Mardi ! Il est 6h00 ! Je me retourne dans le lit et ne trouve pas Sarah…
A-t-elle passé la nuit avec Lucas et Chloé ? Lui est-il arrivé quelque chose sur le chemin du retour. ? Je ne sais pas et m’inquiète…Dans le lit, je me retourne et saisi mon portable… 3 messages non lu.
SAM :(01h18) « Bonne nuit mon amour, je pense fort à toi. Tu me manques, j’ai hâte de te retrouver Vendredi soir. Je serais à la gare comme prévu. Je t’embrasse fort partout, et te remercie encore pour tes si jolies photos… Sam qui t’aime !»
SARAH :(01h44) « Coucou Estelle, je ne rentre pas ce soir. Je dors chez Chloé et Lucas, on se retrouve demain matin, j’ai trop bu et ne veux pas rentrer seule la nuit. A demain. Bisous. »
SAM :(02h48) «Bisous mon cœur, juste pour te dire que j’ai mis les enfants chez ta mère. Le contrat avec les Russes vient de se préciser et je dois prendre l’avion aujourd’hui pour St Pétersbourg. Je rentre Jeudi. »
Les messages de Sam me font plaisir, même si je suis triste de ne plus pouvoir l’appeler ou lui envoyer de message durant son déplacement en Russie. En effet, depuis plusieurs semaines, Sam (Architecte associé) travaille avec son équipe sur un projet d’Eco-quartier et de maison de la santé pour de riches investisseurs russes. Ce contrat représente pour lui comme pour sa société un budget de plusieurs millions d’euros mais aussi et surtout une porte ouverte vers un partenariat et d’autres projets dans les pays de l’est.
Malgré tout, heureuse et à la fois triste, je lui réponds mes félicitations pour cette bonne nouvelle et l’encourage à rester prudent lors de son déplacement. Peut-être lira-t-il mon SMS avant son décollage…
6h05- Couché sur le dos, je réfléchie… Sam en voyage, les enfants chez ma mère… Sarah absente et entrain de s’envoyer en l’air je ne sais où et avec je ne sais qui… Cédric qui me prend la tête avec ses histoires et la conférence…et moi au milieu de tout cela…immobile.
Ce matin, le réveil est difficile. Il est dur de trouver la motivation pour me mettre au travail sur ma présentation de la journée. Mon regard cherche autour de moi, je suis seule…très seule… cela me rend nostalgique et romantique… Seul point positif : le paysage ! Le soleil naissant venant caresser la cime des arbres, l’herbe humide sous une légère brume de rosée… Ce paysage est apaisant et je ne me lasse pas de le regarder…
6h12 – Le réveil n°2 sonne… me tirant de mon spleen et m’imposant à présent de lever si je veux réussir ce que je me suis fixer ce matin…
Apres un rapide tour à la salle de bain, je prends ma sacoche et mes affaires pour m’installer et commencer la mise en forme de mes présentations… Inconsciente et encore endormie, j’ai envie de profiter du beau temps et mécaniquement j’ouvre en grand la baie vitrée oubliant ma nudité presque totale.
Debout dans le cadre de la fenêtre, la fraicheur du matin me rappelle à l’ordre rapidement. L’air frais glissant sur ma peau et dans tous les recoins de mon corps me fait frissonner et me rappelle la mauvaise idée que de sortir nue sur une terrasse au petit matin.
Rapidement je referme donc la fenêtre et file me couvrir avec un peignoir. Seule dans ma chambre, je rie de ma bêtise comme une enfant. Sortir ainsi, à peine couverte d’une simple nuisette de satin et de dentelles le tout simplement retenu par une ficelle sur le devant… je suis vraiment stupide… Sans parler des éventuelles voisins ou locataires de chambres qui auraient pu me voir ainsi…
Le sourire aux lèvres, la bonne humeur refait surface en moi et je mets un peu de musique pour me motiver à travailler… Assise à la petite table de la pièce… Je relis mes notes, croises quelques documents et cherche des transitions pour l’enchainement des tableaux. L’exercice est difficile, et ayant toujours une peur de parler en public, je recommence plusieurs fois ma présentation pour me rassurer..
8h40 – Sarah frappe à la porte, me sortant de mes exercices et de ma réflexion…Elle semble fatiguée, en forme mais ne me parle pas de sa soirée…
Moi : «Tu étais ou ? je t’ai cherché partout hier soir…
Sarah : J’étais avec Lucas et Chloé, nous aussi on t’a cherché, on a été en ville dans un super bar, mais nous ne sommes pas resté longtemps parce qu’on devait revenir aujourd’hui…
Moi : Tu aurais pu me prévenir quand même.
Sarah : Oui je sais, tu n’as pas eu mes messages ???
Moi : Si, mais c’était plutôt léger…
Sarah : Pardonne moi… je ne pensais pas que tu t’inquiéterais autant.
Moi : C’est bon … ce n’est pas grave…
Sarah : Bon, ok, je fil prendre une douche, je sens encore la clope d’hier et on doit être en bas dans 20 minutes pour le petit déjeuner. »
Regardant ma montre, je réalise l’heure déjà bien avancée. J’ai l’impression de ne pas avoir progressé, et je ne suis même pas habillée et préparée.
Moi : « Laisse- moi de l’eau, STP, je dois encore prendre ma douche et me faire les cheveux…
Sarah : Okkkkkk »
Sarah sous la douche, je relis rapidement mes documents avant de les classer dans ma pochette de présentation.
Sarah :(criant depuis la douche) « Estelle ???? Il est où le peignoir ???
