Il avait maintenant relevé son pull de soie et avait mis à l’air ses seins gonflés. Il caressait ses tétons dressés. A mon tour, j’ai éprouvé le besoin de la toucher. J’ai glissé ma main sous sa jupe retroussée, jusqu’à sa chatte brûlante. J’ai passé mes doigts sous le léger tissu de son string. Sa fente était gluante de mouille. Ma caresse a dû multiplier ses sensations car, visiblement, elle se déchaînait à présent comme une folle sur le gros truc tendu.
Moi aussi, je m’enflammai du coup. Je criai presque : « Suce-le bien, salope, tu aimes, hein, les grosses queues ! ».
Et je la branlais frénétiquement : « Bouffe-lui ses couilles ! ».
Elle m’écouta, elle suça, elle pompa, elle avala les grosses boules velues. Elle s’interrompait par moment pour me souffler: « Qu’il est bon son zob ! Qu’il est gros ! ».
J’ai eu tout d’un coup envie de la prendre. Je me suis placé derrière elle et je l’ai prise par les hanches. J’ai retroussé sa jupe, j’ai fait glisser son string, puis me suis enfoncé sans résistance dans son petit minou baveux. Bon sang, comme c’était bon ! Elle était trempée ! Je me déchaînais, je la pilonnais sans ménagement. Ça m’excitait de la voir prise par ses deux bouches.
– Remonte bien sa jupe que je puisse mater son cul ! A dit notre complice.
Curieuse requête que de solliciter d’un mari l’exhibition du derrière de sa femme ! Pourtant, sans hésiter, je la remontais très haut pour bien découvrir le somptueux postérieur. Complaisamment, Nadia, d’ailleurs, se cambrait un peu plus.
– Quel beau cul ! S’est exclamé notre ami.
Il s’est penché en avant et a caressé les fesses rebondies. Ses mains malaxaient les globes avec une grande douceur. Moi, de mon côté, de plus en plus enflammé, je m’enfonçai de plus en plus profondément dans la chatte douce et chaude de ma petite femme chérie. Elle avait maintenant cessé de sucer, tant je la secouais, accrochée simplement à l’énorme pieu de ses deux mains, le visage plaqué contre son bas-ventre. Elle geignait de plus en plus fortement. A un moment, il s’est penché plus avant et, d’une ample caresse, il a écarté les deux globes de ses fesses pour glisser un doigt fureteur dans le petit trou de ma chérie. Bon sang ! Nous ne nous contrôlions plus. Nous haletions tous les trois comme des forcenés !
Nadia, s’abandonnait sans retenue maintenant à ce doigt qui fouillait sa rondelle, et à mon chibre en feu qui s’enfonçait au plus loin qu’il pouvait. Plus rien ne comptait plus que cette frénésie de plaisir qui nous submergeait ! Qu’elle était bonne à prendre, ma petite femme chérie, tant sa chatte douce et baveuse m’enflammait de sensations merveilleuses ! Je m’insérais avec tant de plaisir dans sa chatte coulante de mouille !
Soudain, le vigile s’est redressé, puis a porté la main à sa poche. Il en a extrait un préservatif de taille visiblement XXL, puis l’a enfilé sur sa bite de cheval. Avec autorité, il a ajouté: Passe-la-moi, maintenant !
Et il s’est porté à ma hauteur, la bite dressée, avec l’intention visible de prendre ma place. Docilement alors, je me suis retiré, un peu à contrecœur, de l’endroit tout chaud. Il a pris Nadia par les hanches. J’ai eu peur du coup: n’allait-il pas la déchirer ? Comment un engin pareil allait-il pouvoir entrer dans sa petite chatte juteuse ? Ça ne semblait pourtant pas être une inquiétude pour ma femme. Au contraire même: il me sembla qu’elle s’était cambrée davantage pour accueillir plus aisément l’énorme queue ! J’ai alors vu avec trouble l’engin écarter les lèvres gonflées du minou de ma cochonne d’épouse. J’ai failli crier !
– Ce n’est pas possible ! Tu vas la déchirer !
