Après mon après-midi de baise, nous nous retrouvons pour le dîner avec le couple dont nous avions fait connaissance, Françoise dont j’avais maintenant une connaissance très intime et son mari, Pierre dont je me doute qu’il a fait connaissance de manière très approfondie avec ma femme. Le repas est sympa, très arrosé avec un excellent vin blanc du terroir local (vraiment excellent). Je vois bien que ma femme et Pierre se lancent des regards coquins mais il ne se passe rien car ils s’en vont très tôt le lendemain matin et doivent se réveiller en pleine nuit.
Le lendemain matin, on descend pour le petit déjeuner comme d’habitude. On rencontre Laïla et Cathy dans le couloir et on se salue avec de grands sourires. Je sens mon épouse un peu jalouse mais rien de plus. Je ne veux rien rater des relations avec mes deux femmes de chambres. Aussi, je profite que ma femme est en grande discussion avec un serveur de la salle du petit déjeuner, un beau brun, musclé et bronzé, pour lui glisser d’un air entendu : « Je monte vite dans la chambre. ». Elle fait un signe du menton pour me dire qu’elle a compris et je file rejoindre mes belles.
Les belles n’ont pas attendu pour commencer à se donner du plaisir réciproque et cette fois c’est Laïla qui est dessous et Cathy qui est sur elle. Je fais le tour pour profiter du spectacle en même temps que j’abandonne mon pantalon et que je commence à branler ma bite. Laïla qui visiblement aime avoir la chatte remplie s’est enfoncé le gode dans la connasse et elle le fait bouger pendant que Cathy, les fesses en l’air lui suce le clito. Je me colle derrière elle et commence à lui bouffer la chatte qui ruisselle d’une liquide légèrement acide mais délicieux. J’ai à peine commencé à lui lécher la rondelle, magnifique de régularité et qui resplendit d’une coloration à peine brune au milieu de ses magnifiques fesses blanches,qu’on tape à la porte. Je me lève et ouvre… à ma femme qui me regarde d’un air effaré et commence à crier. Je lui dis alors à l’oreille : « Je sais ce que tu as fait hier dans notre chambre, tu as baisé tout l’après-midi avec Pierre, alors ne la ramène pas et viens te joindre à nous ».
Ce que je lui dis a le mérite de la calmer immédiatement et elle me suit. Elle est accueillie par les deux femmes de chambre qui lui font un large sourire en lui faisant signe de venir les rejoindre sur le lit. Laïla a toujours le gode dans la chatte et ses poils sont complètement collés par la mouille qu’elle vient de produire et la salie de Cathy. Ma femme se retrouve rapidement sur le lit, son slip à terre, sa robe relevée, puis rapidement enlevée, suivie de son soutien gorge qui ne résiste pas longtemps aux mains expertes de nos deux belles. Rapidement ses mains sont malaxés, sucés et sa chatte est sous la conduite de Laïla dont la langue experte fait oublier toute retenue à ma douce moitié. Moi, voyant le cul de Laïla à ma portée, je m’en approche et après avoir humé avec délectation l’odeur de son con, je sors ma langue pour la faire jouir et me branler en même temps.
Cathy a une main entre ses cuisses, elle se branle avec trois doigts dans la chatte pendant qu’elle embrasse ma femme en lui malaxant les seins. Elle, elle gémit de plus en plus fort sous la pratique experte de Laïla qui lui a fourré le gode dans sa chatte et qu’elle fait bouger avec art. De mon côté, j’ai attaqué la rondelle de Laïla et je vois que c’est une caresse qu’elle apprécie au plus haut point. Je me demande si ce n’est pas moi qui en faisant ça donne l’idée à Laïla de faire la même chose à mon épouse car elle lui demande de se mettre en levrette pour avoir sa rondelle à portée de sa langue. Elle s’exécute rapidement et je vois Laïla faire une magnifique feuille de rose à mon épouse en mettant, un doigt agile qui lui pénètre le fion. Bizarrement, elle ne dit rien car je sais qu’elle n’est guère adepte de cette pratique et généralement quand j’essaye de faire de même, je me fais retirer le doigt. En fait, je vois que la belle maghrébine a mis deux doigts dans le cul de ma prude épouse et que ceux-ci s’y agitent pour son plus grand bonheur.
Cathy, bonne fille, est venue prendre possession de ma bite et elle la suce allégrement, couilles incluses pendant qu’elle continue à se branler la chatte et le clito. Laïla a maintenant sorti de sa chatte le gode bien lubrifié de sa mouille et elle le présente à la rondelle de ma femme. Jusqu’où va-t-elle accepter ? Et là encore, je suis surpris, elle ne dit rien, elle cambre un peu plus ses reins et le gode entre dans son cul de moitié. Je sens que je vais enfin profiter de la rondelle de ma femme à la suite de la préparation experte de Laïla aussi, je redouble d’efforts avec ma langue pour lui donner le maximum de plaisir en lui léchant la rondelle, la chatte dans laquelle j’ai fourré quatre de mes doigts tandis avec le pouce je lui masse son gros clito.
Le gode entre et sort avec une facilité déconcertante du cul de ma femme et Laïla le fait tourner pour lui élargir le fion. Elle, elle gémit sous ces assauts de gode et je vois que sa jouissance ne va pas tarder. Je me rapproche de l’oreille de Laïla pour lui demander de me laisser la place du gode. Elle me sourit et je comprends qu’elle a fait cela à dessein pour m’offrir le cul de ma femme à baiser.
Je m’empare de ce cul tant convoité et je le bourre de ma bite bandée à fond. Je baise le cul de ma femme !!! Je me le répète tellement cette évolution des choses était inattendue pour moi. C’est un vrai régal. Laïla masse le clito de mon épouse en même temps qu’elle lui fourre ses doigts dans le con. Ma femme jouit comme elle ne l’a jamais fait, elle hurle son plaisir, elle orgasme et moi, j’en profite pour me déverser en elle de tout le foutre que j’ai. Je n’en finis pas de m’épandre en elle !!!
Après cette jouissance, on se reprend et chacun sourit à l’autre conscient du moment rare qui vient de se passer. Laïla et Cathy ne s’attardent pas longtemps, le travail les attend. Ma femme et moi, on discute un peu et j’apprends que Pierre, le mari de Françoise était venu frapper à la porte de notre chambre alors que j’étais à peine parti et lui avait laissé entendre qu’il n’avait pas trop cru à mon histoire d’un truc oublié dans notre chambre et que sans doute j’étais allé baiser la femme de ménage. Il lui avait ajouté que sa femme m’avait confondu le matin même et qu’elle était entrain de baiser avec moi. Du coup, par jalousie ma femme avait accepté de se laisser peloter d’abord, doigtage de la chatte et autre puis de se laisser baiser ensuite. Ce qu’ils avaient fait sans retenue, sans doute avec une sodomie à la clé, d’où la facilité de l’intromission du gode par Laïla le lendemain.
Notre séjour tirait à sa fin et ce fut plus calme ensuite.
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