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Mûres22/vieille dame pincée en club échangiste

Mûres22/vieille dame pincée en club échangiste



La vieille dame pincée, c’est encore et toujours Brigitte, la comtesse de 73 ans, fine comme une porcelaine en vitrine, portant fièrement son chignon spectaculaire, blonde comme une poupée de sexe à fourrer sans ménagement.
Après de longues discussions sur l’avantage de mettre du piment dans nos ébats, déjà torrides, elle accepta de m’accompagner dans une boîte échangiste, mais à certaines conditions:
-nous aurions le plaisir de fricoter dans un endroit louche, mais resterions discrets parce que la soirée en question s’appelait « soirée dark ». Cela signifiait que la luminosité serait faible, la discrétion assurée, et que nous devions nous habiller tout en noir.
-nous ne ferions que nous embrasser, nous peloter, sans nous dévêtir, à plus forte raison sans nous mêler à d’autres couples. Un échangisme à la Brigitte, sans échange
Nous nous étions vêtus de noir. Avant de quitter la maison, j’étais déjà excité. Je voyais Brigitte s’affairer d’une pièce à l’autre, se pommader, chercher un objet, comme si nous allions à une réception ordinaire, ou à un concert. Sa robe noire en tissu léger renforçait son allure austère. Il me fallait toute une gymnastique mentale pour me persuader que cette vieille dame digne ne s’apprêtait pas à m’accompagner à l’église mais bien dans une réunion de libertins, et qu’elle serait assise tout à l’heure non pas sur un banc de bois, ni dans un fauteuil de théâtre, mais sur un canapé de cuir, au milieu de femmes qui tirent des pipes, de matrones à quatre pattes fourrées comme des chiennes en balançant leurs mamelles.
a la porte d’entrée, je la vois glisser ses petits pieds aux ongles vernis dans des chaussures noires à talon, très élégantes. Nous voilà partis. nous allons baiser, messieurs dames, cela ne se voit pas, mais nous sommes habillés pour nous déshabiller, pour mélanger nos sécrétions intimes au milieu des soupirs de couples blasés en quête de jouissances bien baveuses.
Le club échangiste occupe une petite maison à l’écart d’un village. En sortant de voiture, nous croisons des couples. A l’entrée, je note la présence d’une jeune femme obèse, prototype de la grosse cochonne qui manque de queue dans la vraie vie. La queue qui va la fourrer tout à l’heure ne sera sûrement pas la mienne, car mon dragon veille au grain.
Elle échange quelques paroles polies avec le réceptionniste du club, et nous voilà intégrés à cette réunion d’obsédés.
L’étage inférieur est occupé par un bar et une piste de danse. Tout le monde est habillé, mes certains couples s’embrassent outrageusement.
Sur un canapé, je suis blotti contre ma digne vieille salope. C’est bien agréable de se rouler des pelles devant du monde. A tout moment, je passe la main dans l’échancrure de sa chemise pour empaumer la douceur de ses seins, dont je pince parfois les bouts. On ne fait pas cela avec sa maman. Ici, je ne me gêne pas. Si certains couples nous regardent, cela ne fait que nous exciter.
Le moment est venu de monter un escalier en colimaçon pour nous rendre à l’étage supérieur. On passe aux choses sérieuses.
Malgré la pénombre, on distingue des silhouettes en train de copuler. Le sol de la salle principale est couvert de matelas, où les corps s’emboîtent avec des râles, des soupirs saccadés.
Brigitte s’attendait à ce genre d’épanchements, mais reste ferme sur ses décisions: moi la grande enculée qui suce les couilles de mon amant de l’âge de mon fils, je ne me mêle pas à cette ménagerie.
Nous restons debout, cherchant notre place. Toujours habillé de noir, je sors ma bite et y pose la main de Brigitte.
La digne salope me branle doucement, tandis que nous nous dirigeons vers l’endroit le plus discret de tout l’étage: un canapé dans un angle. A quelques mètres de là, un autre canapé qui accueille un autre couple. La tête de la femme va et vient sur l’entrejambe de son compagnon. C’est tout ce que nous distinguons. Mais cela nous suffit à nous émoustiller. Nous avons franchi le pas, nous allons fricoter en face d’un homme qui se fait tirer une pipe.
Brigitte accepte de me sucer également.
Un employé du club passe à ce moment là. Jolie stéréophonie, doit-il se dire. Une femme suce son homme, une vieille dame à chignon lèche les couilles de son neveu, de son gigolo, de son fils…
J’outrepasse les limites fixées par Brigitte en me débarrassant de son pantalon. Elle ne voulait pas baiser dans cet environnement, mais après tout…elle a vite fait de relever les voiles de sa robe, et de me laisser me placer entre ses cuisses. Je pointe la queue sur sa fente que je ne vois pas.
J’ai le plaisir de la fourrer en me voyant comme dans un film. Je suis heureux de former la moitié de ce couple atypique, qui met une touche fellinienne dans ce décor estompé.
Après avoir juté dans le con de ma gouvernante, nous nous rhabillons, et nous rendons au vestiaire.
Je revois Brigitte, face à un miroir, d’une raideur digne d’une gravure des temps passés, réajuster sa coiffure, tranquillement, alors qu’une grosse salope sans classe dégrafe son soutien-gorge juste à côté d’elle. Par la porte ouverte du vestiaire, on voit une partie de la salle de baise. La grosse cochonne croisée à l’entrée maintient ses jambes en l’air, tandis qu’un homme s’active en elle comme un bonobo, ce qui arrache à la fille de petits cris aigus.
Cette scène ne semble pas affecter le regard en amande, tranquille et hautain, de ma vieille salope à moi.
De retour à la maison, avant de nous endormir, je ne me souviens plus si je l’ai enfilée dans son lit blanc après une bonne léchée de couilles et de cul, mais c’est fort possible.

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