En sortant du boulot,
une envie de b…
* * *
L’autre soir, en sortant du boulot, où j’avais toute la journée été émoustillée par des allusions coquines de mon patron, de mes collègues, j’eus une soudaine envie de bites nouvelles et inconnues. C’est vrai que dans la journée, je les avais pas mal agacés en leur montrant mes fesses tendues sous ma jupe, mes cuisses gainées de bas, dont je leur faisais admirer à la sauvette le liseré plus sombre du haut, dévoilant un peu de chair blanche en m’accroupissant genoux légèrement écartés pour saisir un dossier dans un tiroir du bas, leur provoquant une irrésistible envie de lorgner mon entrecuisses à la recherche de la couleur de ma culotte. A l’heure du café, où les bureaux sont vides, j’avais gratifié mon patron d’une belle et savante pipe qu’il aime bien agenouillée sous son bureau. Dans l’après-midi, devant un vieux client l’air un peu salace, il avait vanté ma croupe et mes jambes, me demandant même d’en montrer un peu, toujours un peu plus haut, au vieux cochon qui bavait comme un fou devant ce spectacle impromptu :
« Elle est pas belle ma secrétaire, regardez Monsieur L…, elle est chouette ? »
« Heu ! si, oui, … enfin, oui »
« Vous allez voir » et puis, s’adressant à moi :
« Allez J…….., montrez-lui un peu vos belles cuisses, oui, c’est ça remontez encore votre jupe qu’il puisse bien voir vos fesses, allez ! »
Je leur fis un petit numéro de streap-tease de bureau, prenant des poses aguichantes mais dignes, dévoilant mes cuisses, mes bas, mon décolleté…
« Allez Jeannine ! encore, montrez-lui votre jolie culotte… (je ne me fis pas trop prier car j’aimais bien ces petits jeux avec mon patron)… vous allez voir, Monsieur L… elle est jolie sa culotte, c’est moi qui lui ai acheté… n’est-ce-pas J……. ? montrez-la lui »
Et je montrai ma culotte au vieux affolé qui ne savait pas comment ça allait tourner.
« Oui, oui c’est vrai. Il m’achète des culottes pour pouvoir mieux les caresser et après pour pouvoir les enlever » dis-je en souriant au vieux, à la limite de l’apoplexie. Joignant le geste à la parole, j’écartais même un peu le bord du nylon soyeux pour lui faire découvrir ma chatte, cuisses savamment écartées. Il salivait comme un malade en matant intensément ma toison et mes lèvres roses. Alors, bonne âme, me sentant encouragée par mon patron, je me mis à genoux entre les jambes du vieux, je défis sa braguette –ça j’aime !- et, plongeant une main dans le slip, alors que l’autre massait la bosse naissante par-dessus le coton, je caressai sa queue d’abord à l’intérieur du slip pour bien le faire bander, le bout de mes doigts effleurant le gland et courant et coulissant tout le long de la tige, puis aussi à l’extérieur du slip, ma paume de l’autre main soupesant les couilles emprisonnées et massant le « paquet » qui grossissait. La sentant bien mûre et durcie, je l’extirpai de la braguette, je me mis à le branler lentement avec mes « doigts de fée » tout en lui montrant bien mes miches dégagées au-dessus de mon balconnet. Mon patron vint nous encourager en paluchant mon cul sans vergogne :
« allez, sucez le J….… maintenant ! » ordonna-t-il.
Je commençai à pomper lentement le gland de cet homme mûr qui n’en attendait pas tant. A ma sept ou huitième succion appuyée, il se cabra jambes tendues et dans un grognement étouffé il me largua sa purée à travers la figure, sous les applaudissements de mon patron. Ce salaud me releva prestement, laissant le vieux pantelant, bite dégoulinante, et me roula une galoche appuyée qu’il ponctua victorieusement :
« J’adore vous embrasser J……. quand vous avez du foutre plein la bouche, vous sentez le sperme comme une petite cochonne, j’aime… (et se tournant vers le vieux) c’est une petite salope qui s’ignore, elle est bonne non ? elle sait bien sucer hein ? »
« Oh là, oui ! m’ouf… »
« Tenez, Monsieur L… la prochaine fois, on aura plus de temps… je vous garantis, vous pourrez la baiser tant que vous voudrez, vous vous régalerez… vous êtes d’accord Jeannine pour qu’on vous prenne tous les deux avec Monsieur L… hein ? »
J’approuvais d’un signe de tête et je sortis du bureau. (Je vous raconterai ça plus tard).
