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Manon, ma grosse salope. Ch.5

Manon, ma grosse salope. Ch.5



Chapitre 5. Je ratt**** le temps perdu et je teste ma fille.

Pendant 3 jours nous ne sortons pas de l’appartement. On reste collé l’un contre l’autre. Pratiquement toujours nus, toujours prêts à faire plaisir à l’autre, moi avec ma queue et elle avec sa chatte et sa bouche gourmande.

Au réveil, ma fille suce déjà ma bite qui a sa érection matinale. Moi je déguste sa chatte en même temps, jusqu’à ce que j’avale son jus en guise de café matinal et elle sa crème préférée.

Ce matin en prenant un vrai café, je regarde ses gros seins qu’elle a , à ma demande, posés sur la table, et comme chaque fois que je m’émerveille devant sa fabuleuse poitrine, ma bite se retrouve au garde à vous. Bien sûr, en belle salope, elle le remarque tout de suite. Avec une expression gourmande, elle vient s’asseoir sur mes genoux, face à moi. Comme par miracle, ma queue se retrouve dans sa chatte toute chaude. Mon sexe enfoncé dans le sien jusqu’aux couilles, nous finissons de prendre notre café matinal étroitement imbriqués l’un dans l’autre en échangeant des baisers entre deux gorgées.

Puis, excité par sa chatte qui palpite sur ma queue, je la renverse sur la table de cuisine. Elle att**** ses jambes par le dessous de ses cuisses pour les tirer vers sa poitrine et elle m’implore.

– Baise-moi, papa. Fais encore jouir ta petite salope de fille.

Que ne ferais-je pas pour lui faire plaisir et qu’elle me pardonne de l’avoir abandonnée dans sa jeunesse.

Après cette bonne baise matinale qui nous a fait gueuler de plaisir, elle va prendre sa douche. Rien que de voir son cul se balancer sous mes yeux, je ne peux résister et je la rejoins pour nous laver mutuellement. Lorsque je frotte ses fesses, elle se penche en avant et elle me dis.

– Frotte bien Papa ! Je colle de partout ! N’oublie rien…

Ma main pleine de mousse parcoure ses fesses rondes et moelleuses de ses hanches aux cuisses qu’elle écarte pour me livrer sa chatte et surtout son petit trou. Je suis sûre que ma cochonne de fille le fais exprès pour m’exciter car elle est insatiable et elle m’a avoué qu’elle était encore vierge de se coté là en attendant que son papa lui dépucelle son petit trou du cul. Mes doigts frottent sa chatte et son anus en de longs allers retours et lorsque qu’en gémissant son petit trou c’est entrouvert, je glisse mon pouce dedans en même temps que deux de mes doigts dans son con bien humide.

Je continue de doigter mon ange pervers pour me régaler de ses gémissements qui varient d’intensité suivant les points sensibles que je presse de mes doigts, dans sa chatte et son trou du cul. J’ai droit à une belle jouissance de ma fille avant qu’elle ne s’écroule dans la baignoire. Je la regarde reprendre son souffle en me branlant au-dessus d’elle et je vois son envie briller dans ses yeux qui fixent ma bite qui sort et disparaît dans ma main.

Elle se redresse et c’est sa main qui remplace la mienne pour prendre mon gland entre ses lèvres pour l’aspirer tellement fort que j’ai la sensation qu’elle veut extraire mon sperme depuis mes couilles gonflées. Mais sa bouche, faite pour sucer des queues, avale ma bite et ses douces lèvres glissent vers le bas de mon sexe avec sa langue pressée contre lui. Dans ses yeux je vois le plaisir qu’elle a de me faire ça.
Ses deux mains att****nt mes fesses, sa tête va d’avant en arrière, et je l’entends gémir autour de ma queue Avec un rythme lent et régulier, elle me suce divinement et je me laisse faire en admirant ses gros seins qui se balancent et sa croupe mise en valeur par sa position.

Ma grosse salope de fille me donne envie de jouir et c’est moi, maintenant qui lui baise sa bouche en tenant sa tête entre mes mains.

