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Caroline, ma voisine – 2

Caroline, ma voisine – 2



Deuxième partie des aventures sexuelles et sensuelles de notre héros, qui bénéficie encore indirectement de la finesse de son plancher pour apprécier les ébats des autres et faire partager les siens… 🙂 Caroline, la voisine d’Arthur n’est plus seulement une voix… Mais cela donne d’autre idées à notre héros !
La voisine n’est pas encore au centre de l’action sur cet épisode, mais la température va monter dans l’appart du troisième étage ! 🙂

– Bonjour…
– Bonjour ! Je suis Caroline, votre voisine du dessous. On ne s’est pas encore présenté, et vous venez d’arriver dans cet immeuble…
– Oui… Ho ! Vous allez sans doute me dire que je fais peut-être un peu de bruit, et……
– Non ! Non ! Rassurez-vous, vous ne me dérangez pas ! Je suis venue me présenter et vous demander un service….

Ma curiosité est piquée au vif…
– Que puis-je faire pour vous ?
– Je venais vous demander si vous pouviez me dépanner d’un peu de farine et de deux œufs… Je cuisine un peu ce soir, l’épicier du bout de la rue est fermé et j’ai tenté ma chance… J’ai senti que vous faisiez de la cuisine assez régulièrement. Le vieux garçon qui occupait cet appart’ avant vous, il était plutôt du genre pizza et plat préparés…
Elle sourit, un clin d’oeil vient appuyer cette dernière affirmation. Je pense à mon prédescesseur, qui a du lui aussi être aux premières loges des ébats très vocaux de ma voisine !

– Oui.. ! Bien sur ! Sans problème… Entrez, je vous en prie.

Un passage par la cuisine et le réfrigérateur pour prendre deux œufs, et transvaser quelques cuilleres de farine dans un pot. Je reviens vers l’entrée de mon appartement, ou Caroline regarde le panneau ou sont accrochés quelques flyers de pièces de théâtre, de festivals de musiques passés et à venir. Elle est absorbée par la lecture d’un flyer punaisé sur le liège… Je lui tends le pot de farine et les œufs.

– Voila vos ingrédients !
Surprise, elle sursaute.
– Oh ! Merci ! Je vous rendrais ça au plus vite !!
– Mais je vous en prie… Pas de problème, vous me ferez goûter votre plat !
– Oui ! C’est pour faire des gnocchis ! Je suis d’origine italienne, et j’aime bien me faire quelques petits plaisirs !! … et en faire profiter mes amis !

Un autre clin d’oeil de sa part, je la raccompagne à la porte de mon appart’, non sans apprécier le physique impeccable de ma voisine.

– Encore merci pour les œufs et la farine !
– Pas de souci, si je peux encore vous être utile, n’hésitez pas Caroline…
– Mais je ne connais pas votre prénom ?…
– … Arthur ! Je suis Arthur…
– OK Arthur, bonne soirée !

Elle dévale les escaliers et rentre chez elle, un étage plus bas. Je repense a cette après-midi, entre les cris d’extase de Caroline baisant avec son mec un peu rustre et la fin de la dispute au retour des courses, à laquelle j’ai assisté bien malgré moi. Une drôle de fille, cette Caroline, mais elle est attirante, et pas seulement pour ses vocalises durant l’amour.

Je rejoins mes amis dans un bar de la ville, non loin de l’opéra. C’est le QG des administrateurs et des techniciens du monde lyrique, une belle salle style 1900, avec du bois presque partout. Une partie de la troupe actuellement en répétition les accompagne. Les présentations sont faites et je sens que l’ambiance est déjà bien joyeuse. L’un des machinistes m’explique que les répétitions sont terminées pour la journée, et que ce fut pas une partie de plaisir, le metteur en scène tchèque étant plutôt exigent avec sa troupe… Tout le monde décompresse donc.
La soirée avance, et je discute avec la plupart des artistes qui sont tous originaires de Prague.