Moi : J’arrive… »
Allant la rejoindre, j’ouvre le peignoir qui me tenait chaud et entre dans la salle de bain pour le lui donner. Elle nue, ruisselante d’eau et moi en nuisette transparente, nos regards se croisent et le silence se fait…
Sarah : « Hé ben, Quelle tenue !!!
Moi : (interrogative) Comment cela ?
Sarah : Il a bien de la chance Sam, je ne pensais pas que tu étais si sexy la nuit… »
Me regardant de haut en bas, je remarque que la ficelle de ma nuisette est ouverte et que mon corps tout entier est exposé à son regard. Par reflexe, je cache de ma main mon sexe et ma poitrine, mais le rire de la situation reprend le dessus et nous submerge.
Moi : « Arrêtes tes conneries, à mon âge, on ne se moque pas.
Sarah : Mais, je ne me moque pas !!… tu es superbe !, Tes seins sont magnifiques et tu sais bien que j’aimerai avoir les même… et ta minette, je ne pensais pas que tu te rasais comme moi encore… »
Interloquée par sa remarque, je me regarde et constate qu’en effet, notre pilosité pubienne est pratiquement identique…verticale et fine… posée sur nos fentes et cachant à peine le bourgeon de nos clitoris.
Moi : «Tu n’es qu’une vicieuse…. Pousses toi maintenant je dois me dépêcher de me laver. »
Joignant le geste à la parole j’enlève le frêle tissus qui me couvre encore les épaules et le jette dans un coin avant d’entrée dans la douche. Sarah, riant de sa plaisanterie, rejoint la chambre et commence à s’habiller.
08h59 – Je sors de ma douche éclair, et m’enroule dans un drap de bain. Sarah, elle, a pratiquement fini de s’habiller, et se présente face à moi dans une belle robe évasé grise, qui lui dessine un corps fin et musclé à la fois. « Cette femme est vraiment très jolie» me dis-je en moi-même.
Déjà en retard, je me dépêche et enfile rapidement un tanga et un soutien-gorge assortie avant d’aller me sécher les cheveux…
Le miroir devant moi, encore partiellement en buée de nos douches, reflète mon image. Je n’aime pas me voir, et voir le corps de Sarah à côté du mien me complexe davantage. Ses seins, ses épaules, sa taille et ses hanches, tout en elle est frais et parfait, tandis que je ressemble à une pauvre ménagère de 40 ans.
Le temps s’écoule et avec les cheveux encore humide, je saute dans mon tailleur avec mon pantalon et mon chemisier bordeaux. Aussi vite que possible, je rejoins Sarah, pour descendre au buffet de l’hôtel pour prendre le petit déjeuner.
La salle du restaurant est pratiquement déjà remplie, mais par chance Cédric et Philippe nous ont gardés des places. Entre 2 cafés, les questions de Philippe sur le congrès se posent. Selon lui, nous avons tous à tirer avantage de cet évènement car beaucoup d’idées en ressortent et que nous pouvons encore améliorer notre système de gestion.
9h35 – Finissant mon café, tout en évitant de me bruler, je me lève de table pour aller chercher mes documents restés dans la chambre. Par souci d’efficacité, je demande à Sarah de m’accompagner afin qu’ensemble nous puissions nous organiser sur nos présentations et l’ordre de nos passages.
Bien que notre intervention n’aura lieu qu’en début d’après-midi, la pression et l’angoisse de parler en publique sur la grande estrade, m’affecte beaucoup et des nausées et sueurs prennent le contrôle de mon corps. Heureusement un pupitre est en place pour pouvoir poser les documents et ne pas paraitre trop idiote avec le micro devant l’écran géant.
10h00 – Dans l’amphithéâtre les sièges se remplissent vite, et nous prenons place dans un tronçon latéral afin d’avoir un meilleur point de vue. Philippe et Cédric devant intervenir durant le matin, nous leur laissons les places jouxtant la coursive et Sarah et moi nous plaçons le long du mur. Quitte à me retrouver coincée, j’invite Sarah à se placer entre moi et Cédric afin de ne pas à renouveler l’expérience du taxi. La matinée se passe et nos collègues présentent leurs bilans et les tableaux d’amélioration de gestion de notre agence.
12h15 – Le déjeuner nous est servi dans le réfectoire de l’établissement… le menu n’est guère bon et mon angoisse me coupe l’appétit. Ne pouvant manger qu’un peu de pain, je décide de partir de table pour pouvoir réviser mes notes…
Le malheur s’acharne sur moi. En me levant, je bouscule l’un des serveurs passant derrière moi et celui-ci me renverse son plat de sauce sur moi….
Couverte de la tête au pied, je n’ose plus bouger de peur d’une autre bêtise et de salir mes collègues épargnés par le désastre…
Philippe : « Ah ben Bravo !!!
Cédric (riant) : Bravo Estelle… tu as fait fort…
Philippe : Dépêchez vous de sortir de table, avant de faire d’autres dégâts… !
Sarah (riant et gênée) : Tu veux que je t’aide… je t’accompagne… »
Immobile entre les chaises du réfectoire, recouverte de sauce, je sens le liquide chaud couler et coller sur mes vêtements. Mon décolleté est totalement rempli et le jus me coule entre les seins et sur le ventre, plus bas le spectacle n’est guère mieux, mon pantalon est simplement ruiné, et je le sens se coller à mes cuisses.
Un grand silence de la salle se fait et je sens les regards et les sourires sur mon corps exposé …
Philippe : (Agacé) Alors Estelle, bouges toi, tu vas en mettre partout. Dépêches toi, tu nous fais honte !!»
