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De relation mere-fils à amants (22) Histo

De relation mere-fils à amants (22)   Histo



Arrivé en fin d’après-midi nous avons rejoint le bar pour nous rafraichir, une petite bière avant de se préparer à réveillonner. Ce soir nous avions fait une réservation dans un restaurent privé de l’hôtel pour se faire un réveillon un peu intimiste. Alors que la nuit était bien tombée, nous sommes rentrés à la chambre nous préparer. Je fus le premier à passer à la douche et m’habiller, petit pantalon de toile et chemisette blanche pour l’occasion.
-Tu es super mon cœur. Si je ne te connaissais pas je t’aurai bien fais du rentre dedans me dit-elle en filant vers la salle de bain.
Puis, une fois entrée dans cette dernière elle me lança :
-Moi j’en ai pour un petit temps, vas au bar nous garder une petite place, je te rejoins dés que je suis prête.
Je récupérai le petit cadeau que je lui avais pris pour noël et me dirigeai de nouveau vers le barre ou je réussi de justesse à trouver une petite table de libre.
J’attendis devant mon verre trois bon quart d’heure mais lorsqu’elle apparue elle ne passa pas inaperçue et je crus avoir une attaque tellement elle était sexy voir plus.
Elle était monté sur des escarpins talon aiguille bleue électrique. Ses longues jambes galbées étaient couvertes de bas rouge dont on pouvait la naissance des attaches d’un porte jarretelle blanc. Elle était ensuite habillée avec une robe bleue électrique à paillette ras le cul avec de minuscules bretelles et un immense décolleté avec un sous tif pigeonnant qui lui remontait son opulente poitrine au balcon. Une vraie bombasse. Elle s’approcha de la table avec un large sourire et me dit :
-Je te plais? Je suis assez bien pour toi?
-Je pense que tu vas faire bander la moitié de l’hôtel ?
-Merci je prends cela pour un compliment et un oui ?
Elle commanda son petit cocktail habituel qui arriva avec une rapidité jamais vu. Nous avons bavardé et rigolé autour de ce noël particulier, pas de froid, pas de père noël mais une mère noël bandante……
Vers 20H nous nous sommes dirigé vers le restaurent ou notre diner de fête nous attendait. Tout d’abord un petit cocktail pétillant dans une flute avec des amuses bouches locaux, puis des ormeaux cuit au beurre, c’était léger fin et vraiment délicieux. Puis nous avons eu une demi langouste grillée avec du riz. Nos discussions étaient animées et enjouées, nous profitions pleinement du moment et la terre pouvait bien s’écrouler perso j’avais régulièrement les yeux dans son invraisemblable décolleté et je n’étais pas le seul……. Pauvre serveur il fallait qu’ils restent concentrés…. Puis vint le dessert, une salade fruits locaux avec une sorte de pudding et une boule de glace. Ceci est passé tranquillement dans le flot de nos rigolades.
Au bout d’un moment je sortais de ma poche le petit cadeau de ma poche et le posai sur la table devant maman. Elle me fixa droit dans les yeux et me dit :
-C’est quoi ?
-Noel.
Elle pris le cadeau avec un air plus grave et commença à l’ouvrir. Elle n’avait maintenant plus qu’une petite boite en main qu’elle n’osait ouvrir. Sa respiration était haletante, elle me fixa de nouveau puis se lança. A l’ouverture son visage changea d’expression, elle commença à sortir le petit pendentif en forme de cœur que je lui avais pris puis soudain des larmes commencèrent à perler dans ses yeux. Elle me regarda de nouveau et maintenant elle pleurer
-Je ne sais pas quoi dire, j’ai l’air d’une gamine, me dit-elle.
-Ne dits rien, joyeux noël.
Nous nous sommes fixés droit dans les yeux un temps qui me parut infini, ni l’un ni l’autre ne voulait baisser ou tourner les yeux. Finalement, elle se leva, vint me faire un petit bisou sur la joue et me glissa à l’oreille.