Manon gémit avec moi et elle accompagne mes mouvements pour que ma bite disparaisse entièrement dans sa bouche jusqu’à ce que mes couilles frappent son menton. Ses yeux sont verrouillés sur les miens avec un regard de convoitise absolue qui me fait aller encore plus vite dans ta bouche.

Quand elle prend mes couilles pour les presser dans sa main, je n’en peux plus et je m’écris.

– Putain de salope ! AAAaahhhhh…

Elle retire vivement ma bite de sa bouche pour ne pas étouffer sous le flot de sperme qui bouillonnait dans mes boules. Ça coule sur la commissure de ses lèvres et elle déglutit pour reprendre une bouffée d’air. Elle dirige ensuite ma queue frémissante sur sa figure pour recevoir les salves suivantes de crème blanche avant d’ouvrir de nouveau ta bouche pour récupérer les derniers jets de sperme chaud et épais.

Mon foutre coule sur ses joues et méchamment excité je lui dis.

– Tu n’es qu’une putain de salope, ma fille ! Une vraie pouffiasse !

Me rappelant ses confidences, je me lâche complétement et je me mets à lui pisser dessus pour arroser ses seins puis, par vice, sa figure. Mais elle est encore plus dépravée que moi car elle ouvre sa bouche encore pleine de foutre et elle tire sa langue pour laper mon urine qui éclabousse son visage !

Le pire c’est que j’ai du plaisir à lui faire ça ! A elle ! À ma belle-fille ! Mon ange ! Ma fille chérie ! Moi, qui pour l’humilier encore plus, ajoute en sortant de la baignoire.

– Tu peux reprendre une douche ! Tu ressembles aux putes des bas quartiers qui se font pisser dessus pour quelques Euros de plus. Et tu pues l’urine et le foutre !

En frottant ses seins avec ce mélange de foutre et d’urine, elle me regarde avec un de ses sourires les plus pervers et elle murmure.

– Je t’aime Papa. Merci pour le plaisir que tu me donnes. Tu peux faire tout ce que tu veux avec moi.

– Moi aussi mon bébé je t’aime. Mais tu restes quand même une sale chienne lubrique que je dois dresser !

Après le déjeuner je la surprends en lui disant.

– Vas t’habiller mon ange. Nous allons prendre l’air, faire quelques emplettes et ce soir je t’emmène au restaurant. Fais-toi belle et sexy. Je veux être fier de ma fille et faire bander les hommes que tu vas croiser quand on va se balader avec toi à mon bras.

Quand tu réapparais, je me retiens pour ne pas te sauter dessus car tu ressembles à une call-girl en quête de client. Ta robe t’arrive à mi-cuisse sur tes jambes nue chaussées de hauts talons rouges et quand tu virevoltes devant moi, je peux voir le bas de ton string rouge coincé entre tes fesses. Le haut retient à peine tes gros seins qui ne demandent qu’à s’échapper à la moindre occasion.

C’est exactement ce que j’espérais vu le lieu où je vais te mener et les achats que je veux faire avec toi.

Une heure et demie plus tard, dans une petite ville ou ma fille n’est sûrement pas connue, je m’arrête devant une maison assez anonyme avec une plaque sur le côté de l’entrée.

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Je t’entraîne dedans après avoir tapé un code et dès que nous passons l’entrée, Manon réalises tout de suite que nous sommes dans une sorte de sex-shop.

La plupart des clients sont des hommes, et je n’aperçois qu’une toute jeune femme accompagnée par un homme plus âgé et une femme d’environ 40 ans dans le rayon vidéo. Tu me regardes en souriant malicieusement et tu me dis.

– Papa, t’as pas honte d’emmener ta fille dans un endroit pareil !

– C’est pour parfaire ton instruction, mon ange.

– Comment tu connais cet endroit, tu viens juste de rentrer.