Je ramasse rapidement mes affaires, tout en prenant soin de ne rien salir, puis me précipite vers la sortie… J’ai honte et j’ai envie de pleurer…
Sur le trottoir, je m’arrête un instant pour regarder mon reflet dans les vitrages, et je sens les larmes monter en moi…
Je m’enfuis en courant vers l’hôtel, il faut que je me change et me calme…
Dans la chambre… en larmes et en sueur, je me précipite dans la douche pour retirer mes vêtements fichus…
« Que vais-je mettre maintenant pour la présentation ??? et comment me présenter à la foule après un tel fiasco ?… » me dis-je… je suis mortifiée et en panique..
Rapidement, je prends ma douche, et me nettoies pour ne plus sentir cette odeur de nourriture si désagréable…
Je regarde le tas de vêtement au sol, et constate amèrement que tout est fichu, du chemisier à la culotte, tout a été souillé par cet accident stupide.
13h20 – L’heure tourne, je me précipite sur ma valise pour trouver de quoi être présentable. Un Soutien-gorge noir en dentelle, un tanga-string un peu fin mais qui fera l’affaire, mon collant opaque, une robe un peu courte et un chemisier noir fin un peu serré…
Je me hâte pour enfiler le tout, mais dans la précipitation je déchire mon collant…
« Pu*****, quel poisse !!! » Je hurle littéralement dans la chambre afin de sortir mon stress et ma rage…
Retour à la valise. Il ne me reste que des bas auto- fixant… cela ne m’enchante guère car si je me penche de trop on en devinera la lisière sous ma jupe… Sans parler que le surplomb de l’estrade donnera un angle de vue très alléchant pour ceux placé aux premiers rangs.
Pas le choix, je les enfile et me prépare à nouveau, maquillage, parfum, bijoux, je me réajuste complétement dans ce nouvelle ensemble qui me rend féminine et sexy à la fois…
De retour au centre de conférence, je dois me conformer aux services de sécurité car j’arrive en dehors des heures d’accès. Dans la panique, le portique sonne et les vigiles m’imposent une fouille…
Folle de rage, leurs expliquant mon retard et la situation, l’un d’eux sourit niaisement tout en me prenant mon porte document des mains et l’examine. Puis son collègue, (un colosse noir de presque 2m) gardant le passage me demande de me calmer, sinon ils appliqueraient la procédure complète et le retard en sera plus important…
Je fulmine de la situation, mais reste contrainte d’obéir. J’attends que leur stupide fouille se passe.
Gardien 1: « Bien, à vous, maintenant !!!
Moi : Comment cela ??? Je n’ai pas le temps, je dois faire ma présentation dans 10 minutes …
Gardien 1 : Madame, S’il vous plait, placez-vous ici…
Moi : Non, mais non, attendez … laissez-moi passer, je n’ai pas le temps.
Gardien 2(le colosse noir d’un ton autoritaire) : Placez-vous ici ! Maintenant, je vous prie… »
En colère, je me mets en position, jambes et bras tendus… et les laisse s’approcher avec leur scanner magnétique.
Gardien 1 :« Ecartez vos jambes, je vous prie… mains derrière la tête. Et faites face à mon collègue. »
J’obéis et me place comme demandé. Le vigile face à moi est moqueur et je sens son regard vicieux me déshabiller. Je ressens leur jeu et leur plaisir de me mettre ainsi en retard et m’humilier … Puis un frisson me traverse le corps. Le gardien placé dans mon dos vient de poser ses mains sur mes hanches et les remonte sur mes flans…. Ses mains me touchent les épaules, me palpent le dos et les reins. Il m’oblige à me cambrer ce qui fait ressortir mes fesses et gonfle ma poitrine déjà serré dans le chemisier. Puis sans délicatesse, il me saisit les seins, les presse, les malaxe et en dessine les contours à travers le fin tissus. Je suis outrée mais n’ose plus bouger… Le vigile devant moi admire ma posture et se délecte de mes charmes ainsi offerts …
Gardien 1: (a son collègue) Bien à toi, si tu veux apprendre, c’est le moment. Tu vas faire le reste.
Moi :(choquée) Mais…. Quoi… ce n’est pas fini… ???
Gardien 1 : Gardez la pose madame, mon collègue va terminer, c’est l’affaire de quelques secondes. »
Encore une fois, je rumine et me force à me taire, espérant que cela se passe vite et que mon retard n’aura pas de conséquences à la réunion… Je pense à Philippe, Sarah et Cédric qui sont sans doute en train de se moquer de moi depuis tout à l’heure…Mais aussi à la présentation que je dois faire.
Les Gardiens échangent leur place et maintenant c’est le vicieux qui se trouve derrière moi. A bien regarder, ils me semblent tout aussi pervers l’un que l’autre…
Gardien 2: (a son collègue) : Mmmm pas mal, tout ca.…
Gardien 1 : Fais ton job correctement, la petite dame doit aller bosser.
Gardien 2 :(en souriant) Reprenez la pose, s’il vous plait, madame… et vos mains aussi »
Et joignant le geste à la parole, sa grand main noir appui sur mes reins pour me pencher un peu plus en avant et tendre ma poitrine face aux yeux du premier pervers…
Gardien 2 : « Chef on le fait en visuel ??? je lui relève la jupe. ??
Gardien 1 : Je t’ai dit correctement… »
En panique, entre ces 2 imbéciles, je commence à trembler… les mains du colosse derrière moi me saisissent les hanches et je le sens se coller à mon fessier tendu. Je ferme les yeux, priant et espérant la fin de mon calvaire. Coller à moi, je sens son importante érection à travers son pantalon, ses mains me collant a lui fermement. Ma posture humiliante commence a avoir de ma poitrine et sous la pression l’un bouton mon chemisier s’ouvre. Mon décolleté et mon soutien gorge s’offre progressivement au regard du chef des vigiles. Je n’ose y penser et me concentre pour ne pas les frapper… Derrière moi, les mains de son complice commencent leur parcours de découverte… mon ventre, mes reins et mes seins plus accessibles sont à nouveau toucher et caresser…malaxer…
Mais à l’inverse de son collègue, celui-ci descend aussi le long de mes jambes…
Mes cuisses, puis mes mollets et mes chevilles se font toucher et triturer tour à tour…
Gardien 1 : « Tu n’oublies rien ??
