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Ma voisine, Catherine (4)

Ma voisine, Catherine (4)



Ma voisine, Catherine (4)

A peine rentrés de notre petite sortie dans les bois que j’emmène Catherine dans la chambre et lui demande de se mettre nue? Elle s’exécute sans rechigner et je fais de même et en quelques secondes nous sommes de nouveau dans la tenue d’êve et d’adam, prêts à continuer nos ébats sexuels.
« Toujours prête à souffrir ma chérie ? »
Comme toute réponse elle acquiesce de la tête.
« allonges toi au milieu du lit et tu vas me donner tes bras et tes jambes que je t’attage aux 4 coins du lit. Elle se met en croix et avec de la ficelle j’attache ses 2 mains et ses pieds aux 4 coins du lit comme pour la mettre en croix. Je disparais un instant le temps d’aller chercher quelques objets et je reviens lui montrer.
« Ces pinces à classeur te plaisent-elles et es-tu prête à les sentir sur tes bouts durs? »
« Oui mon amour, je veux les avoir aux bouts de mes seins et si elles ne pincent pas assez n’hésites pas à en mettre deux. Je veux ressentir la douleur m’irradier le corps »
Devant cette demande étonnante je commence par prendre son sein gauche et ouvre la pince juste autour du téton pour la lâcher d’un coup. Elle pousse un cri et se cambre sous l’effet de la douleur mais se rallonge aussitôt en serrant les dents. Je fais de même avec son sein droit et elle réagit pareil sous la pression.
« Tu aimes ou tu veux que ça pince plus fort ? »
« J’ai mail, maître, mais c’est vous qui décidez » dit-elle les dents serrées.
Voyant qu’elle semble prête à souffrir plus je prends les pinces la taille au- dessus et les pose par-dessus les premières sur chaque sein. Cette fois elle commence à souffrir, ses yeux deviennent humides, mais elle se refuse de se laisser aller à pleurer.
« Je vois que tu aimes ou que tu ne veux pas avouer que tu as mal esclave ! je vais continuer ! »
Je viens me placer à cheval sur elle, ma bite contre sa bouche et je commence à lécher sa fente qui remouille de nouveau. Rapidement je trouve son clitoris qui se durcit et se tend bien visible, de quoi le prendre entre deux doigts pour le pincer un peu. Elle gémit mais ne bouge pas. Je décide alors de passer à l’étape douloureuse pour son clito et je prends une nouvelle pince que je pose sur son clitoris. Cette fois elle crie et se secoue dans tous les sens pour essayer de faire partir cette pince qui lui écrase le clito et la fait souffrir.

« Salope tu vois que tu à mal, mais tu vas la garder un moment tu vas voir! Tant que je n’aurai pas jouis je la laisserai. Par contre je vais détacher tes jambes pour que tu puisses bouger encore plus petite chienne. »
Et joignant le geste à la parole je détache ses pieds du lit. Aussitôt elle resserre les jambes en les repliant pour essayer de calmer la douleur, mais rien n’y fait.
Je lui prends les jambes et les bloque pour lui soulever et j’arrive à me glisser dessous en lui écartant pour les poser sur mes épaules. Sa chatte commence à couler de nouveau et je trempe 3 doigts dans sa fente pour prendre sa mouille et lécher mes doigts. Je me délecte de son nectar de femme en chaleur et je recommence plusieurs fois avant de rentrer 4 doigts dans sa chatte.
« Tu vois ma trainée ta chatte s’ouvre bien je suis sûr que ma main va rentrer sans problèmes »
A ces mots elle demande pitié et se démène pour essayer de m’empêcher de mettre ma main mais rien n’y fait. Mes cinq doigts s’engouffre dans son puits d’amour sans vraiment sentir de résistance jusqu’au moment où le plus large arrive. Je lui souris et d’un coup sec je pousse ma main qui arrive à passer et s’enfonce dans son ventre chaud et trempé. Elle hurle à nouveau et pleure sous la douleur du moment mais je continue d’avancer en elle rapidement pour faire disparaitre toute ma main au fond de son vagin. J’arrête de bouger un moment pour la laisser reprendre son souffle et aussi pour laisser passer la douleur et quand je vois son visage se décontracter un peu je recommence à pousser. Cette fois pas de résistance et les grimaces qu’elle fait son dues à la pince sur son clitoris qui bouge en même temps que je rentre.