– En réalité, ça fait plus d’un mois que je suis rentré d’Australie. Désœuvré, à ta recherche, j’ai visité les environs et quelques endroits réputés pour leur libertinage. Je savais que tu vivais par là, mais ta mère ne voulait pas me donner ton adresse. Finalement, quand je lui ai dit que j’étais dans le car pour venir la voir, elle m’a donné ton adresse. Je suis descendu pour prendre le car qui venait en sens inverse et quelle fut ma surprise quand je t’ai vue au fond du car. Je m’apprêtais à t’accoster, quand je t’ai vu plonger sur la queue de ce gros porc répugnant ! Le ciel m’est tombé sur la tête mais j’ai quand même regardé car c’était très excitant, en me disant que ce n’était pas ma fille, mais une femme qui lui ressemblait.

– Toi aussi tu es un gros cochon, papa. Oooh regarde les belles bites !

Devant le rayon des godes, tu restes effarée devant la diversité des sexes.

-Tu peux les toucher, ceux de présentation sont faits pour ça. Tu en prends un de bonne taille et tu le caresses d’une main en le tenant par ses fausses couilles.

– C’est drôlement bien imité, papa. Même au touché on dirait une vraie bite, c’est doux et bien ferme en même temps.

Manon teste d’autre godes que je lui présente mais finalement elle revient sur le premier qui a tout de suite attiré ton regard et elle me dit.

– Je préfère celui-là. Il ressemble à ton sexe Papa. Peut-être un peu plus gros…On peut l’acheter ?

– Bien sur Manon on est là pour ça. Attend-moi deux secondes

Je la laisse un instant se faire reluquer par deux gros vicieux qui frôlent son cul en passant derrière elle et je reviens avec le vendeur qui en passant devant toi, plonge ses yeux dans ton décolleté profond avant de dire.

– Suivez-moi, je vais vous faire voir nos nouveautés.

Il nous montre un tas de gadgets sexuels, plus fou les uns que les autres et mon choix s’arrête sur un œuf vibrant et un Plug conique commandés à distance, une belle bite synthétique un peu moins grosse que la mienne mais beaucoup plus longue, environ 25 cm avec un nœud vibrant, une sorte de Plug constitué de 5 boules de grosseur différentes allant de la plus petite à la plus grosse, des menottes avec des chaînes, d’une cagoule et d’un collier de chienne avec sa laisse.

Manon me regarde et elle me dit.

– Papa…je ne sais pas ce que tu veux faire avec tout ça mais je ne suis pas sûre que je vais aimer.

– On verra, ma petite salope ! N’oublie pas que tu m’as dit que je pouvais faire ce que je veux de toi. Et si ce n’est pas sur toi, je trouverais bien une façon de l’utiliser sur quelqu’un d’autre.

– Papa !

Le vendeur revient vers nous et il me dit.

– La pièce est prête et les clients attendent.

– Nous sommes seuls ou avec quelqu’un ?

– Une dame attend le début du concours.

– Papa… quel concours ?

– Suis-moi, tu vas comprendre.

Je l’entraîne dans une pièce ou sur un pan de mur on aperçoit plein de trous avec un numéro au-dessus, à différentes hauteurs, entre 1 m et 1.5 m, au-dessus d’un tapis en caoutchouc. Nous sommes dans un glory-hall.

– Papa ! C’est bien ce que je pense !

– Oui, ma salope, tu vas participer au concours de la meilleure suceuse du mois.

La règle est simple. Tout d’abord vous avez 5 minutes pour exciter les mecs qui sont derrière cette cloison en leur faisant un trip d’enfer, au coup de sonnette, ils passent leurs queues dans un trou numéroté et vous avez 10 minutes pour en faire jouir le plus possible sur votre corps. Des caméras film juste au-dessus pour valider les points et permettre aux mecs de profiter du spectacle.

Affichage de la meilleure pipeuse en fin de mois avec un bon d’achat conséquent. En prime, tu peux avoir le numéro de portable de la queue que tu as le plus aimée si tu as retenu le N° du trou. Je te présente ta concurrente : Peggy la cochonne. C’est son pseudo sur internet.

– Papa ! Je ne peux pas faire ça ! Viens, on s’en va !

– Manon ! Tu vas m’obéir ! Sinon j’achète un fouet pour te punir !

– Nooon ! Papa ! Pas le fouet ! Je ferais tout ce que tu voudras.

– C’est bien ma fille, compte tenu de ton addiction au sexe et tes talents tu peux sûrement être élue reine du mois !