Gardien 2 : Oui chef, tout de suite… »
Redescendant derrière moi, il place à présent ses mains à l’intérieure de mes jambes avant de remonter très doucement. Le contact sur ma peau provoque en moi un sentiment de honte et un frisson humiliant…Arrivé au bas de ma jupe, j’espère en silence qu’il stoppe mais il n’en fait rien et poursuit son investigation…remontant par la même occasion ma robe avec son avant-bras.
Entre mes cuisses sa main effleure le bord de mes bas, touche doucement ma peau nue…puis vient poser sa paume sur mon sexe libre et accessible.
Le contact impudique, me fait sursauter et je me mords les lèvres de l’insulter…
Sa main me touche et m’agresse, puis sans délicatesse, il relevé ma jupe complètement sur mes reins, exposant ma culotte et mes fesses à l’air libre, avant de glisser ses doigts dans mon scion culier et me libérer de sa torture…
Gardien 2 : « (sourire aux lèvres) C’est bon chef, il y a rien à signaler… juste un tatouage en forme d’hirondelle sur la hanche. Chef.
Moi : Espèce de….
Gardien2 : Pardon madame ??? Espèce de….quoi ?
Moi (me ravisant) : non rien …
Gardien 2 : je préfère cela,… garder la pause maintenant, que j’en parle avec mon chef. »
Outrée d’être ainsi exposée. Cul nu au vent, penchée en avant, mes seins débordant du chemisier, les gardiens commentent mes formes, ma tenue et mon tatouage de jeunesse. Mon hirondelle faîtes spécialement pour Sam lorsque nous sortions ensemble à nos débuts, notre symbole de liberté que j’avais placé volontairement sur ma hanche, un endroit intime et réservé qu’a lui. Tout en finissant leur inspection, ils me tournent autour et touchent mon corps sans pudeur. La honte me prend au ventre. La position est humiliante. Je prie pour que cela cesse.
Gardien 1 : Allez madame, c’est fini !… mais la prochaine fois, rester dans les locaux, et dans les heures d’ouverture…
Gardien2 : Voici vos affaires… merci et à bientôt..
Moi : (énervée) : Merci…»
Furieuse, je reprends ma sacoche et ma course vers l’amphithéâtre ou je suis attendue. Essoufflée, perturbée et encore sous le choc de cette fouille humiliante, j’arrive dans la salle et rejoint mes collègues…
Cédric et Philippe m’accueille et me félicite d’être revenue… Comme convenue, Sarah fera sa présentation avant moi afin que je puisse me préparer un peu…
14h15 – Sarah sur scène fait son exposé et explique le fonctionnement de ses activités…
14h30 – Sarah m’invite à la rejoindre pour prendre la parole, et toujours angoissée, je me faufile entre les rangs pour gagner la scène. Au passage, Philippe me félicite de ma tenue qui selon lui fera oublier l’accident du réfectoire…Machinalement, je le remercie, et sens dans un furtif moment sa main se poser dans mon dos.
Je m’éloigne et m’avance enfin vers cette estrade, la peur au ventre, je gravi les quelques marches et remercie ma collègue et l’assemblée de leur accueil.
Face au public, je marque un temps d’arrêt, ma présentation qui s’affiche au mur débute et un spot de poursuite me saisit dans son faisceau de lumière.
Tout en poursuivant mes explications de graphique, j’entends des murmures dans la salle et voir des rires… je ne comprends pas en quoi un projet de gestion de chauffage peut-il être amusant et tente de ne pas perdre ma concentration pour mes explications… bref, le temps passe et certains collaborateurs sortent leurs portables et me prennent en photo (moi ou les graphiques)… le murmure semble plus important encore. Arrivant enfin au bout de mon exposé, je remercie l’ensemble des participants et cède ma place à Philippe, mon patron, pour le mot final. Il a un sourire radieux voir étrange .
Philippe :(souriant et s’adressant à l’assemblée) Merci Chère Estelle, merci pour toutes ces belles nouveautés et cette maaaaagnifique présentation…
La salle commence a rire, et je reste interloqué par l’accentuation de son propos. Regagnant ma place, Cédric et Sarah sont en pleine discussion et s’arrête a mon arrivée.
Moi : « Quoi ??? J’ai dit une connerie…
Cédric : Non, non pas du tout… (Pouffant de rire)
Sarah : Non, pas du tout, tu as été même très bien.
Moi : Ben alors quoi ??? Pourquoi tout le monde rigole ?
Sarah : (génée) Regarde…! »
Elle me tend son portable, et me montre la vidéo qu’elle a faite de moi.
Je me vois sur scène, anxieuse, classique mais professionnelle. Je regarde encore et m’aperçois de mon malheur…. Je suis anéantie…Outre un bouton de mon chemisier ouvert laissant voir un décolleté un peu plongeant, c’est le faisceau de lumière qui me déshabille totalement.
