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Bonne chienne soumise

Bonne chienne soumise



En bonne chienne soumise, sur ordre de mon mari, je me suis mise en tenue de bonniche sexy pour accueillir Christian.
Après plus de trente ans de mariage et de dressage, j’ai l’habitude de recevoir nue ou habillée dans des tenues plus sexy les une que les autres nos amis que mon homme reçoit à la maison. 
Mon mari est fier de présenter sa femelle soumise.
Humiliée par mes tenues, je suis consciente de donner une image de salope aux visiteurs. Sous peine de punition, je me dois d’être souriante, aimable et offerte pour ses invités. Je dois leur obéir comme je le fais avec mon mari.
En servant l’apéritif à Christian, il ne manque pas de mater mon décolleté plongeant.Il me demande :
« Retire- moi ce bonnet ridicule et ton accoutrement de bonniche ! »
Le regard ferme d’Alain suffit pour que j’obtempère sans rechigner. Rougissante, malgré une certaine habitude, je me déshabille alors que les deux hommes décrivent mes atours ne faisant aucun cas de ma présence.
« Tu as une chance inouïe Alain d’avoir une femelle aussi obéissante sous la main »
« Oui je le reconnais. Mais tu as aussi une grosse salope avec Sofia ! »
« C’est vrai. Mais elle est si salope que ça devient lassant. Alors que ta femme est toujours un peu réticente et rebelle. On est obligé de la forcer et c’est plus excitant. En plus je ne lasse pas de ses grosse mamelles ! »
En string, devant eux qui m’humilient en parlant ainsi de moi, je me sens ridicule.
Remarquant que j’ai gardé mon string, Alain s’agace :
« T’es sourde ou quoi ? A poil ! Christian t’as ordonné de te foutre à poil ! »
Complices, les deux hommes s’amuse de ma pudeur ridicule. J’enlève mon string et Alain me dit :
« Apporte à quatre pattes ton string à notre invité. »
A quatre pattes, seins se balançant dans le vide, je m’avance vers Christian et lui donne ma culotte. Il la hume et tout en me palpant les seins il me dit :
« Tu mouille comme une grosse pute Michèle. T’es mamelles sont irrésistibles et ne demande qu’à être utilisé. Si on la trayait comme une grosse vache laitière ? Qu’en dit tu Alain ? »
Exposée aux regards des deux hommes, je dois faire de gros efforts pour sourire à cette intention dégradante.
« Très bonne idée Christian. Mais je n’ai pas le matériel adéquat pour la traire ! »
« Il faudra qu’on y pense pour une prochaine foi. »
Je n’en crois pas mes oreilles, mais je continue de sourire comme si de rien n’était.
Christian rajoute en trinquant avec mon homme :
« C’est bien agréable de dresser des grosses putes comme elles ! »
Le rouge me monte aux joues et je retiens mes larmes devant de tels propos. Je me sens plus que nue et ridicule. Christian me regarde en souriant et me considère comme une femelle bonne à tout. Il me dit :
« Tu as choisi d’être à notre service comme une grosse cochonne, Michèle ? »
En baissant la tête de honte et en me demandant ce qu’il allait exiger de moi, le cœur battant, je réponds d’une voix blanche ;
« Oui Monsieur. »
« Bien bien, alors approche que je te mette ton collier de chienne. Tu aimes être une bonne chienne docile. N’es-ce pas Michèle ? »
Même si j’en ai l’habitude, je ne peux, à ces mots, m’empêcher de fermer les yeux, morte de honte.
« Debout chienne ! Plus vite que ça ! »
Péniblement, comme dans un mauvais rêve, je me relève. Les deux hommes semblent très satisfait de mon obéissance.

Alain laisse son ami me diriger en y prenant beaucoup de plaisir.
« Salope ! Maintenant, tu seras comme une chienne. Tu va rester en permanence nue affublé de ton collier. Ta chatte, ton cul et ta bouche vont être toujours disponibles. »
A bout, je me permet de lui dire sèchement :
« Parce-que c’était pas le cas avant ? »
Christian esquisse une grimace en lançant rageusement :
«  Je vais te punir pour cette rébellion ! J’espère que tu t’en rappelleras ! Inutile de te plaindre, sinon je double la punition.»
La dureté de ses paroles me font froid dans le dos. Il me couche sur ses genoux et comme une fessée sans retenue. Le premier coup me surprend et je crie.
« Silence Chienne ! »
Le salop, me fesse durement du plat de la main comme une gamine. Tout en me fessant, il dit à Alain :
« Quel beau cul de chienne. C’est un vrai bonheur de faire rougir un gros pétard le sien ! »
Mes fesses me chauffe. Je n’en peux plus et le supplie :
« Arrêtez Monsieur. C’est trop dur ! Alain fait quelque chose ! »
« Silence grosse salope ! »
Alain me demande :
«  Tu veux qu’il cesse la fessée ? Peut-être préfère-tu goûter du martinet ou du fouet ? »
Je me mord les lèvres. J’aurais mieux fait de me taire et de subir mon sort. Alain tend le martinet à Christian en lui disant :
« Dix coups pour commencer et lui apprendre à se taire. »
Après cette punition cuisante il m’ordonne de me remettre debout. Je frotte mes fesses brûlante. Je tente de rester avenante et affichant un sourire crispé. Alain me dit :
« Alors ? Tu manques à tout tes devoir de chienne soumise ! Remercie notre ami Christian pour t’avoir fessé ! »
Je me racle la gorge. Les mots ont du mal à sortir et je me lance.
« Merci Monsieur Christian de m’avoir puni. Je le méritais. »
Bon dieu, Christian n’avait pas fait semblant avec le martinet. J’avais un mal de chien. Mais il trouve mon remerciement pas assez fervent.
«  Appuie toi au mur chienne. Encore 10 coups de martinet pour ne pas m’avoir remercié naturellement ! J’espère que tu sauras obéir après sale garce? »

