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Soirée d’Halloween

Soirée d’Halloween



C’est Halloween. Alain est moi décidons de nous rendre à une soirée déguisée chez des amis. Alain est en Dracula et moi en zombie très sexy. Arrivés au rendez-vous, l’ambiance est génial. La maison est décorée en conséquence et c’est à qui est le mieux grimé à tel point qu’on est méconnaissable. L’alcool coule à flot et les discussion vont bon train. Je discute avec Sofia et Katia de mes dernier délires de monstre tentaculaire qui abuse de moi et nous en rions copieusement. Alain de son côté discute avec Christian, Seb et David. Leurs regards se tournent souvent vers nous et je suppose qu’ils doivent parler de nos performances érotiques.
Une dame d’un certain âge, habillée tout en cuir avec un maquillage de sorcière à faire peur s’approche de nous et me dit d’une voix caverneuse :
« Je sens en vous l’âme d’une pure soumise, vous allez adorer ma façon de vous traiter. »
Je lui souris un peu bêtement, regarde mes copines et éclatons d’un rire un peu nerveux. Mais en moi même, je me demande tout de même comment elle pouvait savoir que j’étais soumise. D’autorité, elle me prend la main et m’entraîne dans une pièce où siège des engins de tortures moyenâgeux sur lesquels des hommes et des femmes subissent des outrages,menottés, à moitié ou totalement nus. Mes copines qui m’ont suivi et moi avons aussitôt un moment de recul. Les scènes qui se déroulent ici sont plus vrais que natures.. La salle est remplie de gémissements, ponctuées de cris. J’entends le chuintement d’un fouet dans l’air suivi d’un cris strident. La femme me tient toujours fermement la main et me laisse m’imprégner de l’ambiance du lieu. Au lieu d’avoir peur, je me sens comme aspirée dans cet univers où plaisir et douleur se mêlent si subtilement. Je remarque à ce moment mon mari accompagné de Christian, Seb et David qui observe avec grande attention ce spectacle de bacchanale. Je fais un pas en arrière stoppée par mes amies médusées devant cette orgie médiévale. La main ferme de la sorcière me ramène à la réalité quand elle me siffle à l’oreille :
« Tu as vu comment Guillaume s’occupe bien de Marina ? Je sais que tu as envie de prendre place sur l’un de ces chevalet pour que je m’occupe de toi devant ton mari. »
A ce moment j’ai un nœud dans le ventre. Halloween prend tout son sens et une angoisse m’envahit en voyant comment ces filles et ces hommes sont traités. Des sentiments contradictoires mûrissent en moi. Le pire la dedans, c’est que j’ai une envie folle de me laisser faire par cette inconnue qui m’envoûte. Es-ce ça l’esprit d’Halloween ? Sans m’en rendre vraiment compte,perdu dans les pensées qui se bousculent dans ma tête, je me retrouve les bras attachés au dessus de la tête, presque suspendue. La langue de la sorcière parcoure mon cou et une main griffue me tâtes un sein en me disant :
« Je suis Annabelle ! Tu es sous mon pouvoir ! Je t’ai choisi comme soumise pour le sacrifice en cette nuit d’Halloween ! »
Comme sous un charme, je reste docile et ne proteste pas lorsque qu’elle m’aveugle avec un masque. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire je me retrouve nue et suspendue par cette corde qui me scie les poignets. Tout à coup, le silence s’est fait dans la pièce. Pas vraiment le silence mais un murmure collectif. Puis un sifflement dans l’air et le premier coup s’abat sur mes reins faisant l’effet d’une morsure. Je pousse un hurlement de douleur et de surprise en me tortillant comme une diablesse au bout de ma corde. Mais les coups se succèdent chauffant ma peau qui doit se zébrer des jolies trace rougeâtres. Chaque coup est différent et je me demande si le fouet ne passe pas de main en main.
Personne ne parle. Juste le sifflement du fouet qui déchire l’air et mes cris résonnent dans cette salle. Ma respiration se fait rapide. Je gémis de douleur et d’un plaisir insidieux sachant que tout les yeux sont certainement tournés vers moi. La tête me tourne. Je suis prise comme dans un tourbillon d’horreur et de plaisirs inavouables. Puis les coups cessent. Une main délicate parcoure les boursouflures laissés par le fouet et une autre fouille mon intimité dégoulinante de cyprine. Avant de me donner un tendre baisé, elle me dit espiègle et narquoise :
« Je constate que mes caresse sur ton corps de soumise fait son effet ! J’ai tiré le gros lot avec toi ! »
Elle me retire alors le masque et je découvre le public qui s’est délecté du spectacle que j’ai offert malgré moi. Elle me dépend et je masse mes membres engourdies en découvrant les stigmates du fouet laissé sur mon corps. Je cherche des yeux mon mari ou mes amies comme pour me faire consoler de cette torture. Mais ils sont tous trop occuper à se faire plaisir dans une partouze dantesque dont je suis peut-être à l’origine.
La séance que je viens de subir, me met dans tout mes états et j’ai une envie furieuse de jouir après avoir connu une telle intensité de douleur et de volupté. J’ai le sentiment profond d’avoir envie d’aller plus loin encore. Mais cette fois de ma propre initiative. Annabelle me laisse savourer cet instant magique.. Diabolique devrais-je dire. Les invités grimés et désormais presque tous nus s’adonnent aux plaisir du sexe extrême. Les corps se mélangent et certains sont immobilisés en bondage ou menotés aux prises avec des Maîtres ou des Maîtresses. Annabelle me propose une coupe de champagne en griffant légèrement mon corps et en me léchant le coup sa langue passant délicieusement derrière mon oreille. Tout à coup, les lumières se tamisent et un projecteur éclaire violemment mon homme qui se déplace en tenant en laisse Sofia qui marche à quatre pattes à ses côtés. Arrivés au milieu de la grande pièce, Alain dans un effet dramatique, mord le coup de Sofia comme le ferait un vampire. Puis il prend la parole.
« Mes amis, nous sommes réunis pour célébrer Halloween. Vous avez pu apprécier déjà le sacrifice de mon épouse sous le fouet de la sorcière Annabelle ! Mais Sofia est jalouse et en bonne chienne veut être offerte à vos désirs les plus sombres. Elle est préparée physiquement et psychologiquement à tout les outrages dans une détermination absolu du plaisir. Elle a préparé cinq scénarios que vous allez choisir pour elle et c’est ma tendre épouse qui tirera au sort dans quelques instants les supplices que Sofia souhaite recevoir devant vous ! »