En effet, le spot de lumière braqué sur moi, laissait clairement apparaitre ma poitrine et mon soutien-gorge à travers mon chemisier rendu pratiquement transparent. Pire encore… ma jupe avait eu le même traitement, laissant deviner mon tanga-string noir et mes bas à la vue de tous…
Morte de honte, je m’écroule sur mon siège et fond en larmes…
Sarah et Cédric me consolent de leur mieux… et cherchent à me rassurer, mais les félicitations des autres collaborateurs à la sortie du complexe sont davantage sur ma présence sur scène que pour mon travail…
Fatiguée, et déprimée, je rejoins Sarah, qui discute encore avec Chloé et Lucas, non loin de la sortie.
Ceux-ci m’invitent à les rejoindre pour diner ce soir à la capitale, mais je n’ai pas le moral a cela…Lucas, que je connais bien par téléphone, insiste lourdement prétextant que leur train part tôt le lendemain et que cela serait dommage de ne plus se revoir. Sarah et Cédric, eux aussi, impliqués dans la soirée, me poussent à les rejoindre, et a force d’arguments (dont l’absence de Sam), m’expliquent qu’il serait stupide de déprimer seule dans une chambre d’hôtel pour quelques idiots aujourd’hui, au lieu de venir avec eux pour profiter de la soirée. A contre cœur, j’accepte…mais les prévient que je ne me sens pas d’humeur…
Cédric : « je vais prévenir mon père… peut être se joindra-t-il a nous ???
Sarah :(ironique) Quelle bonne idée… une sortie d’entreprise avec le boss…
Lucas : on s’en fiche, on va juste manger un pizza et profiter de la soirée sur le champ de mars..
Chloé : hooo bonne idée, une soirée à la tour Eiffel.. »
Les esprits sont bon enfant, et nous nous fixons rendez-vous pour dans la demi-heure au même endroit pour partir ensemble..
De retour à l’hôtel, je range mes affaires de présentation, puis retourne dans la salle de bain pour m’occuper des vêtements encore en boule et plein de sauce de l’accident du midi…
Sarah se change rapidement aussi, et me rejoint pour m’aider…
Je lui confie ma tristesse, et mon envie de repartir chez nous, mais celle-ci me soutien et en amie, me redonne confiance….
19h00- Le groupe se forme sur le trottoir, et je constate que d’autres membres, d’autres agences seront aussi de la soirée… Cédric et Philippe sont présents mais je n’y prête plus attention…
Tous ensembles nous prenons un bus pour rejoindre le centre-ville et un restaurant italien…Les discussions vont bons train sur chacun et on me taquine plus sur l’accident du midi que pour mon exhibition involontaire de l’après-midi…
L’ambiance me rassure, et bien que je n’aie pas prévu de veiller tard, je me laisse porter par leur jeunesse et leur gaieté.
Apres le restaurant, tout le monde souhaite voir le plus grand monument de Paris : la tour Eiffel… et comme dans les films, certain emmène des boissons pour pouvoir trinquer sur les pelouses du champ de mars et dans ce décors romantique…
21h45- J’ai la tête qui me tourne à cause de l ‘alcool.. mais je m’amuse et plaisante avec le groupe. Enfin Lucas et Chloé nous annoncent officiellement leur relation, d’autres plus jeunes se draguent et se taquinent…Cédric tente d’approcher Sarah et ses regards recherche mon aide pour y parvenir…
Il y a de la musique, on danse dans la rue. On s’amuse…on rit.
Moi-même; à 40 ans, je me surprends à danser dans la rue … je souris en moi-même…oubliant presque tous mes déboires du jour et l’aspect professionnel de ce voyage.
Bientôt 23h00 – Il est temps de rentrer. Tous un peu (voir beaucoup) alcoolisés et heureux de cette soirée conviviale, nous nous quittons et retournons à nos hôtels respectifs.
Sarah, Lucas et Chloé se quittent aussi et s’embrassent…je remarque la main discrète de Lucas dans l’entrejambe de Sarah…mais ne fait aucune remarque. Elle a sans doute raison… après tout elle est jeune encore, elle ! (Coup de blues)
Rentré à l’hôtel, Philippe, nous invites a boire un dernier verre au bar… Bien que fatiguée et déjà saoule, je ne peux refuser l’invitation de mon patron et suis le mouvement…. Me convainquant qu’après tout, l’hôtel est un lieu public et que dans le bar je ne risque rien.
Assise a table, nous commandons nos verres et parlons encore de la journée…Puis l’alcool aidant, les discussions commencent a dérivées… on parle de mon accident…puis de ma prestation très remarquée… Je ne remarque pas tout de suite, mais Cédric a posé sa main sur ma cuisse… et commence a remonter ma jupe pour toucher ma peau… Je le regarde mais ne dis rien, il comprend rapidement et se retire…
Sarah, est pratiquement saoule aussi… elle rit très fort et se laisse aussi amadouer par Cédric. Philippe, lui, tiens mieux l’alcool et semble plus lucide.
Le temps passe, les esprits et les corps s’échauffent, et bien que pompette, je me laisse aller à répondre à leurs plaisanteries puériles, limites scabreuses. Sur la banquette, Cédric profites de la situation et enlace Sarah. Il lui caresse le sein par-dessus l’épaule. Et celle-ci, hilare et ivre, le laisse faire… leurs corps s’approchant de plus en plus…l’alcool et les grivoiseries les poussent l’un vers l’autre…
« Vas-y fiston, déclare toi !!! » lance Philippe a son benêt de fils.
Cédric prenant son courage a 2 mains se lance et ouvre son cœur à Sarah, lui racontant tous ses sentiments, et ses actions. Durant 20 minutes ils se parlent et se rapprochent… Sarah, bien que peu lucide, lui rend ses sentiments et l’embrasse… Comme un conte de fée moderne, les amoureux cachés s’ouvrent l’un a l’autre et se retrouvent…
Philippe : « Fêtons cela… je suis ravi qu’il se déclare enfin…
Moi : Comment cela ???
Philippe : Oui, ca fait un an maintenant qu’il me casse les oreilles avec elle… et maintenant il ouvre enfin son cœur… j’en suis ravi. on va enfin pouvoir bosser tranquille… »
Les propos de Philippe semble sincère… malgré l’ambiguïté de la relation amis, amants et collègues. La dernière bouteille de champagne s’écoule rapidement, puis nous partons vers nos chambres…
00h20- Dans la chambre, riant avec Sarah, complétement saoules, nous plaisantons de la gravité de la situation…et dédramatisons notre journée.
Quand tout d’un coup, quelqu’un frappa à la porte.
Sarah : (titubant) «Je vais ouvrir… »
Dans l’entrée apparaissent Cédric et Philippe, presque ivres morts, et prétextant avoir cassé leur clef électronique en voulant ouvrir leur chambre…nous demande l’hospitalité le temps que le gardien de nuit leur ouvre et répare leur serrure. Sans prendre garde, nous acceptons …
En quelques minutes, je vois Cédric et Sarah en train de s’embrasser a pleine bouche sur notre lit, …. Philippe et moi assis sur les fauteuils, les regardons tout en riant, puis la main baladeuse de Philippe glisse déjà sur ma cuisse…
Philippe : « Et toi, tu n’as pas envie ???
Moi : de quoi ??? Envie de quoi ???
Philippe : D’être un peu gentille et d’avoir de la tendresse »
Sa main remonte maintenant sur le haut de ma cuisse, découvrant le liseré de mes bas et ma peau nue…
Philippe : « tu es mignonne aussi… tu as pas envie…?
Moi :(en riant) oui… mais je suis aussi mariée… »
Philippe ne retirant pas sa main, poursuit son chemin et du bout des doigts viens effleurer la dentelle de ma culotte… De surprise, je sursaute et laisse échappé un petit cri étouffé, qu’il interprète comme une invitation…
Mon esprit totalement embuée et désinhibé par l’alcool, je le laisse me toucher doucement, mes mains ne cherchant même pas à le repousser, nos regards plongés l’un dans l’autre… je sens monter la chaleur dans mon ventre…
De son autre main il approche mon chemisier et défait doucement chacun de mes boutons…laissant apparaitre la peau blanche de mes seins dans leur écrins de tissus noir ainsi que mon ventre.
Philippe : « Magnifique, ton mari a bien de la chance…. »
Continuant ses caresses, il effleure ma joue et dirige mon visage et mon regard sur le spectacle de Sarah et Cédric.
Cédric embrasse avec passion les seins de Sarah, qui de son côté lui caresse le sexe et le fait grossir sous ses doigts…
Le couple devant moi, en pleine extase et luxure, commence a se faire l’amour, tandis que doucement et sans effort, je laisse Philippe caresser mes seins, toucher et ouvrir l’intérieur de mes cuisses et effleurer mon sexe de plus en plus humide sous le délicat rempart de ma culotte.
Sarah à présent nue, chevauche Cédric… je la regarde, empalée sur son sexe. Aller et venir. Faisant disparaitre la tige de chair dans son sexe a chaque ondulation… Je la regarde faire l’amour et je me laisse porter par mes propres émotions…
Sarah, bien prise sur ce pieu dressé livre son corps a une étreinte magnifique…Cédric au-dessous joue avec sa poitrine, lui arrachant des gémissements de plaisir mais aussi douleur a chaque coup de rein planter dans son ventre. Puis en un éclair, Sarah se contracte et jouie sur son amant….vaincue par la puissance de ce mâle qui la possède.
Philippe, regardant comme moi son fils et Sarah, me caresse le cou, et les épaules…Délicatement, il a fait tomber les bretelles de mon soutien-gorge et je sens ses doigts jouer sur le téton de l’un de mes seins déjà dénudé.
Derrière moi, il abuse et profite de mon corps sans que je ne m’y oppose. Je suis une poupée entre ses mains… une poupée hypnotisée par le spectacle torride devant elle…
Sarah épuisée, roule sur le côté… puis se précipite à la salle de bain pour vomir…la fatigue et le trop plein d’alcool ne faisant pas bon ménage. …A son retour, elle s’écroule dans un fauteuil pour se reposer puis s’endort nue et magnifique. Cédric, toujours vaillant, nu au milieu du lit, semble épuisé aussi…mais ne débande pas.
Philippe : « (dans le creux de mon oreille) Alors…tu as envie… ??? Tu veux le sucer ?? Regarde le comme il est beau… il t’attend…. Je sais que tu as envie…
Moi : je ne peux pas…je suis mariée. Je ne veux pas…
Philippe : Tu es une salope Estelle, ce soir tu n’es pas mariée, tu es juste une salope. Et tu as envie de baiser…
Moi : non…mais…
Philippe : Vas-y, petite salope… personne ne te juge et ne te vois. Tu en as envie… je le sais et je le sens… »
Il a raison, je mouille d’envie de ce sexe tendu devant moi… ma raison m’interdit d’y aller, mais mon corps me pousse a me libérer…
Philippe : « (à son fils) Cédric, elle est à toi, vas-y ….ta salope est prête … je te l’ai préparé »
A ses mots, je le sens me pousser de mon siège pour me diriger vers le lit…
Mon chemisier grand ouvert tombe dans mon dos, et Philippe dégrafe mon soutien-gorge libérant mes seins lourds et dressés… immobile face au lit, je suis hypnotisée par le corps nu de Cédric et sa verge tendue fièrement vers le plafond. Philippe descend la fermeture éclair de ma robe qui tombe a mes pieds…
Philippe : « hooo., la coquine cache bien son jeu… quel joli tatouage … ».
A son tour, il découvre mon hirondelle sur ma hanche et la caresse du bout des doigts…
A demi nue, je ne ressens plus de honte mais juste l’envie…ma tête tourne, mais je ne bouge pas…j’attends. J’attends docilement que Philippe me baisse ma culotte pour m’offrir à son fils… il me touche les fesses, le sexe et titille mon clitoris déjà gonflé…
Ainsi nue et en bas, je m’avance sur le lit et m’incline sur le corps de Cédric immobile. Il sourit, il semble vainqueur de moi et me présente son sexe comme un pilonne devant mon visage…
Doucement, a 4 pattes, je fixe son regard et descends pour le prendre en bouche…
Son gémissement parle pour lui…la chaleur de ma bouche encercle son mat…il me tient les cheveux afin de mieux me voir et me guider sur sa hampe veineuse… Derrière, son père (pardon : mon patron, Philippe) me caresse et m’embrasse les fesses. Il joue avec ma fente humide en y glissant ces doigts…et parfois sa langue.
Je suce Cédric avec application, comme Sam me l’a appris, doucement et délicatement je tourne ma langue sur son gland et son frein, puis l’engloutis au plus loin dans ma gorge… Je joue avec, le faisant glisser dans mes joues, lui offrant la vision de ma langue sur toute sa longueur et sur ses bourses. De l’autre côté, j’ondule mes reins pour me dérober aux caresses du père…
Cédric devenant plus agressif et violent me tiens fermement la tête pendant que je m’applique sur lui, puis ressortant d’entre mes lèvres, il me gifle le visage avec sa queue avant de revenir me baiser la bouche… Il me traite de chienne, mais je ne réagis plus… je le veux… j’ai envie de lui. Je veux le sentir en moi…
Je remonte encore, glissant sa queue entre mes seins… Il s’en réjoui et me les presse pour se masturber avec… Derrière, Philippe embrasse mon cul et mon clitoris… il me lèche et me fait onduler…Mais je veux l’homme devant moi pas le vieux pervers derrière.…Comme Sarah, je veux me sentir pleine et je veux jouir…
Je me cambre, m’assois sur lui, le saisit d’une main, et place son gland entre mes lèvres humides….puis, doucement, je me laisse glisser sur lui, l’enfonçant au plus profond de mon vagin pour le sentir me combler de bonheur.
Nous ne faisons plus qu’un. Il me prend et je me laisse aller. Ses coups de reins sont fort et frappent le fond de mon sexe avec intensité… Je sens la chaleur et le plaisir monter dans mes reins, mes seins sautant en cadence…je sens que je viens… je jouie, je gémis et me crispe sur lui…traverser par un orgasme puissant…Je m’écroule sur son corps.
Endurant, il n’a pas dit son dernier mot… je regarde en arrière et remarque que Philippe se masturbe dans un fauteuil en nous regardant…
Je réalise mon erreur, Philippe, petit gros et chauve, mon boss me mate et jubile de me voir baiser…je réalise que je ne rêve pas et que je ne suis pas avec Sam…Et pourtant c’est si bon…
Etourdie, je reste a 4 pattes sur le lit, Cédric se place derrière moi et sans tendresse m’ouvre le ventre en 2…. Il me baise maintenant en levrette, faisant claquer son ventre sur mon cul… il me donne la fessée et me tire les cheveux … ces insultes me font l’effet d’électrochoc; « Salope, putain, trainée… je vais te défoncer comme une chienne. »
Jamais on ne m’avait traité de la sorte et pourtant ce soir, J’ai envie de baiser et j’ai envie de jouir… je le laisse me prendre et faire de moi sa chose…
Plantant son sexe férocement dans le mien, il me fait parfois mal et m’arrache des plaintes et des gémissements que j’ignorais encore de moi-même…Je le je subi avec fierté car je veux vivre et me sentir vivante ce soir… je veux oublier mes frustrations et ma peine.
En pleine action, mes seins lourds se balançant au rythme des coups de butoir de Cédric, je sens une nouvelle présence a côté de moi…Philippe est là, a quelque centimètre de mon visage et me présente sa queue..
Cédric : « Allez salope, suce mon père… ! Suce le. !. Si tu veux ton augmentation. »
Je résiste un peu mais Philippe me saisit les cheveux et enfourne sa bite dans ma bouche…
Je ne réalise pas immédiatement, il me faut quelque minutes avant que la situation me fasse réagir j’ai honte mais je prends du plaisir offerte ainsi…
Les 2 hommes se servent de moi et je reste disponible à leurs fantasmes…
Cédric : « Mmmm… J’ai envie de l’enculer…
Moi (la bouche pleine) : No…. Non.. Pas comme ça… no…
Philippe : (me tirant les cheveux) Ferme là, Sale pute ! S’il veut t’enculer, tu obéis et tu lui dis merci et c’est tout…
Moi :(le regard suppliant) MMMm…mmm. no…noon… »
La v******e des mots me fait monter les larmes aux yeux. Malgré mon refus, Cédric présente son gland énorme sur mon anus fragile… il pousse et me force à l’accueillir par le passage interdit… Je me cambre, je gémis, la bouche pleine du sexe de Philippe, mes larmes coulent en sentant son chibre ouvrir mon corps… Malgré moi, et afin de réduire ma douleur, j’ondule et cambre mes reins pour l’aider a s’introduire en moi.
Philippe devant moi, me maintien le visage sur son ventre et son sexe entre les lèvres… me baisant la bouche et m’étouffant a chaque pénétration trop profonde.