L’une des comédiennes maîtrise un français parfait, avec très peu d’accent. Elle se prénomme Markéta et c’est sans doute l’une des plus jolies filles de la troupe. Taille moyenne, des cheveux châtains tombant en cascade sur de très jolies épaules dénudées par l’encolure large d’un bustier. Elle porte un jean qui met en valeur sa taille fine, ses belles hanches et un très joli cul ! Nous parlons de son métier, de son pays, de tout et de rien. Elle a appris le français au lycée et elle est tombée amoureuse de la langue et de la culture française. Markéta m’explique qu’elle a joué de nombreuses pièces du répertoire français, des classiques et des créations contemporaines. Le courant passe bien, je suis faciné par ses yeux bleus. Elle a aussi les pomettes saillantes et hautes, assez typiques des visages slaves…

Minuit et demi, la plupart de ses amis de la troupe sont parti se coucher, mais nous continuons de bavarder, Markéta et moi. Nous sortons du café, elle frisonne et je lui donne ma veste.

– Merci pour cette soirée, c’est vraiment sympa de discuter en français !
– Mais de rien. Merci à toi pour la conversation, j’ai appris pas mal de truc sur les tchèques !
– Il est tard, je vais rentrer, on reprend les répétitions demain midi…
– Je t’accompagne à ton hôtel, c’est mon chemin…

L’hôtel de la troupe n’était pas loin de chez moi, dans mon quartier. Nous traversons la ville à pied et Markéta se rapproche de moi. Le courant passe définitivement bien et je sens qu’une alchimie se créée entre elle et moi. Elle profite ainsi de la fraîcheur toute relative de la soirée pour mettre un bras autour de ma taille, et je fais de même… On continue à marcher, à discuter, je lui donne quelques infos et quelques anecdotes sur la ville. Nous passons dans ma rue, je lui indique que je vis dans le coin. Markéta s’arrête, me regarde et commence à m’embrasser. Je me laisse entraîner dans le baiser, nos langues s’entremêlent, et je sens qu’une douce tension sexuelle monte de plus en plus entre nous. Markéta est très tactile, elle me caresse le dos, remonte vers mon cou et mes cheveux, je la caresse moi aussi : le dos, ses hanches et ses fesses.

– J’ai pas très envie de rentrer à l’hôtel…
– Tu viens chez moi ?

Un sourire, et nous nous embrassons a nouveau. Quelques dizaines de mètres plus loin, nous passons la porte de mon immeuble et nous grimpons très vite les trois étages jusqu’à mon appartement. Un baiser très chaud devant la porte, on commence à se tripoter et je fais entrer Markéta. Pas le temps de lui faire la visite de mon intérieur, et je commence à déshabiller ma jolie comédienne tchèque en découvrant avec mes mains son corps. Elle n’est pas en reste non plus, déboutonnant mon pantalon et ma chemise, et surtout en glissant sa main dans mon caleçon ! Nos habits jonchent le sol jusqu’au canapé du salon, et nous continuons à nous embrasser durant nos effeuillages respectifs. Markéta se laisse tomber dans le canapé, seulement vêtue de sa lingerie en dentelle, elle rit. J’adore sa façon de me regarder, elle a un petit regard mutin qui la rend magnétique et extrêmement désirable…

Je m’agenouille au pied du canapé, et j’écarte les jambes de Markéta. Embrassant d’abord les chevilles, je remonte le long de ses cuisses en y déposant de doux baisers. J’ôte délicatement le string de ma belle, dévoilant son joli petit abricot surmonté d’un fin duvet châtain. Marketa passe ses mains dans mes cheveux, et me dirige vers son sexe. Je commence à lui manger sa petite chatte, je lèche ses grandes lèvres, elle commence à gémir et me caresse les cheveux. Je commence à goûter sa cyprine, ma partenaire était déjà bien excitée et bien mouillée ! Le capuchon de son clitoris se découvre doucement, et ma langue vient titiller son bouton d’amour. Markéta soupire de plus en plus fort, ses gémissements sont de plus en plus marqués, et je glisse alors un doigt puis deux à l’entrée de sa fente. J’ai touché le point sensible, et Marketa se tord de plaisir, commence à jouir en contractant les parois de son vagin sur mes doigts et en refermant le compas de ses jambes sur ma tête… Au bout de quelques minutes, elle n’en peut plus et repousse mon visage. Elle est en nage, le regard dans le vague, quelques mèches de ses cheveux retombent sur ses joues.