***
Dans un grand magasin
J’étais donc en condition à la fin de mes heures de bureau, comme tant d’autres jours. J’étais un peu restée sur ma faim de bites, j’avais envie de quelques unes, vite fait, inconnues mais dignes. Où aller ? J’étais déjà allée au sex-shop mais là je n’avais pas trop le temps d’une longue séance (j’y reviendrai une autre fois c’est sûr pour faire mieux, je vous raconterai aussi). Un parking ? Compliqué, il faut le temps de trouver l’endroit et des types (mais j’aimerais bien). Un bar ? Pas mal ça, mais il faudrait que je sois accompagnée (à creuser comme idée). Dans la rue, pas facile de concrétiser! Dans la rue, souvent, j’agace les types qui me lorgnent, j’attise leurs envies pour leur imaginaire nocturne. Parfois certains me sifflent discrètement, une fois un mec m’a soufflé à l’oreille en me croisant « que vous êtes sexy ! je vous baiserais bien»
Ce soir-là, je me décidais pour un grand magasin, je trouverai bien des rayons propices à quelques canailleries vite fait. Nonchalamment je déambulais au rez-de-chaussée mais je savais que les vastes espaces entre les rayons ne permettraient pas grand-chose.
Après avoir aperçu quelques types légèrement intrigués par ma manière de déambuler entre les rayons, avec une démarche imperceptiblement chaloupée, qui lorgnèrent avec insistance mes jambes, gainées par des bas fins noirs et chaussées d’escarpins à talons assez hauts, je me dirigeai vers l’escalator. A mi-parcours, je me retournai et je vis que deux des types en question m’avaient suivie et je surpris l’un d’eux les yeux rivés sur mes jambes et mes fesses moulées sous ma jupe. Je changeai légèrement ma pose, me cambrant un peu, relevant un pied sur la marche supérieure –comme pour préparer ma sortie. Du coup, un intervalle entre mes jambes fut créé et comme le mec me zyeutait par en dessous, je lui offrit un peu plus de vision de l’intérieur de mes cuisses, tout en faisant saillir mes fesses sous le tissu de la jupe davantage tendu.
Arrivée à l’étage, je fis mine d’hésiter un instant puis je repris l’escalator pour l’étage supérieur. Du coup, le premier des deux types se retrouva juste derrière moi, deux marches en dessous de moi, la tête à hauteur de mon cul, et je sentais le poids de ses yeux rivés sur mon cul et mes jambes. Ce coup-ci, je ne me retournais pas, je me contentais de bouger un peu, bien campée sur mes escarpins légèrement écartés.
Immédiatement, j’enchaînais pour aller au troisième étage. Dans l’intérieur du virage pour changer d’escalier, cela bouchonna un peu et je dus m’arrêter carrément. Le type en profita et me toucha légèrement les fesses par-dessus la jupe comme s’il ne pouvait pas faire autrement. Coquine, je ne bronchai pas. Je sentis que maintenant il était tout près sur la marche en dessous car je vis sa main sur le tapis noirs très proche de ma hanche. Je desserrai un peu plus mes deux pieds adoptant une posture jambes plus écartées, bien campée sur mes talons hauts. Alors, pour mon plus grand plaisir, le type s’enhardit et immisça sa main entre mes deux mollets frôlant mes bas. Je sentis la caresse mais je ne manifestais rien. Alors, la main, mise en confiance, appuya un peu plus le bout des doigts sur le nylon des bas et remonta un peu timidement.
Je décidais d’enchaîner aussitôt vers le quatrième étage et au changement d’escalator, je pus trois secondes fixer intensément dans les yeux le gars, qui eut un léger sourire. J’eus le temps de m’apercevoir qu’un autre mec qui m’avait reluquée en bas se trouvait une marche plus bas : peut-être avait-il vu la tentative de la main du premier.
En tout cas, cette quatrième montée fut nettement plus scabreuse. Le type me remit aussitôt la main là où il l’avait laissée, entre les deux genoux, et commença alors à remonter le long de l’intérieur de mes cuisses en me caressant doucement. Comme je perçus que son investigation restait digne, je le laissais poursuivre. Quand il arriva à la limite des bas, il eut comme un sursaut de surprise et d’extase ; il me sembla même entendre un petit « hmm … ah ! des bas !». Dopée la main remonta encore et il me caressa la chair nue au-dessus des bas, son avant-bras avait dû disparaître sous ma jupe et ça, l’autre mec devait le voir. La montée d’escalator était terminée, je me dégageais et la main frustrée de ne pas avoir pu aller plus haut lâcha mes cuisses. J’étais bien émoustillée.
