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Mon premier amant

Mon premier amant



Je fréquente Micheline une femme qui se révèle être une sacrée salope et une manipulatrice qui entraîne ses amies hors du droit chemin, c’est ce qu’elle cherche à faire avec moi mais crédule je ne la vois pas venir.

Pierre, un beau gars, vient souvent la voir et me tourne autour, il insiste dans sa drague.
Il me dit que je suis belle et que j’ai un beau corps, il blague et me fait beaucoup rire.
Je résiste bien qu’il me plaise.
Micheline me pousse en permanence afin que je me laisse tenter et que je saute le pas:
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Micheline est amie avec Claire la mère de Pierre. Elle l’a branchée avec un jeune, au moins 20 ans d’écart, elle leur prête son lit pour leurs ébats sexuels ce qui a semée la zizanie dans le couple de Claire.

Micheline s’arrange pour que je me rapproche et me lie aussi avec Claire et un jour celle-ci m’invite à boire un café (certainement conseillée par Micheline). Je me rends chez elle accompagnée de mes enfants. Son fils est là.
Nous parlons en buvant un café puis Claire décrète qu’elle doit aller voir Solange et quelle emmène mes enfants, ce qu’elle fait sans me demander mon avis.
Je reste seule avec Pierre, je comprends que je suis piégée et ne cherche pas à m’en sortir et comme la chair est faible.
Il insiste pour me montrer sa chambre, je le suis.
Arrivés dans sa chambre il m’enlace, m’embrasse. Je réponds à son baiser puis il caresse mon corps par dessus les vêtements, j’en fais autant sur lui.
Il sort son sexe et là stupeur, je reste bouche bée en voyant ses dimensions.
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Comme un automate je m’exécute sans répondre et la caresse de tous les côtés et sur toute la longueur jusqu’à ce qu’il dise:
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Toujours muette je m’accroupis, je tiens son monstre avec une main et je l’embrasse partout.
J’ouvre la bouche au maximum et fais pénétrer son pénis dedans. Ma bouche fait des aller-retour en essayant d’en engloutir le maximum et d’éviter la nausée.
Je m’active pour son plus grand plaisir à en avoir mal à la mâchoire et je me recule quand il dit qu’il va éjaculer dans ma bouche.
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Il est déçu car se faire sucer la queue, se soulager dans la bouche d’une femme et la voir avaler son sperme c’est ce qui l’obnubile.
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Je retire ma culotte et la jette sur le lit puis je m’allonge.
Il se met sur moi en écartant mes jambes, il remonte le peu de ma jupe qui cache mon sexe.
Sa queue bute contre mon intimité. J’ai peur qu’elle ne rentre pas ou que je sois déchirée car il n’y a pas eu de préliminaires. Il exerce une pesée avec le poids de son corps, son monstre pénètre difficilement mais inexorablement jusqu’à buter au fond de mon vagin.
Il se met à remuer et je ressens fortement les aller-retour de son pénis dans ma chatte dont il repousse les parois.
Même si j’apprécie les sensations que je ressens je n’ai pas le temps de prendre beaucoup de plaisir car rapidement il se retire et se tenant la queue pour que le sperme ne coule pas sur le sol très vite il se dirige vers les toilettes pour y laisser sa semence et s’essuyer. Je n’ai pas eu le temps de ressentir grand chose et je reste allongée à l’attendre pensant qu’il va y avoir une suite.
Il revient rhabillé et me dit:
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Je me lève déçue, remets ma culotte et je le suis.
Nous attendons le retour de sa mère en buvant du café et parlant de tout sauf de ce qui vient de se passer, ni de sexe.

En ce mois ou je vais avoir 20 ans dans une dizaine de jours je viens de me faire sauter par mon premier amant, si on peut appeler ça un amant.

la semaine suivante je me promène dans les rues avec mes enfants et je passe devant chez Pierre (certainement pas par hasard). Sa mère m’aperçoit, elle ouvre sa fenêtre et me demande d’entrer un moment.
J’acquiesce et pénètre chez elle.
Comme je le pressentais Pierre est là installé dans un fauteuil.
Elle nous sert un café que nous buvons tranquillement en parlant de choses et d’autres.
D’un seul coup elle se lève et dit:
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Elle part emmenant mes enfants.
Pierre se lève et me dit de le suivre.
J’obéis et le suis dans sa chambre, arrivés la, tout en déboutonnant son pantalon et sortant son gros sexe qui se dresse fièrement, il dit:
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je retire ma culotte qui atterrit sur le lit. Je m’allonge dans la position qu’il m’a indiquée. IL se couche derrière moi, replie mes jambes les genoux touchant ma poitrine.
Il place son monstre à l’entrée de ma grotte et exerce une poussée, je sens le coulissement du pénis qui force le passage et écarte les chairs jusqu’à ce qu’il tape au fond de mon vagin.
Il s’agrippe à mes hanches et sa queue commence ses va-et-vient dans mon ventre, son pilonnage ne dure pas très longtemps, il se retire et éjacule dans une serviette qu’il avait posée à côté de lui.
Il se lève et rajuste sa tenue, voyant cela je remets ma culotte et me lève.
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Je le suis dans la cuisine et nous buvons une tasse de café et parlons en attendant que sa mère revienne.