Un haut-parleur se déclenche. « Début du concours dans 1 mn. »

– Papaaaaaaaa !

– Je reste là chérie, soit la meilleure.

Coup de sonnette et une voix annonce « C’est parti ! A vous de jouer mesdames ! »

Peggy la cochonne est déjà dans l’arène et ne perd pas de temps. Elle dégrafe son chemisier pour exposer ses seins de belle taille et les faire rouler de gauche à droite.

Du coup, Manon retire sa robe et son soutien-gorge pour prendre ses gros seins dans ses mains et les balancer dans tous les sens. Peggy la regarde et dégrafe sa jupe qui tombe par terre. Elle n’a pas de slip et elle se retourne vers le mur plein de trou pour présenter sa chatte toute poilue, en étirant le plus qu’elle peut ses lèvres intimes de ses doigts afin de montrer son vagin ouvert à tous les regards des pervers derrière la cloison.

Dans les hauts parleurs on entend des exclamations et des grognements de gars en chaleur. C’est la seul chose qu’ils sont autorisés à faire.

Excitée et prise au jeu de ce voyeurisme particulier, Manon revient vers moi, enlève sa robe et me présentant son cul elle m’ordonne

– Retire mon string ! Salopard !

Ce que je fais immédiatement. Manon retourne vers la cloison en tournant son gros cul vers les spectateurs anonymes. Elle se baisse et avec ses deux mains, elle écarte largement ses fesses pour exposer son trou du cul et sa chatte en même temps.

Les grognements augmentent d’intensité derrière la cloison d’autant que Peggy est en train de doigter sa chatte d’une main pendant que l’autre presse un de ses seins en tirant son téton entre deux doigts.

Mais le temps est passé et on entend sous un roulement de tambour.

– Messieurs…présentez…Armes !

Devant leurs yeux apparaissent une bonne vingtaine de queues de toutes sortes. Des grosses, des longues, des tordues, des blanches et des noires, des glands plus ou moins décalottés et certains ont déjà une perle de pré sperme qui suinte.

Peggy est la première à se précipiter sur ces morceaux de choix mais 1/10 de seconde plus tard, Ma fille tombe à genoux devant les bites les plus basses et ses deux mains s’accrochent à deux belles queues alors que sa bouche engloutit celle du milieu.

J’admire sa technique. Elle est vraiment douée et on voit qu’elle aime ça ! Sa bouche va et vient sur ce sexe inconnu. Elle retient le gland entre ses lèvres, elle le suce, elle lui donne des coups de langue pour le faire bondir de haut en bas puis elle l’avale entièrement pour faire glisser le bout dans sa gorge et l’écraser en déglutissant.

J’entends même un murmure dans le haut-parleur.

– Putain ! Quelle salope ! Elle me fait déjà jouir !

En effet, Manon retire sa bouche et des jets de sperme lui éclaboussent son visage et ses seins. Elle n’attend même pas la fin des giclées qu’elle a déjà saisi une autre queue pour l’avaler goulûment et en att****r une autre de sa main libre.

Peggy ne donne pas sa part aux chiens car du sperme coule aussi de sa bouche et elle s’occupe aussi de son deuxième pénis.

Je n’en crois pas mes yeux ! J’ai sous mes yeux deux belles femmes, complétement à poil, qui bouffent comme des affamées de la queue fraîche et moins fraîche avec une incroyable frénésie comme des sauvageonnes en manque de nourriture depuis plusieurs jours.

Suivent leurs positions, j’ai deux culs splendides qui se trémoussent devant moi et des seins recouverts de sperme qui se balancent sous mes yeux. Je me retiens pour ne pas en embrocher un avec ma bite que j’ai sorti de mon pantalon tellement elle est gonflée et dure. Leurs mains et leurs bouches s’agitent sur les sexes et dès qu’un membre crache les premières gouttes de sperme, elle le dirige vers leur corps pour valider le point et rajouter une couche supplémentaire sur leur peau dégoulinant de foutre. Derrière la cloison ce n’est que grognements et râles de plaisirs et des qu’un trou se libère une belle queue bien tendue réapparaît.

