Histoires de sexe arabes Histoires de sexe viol Histoires érotiques couples amateurs

Ch. 9 : Lettre à Laura (15)

Ch. 9 : Lettre à Laura (15)



Je me souviens de tout, je me souviens de nous.

Je me souviens de notre dernière soirée ensemble.

Toi et moi, nous avons eu une relation sincère, complice, passionnée, fusionnelle.
Nous avons découvert le sexe véritable ensemble. Nous avons découvert la sodomie, les plans à 3, les lieux insolites, l’exhib. Nous avons appris à assumer le fait d’être accroc au sexe. Qu’il soit doux, soft, hard, torride.
Il y a eu beaucoup de fou rire, de délires, de fantasmes assouvis. En 6 mois avec toi, j’ai eu la sensation de vivre une vie remplie de plaisirs charnels.
Malheureusement tout à une fin.

Nous avons passé 3 mois de vacances de folie. Nous avons profiter l’un et l’autre de chaque instant car depuis le mois de mai, nous savons que début septembre, tu t’en vas étudier en Irlande pendant un an, pour tes études de LEA ( langues étrangères appliquées.)
Plutôt que de souffrir de l’absence de l’autre, nous avons décidé d’un commun accord de nous séparer à ce moment là, car nous estimons que cette situation serait trop difficile à vivre. Loin de l’autre et sans sexe, aucun de nous ne résistera aux multiples tentations. On se dit qu’on verra ce qu’il en sera à ton retour.

Dans 2 jours, c’est le grand départ. Cela fait quelques jours que tu es stressée, anxieuse, pas vraiment faite à l’idée de partir et de tout quitter pour une année.
De mon côté, je me prépare psychologiquement à ne plus te voir, à ne plus t’embrasser, ne plus te serrer dans mes bras, à ne plus te faire l’amour. Je sais par avance que ce sera une déchirure pour moi comme pour toi. Mais je dois également préparer ma future rentrée.

Ce matin là, je t’apporte le petit déjeuner au lit. Sur le plateau, un verre de jus multivitaminé, des tartines grillées, un thé, une rose rouge et une lettre dans laquelle j’ai écrit ce que je ressens pour toi.
– Merci mon cœur, tu es adorable.
– De rien, tu mérites bien ça. Tu liras la lettre quand je serais parti d’accord?
Je t’embrasse tendrement avant de partir.
Dans la matinée, je m’occupe des démarches administratives pour mon inscription à la fac.
Tu m’envoies un SMS:
– Merci pour ta lettre, elle m’a beaucoup touchée. Je t’aime.

Le midi, je retrouve Ronan, mon pote et futur colocataire. Nous mangeons ensemble. Il connait notre situation et me console un peu. Il me comprend. Lui et sa petite amie, qui étaient ensemble depuis plus d’un an, se sont séparés au début de l’été. Il m’explique que ce sera dur et douloureux au début, mais que je m’en remettrais.

En début d’après-midi, Ronan et moi faisons l’état des lieux de notre futur appartement de 50m2. Nous y découvrons deux chambres séparées par la pièce principale. Cette dernière est composée d’un salon-séjour et d’une kitchenette. Il y a également une salle de bain-toilette.
Ce studio nous convient parfaitement, l’immeuble est très récent et se trouve juste en face de l’université. C’est impeccable. Pas besoin de voiture ou de tramway, ça fera quelques économies.

En sortant, je t’envoie un petit message:
 » Coucou ma chérie, ça y est, on a trouvé notre logement. Nous emmenageons fin de semaine prochaine. »
 » Super!!! Je suis trop contente pour toi. Sinon tu comptes rentrer bientôt? »
 » On va boire un verre avec Yann et Elodie, je serai là pour 17h. »
 » Ok, ne traîne pas trop, j’ai une surprise pour toi. Gros bisous, à tout à l’heure. »

On se retrouve tous les quatre dans un bar où nous avons nos habitudes. On ne s’est quasiment pas vu depuis deux mois, alors chacun raconte un peu ses vacances, ses soirées. Elodie, avec qui tu t’entends très bien, me demande de tes nouvelles. Ronan nous raconte sa nouvelle vie de célibataire. Yann comme toujours déconne avec ses fameuses imitations.
Malgré tout, j’ai du mal à être attentif. Je repense à ton dernier texto. Je cherche en vain, quelle pourrait être la surprise que tu m’as concoctée.

Je m’apprête à quitter mes potes, mais Yann tente de me retenir:
– Tu vas bien en boire un dernier?
– Non, désolé pas cette fois. Laura m’attend, je lui ai dit que je serai là pour 17h.
– Très bien, tu lui feras des bisous de notre part.