« Alors ma chienne ! C’est pas délicieux de se faire fister comme ça ? »
« Oui c’est bon vas-y encore le plus profond possible, mais c’est la pince qui me fait mal au clito »
Comme réponse je tire la pince et elle hurle encore.
« Je t’ai dit que je te la retirerais quand j’aurais jouis pas avant. Si tu continues à te plaindre je la tire encore et je la fais tourner. C’est bien compris ? »
« Oui maître. Je me laisse faire c’est promis »
Je décide de limer sa chatte avec ma main et commence un lent va et vient dans ce trou dilater au maximum. Elle pousse encore de petits cris chaque fois que la partie la plus large de ma main est presque ressortie mais je la renfonce aussitôt en elle et je la sens mouillée de plus en plus. Elle finis par s’habituée et commence à gémis en ondulant son ventre signe de l’arrivée probable d’un orgasme.
« Tu vas jouir salope ? »
« Oui mon amour je vais jouir et je sens que ça va être très fort. Continues ne t’arrêtes plus c’est trop bon ».
Je vais aller ma main plus vite au fond de son ventre et elle se mets à trembler en ouvrant grand ses jambes. Elle va bientôt jouir et je vais l’aider encore plus.
Je prends une pince de ses seins entre mes doigts libres et je tourne d’un demi-tour sur elle-même et l’effet est immédiat. Un cri et des jets de cyprine qui viennent arrosés ma main toujours dans sa chatte. Je quitte la pince des seins et en prenant celle poser sur son clito je fais de même en la tournant et en la tirant ce qui provoque un deuxième orgasme de suite encore plus puissant que le premier. Cette fois un long jet de cyprine m’inonde jusqu’au coude suivi d’un second et enfin d’un troisième. Elle ne bouge plus comme évanouie sa respiration haletante.
Je retire ma main d’un coup ce qui lui fait ouvrir les yeux hagards dans un cri mais elle me laisse plonger ma tête entre ses cuisses pour lécher sa cyprine chaude et délicieuse. Je récupère tout ce que je peux sur elle puis je passe à mon bras trempé pour tout déguster.

Elle me regarde dans les yeux, fière d’elle et de ce qu’elle vient de m’offrir et me propose de me sucer pour me faire jouir dans sa bouche. Je refuse et je lui réponds que je vais l’enculer pour me vider les couilles dans son intestin ce qui lui convient tout à fait. Elle plie ses jambes sans que je demande et je peux poser ma bite sur sa rondelle et j’attends.
« Encules moi salop, ne me fait pas attendre plus, tu sais que j’adore ça. Défonces mon trou à bite ! »
Content de l’entendre parler ainsi, je pousse et rentre sans difficultés dans son trou du cul. On peut deviner que le plug de la promenade n’y est pas étranger et en une seule poussée je suis au plus profond de son boyau chaud. Je commence immédiatement à limer son fion et rapidement car j’ai vraiment envie de me vider dans ce trou chaud.
Je ne cherche plus à la faire jouir et je la ramone comme un fou ce qui fait monter mon jus rapidement dans ma queue et je me déverse dans un râle au fond de son cul. Je jouis beaucoup moins que les fois précédentes mais il reste quand même un peu de jus de couilles à déverser en deux petites giclées.
Une fois bien vidé je commence à ramollir et je me retire de son fion en mettant une cuillère dessous pour récupérer le mélange de nos jus. Je lui ordonne de pousser et elle propulse le nectar dans la cuillère en moins d’une minute. Je lui offre cette boisson qu’elle prend avec plaisir et la boit tranquillement.

Je la regarde dans les yeux et lui dit :
« On enlève les pinces mon amour de salope?
« Oui mon amour de maître mais fais-moi mal en le faisant »
Je prends alors la pince sur le clito et la tire en tournant pour la faire hurler mais je tire sans la desserrer comme si je voulais arracher son petit bouton. Elle hurle se démène comme un pantin et tout à coup la pince lâche prise lui provocant étonnement un orgasme de moyenne intensité. Pas au point de gicler mais un petit ruisseau sort de son bas ventre. Je n’en perd pas une goutte et me régale avec?
Puis je passe à ses seins avec lesquels je fais pareils mais les deux à la fois. Là encore elle hurle, crie, a les larmes dans les yeux mais semble aimer puisque sa chatte coule de nouveau. Les pinces finissent par lâcher et ses tétons retombent sur sa poitrine qui rebondie presque sous la v******e.
Pour finir je détache ses mains et aussitôt elle en pose une sur sa chatte et caresse son clito pour voir dans quel état il est et l’autre caresse ses tétons pour essayer de calmer la douleur.
Elle me regarde droit dans les yeux et me dit :
« J’espère que l’on se reverra encore et je veux que tu recommences. Mon amour j’ai adoré ce que tu viens de faire et si tu veux un jour moi aussi je te fisterai mais ce ne pourra pas être la chatte »
« Ma salope adorée je te promets de tout faire pour que l’on recommence oui. Et je te laisserai mettre ta main dans mon cul si je pourrai mettre la mienne dans le tien. Mais il faut me laisser le temps de m’habituer à me faire enculer »
« Oui je te laisserai le temps et je te préparerai dès que possible. Tu verras que notre cul peut recevoir gros tu as vu mon plug tout à l’heure »
« Je t’aime ma belle Catherine je voudrais que l’on reste tout le temps ensemble »
« Moi aussi mais tu sais bien que c’est impossible pour le moment et que je ne viens pas souvent »
J’irai te voir à Bordeaux si tu veux. Je peux y aller facilement plusieurs jours et quand tu rentreras du travail le soir on pourra encore jouer ensemble. »

La promesse est faite pour une future suite, mais je ne peux pas dire si elle excitera, ni quand elle sera écrite. Merci d’avoir lu ces épisodes avec la belle Catherine ma voisine qui existe vraiment. Par contre vous vous doutez bien que ces histoires sont inventées de toutes pièces sauf le passage de la piscine et les petites tenues très sexy.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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