Mais en même temps, je regardais avec fascination la lente mais certaine progression de la grosse queue dans l’étroit fourreau de ma chérie. Sa chatte gourmande s’offrait sans remord à la pénétration monstrueuse. Elle hurlait sans retenue maintenant.
– Oh oui, c’est bon, trop bon !
– Tu aimes, mon amour ?
– Oui !!!!!!!!!!!!!!!!
Je n’aurais jamais cru la chose possible: il la fourrait avec une facilité surprenante ! Son vagin élastique acceptait sans difficulté l’étonnante pénétration. Ses mains crispées sur les hanches voluptueuses de ma chouquette, il s’enfonçait pratiquement tout entier. De mon côté, à voir mon épouse ainsi baisée, à l’entendre ainsi hurler son plaisir, je prenais un pied fou ! Je me branlais comme un forcené. J’encourageai le vigile de la voix : Vas-y, baise-la bien ! Défonce-la ! N’hésite pas, vas-y de bon cœur !
Je stimulais ma femme aussi, la traitant de petite chienne : « ne réfléchis pas, donne-toi à fond ! Fais de moi ton mari cocu et lopette ! Tu aimes hein, cochonne ! Elle est bonne sa queue ! Tu te régales ! ».
Prise par une queue de 26 cm lui change de mon zizi de 12 cm ! Je me délectais à observer ainsi l’étonnante colonne de chair coulisser lentement, s’enfonçant d’abord, puis ressurgissant d’entre les lèvres enflées de sa chatte. Le pubis du vigile, maintenant, claquait régulièrement contre les fesses de ma chouquette adorée. Les cris allaient crescendo. De multiples orgasmes semblaient secouer ma chérie. Soudain, l’un d’eux, sans doute terrible, l’a secouée toute entière !
Elle semblait trembler de tout son corps. Elle poussa un cri d’extase, comme une déchirure de tout son être. J’ai essayé de glisser ma queue dans sa bouche, mais au contact seul de ses lèvres, j’éjaculais ! Lui aussi semblait s’être laissé aller à jouir. Agrippé aux hanches offertes, il s’épanchait maintenant à longs jets dans l’intimité de ma femme, heureusement protégée par le préservatif !
Pendant un moment, ils sont restés comme soudés l’un à l’autre comme pour prolonger le fort plaisir qui les avait unis. Puis, comme au ralenti, j’ai vu le zob encore gonflé s’extraire doucement, comme avec regret, du ventre de ma Nadia.
Histoire de conclure cette folle parenthèse, ma femme s’est remise à genoux sous mes yeux devant le vigile, elle a extirpé le préservatif rempli de 2 bonnes cuillères à soupe de sperme chaud et l’a vidé sur ses seins en étalant le sérum de l’énorme barre de sa main gauche, comme pour marquer le territoire provisoire de cette masse de muscle de 90 kg !
Puis elle reprit l’engin en bouche pour aspirer les derniers centilitres de sperme prisonnier dans la colonne encore tendue, et léchouilla consciencieusement sa totalité, pour nettoyer l’inondation et remercier notre complice d’un soir…
Les choses ont été très rapides alors. Qu’est-ce qui nous avait pris ? Songeais-je. Ma femme remontait son string et remettait de l’ordre dans sa tenue, pendant que le sperme déversé sur ses seins s’écoulait jusqu’au petit triangle endolori par les assauts bestiaux du vigile ! Je la sentais maintenant honteuse, de son côté.
Le vigile a essayé de nous retenir encore, nous invitant à passer boire un verre chez lui. Visiblement, il aurait bien voulu prolonger la rencontre. D’ailleurs, pendant que Nadia se rhabillait, ses mains ne cessaient de la peloter, comme pour un dernier contact.
Nous avons refusé.
Aussi, après l’avoir salué, nous nous sommes enfuis, un peu comme des voleurs. Je n’en ai pas voulu à ma chérie. Au contraire même: cette expérience a ravivé notre sexualité. Il me suffit de songer à ces moments pour qu’un désir profond s’empare de moi.
FIN.
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