Tu m’ouvres la porte de l’immeuble lorsque je sonne à l’interphone. Je suis si pressé de te retrouver et de connaître la surprise, que je n’attends même pas l’ascenseur. J’escalade les marches de l’escalier 2 par 2. Et quand je pose ma main sur la poignée de la porte d’entrée, mon cœur s’emballe et tambourine de plus en plus vite.
J’entre dans le salon, la télé et l’ordi sont éteints.
– Tu es là ma chérie?
– Oui je suis dans la cuisine.
Je t’y rejoins. Je reste sans voix en t’apercevant.
Tu es là, assise sur la table de la cuisine, entièrement nue, les jambes écartées. Tu me souris:
– SURPRISE!!!

Devant ma béatitude, tu me lances:
– Bah ne restes pas planté là, déshabilles-toi et viens me baiser, j’ai envie que notre dernière soirée ensemble soit mythique.

Le temps que je me déssappe, tu att****s une bonbonne de chantilly que tu as caché derrière toi et tu t’en asperges le bout des seins.
Je viens à ta rencontre avec une demi-molle, je me penche sur toi et je goûte tes globes sucrés, je suce tes tétons, je les mordille en glissant ma main entre tes cuisses. Ta minette est déjà ruisselante. Je tourne le bout de mes doigts sur ta vulve rapidement, appuyant de plus en plus fort. Tes premiers soupirs se font entendre. Mon pouce s’agite sur ton berlingot gonflé de désir. Tu empoignes mon sexe et tu me masturbes tout en douceur.
Tu reprends la chantilly et tu m’en étales sur la verge. Tu t’allonges à plat ventre sur la table et de la pointe de la langue, tu récoltes la crème fouettée sur toute ma longeur. Tu me décalottes, ta langue virevolte sur mon gland, elle me titille le frein. Ça me rend fou, je grogne:
– Hum, ma rousse c’est trop bon, j’ai trop envie de toi.
– Moi aussi, je veux que tu me fasses jouir, que tu me fasses crier comme une chienne.
J’agrippe ta crinière pour tirer ta tête en arrière. Je te roule une bonne grosse pelle et je dirige ta bouche sur mon sexe pour que tu me suces encore. Tu y vas franco, tu me pompes grassement sans les mains, provoquant chez moi quelques plaintes sonores.

Je te fais pivoter sur toi-même, je te retourne sur le dos, j’écarte tes cuisses, je crache sur ta chatte que je lèche ensuite avec fougue. Tu gémis de plus en plus fort, tu as chaud, tu deviens rouge. Je te pénètre et je te lime comme un bourrin. La tendresse et la douceur n’ont pas leur place dans notre acte bestial.
Tu cries ton plaisir sous mes coups de boutoir. Je ressors de ton intimité, je m’empare de la chantilly et je décore ta minette de mousse blanche. Je déguste le tout savoureusement, en prenant bien soin de te nettoyer. J’insiste longuement sur ton clitoris et tu couines fortement:
– Putain, je jouis, encore, ne t’arrêtes pas.
Tu dégoulines, je lape ton nectar et je te pénètre à nouveau rageusement. Mon rythme cardiaque s’accélère et je te préviens:
– Oh oui, ça vient, je vais gicler.
Tu te dégages, tu me prends en bouche en m’astiquant à vive allure. Je lève la tête en fermant les yeux et j’expulse ma semence au fond de ta gorge, que tu avales délicieusement.

Tu me regardes, pleine de concupiscence.
– Oh toi, tu as une idée derrière la tête.
– J’en veux encore, mais ce serait meilleur avec…
Je vois où tu veux en venir.
J’ouvre la porte du frigo pour choper le pot de confiture de fraise.
Je l’ouvre, j’y plonge 4 doigts et j’étale cette marmelade sucrée sur tes seins et ton ventre. Tu es toujours allongée sur la table et je te lèche partout de bas en haut. Tu ricanes lorsque ma langue trifouille ton nombril. Je me délecte de la saveur de tes seins et tes gémissements m’excitent de plus en plus. Je bande à nouveau comme un poney en rut.
Je reprends le pot et cette fois, c’est ta belle moule gluante que je badigeonne.
C’est avec un immense plaisir que je bouffe ta chatte à la fraise. Ma langue se noie sous le déluge de jus que tu m’imposes.
Mon visage est souillé de tes sucs et de confiture.
Tu pousses d’innombrables cris de jouissance lorsque je suce ton bonbon rose. Tes doigts se crispent sur ma tête, tes poings se serrent sur ma chevelure. Ton orgasme est sincère.
Tu devines que je m’astique le manche en te dégustant et tu décides de me gâter à ton tour. Tu descends de la table, tu t’agenouilles et tu me recouvres le pénis entièrement de confiture.
Après la célèbre « pipe au miel » dans le jeu télévisé les Z’AMOURS, j’ai le droit à une intense turlutte aux fraises.
J’halète, je deviens sourd, plus rien ne compte, ni le temps, ni l’espace. Tu me procures un bien fou en m’avalant jusqu’à la garde. Je râle bruyamment lorsque tu me gobes les bourses et que tu suces leur peau si tendre.