Annabelle me glisse à l’oreille tout en massant ma chatte :
« Ton homme est pleins de surprises ! Va sur la scène et amuses-nous ! »
Arrivée au centre, un tonnerre d’applaudissement retentit et résonnent dans la salle. Sofia me regarde avec un léger sourire. La voir offerte comme une chienne domestique aux pieds de mon homme et devant ce public, sous cet éclairage mettant en valeur ses formes généreuses m’excite au point que je sens la cyprine couler le long de mes cuisses.
J’essaye d’avoir une contenance nue devant tout cette assemblée et je me lance :
« Voici Sofia livrée devant vous par ses propres désirs. Applaudissez-là ! Maintenant nous allons procéder au choix. Je vais tirer au sort ses choix mais avant je souhaite vous détailler les cinq scénarios qu’elle a écrit sur ces papiers. Mon mari ici présent sera chargé de sera chargé de superviser l’exécution du scénario tiré au sort de ma main innocente. Voici les scénarios :
Scénario 1 :
Trois hommes prennent la femelle en même temps et la bourre sans ménagement jusqu’à l’éjaculation.
Scénario 2 :
Etre utilisée comme une vraie chienne domestique.
Scénario 3 :
Il s’agit de tatouer la femelle aux endroit les plus intimes et peu importe l’inscription qui y sera faite. Laissez libre cours à votre imagination pour proposer les dessins les plus obscènes en choisissant les plus infamant et dégradant.
Scénario 4 :
Bondage inconfortable et flagellation intense.
Scénario 5 :
Livrée durant une semaine dans une cave de la cité pour une abattage en régle. Voilà messieurs dames les scénarios de que Sofia vous livre. Son slogan c’est « être saillit à mort ».
Elle souhaite souffrir et se faire défoncer. Accomplissement suprême d’une vie entièrement dédiée au plaisirs les plus intenses et les plus sauvages. »
J’achève là un peu surprise de mon discours devant une assistance stupéfaite qui reste un instant sans voix. Après quelques minutes de flottement, Annabelle se met à applaudir, suivit, de proche en proche par toute l’assistance. Elle prend la parole :
« Michèle, nous te remercions pour cet formidable éloquence. Nous sommes tous convaincus de la détermination de Sofia et il est de notre devoir de la contenter. Passons au tirage! »

((((A VOUS DE ME DIRE LE SCÉNARIO QUE VOUS VOULEZ)))))

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