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Maîtresse et femme

Maîtresse et femme



Après les courses des soldes Marie est à la maison. Copine avec ma femme Julie, elle lui montre ses achats. Une foultitudes de machins qui me laissent froid. Quels plaisir une femme normale, selon moi, peut avoir à acheter tant de trucs.
– Tu te rends compte, je ne l’ai pas payé cher.
– – En plus c’est joli. Je peux l’essayer.
– – Oui, bien sur
Elles filent ensemble vers la chambre. Ce qu’ignore ma femme est que Marie, en plus d’être une collègue de travail soigne ma libido. Elle est sacrément coquine quand nous sommes ensemble. Je la verrais bien faire des avances à ma femme et que réussisse à la convaincre. Quand elles sortent de la chambre, elles sont en petite tenue, ma femme en particulier.
– Elle est sexy ta femme.
– – Tais-toi de dire ces sottises.
– – C’est vrai qu’elle est sexy, moi elle me plait.
C’est vrai que je les verrais bien ensemble, surtout ma femme un peu coincée depuis quelque temps. Marie en rajoute en la prenant par les épaules, me la montrant comme une bête au foirail.
– En plus j’ai acheté un gode, le mien est dépassé.
-Tu ne vas pas d’en servir ici
Pourquoi pas ne pas s’en servir pour essayer ? Je pense tout bas ce que les autres pensent sans doute. Marie s’en va dans la cuisine, revient un cours instant après le gode à la main.
– Je viens de le nettoyer et d’y mettre les piles. Il marche.
– Montre,
Je commence à espérer que les deux femmes vont s’amuser ensemble.
Je me trompe ou quoi, c’est ma femme qui fait le premier pas. Elle prend le gode à pleine main, le passe rapidement sur sa vulve puis le pose sur le pubis de Marie. Elles commencent à me faire bander.
Le gode change de main. Marie le passe sur les seins de ma femme. Elle le coince dans le soutien gorge.
– Tiens le comme quand tu fais une branlette espagnole à ton mec ;
– – J’n’aime pas sa queue à cet endroit.
En plus c’est vrai, elle préfère me sucer avant pour que je sois dur. Ensuite, souvent nous finissons en 69, elle adore les cunnilingus. Il n’empêche que Julie me parais assez excitée de cet échange. Marie est décidée à se payer ma femme. Elle la regarde bien dans les yeux en approchant sa bouche de la sienne. Je n’en crois pas mes yeux quand je vois que la langue de ma femme entre dans la bouche d’un autre. Le baiser dure bien longtemps, même pendant que les mains de Marie commencent à caresser les tétons.
Elles sont vite nues, collées contre l’autre, pire qu’avec moi, ma femme et ma maîtresse. J’espère qu’elles vont bien jouir pour cette première fois. Ma femme prend l’avantage en commençant à caresser les cuises de Marie. Elle ouvre lentement ses jambes, Et Julie, comme si elle ne connaissait que les filles caresse doucement en montant. Elle si soigneuse qui ne supporte pas le moindre dérangement laisse au sol les achats de notre amie maintenant commune.
C’est parti entre deux. Elles se branlent ensemble. Pour le moment elles sont encore assises sur le divan. Je sens que tout à l’heure elles seront couchées. Un tableau coquin du XVIII° siècle est sous mes yeux. Le plus étrange est que ma femme jouit la première en mettant sa tête en arrière, en poussant de petits cris comme elle ne fait jamais avec moi.
Je suis nu, la bite tendue. Elles prolongent leurs caresses longuement. Cette fois c’est la gode qui sert : Marie le pose sur le vagin de Julie, l’entre doucement. Elle la baise avec attention, attentive au plaisir qu’elle donne. Elle le sort du con, se penche pour lécher l’entrée. Puis tranquillement elle le met sur le cul de ma femme qui aime se faire enculer par moi, normalement.
Avec la langue sur le clitoris et le gode dans le cul elle ne peut que jouir ce qu’elle fait encore plusieurs fois
-Oui, encules moi, suces moi encore. Donne-moi ta chatte.
– La voilà.
Elles ne s’arrêtent plus, elles prolongent leur baise. Je reste immobile devant le spectacle, pourtant j’aimerais participer. Julie se couche, entraîne Marie à sa suite. Je vois clairement les cuisses de Marie encadrer le visage de ma femme. Je suis tout près, je tends ma bite vers je ne sais quelle entrée.
C’est Julie, ma femme qui profite de ma queue. Je baise ma femme devant ma maîtresse. Elle est plus douce que les autres fois. D’avoir joui avec Marie donne un velouté particulier au con de ma femme. Je coulisse en elle lentement. Son corps suit le mien. Marie n’est plus que le prétexte. Pourtant je la sens contre moi, contre ma queue : elle aussi me tient, elle me branle pendant que je baise l’autre.
J’éclate au fond de ma femme, je ressorts en bandant encore un peu. Marie me prend dans la bouche. Elle a au moins mon goût et celui de ma femme mêlés. Julie tient mes couilles. Elles me font encore bander. Elles décident sans se concerter que je dois baiser Marie. Pour mieux profiter Marie me dirige vers son cul elle pose la bouche de ma femme sur son clitoris. Nous partons ensemble vers le ciel.
Depuis plus de deux mois, nous baisons souvent ensemble. Je les surprends même des fois quand elles baisent.

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