-Il faut que j’aille le mettre et me refaire une petite beauté, attend moi je reviens.
Elle s’éclipsa alors vers l’entrée du restaurent. 5 à 10 minutes plus tard un serveur vint à ma rencontre, me déposant la petite boite du cadeau de maman sur la table avec un petit mot. Je fus un peu étonner et c’est fébrilement que j’ouvrai le mot qui me disait :
Mon cœur, je ne sais pas te dire ou expliquer ce que je ressens mais c’est un bonheur, peut-être un peu interdit mais bon….heureux pour nous deux me semble-t-il. Pour ton cadeau cela me touche beaucoup comme tu l’as vu et il ne fait qu’augmenter mon trouble et désir.
Ce soir j’ai envie de passer la nuit avec mon cœur, je n’ai pas envie de dormir mais plutôt d’un amant qui me fasse l’amour jusqu’au petit jour, lui abandonner entièrement mon corps. J’espère que mon cadeau ne te vexera pas, laisse-moi un petit temps et rejoins moi je t’attendrai pour déguster cette bouteille et bien plus…….
Ce petit mot me secouait un peu les tripes et j’ouvris la boite pour y trouver une pilule bleue. Je reconnue le viagra, il était clair que maman ne voulait vraiment pas dormir. Bien au contraire d’être vexé j’avalai ma petite pilule et essayai de penser à ce qui pouvait nous attendre. Au bout d’une dizaine de minutes je quittai la table pour rejoindre tranquillement notre chambre ou je pense maman m’attendais. Effectivement la porte était entre ouverte avec un petit mot dessus : « Entre et ferme la porte ».
Je récupérai le mot, me glissai dans la chambre, fermai la porte et me retournai. La pièce n’était éclairée que par les lumières tamisées des appliques. Maman était au centre, face à moi, elle avait troqué sa jupe à pailleté contre un mini robe à fils qui était cette fois clairement sexe avec le porte jarretelle, bas rouge et un maquillage bien plus prononcé. Je m’approchais d’elle, elle était rayonnante mais il y avait quelque chose que je n’avais encore jamais vu dans ses yeux, quelque chose de lubrique…..
Elle se dirigea alors vers la bouteille de champagne qui était dans un sceau avec deux verres. Elle remplit les flutes et vint m’en tendre une que je pris.
-Que la nui soit longue, me dit-elle en souriant.
-Que la nuit soit longue, répondis-je.
Nous avons alors gouté ce sympathique breuvage, et se faisant elle se rapprocha de moi et posa son autre main sur mon bas ventre déjà bien guilleret.
-C’est vrai que cela commence bien, dit-elle en caressant mon membre.
Puis elle se mit à genoux, posa son verre, baissa ma braguette et en sortie ma queue qui maintenant était dur comme un roc. Elle passa mon gland sur son visage, au passage de ses lèvres sa langue l’enroula puis elle finit par prendre mon membre en bouche et goulûment le pomper. Après quelques minutes elle attrapa sa coupe de champagne et pris en bouche une large dose avant d’y réintroduire ma queue.
La sensation était exquise. Les bulles éclataient le long de mon membre, ce qui décuplait l’action de sa langue. Après cette « mise en bouche » elle se relava, pris de nouveau une bonne gorgée de champagne en me détaillant des pieds à la tête. Elle posa alors la coupe sur la table basse puis se dirigea vers la commode sur laquelle elle s’assit en écartant largement les cuisses. Elle commença à se caresser les seins.
-J’espère que tu as la forme, me dit-elle.
Je m’approchais d’elle, pris ma queue en main et passa le gland entre ces lèvres. Elle était déjà totalement dégoulinante.
-Un doute, lui répondis-je en la fixant dans les yeux et humidifiant mon gland dans sa vulve.
-C’est juste que j’ai de,…….gros besoins ce soir…… et j’espère que tu pourras les combler.
Je posais alors mes main sur ses hanches et l’enfilait d’un coup de rein ma queue au plus profond de son entre cuisses. Ceci la fit se contracter.