Mon corps est là, mais mon esprit est ailleurs. Mon retour à la réalité se fait uniquement lorsque tu te stoppes et que tu m’ordonnes:
– Viens, prends-moi, j’ai envie de sentir ta grosse bite.
Tu te mets à quatre pattes, à-même le sol, je me positionne derrière toi, je saisis ma poutre que je dirige à l’entrée de ton vagin. Mon gland pousse les portes de ton paradis et je t’enfile facilement. Je te besogne joyeusement en levrette, mélangeant dans tes entrailles, les restes de confiture et ta cyprine. Notre concert est magnifique, une symphonie de de plaintes et de mots crûs, nous berce les tympans.
– T’aimes ça quand je te baise sauvagement, petite salope?
– Hum oui, j’adore, continues, défonces-moi la chatte.

Après quelques aller-retour très actifs, je reprends le pot de purée de fraises et je te tartine la raie. J’écarte tes fesses et tel un glouton, je te mange l’anus.
De ta main, tu appuies fortement sur ma tête pour m’écraser le visage sur ton cul, ma langue se fourrant ainsi au plus profond de ton cratère. Tu ne te maîtrises plus:
– Allez encules-moi, je veux me sentir dévastée.
Ma verge déchire tes chairs, tu hurles ton soulagement, tu es conquise.
Je te sodomise sans ménagement en claquant ton fessier, tu m’encourages à y aller encore plus fort. Je te donne tout, je sens mes forces m’abandonner, mon gland brûle et j’éjacule en rugissant. Tu atteints l’orgasme également, incontrôlable, interminable.

Je reste ancré en toi jusqu’à la débandade, puis je me retire amenant avec moi le trop plein de jus visqueux.

Mais tu es vorace ce soir et tu en redemande. Le temps de la période réfractaire, je reprends mes esprits en fumant une clope.
Tu sors du placard le nutella et tu me regardes coquinement. Après une bonne pipe chocolatée pour me redonner toute ma vigueur, c’est avec mon cul que tu te régales. Ta langue circule sur le pourtour de ma rondelle et cette agréable sensation m’électrise.
La ressemblance avec le côté s**to nous amuse beaucoup. Dans notre délire, tu me dis:
– Hum, elle est bonne ta merde.
Moi en plaisant:
– T’en veux de la vraie?
Tu éclates de rire:
– Arrête t’es dégueulasse.
Mon tour arrive, je te recouvre de nutella et après t’avoir léché le cou, les seins, le ventre, la chatte, l’intérieur de ses cuisses, les fesses, l’anus, je me badigeonne entièrement la queue. Je m’insères dans ton trou du cul, déjà bien dilaté. Cela m’excite terriblement de voir mon membre ressortir marron.
L’odeur de nourriture, de transpiration et de sexe parfume la cuisine, et tu décides de continuer cet acte primaire dans une autre position. Je m’allonge et tu t’empales sur mon tube énorme, face à moi. Tu coulisses sur ma tige en proférant des insanités:
– Oh ce que c’est bon, si tu savais combien j’aime la prendre dans le cul, oh oui, j’aime ça, quand tu me déchires le fion.
Entendant cela, je t’encule de plus en plus fort et de plus en plus vite. Et dans la douce mélodie de nos gémissements, nous atteignons l’orgasme ensemble.

Après m’être ôté de ta rondelle toute souillée, tu me suces délicatement pour me remercier. Tu nettoies ma verge des quelques traces de confiture, de chocolat et de sperme que tu avales avec gourmandise.

On colle de partout, nous prenons une très longue douche, où nous refaisons l’amour encore.

Nous n’avons quasiment pas dormi cette nuit là, je ne me rappelle plus combien de fois nous avons abuser l’un de l’autre, mais nous étions épuisés et vidés.
Nous nous endormons nus, blottis l’un contre l’autre, sevrés de sexe.

À notre réveil, ce sont les gestes tendres, les mots doux et quelques pleurs qui ont remplacé le côté hard de la veille.
En début d’après-midi, c’est en sanglotant et le cœur meurtri que nous nous quittons. Nos lèvres se sont touchées une dernière fois.

Tu es partie en Irlande, nous avons gardé contact quelques temps jusqu’à ce que chacun de nous prenne une autre route. Mais ce qui est sûr, c’est qu’aucun de nous 2 n’oubliera ces supers moments passés ensemble.

FIN.

PS: Si un jour, tu me lis, saches que tu me manques et que je penserais toujours à toi.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire