HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS
Mon mari est excédé par mon comportement et suite à sa volonté de me punir je suis de nouveau captive et soumise aux caprices de mon geôlier, qui ne prend son plaisir qu’en maltraitant les femmes, dans une propriété depuis le lundi.
Le jeudi:
Il pleut je pense que je vais passer la journée enchaînée dans le cachot mais je me trompe.
Après avoir revêtu un imper et chaussé des bottes car il ne veut pas se mouiller pour « une salope comme moi » il me sort nue à l’extérieur.Je dois mettre les bras vers l’arrière et il attache mes poignets à la colonne d’un lampadaire au bord de l’allée qui mène à son habitation.
Je suis à la vue de personnes qui entreraient dans la propriété ce qui m’angoisse.
Mathieu sort sa voiture du garage pour aller travailler et s’arrête à ma hauteur.
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J’ai la chair de poule et bien qu’il ne fasse pas froid je frissonne à cause de la pluie qui cingle mon corps et des bourrasques de vent.
La pluie ne cesse pas, au contraire elle est de plus en plus abondante, le temps me paraît bien long et je me sens mal.
le temps passe, quelqu’un ouvre la grille à l’entrée de la propriété et vient vers moi, c’est une femme d’un certain âge chaussée de bottes et protégée par un imperméable. Elle s’arrête à côté de moi et m’examine des pieds à la tête.
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Elle continue son chemin, entre dans la maison et n’en ressort qu’après un bon moment.
Elle s’arrête encore à côté de moi. d’une main elle écarte mes cheveux collés sur mon visage, elle tire sur mes tétons à les arracher puis met un doigt dans mon intimité.
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Bâillonnée je ne peux pas lui répondre.
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Elle s’éloigne, je ne comprends pas ce qu’elle a voulu dire.
La pluie a cessée depuis peu de temps et le soleil est revenu, il fait très chaud quand mon maître rentre de son travail plus tôt que d’habitude. Il m’amène dans le salon ou il me prend en levrette.
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Il oublie volontairement que je ne mange pas le midi.
Bâillonnée, les poignets et chevilles entravées par les menottes il me promène en me tenant en laisse. Je ne peut pas faire de grands pas car la chaîne qui relie les bracelets des menottes qui entravent mes chevilles est courte.
Parfois il m’invective, frappe mes fesses avec ma laisse et m’oblige à trottiner, dans les endroits ombragés ça va mais quand il s’arrête, ce qu’il fait plusieurs fois, c’est en plein soleil et je sens la brûlure des rayons solaires sur mon corps nu.
Le soir il décide qu’exceptionnellement je ne peux pas coucher dehors car ma litière est mouillée, bien que d’après lui j’aime bien être au grand air.
Je me retrouve allongée sur un plaid posé à même le sol de béton dans le cachot situé au sous-sol ou j’ai déjà été détenue la fois d’avant. Il attache mon collier à une chaîne fixée dans le mur qui me laisse peu de latitude pour bouger la tête puis bras à l’équerre et jambes bien écartées mes membres sont immobilisés par des sangles fixées à des anneaux scellés dans le sol.
Couché sur moi il me pénètre et me défonce puis déverse sa semence dans mon vagin.
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Il se moque de moi.
Le vendredi:
Avant de partir il m’amène dans un endroit ou il y a de grands arbres, il entrave mes poignets qu’il relie à une corde passée autour d’une branche d’arbre qu’il tend pour que j’ai les bras levés et que je ne conserve qu’un minimum de liberté de mouvements.
La position est très fatigante au fil des heures.
A un moment de la journée j’ai la surprise de voir apparaître deux hommes qui restent béats en me voyant attachée nue les bras levés.
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Bâillonnée je hoche la tête pour dire que j’accepte, de toutes façons je ne peux pas refuser sans m’exposer à des représailles.
Ils commencent par caresser et tripoter mes seins mon ventre et mon sexe puis des doigts pénètrent mon intimité.
Il mettent à l’air leur pénis et chacun leur tour ils se collent contre moi et me défoncent la chatte y laissant rapidement leur sperme. Une fois qu’ils m’ont prise chacun deux fois en s’encourageant ils remballent leur engin et s’en vont en me disant que cela leur avait fait du bien et que Mathieu a de la chance d’avoir une belle putain aussi obéissante à sa disposition.
Le sperme abondant coule sur mes cuisses, le long de mes jambes et sur le sol.
Comme tous les soirs quand Mathieu rentre il me délivre et après que je lui ai servie de vide-couilles il m’emmène tenue en laisse dans la salle de bain.
Ensuite il me menotte les poignets et les chevilles, les deux paires de menottes sont reliées entre elles par une chaînette ce qui limite mes gestes.
A genoux à côté de lui sur le carrelage de la cuisine, la laisse attachée à un pied de table, il pose mon assiette sur le sol et je mange dans cette position.
Le repas terminé il se met a genoux derrière moi et me prend en levrette.
Ce soir il reçoit une femme qui me paraît assez âgée au physique ingrat, je reconnais celle qui m’a parlé dans la journée du jeudi.