-Je qu’on est sur la même longueur d’onde, je pense que la nuit va être longue me dit-elle.
Elle pose ses mains en arrière sur le meuble, ce qui eut pour effet de basculer légèrement son bassin et me permettre de la prendre encore plus profondément. Je commencer alors à la pistonner profondément. Chaque coup de boutoir faisait balloter son opulente poitrine. Elle ronronnait maintenant de manière continue. Personnellement j’étais super excité par ce spectacle de dépravation. Au bout de quelques minutes elle passa les cuisses autour de mon bassin et nous nous sommes retrouvés corps à corps avec mon membre dur comme un roc au plus profond de son intimité. Nous sentions nos cœurs battre la chamade et chaque contraction de nos intimités rendait la situation encore plus intenable. Cette situation nous mettait dans un état second et je fini par lui expulsé de gros jet de foutre entre les cuisses qui lui extirpèrent autant de cris de plaisirs.
Nous sommes restés ainsi figé corps à corps quelques minutes pour reprendre nos esprits. Puis se reculant je vis un petit sourire sur son visage. Elle sentait ma queue encore toute dure dans son intimité. Elle me repoussa, descendit de la commode et se dirigea vers la champagne alors que mon foutre coulai le long de ses cuisses. Elle en prit de nouveau une belle gorgée, redéposa le verre pour se diriger vers le fauteuil. Elle s’agenouilla sur ce derniers, posant les avant-bras sur le dossier et me dits :
-Tu viens me prendre.
Je m’approchai alors de cette croupe n’attendant que de se faire saillir. Mon gland retrouva aisément le chemin de son intimité que je pénétrais de nouveau à fond. Nous avons alors commencé une petite séance ondulation contre son cul. Ma queue bien dure lui éclatait l’intimité, elle ronronnait de nouveau de plaisir. Je fini par l’att****r par les hanches et commençais à bien la pistonner. Sa chatte était une vraie fontaine en sa mouille et mon foutre gluant. Je fini par lui donner un bon coup de rein qui la fit crier.
Puis je pris une fesse dans chaque main et commença à lui écarter le cul.
– Salaud, me dit-elle.
– Je vais t’exploser le cul maman.
-Vas y fourre-moi ton membre bien dur dans le cul.
Nous étions moites de sueur mais je lui crachai sur la rondelle avant d’y présenter ma queue bien dure et dégoulinante. Sous l’action de mon gland sa rondelle se dilatait petit à petit et elle finit par céder dans un petit cri de plaisir et soulagement en provenance de la gorge de maman. Chaque vas et viens permettait de la prendre plus profondément pour son plus grand plaisir. Je fini par pouvoir me plaquer contre son cul et restait quelque seconde ainsi bien planté en elle. Son corps entier bâtait la chamade. Je repris mes vas et viens alors que sa gorge émettait maintenant des râles rauques. Puis la pulsion me pris et je lui claquais la fesse gauche. Ce coup surprise, lui contracta l’anus mais lui extirpa un cri de plaisir.
-Vas y encore lança-t-elle.
Je lui claquai alors de nouveau le cul avec la même repose de plaisir tout en continuant à la pistonner à fond. Chaque coup de boutoir la cambrait un peu plus. De l’autre main je lui attrapai les cheveux et la tirait en arrière pour la forcer à se relever. Ainsi son cul était de plus en plus serré et chaque coup de bite la faisait de plus en plus vibrer. Maintenant je la défonçais comme une bête et de perpétuels gémissements de douleur et plaisir sortaient de sa gorge. Je fini dans un cri rauque par lui envoyer ma semence dans le cul ce qui lui provoque une grosse contraction anales et des cris.
Après cette violente chevauchée nous sommes restés de longs instants à reprendre nos esprits et notre souffle. Je suis sortie de son intimité. Elle s’est assise sur le fauteuil, malgré son état elle était radieuse de s’être faite exploser le cul ainsi. Je pris la direction de la salle de bain pour une petite toilette et revins m’installer dans un autre fauteuil avec une petite coupe de champagne.

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