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Merci a toi belle collègue.

Merci a toi belle collègue.



Ce fût une merveilleuse soirée n’est-ce pas? Les invités ayant maintenant tous quitté, je sens l’excitation de cette soirée faire place à un calme divin lorsque je me laisse tomber sur ce confortable fauteuil. Tu es là, assise juste à côté de moi. Pourquoi es-tu toujours là, toi qui toute la soirée a éveillé en moi une sensation exquise? Toi qui m’était parfaitement inconnue jusqu’à maintenant… pourquoi?

La pénombre envahit peu à peu la pièce où nous sommes mais, malgré tout, je peux encore percevoir ta longue chevelure qui descend sensuellement sur ta poitrine, ton magnifique visage et les courbes de ton corps qui, toute la soirée, m’ont littéralement fasciné. Ta voix douce, tes rires, ton sourire m’apaisent et l’anticipation de me retrouver seule avec toi fait maintenant place à l’envie folle de sentir ton corps contre le mien.

Depuis combien de temps sommes nous ici? …je n’en sais rien mais mon désir est tel, que j’ai peine à retenir mes lèvres qui rêvent de se poser sur les tiennes. Tu me regardes tendrement, est-ce un signe?… une excitation indescriptible s’empare de moi, ton regard devient plus insistant… oui, c’est bien un signe!

Je dépose mon verre sur la table et m’avance doucement vers toi… je pose ma main sur ta cuisse, tu fermes les yeux. Ta peau est douce comme la mienne et ce premier contact me rappellent les instants que j’ai su savourer lorsque, tard dans la nuit, j’imaginais ce moment en me caressant doucement. Fermant les yeux à mon tour, je me penche légèrement et pose mes lèvres dans le creux de ton cou… ton parfum est enivrant et le murmure de ton souffle ne font qu’augmenter mon désir pour toi. De ma langue, je trace un long chemin jusqu’à ta bouche… tu entrouvres les lèvres et me fait enfin cadeau de ta langue. Nous échangeons un baiser délicieux, ta salive a goût de miel, notre péché n’est que gourmandise exquise et nos lèvres maintenant soudées osent à peine se séparer… lorsque, d’une façon presque instinctive, je sens tes mains s’enfouir dans ma longue chevelure rousse et me guider habilement plus bas.

Au travers ta chemise, je sens la pointe de tes seins qui, fièrement, se dresse durement pour moi. De mes mains, je déboutonne ton chemisier et expose ta merveilleuse poitrine… je prend alors celle-ci fermement entre mes mains et la caresse, passant du massage aux baisers, je ne me lasse de mordiller et lécher tes mamelons, je ne me lasse de caresser celle-ci de ma joue et de mes mains… je ne me lasse jusqu’au moment ou je sens ton corps se arquer afin de m’offrir encore plus. Je m’écarte légèrement et je prends quelques secondes pour te contempler, tu es tellement belle. Tu entrouvres la bouche et, dans un murmure, me supplie de continuer.

À genou devant toi… je dépose mes mains sur tes hanches et, d’un mouvement précis, je glisse doucement ta jupe vers le sol afin de te libérer complètement. Tes jambes, maintenant écartées, me laissent découvrir le gousset de ta petite culotte qui, dû à l’excitation, a revêtu une teinte légèrement plus foncée. Comme je rêve d’enfoncer ma langue en toi et goûter ton désir. Je dépose un baisé sur ta cuisse et commence une montée langoureuse le long de celle-ci. J’aime entendre tes soupirs et chaque léchée laissée par le tracé qui me rapproche de ton sexe m’apporte un plaisir immense. Combien de fois ais-je rêvé à ce moment? Comment de fois ais-je désiré faire l’amour à une femme? Les chiffres se mélangent dans ma tête… trop souvent… trop longtemps c’est certain. Je reviens à la réalité lorsque je sens sur le bout de mon nez, l’humidité de ta culotte. L’odeur de ta chatte m’enivre comme un parfum d’une valeur inestimable… mon cœur bat maintenant à tout rompre.

Ta respiration devient de plus en plus profonde je sens tes mains qui, encore une fois, se glissent dans ma chevelure. Je lève les yeux vers toi et, sans te faire attendre plus longtemps, je glisse ma langue le long de ta petite culotte… ta réaction est immédiate et je sens tes mains se resserrer dans ma chevelure. De mes doigts j’écarte le tissu humide qui me sépare de ton sexe, je me penche et, doucement, je pose un baisé sur tes lèvres. Ma langue gourmande s’enfonce légèrement et glisse le long de ta chatte… des sons graves jaillissent de ta bouche… je vis un moment divin et des pulsations vigoureuses envahissent maintenant le bas de mon ventre. Tu relèves légèrement les fesses afin que je puisse te donner davantage de plaisir, j’en profite pour glisser mes mains à l’extérieur de tes cuisses et enlever ta culotte… un peu surprise tu souris et tu te réinstalles confortablement en prenant bien soin de ne pas refermer tes cuisses.