Après cette correction, aussitôt je le remercie. Il a un rictus malsain et me dit :
« Tes grosses mamelles me font vraiment craquer. Tu vois ma chienne, je vais devoir te punir encore pour oser avoir de loches aussi appétissantes. »
J’écarquille les yeux en le voyant approcher avec des pinces à linges.
« Voyons voir si ces tétons réagissent bien ? »
Sans aucune délicatesse, il se saisit d’un téton, le tire et place un premiére pince. Puis il en fait de même avec l’autre. Je ne peux m’empêcher de lui dire :
«  Aie ! Mais ça fait mal ! »
Je n’ai pour seule réponse qu’une claque sur les seins.
Une pince sur chaque tétons, la douleur me fait monter les larmes aux yeux. Alain me dit, rigolard :
« Tu me plais ainsi ma chérie ! C’est très beau tes tétons décorés de la sorte ! »
Mes deux lascars bandent comme des ânes. M’avoir à leur disposition les excitent au plus haut point. Christian me demande de me mettre à quatre pattes sur la table du salon en me disant :
«  Je vais vérifier ta chatte de chienne. »
J’obéis inquiète. Là, toujours avec aussi peu de prévenance, il me pose des pinces sur mes lèvres intimes. Je serre les dents et grogne en sourdine.
«  Une bien jolie craquette comme la tienne doit être équipée, non ? »
La douleur est supportable mais l’humiliation est à son comble.
« T’es une vraie connasse de baiseuse ! Je vais vérifié tes qualités de baiseuse chienne !  Remue ton cul de pute ! »
A chacun de mes mouvements, les pinces me tiraillent. Ilse place devant moi et m’ordonne en exhibant sa queue sous mon nez :
« Pompe moi salope !  Allez chienne, montre-moi tes talents. »
Alain me recommande :
«  Applique-toi ! Sinon c’est le martinet chérie… » 
Je n’ai pas d’autre issue que d’obéir pour avoir un peu de répits. De toute façon c’est pas la première foi que je pompe Christian et j’aime ça. Alain se place derrière moi et m’enfile la chatte d’un coup jusqu’à la garde. J’aurais adoré ça en temps normal mais là avec les pinces ça me fait un mal de chien. Il me baisent comme des sauvages et Alain me demande :
«  T’aime ça ma salope et prise par tout les bout ! »
Une bite dans la bouche, je ne peux pas lui répondre. Après je ne sais combien de temps, les deux hommes se retirent viennent éjaculer sur mon visage.
Malgré moi cette dépravation ultime m’emporte dans une jouissance silencieuse au point que de la cyprine coule sur mes cuisses.
« Ouah, j’aime les femmes fontaines, ton humiliation t’as excité tant que ça salope ? » Remarque Christian.
Souillée de leurs spermes, je baisse la tête honteuse en faisant signe que oui.
La main caleuse de Christian fouille ma fente humide. Un a un ses doigts s’enfoncent jusqu’à la dernière phalange dans mon temple d’amour détrempé tout en retirant les pinces. Quand le sang afflue de nouveau, je pousse un cri de douleur. Ses doigts le fouille mon vagin pendant un bon moment et je me met à miauler de plaisir. Pendant ce temps, Alain sert les boissons. De son autre main, Christian glissent ses doigts dans la raie de mes fesses et titillent mon œillet. Il rentre son pousse lentement dans mon conduit anal. Je pousse un grognement lorsque les intrus, profondément en moi commencent à me tarauder. Les vas et viens brutaux me font couiner. Puis il retire ses doigts pour les remplacer par deux monstrueux godes vibrants. Quand il enclenche les vibrations, je suis prise de convulsions orgasmiques. Il saisit les deux godes et leur fait faire des vas et viens terribles. En alternance les deux engins coulissent dans mes orifices dilatés. Je suis une vraie fontaine. Alain s’approche et triture mes mamelons. Il les étire le plus qu’il peut. Entre ma jouissance et la douleur de mes seins malmenés je crie mais ne me rebelle pas en restant soumise.
Mon orgasme ou mes orgasmes, je ne sais plus trop sont d’une intensité incroyable. Après un tel traitement, la tête me tourne et c’est inconsciente qu’ils me couche dans le lit.
Quand je me réveille le lendemain, je suis seule dans la maisonnée ? Courbaturée de partout, je me lève et ne peux que constater les traces de cette nuit de débauche.

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