La semaine suivante nouvelle invitation de la part de Claire, je m’y rends.
Evidemment elle me laisse encore en tête à tête avec Pierre que je suis sans discuter dans sa chambre.
Le processus est le même sauf que je me retrouve à genoux la tête sur l’oreiller et il me prend en levrette pour un coït toujours aussi rapide.

Je laisse tomber car je pense qu’il me prend pour une « vide-couilles », lui se soulage, il n’y a pas de sentiments et mon plaisir il est ou???.
De plus je sais qu’il va voir Solange qui lui fait souvent surtout des pipes. Ensuite j’ai appris fortuitement qu’en même temps il entretenait une relation avec Marie Laure une des filles de Micheline, ce que cette dernière m’avait caché.

Je continue à voir Pierre en copain, parfois il passe me voir le matin de bonne heure (il travaille de nuit), mon mari est parti au travail à cette heure.
Un matin pas de chance mon mari revient à la maison, son bus n’est pas passé, Pierre se cache dans un cagibi et fait tomber des bouteilles.
C’est le drame, mon homme le sort de chez nous par la peau du dos, tremblante de peur je vais me cacher derrière la maison. Cela ne sert à rien il me trouve facilement et je dérouille: les gifles pleuvent, j’en pisse dans ma culotte.
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Vaincue j’enlève ma jupe et ma culotte, je m’approche de lui craintive.
Il s’assoit sur une chaise, attache mes mains ensemble côté ventre, il me couche sur lui et commence à frapper mes fesses sans retenue.
Je le supplie d’arrêter, il m’ordonne de me taire sinon il frappera plus fort. J’essaie de ne pas crier mais la douleur due à la v******e des coups est trop importante. je pleure et je crie mais il ne cesse pas de me frapper.
La punition semble durer une éternité. mes fesses sont enflées, tuméfiées et écarlates.
Il m’envoie coucher sur le sol à côté du lit avec juste un oreiller.
le lendemain matin j’achète le martinet et le soir il s’en sert sur mes fesses (très douloureuses de la fessée reçue) et sur mes cuisses. La douleur est pire que celle ressentie la veille.
Pendant plusieurs nuits je dois dormir à même le sol, il finit par m’attacher les mains dans le dos et les chevilles ensemble car il trouve que je remue trop à cause de la position inconfortable. je dors vraiment mal et le matin je me lève avec le corps endolori et les membres ankylosés mais je n’ose pas me plaindre.

Il m’a explique en quoi consiste ma punition:
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<<également tu porteras la robe que je t'aie préparée sans culotte et ni soutien-gorge et si quelqu'un vient tu peux le recevoir mais en portant cette robe, essaies la>>.
Il me tend une robe qui est dans l’armoire et que je ne mets plus, je l’enfile et surprise: il l’a découpée en divers endroits. je me regarde dans un miroir: le sein gauche est visible et le droit sort à moitié, un rond est découpé au niveau du sexe, pareil côté fesses, sur les côtés une fente qui monte très haut.
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Je baisse les yeux, il a gagné.
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Ce qu’il ne sait pas c’est que dans la journée je mets une blouse qui est accrochée dans un placard et qui me sert pour faire la cuisine et le ménage, ce qui me permet de recevoir mais pas de sortir.
Quand il rentre de son travail il ouvre la penderie et me donne une parka pour que j’aille faire quelques courses.

J’ai appris que la première fois que Pierre m’a sautée il s’est précipité chez Micheline en disant:
<<ça y est je l'ai eue, j'ai sautée Laura>>.
Il s’en ai également vanté dans le village. Je passe maintenant pour une putain, une traînée qui couche avec tout le monde.
Suite à ça des hommes ont commencé à me faire des propositions, certains n’arrêtaient pas de passer devant mes fenêtres attendant que je leur accorde mes faveurs sexuelles.

Dés qu’on aperçoit une voiture, dans laquelle il y a un couple tendrement enlacé, arrêtée dans un chemin en bordure des bois qui jouxtent le village il se dit automatiquement que la femme qui flirte ou plus c’est moi.
Mon écart de conduite n’a pas été une réussite.

Finalement j’ai laissée tomber Micheline et ensuite j’ai nouée une relation amicale avec Françoise une femme de mon âge avec qui je serais amie très longtemps avant que nos routes se séparent.

Suite à tout cela nous déménageons dans la ville voisine. Nous louons une maison en attendant de faire construire un pavillon dans un lotissement.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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