Y’a un mec qui m’a contacté via le site. Apparemment, je l’avais chauffé grave avec mon premier récit. Il m’a demandé si c’était vrai comme histoire parce qu’il se demandait si j’étais une vraie salope. J’y ai dit que le meilleur moyen de vérifier était de me baiser en vrai.
Son truc, c’était de baiser un pédé bien poilu et viril qui porte des talons de meuf juste. Et de le traiter façon hardcore, tu vois ? Pourquoi refuser ! Echange de photos donc. Tu verrais le type ! Yes ! Comme je les aime. Le vicieux frustré, en fait. Le mec qui baise en tricot de corps et chaussettes, le poil épars et la peau blanche, bedonnant et les cheveux gras retenus par des lunettes d’employé de bureau. C’est pas la classe, je sais mais je t’ai pas parlé de ce qui t’intéresses : sa bite ! C’est bien simple, c’est la même que Rocco, parole ! Droite, musclé, grosse, veinée, dure comme de la pierre. Vérifie sur une vidéo de Rocco et tu l’auras. Tu penses que je pouvais laisser passer ça ! Par contre, je vais morfler du cul, c’est signé. J’ai pas bien l’habitude encore et franchement, je vais la sentir passer. Mais tu ferais pareil à ma place, t’as pas le droit de dire non.
Alors, j’ai bien vu le type mais j’ai pas pu me la foutre au cul sa grosse bite. Trop mal au cul. Pourtant, quel délice quand il a frotté son gland sur mon trou de balle. Tu vois la scène ? Je suis sur le dos, les jambes bien écartées comme une meuf en rut. Je suis défiguré par une grimace de singe en chaleur. Je suis ivre de baise. Mais dès qu’il essaye de forcer mon trou, aïe ça passe pas. On a tout essayé mais ça a été niet. Du coup, il s’est vengé dans ma bouche. Putain, qu’est-ce qu’y m’a mis !
Normal, en même temps. Il était pas content, Marcel. Il était venu pour fourrer mon petit cul cambré par mes talons de pute. Il était chaud bouillant, le belge en vacances. Il est venu se taper une lope qui s’est un peu trop vantée. Il m’a déchaussé les dents du fond, le salaud. J’étais à genoux, classique mais ma tête était coincée entre ses deux énormes mains de métallurgiste au chômage. Je soufflais par le nez, pas moyen de me libérer la bouche. Le gars défonçait ma gueule de sac-à-foutre comme si c’était une chatte de poupée gonflable. Remarque, je suis pas loin d’en être une, quand j’y pense.
Tu aurais dû me voir, moi le mec viril, à genoux, pathétique avec une bite de pervers dans la gorge. J’étais rouge comme une cerise et des longs fils de bave tartinaient mes joues avant de dégouliner lentement sur ma poitrine velue. Berk, la salope sans dignité que voilà ! Mais c’est ça qui est bon !
Le type, il était dingue. Il hurlait des horreurs comme quoi, j’étais qu’un trou à bite, une pédale de merde, que je devrais avoir honte de me laisser baiser comme une vulgaire pute. Il me faisait la morale, ce vieux cochon dégénéré ! Tu sais le pire ? J’ai eu un moment de lucidité pendant que je me faisais ramoner la gueule et j’ai pensé à ma femme et mes gosses ! S’ils me voyaient en train de pomper un inconnu moche à grosse bite en train de décharger son foutre au fond de ma gorge, quelle honte !
Du coup, Marcel a exigé de s’essuyer la bite sur mon trou du cul afin de profiter une dernière fois de la vue. J’étais encore à quatre pattes, en train de trémousser mon fion souillé, comme une chatte en chaleur devant le mâle indifférent, quand le gars est parti comme un client de pute satisfait.
Du coup, je suis là, toujours à quatre pattes, à poil en train d’écrire cette histoire sur mon ordi. J’ai très envie de me faire enculer. Mais il me faudra une bite moins grosse à me fourrer dans le ventre.
Dis-moi la vérité : je suis pas un peu débile de faire ma salope comme ça ? T’aimerais toi, te retrouver à la place du belge ? Tu serais assez dingue pour me refaire ce qu’il m’a fait ? Quand on y pense, c’est fou, hein ?
Je m’en fous après tout. Je connais rien de meilleur pour prendre son pied.
Ah zut, je te laisse, je viens de gerber du foutre de Marcel sur mon clavier…
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