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Première fois en travesti (suite 1)

Première fois en travesti (suite 1)



Parcourue de spasmes de plaisir, je m’effondre à plat ventre sur le lit. Mon amant suit le mouvement et, toujours en moi, s’allonge sur mon dos. Nous restons ainsi un moment avant que je ne sente son sexe me quitter en me laissant un vide. Il me fait alors de petits bisous sur la joue, me léchouille l’oreille et me dit « Élodie chérie, c’était très bon, merci. Tu as un cul magnifique ». Ce à quoi je réponds « Merci tu es un amour, tu m’as fait jouir comme jamais. Je pense d’ailleurs que tu vas avoir de problèmes avec les voisins, tu vas perdre des clients ».
« C’est vrai. Tant pis. Veux-tu venir loger dans ma chambre pour le reste de ton séjour ? Je suis au calme. »
« Pourquoi pas ? Oui, avec plaisir.»
Il m’embrasse alors tendrement.
« Super ! Alors viens maintenant, je t’attends. »
Sur ce il se lève et je peux admirer son sexe au semi repos. Il se rhabille et m’indique où se trouve sa chambre en partant.
« A toute ma chérie ».
Je reste un moment sur le ventre savourant le moment en repensant à ce qui venait de se passer. J’aurais imaginé être gênée par la situation et suis surprise de me sentir bien et surtout surprise de me sentir féminine. Cette sensation de changer de sexe et d’être appréciée en tant que telle est étrange mais très agréable. Je finis par quitter mes réflexions car mon amant m’attend et il faut que je le rejoigne. Je passe par la salle de bain pour une nouvelle bouche. Lorsque j’en sors je me dirige vers mes vêtements d’homme mais me ravise : c’est en tant qu’Elodie que je vais le rejoindre. Je m’apprête donc à nouveau, je commence à avoir le coup de main et vais plus vite. Je fais rapidement ma valise et sors de ma chambre pour rejoindre la sienne.
Je frappe doucement à sa porte. Sans réponse je recommence un peu plus fort et il finit par m’ouvrir au bout de quelques minutes. « Je pensais que tu ne viendrais plus, je me suis endormi » me dit-il. « Ho ! Désolée. Tu préfères que je m’en aille ? » « Non, pas du tout, entre » Il me fait passer devant lui. Ce n’est pas une chambre mais un appartement qu’il a. Je le précède dans le couloir et je sens bientôt une main venir me caresser les fesses. Je glousse en accentuant mon ondulation. Nous arrivons dans un salon relativement spacieux et il m’invite à m’assoir sur le canapé.
« Tu veux un café, autre chose ? »
« Non merci, ça va, il est tard et j’ai peur qu’un café ne m’empêche de dormir. »
« Ok. C’est vrai qu’il est tard, tu veux venir te coucher ? ».
Passer la nuit dans le lit d’un homme ! Quelle perspective attirante. « Oui, avec plaisir ».
Il me conduit à sa chambre.
« Met toi à l’aise » me dit-il en se couchant sur le dos, les bras sous la tête, le regard rivé sur moi.
Après un moment d’hésitation je pose ma valise sur le bureau et, puisqu’il faut se coucher, j’en sors une nuisette en satin. Je commence alors à me déshabiller lentement, sentant son regard sur moi, autant lui faire plaisir et puis cela m’excite grandement. Je commence par quitter ma robe en la laissant tomber doucement, je m’assois sur le lit pour quitter mes escarpins, puis mes bas que je dégrafe des jarretelles avant de les rouler sur chacune de mes jambes. Il n’en perd pas une miette et je vois à son regard qu’il apprécie. D’ailleurs n’y aurait-il pas une bosse sous le drap ? Je dégrafe tant bien que mal mon corset, je garde mon string et passe la nuisette. Puis je m’allonge à ses côtés sous le drap. Je viens me coller à lui, la tête sur son épaule, une main sur son torse. Que c’est bon de le sentir sa chaleur. Mais n’avais-je pas vu une bosse, ne faut-il pas que j’aille vérifier ? Ma main descend donc, lui parcourant le torse et le ventre jusqu’à entrer en contact avec un sexe bien tendu sous son caleçon. Son souffle s’est accéléré et il a une légère apnée lorsque ma main entre en contact avec son vit tendu. Je passe sous son caleçon et commence à le masturber doucement. Il a fermé les yeux et semble s’abandonner complètement à la caresse. Je décide de pousser celle-ci un peu plus loin et commence à lui suçoter les tétons. Le rythme de sa respiration s’est encore accéléré et de légers gémissements m’indiquent qu’il apprécie. Je continue ainsi un moment, ma langue jouant avec ses tétons tandis que ma main le masturbe doucement. Puis j’entreprends une descente, quittant son torse je descends sur son ventre en dessinant une route sinueuse du bout de la langue. Je quitte son sexe, descends son caleçon et l’avale d’un coup en entreprenant de rapides allers retours. Ce changement de rythme le surprend et il se tend sous mes assauts tandis que ses gémissements se font plus forts. Je calme alors le jeu en lui caressant le gland du plat de la langue puis en le gobant pour le relâcher aussitôt, le faisant entrer et sortir de ma bouche. Il n’a pas changé de position et s’abandonne complètement. En salivant je le prends en bouche, et descends jusqu’à le sentir tout en moi, le nez sur son pubis. Je remonte alors lentement pour redescendre. Il gémit plus fort et commence à faire de légers mouvements de hanches. Je comprends que son plaisir est à son comble et j’entame des allers retours plus courts et plus rapides. Ces mouvement s’intensifient et viennent à l’encontre de ma bouche que je serre et desserts, la langue flattant le gland dès qu’il est à portée. Il se raidit soudain alors que son sexe est au fond de ma bouche et je le sens se contracter avant de m’emplir la bouche de son liquide chaud qui se repend au rythme de ses spasmes. Je suis remontée sur son sexe en la gardant en bouche, je reprends de lents va et vient jusqu’à ce qu’il finisse de ce vider dans ma bouche. J’ai gouté au mien, comment est le sien ? J’avale prudemment, il est bon, peut-être un peu plus salé que le mien, et je l’avale entièrement. Il me saisit alors la tête et me fait remonter sur lui. Nos langues se cherchent, se trouvent et nos lèvres se soudent tandis que nous échangeons un baiser passionné en partageant les quelques gouttes restantes de son jus. Cette joute orale m’a épuisée et je quitte ses lèvres pour me caler à nouveau contre lui, la tête sur son épaule et la main sagement sur son torse, une jambe repliée sur les siennes pour bien sentir mon sexe contre son corps chaud.
« Merci pour cette gâterie ma chérie. Bonne nuit ».
« Avec plaisir mon amour, bonne nuit ».
Épuisée je ne tarde pas à m’endormir.

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