Quelques minutes avant la fin du concours, le score est à égalité. 12 bites pour chacune de ces magnifiques salopes recouvertes de crème blanche qui dégouline de leurs bouches, de leur visage, de leur poitrine et de leur ventre.

Au coup de sonnette, ma fille gagne d’une fraction de seconde et s’asperge de sperme en criant

– J’ai gagné ! Je suis la meilleure !

J’applaudis des deux mains et je réponds.

– Bravo, Manon ! J’ai parié sur toi et j’empoche la mise !

Trois belles queues sortent encore des trous et je remarque qu’elle les regarde fixement, presque hypnotisée en léchant ses doigts poisseux.

Le haut-parleur vibre et…

– Mesdames, vous n’allez pas laisser ces trois bites s’en aller sans les faire pleurer…

Manon regarde Peggy, elle lui sourit en raclant le sperme sur sa figure et toutes deux vous vous occupez ensemble de ses pauvres sexes délaissés. Par moment j’ai l’impression que vous bouffer la même bite ensemble et que vos bouches se rejoignent sur le haut d’un gland quand il crache sa lave chaude. Aussi salopes l’une que l’autre !

Il faut que je prenne le N° de téléphone de cette pute car elle doit avoir d’autres talents cachés.

Mais moi je ne tiens plus et je me branle derrière vous sans tenir compte de qui me regarde sur les écrans de télé. Quand les trois pénis ont rendu grâce, Peggy se retourne vers moi et crie.

– Baisez-moi ! Vite ! J’en peux plus !

Elle se met à quatre pattes devant moi et elle me tend son cul. Ma bite en main je farfouille entre ses fesses, trouve un trou dégoulinant de mouille et je l’embroche d’un coup sec et violant.

– OOOOoohhh, OUIIIiiiiiiiiiiii !

Ma fille, me regarde avec un air de reproche, jalouse prête à bondir.

– Manon, donne-lui ta chatte ! Elle va te bouffer pendant que je la baise !

Son élan vers moi est stoppé et regardant quelques secondes Peggy, qui sous mes coups de bite couine comme une truie, elle semble hésiter.

– Manon ! Fais ce que je te dis et je te réserve mon jus !

Elle sursaute et elle se glisse sous Peggy pour prendre sa tête pleine de foutre et la plaquer sur sa chatte trempée.

– A tes ordres Papa ! Allez, sale pute ! Fais-moi voir si tu bouffes aussi bien les chattes que les queues !

En baisant Peggy, je vois son trou du cul qui palpite et je me dis que je vais aussi l’enculer. Mais je n’en ai pas le temps car elle gueule de plaisir sous un orgasme qui fait trembler tout son cul. Ma fille en profite pour se dégager et se mettre en position en disant.

– A mon tour, papa ! Et ne te retiens pas ! Défonce-moi bien !

Je ne me retiens pas et je lui laboure violemment son vagin pour bien lui faire sentir mon pieu dur comme du granit. Peggy remise de son orgasme se place comme ma fille était précédemment sous elle, et ordonne.

– A ton tour salope ! Essuie ma chatte qui dégouline !

Dans les hauts parleurs on entend des applaudissements frénétiques. Je me lâche dans la chatte de ma grosse salope de fille quand elle jouit à son tour en s’exprimant fortement.

– OOUIIIIIIIIIII, CONTINUUUUEEEE ! AAAAAHHHHHHH ! PAPAAAAAA !

Après un passage dans les toilettes, je la récupère de nouveau maquillée et le vendeur s’approche d’elle.

– Voici votre bon d’achat, Madame. Et toutes mes félicitations ! C’est la meilleure prestation que j’ai vue depuis pas mal de temps ! Vous serez sûrement la reine du mois et de l’année ! Revenez quand vous voulez. Nous avons aussi un salon VIP pour vous accueillir avec des attractions très spéciales.

Moi je la regarde, fier de ma fille, ma salope, mon amour.

– Nous viendrons prochainement, promis. N’est-ce pas Manon ?

– Tout ce que tu veux Papa et quand tu veux !
Je me dirige vers la sortie mais elle s’attarde avec le vendeur qui en souriant lui donne un petit bristol.

Phantome

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