Il se faisait tard et je titubais sur les pavés de la ville alcoolisée. J’errais de bars en bars, j’appréciais la musique des cigales de la soif qui échangeaient leurs voix. J’avais de plus en plus de mal à marcher droit. Je m’arrêtais donc dans un bar, au coin d’une rue sinueuse.
Après deux nouvelles pintes de blanche, je reconnus un peu plus au fond du bar, une vieille connaissance. Je ne l’avais pas croisé depuis plusieurs mois mais elle n’avait pas changé, toujours aussi svelte, aussi attirante, avec une belle paire de seins, et un cul bien rebondi, des yeux qui aboient le sexe. C’était une ancienne colocataire d’une de mes ex, et j’avais longtemps fantasmé sur des parties de jambes en l’air avec elle.
Des fois, quand je baisais mon ex comme une chienne, l’entendre écouter nos ébats au travers du mur, ses gémissements et le bruit sourd de son vibromasseur contre son clitoris, était un réel délice. Nos esprits jouissaient ensemble.
A cet instant, quand elle me reconnût, quand nos regards se croisèrent, un souvenir plaisant remonta à la surface: « j’aime beaucoup quand tu me prends debout par derrière mon chéri, ça me fait trop mouiller, surtout quand tu m’encules et que je me touche en même temps! » Me lançait ma puce, allongée sur moi dans le canapé, alors que nous tardions à l’apéritif. « C’est vrai que c’est particulièrement bon, je sens tout ton vagin qui épouse ma bite, c’est trop excitant! »lui répondis-je.
A cet instant, la porte d’entrée claqua. Julie, la meilleure amie/amante de ma copine rentrait de son travail. « Vous allez bien les p´tits loups? Je peux me joindre à vous? » Nous demanda-t-elle. Mon ex lui rétorqua: « t’es sûre? On était entrain de bien s’exciter, et je t’avoue que j’allais pas tarder à sucer avidement mon homme, ça te tente? » Elle nous regarda avec un moment d’hésitation, se demandant s’il ne s’agissait pas d’un test.
J’étais moi même surpris de la demande soudaine d’un plan à trois de la part de ma puce, mais d’un autre côté, putain que c’était excitant! Après quelques secondes de silence, Julie, tout en me fixant droit dans les yeux répondit que ça lui plairait bien. Ca faisait quelques temps qu’elle était célibataire et était un peu fatiguée du contact exclusif du latex des nombreux godes qu’elle s’insérait dans les orifices, elle avait besoin de sentir un bonne bite bien dure en elle, de la bonne chair fraiche, et par dessus tout, le gout du sperme tout chaud dans le fond de sa gorge, lui manquaient terriblement.
Elles se mettaient donc toutes les deux au travail, ma copine me déshabillant pendant que l’autre salope en chaleur m’embrassait. Ma copine mit ma bite dans sa bouche et Julie tout en s’asseyant sur mon visage me branlait d’une main vigoureuse. Je lui bouffais la chatte au travers du tissus d’un magnifique string noir en dentelles. Elles gémissaient comme des chiennes.
A son tour elle me suça, enfin elle me sucèrent toutes deux en même temps, s’embrassant, complices, avides de mon sexe qui gonflait ardemment. « Bouffe sa grosse bite petite pute!! Tu l’aimes hein la bite de mon mec? Elle a bon gout n’est-ce pas? » Dit ma puce à Julie. Celle-ci lui répondit amusée, gloussant d’un rire coquin: » oui ma chérie, elle est super bonne, je mouille…ah! Qu’il est doué avec sa langue ma belle!! T’en as de la chance, je t’entends jouir à chaque fois qu’il passe une nuit ici!! Oui! Oui! Continues connard! Je jouis!! Aaaaahh! »
Que c’était bandant de les lécher tour à tour, de sentir leur bouche palper ma bite. Ensuite, je les pris aussi tour à tour, commençant par enculer Julie. « Oui! Oui vas-y! Encules-moi! » Me criait la salope, ma copine se godant le vagin pendant que j’insérais doucement mon sexe dans son anus tout serré. Elle se tenait â quatre pattes, sur le canapé le cul tendu, en offrande, et c’était tellement jouissif de lui dilater le celui-ci…
Ensuite je pris ma puce en missionnaire, pendant qu’elle bouffait la chatte de sa meilleure amie, qui lui pressait fortement la tête quitte à l’étouffer pour se faire jouir. Comme c’était bon, on baisa comme ça pendant une grosse partie de la nuit et le lendemain matin, alors que ma copine dormait à poings fermées, la tête plantée dans l’oreiller, Julie se jeta sur moi et l’on baisa, comme des bêtes pendant que ma copine était perdue dans les fantasmes de ses rêves les plus fous…
Bref, quand je revis Julie, dans ce bar, je ne pus m’empêcher de repenser à cette soirée et quand je luis fis un signe de reconnaissance, et qu’elle me sourit du coin des lèvres, me faisant un signe de tête, en direction des toilettes; je compris vite que le vice se répéterait, à mon grand plaisir.
Je la suivis dans les toilettes, et d’un coup sec, elle me plaqua contre la porte, fermant d’une main le verrou, attrapant ma braguette de l’autre.
Elle me suça. Comme c’était agréable et ma bite ne tarda pas à se tenir bien droite, comme une barre de fer. Sa bouche grande ouverte faisait un va et vient délicat tout le long de ma verge, sa langue soyeuse tournoyait doucement autour de mon gland. Puis tout d’un coup, sans crier garde, la petite chienne accéléra le mouvement, pénétrant ma bite juteuse jusqu’au fond de sa gorge. C’était trop bon! En même tant qu’elle me suçait, elle me branlait à s’en donner des crampes et appuyait fortement sur la base de ma verge, caressant mes couilles gonflées tant à autre. Je ne tardais pas à jouir dans sa bouche qui se remplit tellement qu’elle dut la recracher, les derniers jets de ma jouissance atterrissant partout sur son visage. Elle me sourit et je lui rendis son sourire. Je lui en devait une.
On ne tarda pas alors à quitter le bar, après un dernier verre, pour nous retrouver chez elle pour terminer notre soirée en beauté. Cette nuit là, je fis en sorte de graver l’empreinte de ma bite dans la mémoire de sa jouissance, tout allait pour le mieux.
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