On se regarde, son sourire est magnifique, elle vient d’avoir son premier orgasme. Je la rejoint sur le canapé, on s’embrasse et je dégrafe son soutien-gorge. Ses seins se dévoilent et Markéta commence à caresser mon sexe. Elle se penche et prend ma bite en bouche. Quelques petits coup de langue sur le gland pour commencer, puis juste la succion du bout de ma queue… Je suis au anges, elle sait y faire… Markéta commence à emboucher mon gland, à faire tourner sa langue autour, c’est divin ! Elle poursuit par une jolie pipe, alternant succions profondes et petits coups de langue sur ma queue. Elle pourrait me faire jouir avec sa bouche, mais j’ai trop envie de baiser et elle aussi. Je lui fais part de mon désir…
J’enfile une capote, Markéta est à quatre pattes sur mon canapé, elle est superbe avec sa croupe tendue et ses reins qui se creusent. Je caresse ce corps offert et avant de pénétrer ma belle comédienne, je retourne lécher le sexe de ma partenaire. Elle est trempée. Je me relève et présente ma queue à l’entrée de sa chatte. La vue sur les hanches larges de Markéta est divine. Je la pénètre lentement en lui caressant le clitoris, mon autre main caresse ses fesses. Une fois complètement en elle, j’entame de longs va et vient qui font encore monter la température , et ma jolie tchèque bouge ses sublimes fesses. C’est divin pour nous deux !

– Oui ! Oui ! Oui !
Ma partenaire prend à nouveau son pied. C’est là que je choisis d’accélérer quelque peu la cadence en maintenant les hanches de Markéta pour une levrette d’enfer. Mon bassin claque sur les fesses de mon coup d’un soir et Markéta joui une deuxième fois en criant quelques mots en tchèque. C’est très excitant pour moi de constater que mon amante se lâche complètement et en oublie son français ! Je sens les parois de son vagin se contracter autour de mon vit, nous sommes en fusion…
En sueur, je me retire. Markéta comprend le changement de position et se lève du canapé. Je m’assied à sa place, la bite dressée et luisante de sa mouille sur le préservatif. Elle vient sur moi, s’empale sur ma queue en poussant le plus beau des soupirs, et je me retrouve en face de ses seins. Elle bouge divinement bien sur moi et je profite à fond de sa poitrine en agaçant ses jolis tétons avec ma langue…

– Oh oui Arthur ! Comme ça, continue ! To mě poser, miláčku! Baise-moi bien !!!

Elle perd encore son français ! Je bouge mon bassin en rythme avec elle et je sens que ma jouissance est proche…

– Je vais jouir ! Jouis avec moi !!!
– Hummm… oui, Markéta ! Je vais venir moi aussi !
– Oui ! Oui ! Anooooo !!!!! Je viens !!!!!

Nous explosons tout les deux en même temps, je sens mon sperme remplir la capote au moment ou sa chatte se contracte autour de ma queue… Markéta pousse des petits cris d’extase et retombe sur mon épaule, comblée par son plaisir et son désir…
Alors que nous nous embrassons doucement, des cris de jouissance montent de l’appartement du dessous.

– Oh ouiiii ! Oh bébé, je viens !!! Baise-moi !! Oh Ouiiiiiiiiii !!!!!

Caroline a remis ça avec son mec… Finalement, ils se sont réconciliés devant un repas et surtout sur l’oreiller ! Markéta écoute les cris de Caroline avec amusement.

– Si on les entends aussi bien, ça veut dire que…
– … ils nous ont entendu aussi !!! Il faut dire que tu n’as pas été très discrète… dis-je amusé.
– Ca t’excite pas de les entendre baiser ?
– Oh que oui !

Je bande à nouveau… Markéta reprend ma bite dans sa bouche et nous voilà repartis pour une deuxième baise pour cette nuit décidément très particulière…

Après tout, les vieux immeubles et leur planchers pas très épais, ça a du bon !!!

(a suivre)

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