fois, fais moi encore plus mal, j’adore ça. »

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