Doucement, progressivement, je sens Cédric m’ouvrir le ventre et me remplir l’intestin… la douleur est intense mais je m’y adapte…(merci l’alcool)…
Puis il coulisse en moi, m’arrachant des plaintes et des supplices… il pousse sur mon dos, me tiens les hanches et me pénètre de toute sa longueur….
Je ne résiste pas longtemps ainsi, malgré moi, la chaleur dans les reins éveille déjà une seconde vague de frissons.. « Je vais jouir en étant enculée et contre mon gré » me dis-je dans un instant de pseudo lucidité…
Philippe : « Put***, j’ai envie de jouir. Cette salope va me vider les couilles… »
Entre mes lèvres, son gland déjà massif, grossi encore et viens butter sur le fond de ma bouche bloquant ma respiration…je le sens monter, et je sais qu’il va éjaculer..
Cédric : « Attend papa, on va la remplir autrement cette salope… »
Se retirant de mon cul, béant et douloureux, Cédric se replace sur le lit et se couche en dessous de moi…. Mécaniquement et épuisée, je m’allonge sur lui et il se glisse dans mon vagin, pour poursuivre notre coït. Philippe qui a compris le message de son fils quitte ma bouche et viens se placer derrière moi présentant à son tour son sexe sur mon orifice meurtrie.
Dans mon dos, la pression de Philippe est intense… je le sens forcer, il semble plus gros de Cédric … bien qu’épuisée, j’essaie de m’en soustraire, mais Cédric me pince et me torture les seins m’obligeant a ne pas bouger…
Cédric enfonce loin en moi son sexe comme un point d’ancrage, tandis que Philippe m’écarte les fesses et glisse son glands sur mon œillet… je le sens venir, il pousse, il glisse puis m’écarte… son gland est gros, et me fais gémir sous la pression… puis il entre… il s’arrête…j’ai le souffle coupé… je me sens offerte et pleine, jamais je n’avais vécu une double pénétration et encore moins dans ses conditions… puis Philippe reprend son intrusion… il est complétement en moi … je ne bouge plus…
Philippe : « Alors tu aimes ça, petite salope ???
Cédric : Oui elle aime ça, sinon elle ne se baladerait pas comme ça en public.
Philippe: je veux qu’elle le dise.. qu’elle aime se faire baiser…
Cédric: Répond a papa, putain… répond…
Moi( entre 2 spasmes): ho ..hoo…oui…. j’aime…
Philippe : Ça te plait de te faire baiser par ton patron ??? Tu penses que tu auras une augmentation ??? »
Je ne réagis pas, et ne fais plus que gémir et subir leurs assauts. Ils me baisent et me pilonnent de part en part… je les sens en moi coulisser avec vigueur et intensité, je suis secouée et transpercée telle une poupée entre leurs corps…
Philippe dans mon dos, se couche alors sur moi et me glisse à l’oreille :
Philippe : « Je vais te casser le cul… tu vas voir qui c’est le boss petite pute !
Moi : hummmm non… douce… doucement…non..
Cédric (me malaxant les seins) Vas-y papa, je la tiens… Vas-y, baise la bien… !!!»
Il se redresse ensuite, me claque les fesses et me tient par les épaules fermement avant planter son chibre au plus profond de moi… je gémis, je crie… Plusieurs fois de suite, je le sens me tenir et me poignarder avec sa queue, forçant mon cul à s’ouvrir d’avantage à chaque coup et en enfonçant sa bite jusqu’à la garde.
Crispée et douloureuse, la sensation d’être pleine me procure un maximum de frissons dans mon ventre. A contre cœur sous leurs coups de reins…je suis transportée par un violent orgasme qui me tétanise et m’électrise tout le corps…
La sensation est intense, bien qu’exténuée, je les sens en moi, massif et vigoureux… ils grossissent encore et je sais qu’ils vont jouir…
De concert, ils m’insultent encore, je les entends grogner et me fourrer plus violement…. L’extase arrive enfin et je ressens leurs foutres gicler en moi avec v******e. Par puissants jets brulants, ils se vident complétement au fond de mes entrailles. Anéantie et pleine de sperme, les 2 hommes se retirent de moi pour reprendre leurs souffles… Puis Cédric me saisit par le bras et me place à genoux devant eux pour que je les suces et les nettoie chacun leur tour..
Cédric : « Suce nous, salope… nettoies nos bites et avales tout…
Philippe : Oui bonne idée, fiston, … viens dire merci à tes patrons.»
A demi consciente, j’obéis et reprend en bouche leur bites molles et dégoulinantes, sans réfléchir, je les nettoie et lèche les dernières gouttes de sperme avant de les avaler…
… je suis épuisée, exténuée, morte… mais heureuse…jamais je n’aurai pensé ressentir autant de plaisir à la fois et vivre certains de mes fantasmes les plus secrets…
Cédric : « J’espère que tu auras un bon souvenir de ce soir petite salope…
Philippe : Oui, et j’espère que maintenant tu seras plus docile au bureau avec nous.
Cédric : Oui, tu as intérêt, si tu ne veux pas pointer au chômage ou que l’on raconte tes exploits à ton mari… »
Ne répondant pas, la tête à demi dans le c***, toute nue, et dégoulinante, je les accompagne à la porte et ils s’en vont.
Immobile dans l’entrée, je cherche la force pour me ressaisir…
Un tour par la salle de bain, le sourire aux lèvres, mon reflet me ramène à la réalité… « Mon dieu, Sam… Qu’ais je fais ??? »
Les larmes montent, ma honte surgit, mon reflet dans le miroir me renvois l’image de leur propos… je suis une salope…
Rapidement j’essuie mon maquillage qui a coulé, essuie le sperme coulant de moi et le long de mes cuisses et cours me coucher pour pleurer en silence…
J’ai honte…et pourtant…je me sens si bien…
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