Toujours agenouillé devant toi, je pose mes mains sur tes genoux et, d’un mouvement délicat, j’écarte tes jambes davantage. Encore une fois, ma langue se pose sur le dessus de ta cuisse et doucement remonte le long de celle-ci. Lorsque j’atteins ta chatte, mes doigts se posent sur tes lèvres, agilement j’expose ton clitoris et finalement je pose ma langue sur celui-ci.

Ma langue est chaude, douce, humide et, oh combien sensuelle, je le sais, tu me l’a murmuré… ton dos maintenant bien arqué laisse libre cours au mouvement de va et vient qui accompagne chacune de mes léchées… tu es délicieuse. Je te pénètre de ma langue, j’enveloppe tes lèvres de mes lèvres et je te pénètre à nouveau… ta respiration profonde ne fait qu’augmenté mon désir de te faire jouir. Ton nectar coule sur mon menton alors que ma langue remonte doucement sur ton clitoris. Petit objet de plaisir intense… je le suce, le mordille, la lèche et la caresse longuement… son gonflement sur ma langue est tellement agréable. Sans m’arrêter, je glisse un doigt en toi… celui-ci entre presque instantanément, aspiré par la passion qui t’anime… tu me fais entendre ta satisfaction par un petit crie. À l’unisson, ma langue et mon doigt te font valser dans un tourbillon sans fin… Tantôt pénétré, tantôt léché nous savons toutes les 2 que ta jouissance sera exceptionnelle. J’accélère la cadence de mon doigt et, dans un mouvement de rotation langoureux, je presse ma langue un peu plus sur ton clitoris… « Oh oui, je vais venir », ces paroles sont comme une douce chanson à mon oreille… et lorsque, enfin, je sens la jouissance t’envahir, j’enveloppe ton clitoris de mes lèvres et suce celui-ci doucement afin de te faire savourer cette sensation le plus longtemps possible.

Tes cris de passion, tes murmures, ton souffle, tes grognements remplis d’érotisme, ta jouissance… tout cela restera à jamais gravé dans ma mémoire.

Pendant que, les yeux fermés, tu essais tant bien que mal de te remettre de tes émotions, je glisse une dernière fois ma langue entre tes lèvres afin de recueillir tout le fruit de cet orgasme. Un spasme éveillé par cette caresse te fait sursauté… tu me regardes et, ensemble, nous échangeons un magnifique sourire. Je presse mon corps contre le tien et doucement je remonte vers toi… j’embrasse et caresse ta poitrine au passage et lorsque j’atteint ta bouche, nous échangeons un autre baisé passionné.

Je t’offre un verre afin de reprendre ton souffle… c’est en me regardant que tu trempes tes lèvres dedans… tu déposes ensuite celui-ci sur la table et tu t’avances doucement vers moi… tu poses ta main sur ma cuisse, je ferme les yeux lorsque doucement je t’entend me dire « Ta peau est douce comme la mienne ».


Cette histoire ses vraiment passé et ma donné un réel plaisir et une jouissance sans pareil.

Un jour que j’étais en camping avec mon épouse, une collègue de travail désire de venir me rendre visite, seul. Je doit dire que depuis quelques années, cette collègue au corps plutôt jolie, m’attirais et alimentais souvent mes séances de masturbations solitaire et bienfaitrice.

Ce jour la, elle apparu d’une beauté sexuellement attirante. Toute la journée passer d’un intensité caché de désire et de regard perdu ici et la. Le soir venu, nous partîmes un feu de camps et vite nous nous sommes retrouver seul avec une seul idée en tête. Je lui propose donc d’aller la ramener à sa tente, qui était à deux minutes de la mienne.

Déjà au cour du retour elle entama de déguster mon membre déjà bien droit, mais elle se garda bien de le vidé de son désir. Arrivé a sa tente elle fit mine de vouloir se changer, mais je la prit par la taille et la fit basculer a l’intérieur et la on ne prit que quelques secondes pour se débarrassé de nos vêtements. Par la suite elle me dit :  » Regarde et prend plaisir « .

Elle se mit à se caresser les seins qui étaient fier et beau, rond surplombé de deux sublimes petits boutons rouges. Elle garda une main pour se malaxé les seins et entrepris de faire glissé l’autre sur ses lèvres déjà gorgées de désir et humide de son jus. En même temps, le spectacle m’avait gardé dans un état plutôt existé, j’entrepris moi aussi de me caresser et même d’arriver presque au point de non retour. La elle se mit a jouir comme j’avais rarement vu jouir une femme et elle me dit :  » Vite ! Vite! Prend moi et va aux fonds et viens ! Vient fort  » Biens sure j’étais tellement excité qu’il ma fallu que 5 minute de plus de se va et vient profondément en elle, en la regardent se caressé les seins si intensément, pour venir avec une séries de spasme d’une rare force qui même la secoua aux point quel me regarda avec le sourire d’une victoire quel préparais depuis toujours. Je dois dire que je suis retourné à mon terrain avec le sourire et que j’ai dormi comme un bébé.

Merci a toi belle collègue.

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