Quand elle me voit à genoux, entravée avec les menottes plus le collier autour du cou et la laisse attachée à la table elle se met à rire.
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Il s’adresse à moi.
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C’est la première fois que je suis en mesure de prononcer des paroles. Il libère mes poignets et mes chevilles.
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Me tirant sans ménagement par la laisse elle me conduit à l’endroit indiqué par mon maître.
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Je l’étreins et pour qu’elle se taise je colle ma bouche sur la sienne. Je suis incommodée par la mauvaise odeur qu’elle dégage, ma langue cherche la sienne, elle répond à mon baiser que j’essaie d’écourter mais elle en redemande.
Je la caresse partout par dessus ses vêtements à l’aspect douteux puis je commence à la dévêtir tout en caressant, embrassant et léchant les parties de son corps que je mets à nu.
Ce que je vois n’est pas ragoûtant, son corps est négligé avec en plus des bourrelets de graisse, des seins plats poilus aux aréoles, sa toison épaisse est très étendue, sans parler de la touffe de grands poils sur ses aisselles. Je ne parle pas de l’état de propreté de ses sous-vêtements.
Sans précipitation je caresse sa poitrine, lèche et embrasse ses seins et suce les tétons.
Ma bouche et ma langue descendent sur son ventre puis sur ses cuisses et enfin sur son sexe après avoir écarté les poils avec les mains, l’odeur est très désagréable.
Ma bouche est sur l’entrée de sa chatte, ma langue fouille l’intérieur gluant. Elle appuie fortement sur ma nuque avec ses mains pour que ma langue pénètre plus profondément.
Au bout d’un moment prenant du plaisir elle s’allonge d’elle même sur le lit.
Je me mets à genoux à côté d’elle et je recommence à embrasser et lécher ses seins plats et à sucer ses tétons pendant que mes mains caressent son ventre puis ses cuisses et enfin son sexe.
J’introduis des doigts d’une main dans sa chatte et dans son cul et je la doigte pendant qu’avec l’autre main j’agace puis masturbe son clitoris.
Les mouvements de son bassin me montrent que le plaisir monte dans son ventre et elle commence à gémir la bouche grande ouverte.
elle s’agrippe à un de mes seins me faisant très mal.
J’accélère le doigtage de sa chatte et la masturbation de son clitoris, elle se cambre et prise de spasmes elle jouit.
Je continue un bon moment à la torturer jusqu’à ce qu’elle aie plusieurs orgasmes pendant qu’elle tord ou étire mes tétons, pince mon clitoris ou met des doigts dans ma chatte et mon cul. deux fois entre ses jouissances je dois à sa demande aller fouiller sa chatte avec ma langue et lécher son clitoris, comme elle appuie fortement sur ma nuque avec ses mains j’ai la figure et le nez pleins de ses secrétions vaginales à l’odeur fétide.
Pendant ses montées de plaisir elle m’insulte copieusement et je reçois des claques sur les fesses.
Quand je vois qu’elle reste inerte à force de jouir je me lève et attends à côté du lit qu’elle récupère pour me ramener à mon maître.
Elle finit par se relever et se rhabiller.
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Nous retournons dans le salon.
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J’obéis et ils me regardent masturber mon clitoris ce qui me gène.
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J’accélère les mouvements de mes doigts et martyrise plus fortement mon clitoris.
Le plaisir monte dans mon ventre mais moins vite que quand c’est un homme qui me masturbe.
Ils parlent entre-eux et se moquent de moi puis Amandine qui n’est pas patiente prend les choses en main.
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Elle se positionne à genoux et se met à masturber mon clitoris violemment, le plaisir que je ressens devient de plus en plus intense, finalement mon corps se tend et les spasmes accompagnent les jets de cyprine qui sortent de mon vagin pendant que j’ai un orgasme.
Amandine se relève.
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Je reçois l’ordre de lui lécher la main et surtout les doigts, j’obéis sans me rebeller.
Amandine s’en va après avoir bu un verre d’apéritif. Mathieu ne pouvait pas trouver mieux que cette femme peu ragoûtante et méchante pour m’humilier.
Pourvu qu’une punition ne me ramène pas ici car elle s’arrangera pour s’occuper de moi, m’en faire baver et me frapper.
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Ensuite il met la boule/bâillon dans ma bouche et tourne la vis pour la faire gonfler écartelant mes mâchoires et me réduisant au silence.
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De nouveau je me retrouve enchaînée contre le mur les chaînes tendues sans liberté de mouvements dans le noir.
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Après une attente interminable Mon geôlier revient, je me retrouve allongée sur le plaid bras et jambes attachés par des sangles.
Il se couche sur moi et me pénètre sans précautions, il me défonce avec des coups de reins violents pour rapidement éjaculer dans mon ventre.
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Il frappe mes cuisses et mon ventre avec ma laisse.
Il sort de la pièce et éteint la lumière, j’essaie de dormir incommodée par les odeurs désagréables héritées d’Amandine.
Pendant la nuit il revient me pénétrer et arroser mon vagin, de nouveau il m’insulte pour ma puanteur.
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