Arrivée à ce quatrième étage, je décidais d’aller traîner dans les rayons de vaisselle et de décoration, car ici les rayons étaient plus resserrés que dans les étages inférieurs et légèrement moins fréquentés. Je me retournais discrètement et je pus constater avec plaisir que les deux types s’étaient aussi arrêtés à cet étage. Flânant dans les rayons, je croisais à plusieurs reprises le regard de mon palucheur sans manifester quelque réprobation. Puis, à un moment, je vis que les deux mecs discutaient entre eux brièvement. Le premier avait-il dit à l’autre que je portais des bas ? L’autre lui avait-il demandé qu’est-ce qu’il avait touché car il devait avoir vu sa main sous ma jupe ? Possible, probable même. En tout cas, à la fin de leur petite conversation, ils regardèrent tous deux dans ma direction un instant avec un regard complice, affûté et insistant et se séparèrent de quelques mètres. Tiens, je vis aussi un autre bonhomme qui traînait par là et me reluquait aussi ; celui-là je l’avais déjà vu dans des circonstances similaires! Hmm ! J’en avais ferré trois !
Alors, je choisis un rayon d’articles de cuisine bien achalandé, dont les rayons supérieurs étaient hauts et bien garnis –me cachant un peu aux yeux des vendeuses- et je fis mine de fureter, lorgnant sur les côtés pour jauger de l’avancée des types, qui ne tardèrent pas à déboucher dans la même allée que moi. Jouant toujours la femme bcbg sainte-nitouche, je me replongeai –c’est le cas de le dire- dans le rayon de bibelots de cuisine. Du coup, un peu penchée en avant, ma jupe remonta un peu, dévoilant mes cuisses et se tendit sur mes fesses en les moulant davantage. Ce fut le troisième qui passa derrière moi et caressa mon cul par-dessus le tissu de ma jupe, s’attirant un regard foudroyant des deux autres.
A son grand plaisir et à la satisfaction des deux gars, je ne bronchai pas, alors que sa main bien ouverte massait mes fesses consciencieusement et avec application. Je me faisais mettre la main au cul dans un grand magasin par un inconnu, en fait j’aime ça. Jetant un œil sur les côtés, je vis que les deux autres se rapprochaient sur ma gauche et qu’au bout de la travée sur ma droite, un gars plus jeune et boutonneux observait la scène fébrilement.
Les gars ainsi rapprochés commençaient à bien me cacher au reste du magasin, qui, ceci dit, n’était pas trop fréquenté à cette heure. Alors, afin de ne pas aller trop vite en besogne, je me dégageais un peu de la pogne sur mes fesses en m’accroupissant pour contempler les prix des objets du rayon le plus bas. Du coup, écartant un peu nonchalamment mes genoux, je leur montrais bien mes cuisses et mes bas, faisant monter crescendo leur envie. Mes deux fesses calées sur mes talons, feignant toujours de consulter les articles, je laissais de temps en temps mes cuisses bien aplaties s’entrouvrir généreusement pour la vue des deux types sur le côté dans l’allée et pour l’œil plongeant de mon palucheur, tout juste au-dessus de moi : ils pouvaient lorgner à loisir mes cuisses et mes bas, la chair au-dessus et même par instants ma culotte transparente en tulle, suffisamment ample d’ailleurs pour permettre d’apercevoir carrément les lèvres roses de ma chatte et sa toison blondinette. Jetant un œil par en dessous, je les voyais déglutir et se masser la queue par-dessus leur pantalon. Ils étaient bien « mûrs » et moi j’étais chaude.
Alors, avant de me relever, je leur portais le coup de grâce : tout en manipulant un article de vaisselle, j’écartais complètement mes cuisses dans un grand ‘V’ de victoire leur offrant un panorama complet de mes bas, mes cuisses, mes escarpins, ma chair au-dessus des bas, ma culotte fine et ma chatte bien visible sur un côté de cette culotte. Puis je relevai mon regard et fixai les deux mecs avec un petit sourire. L’un d’eux avait baissé la fermeture éclair de sa braguette, extirpa sa bite et commença à se branler en me regardant, profitant du fait que l’allée était toujours déserte. Coquine, je lui souris comme pour l’encourager, alors sa queue gonfla et devint bien grosse dans sa pogne. Son compère l’imita sans gêne et je m’exhibai aux yeux salaces de ces deux types affamés.
C’est alors que je sentis une forte odeur de bite près de moi. Mon palucheur debout tout à côté de moi avait lui aussi sorti sa grosse tige qu’il astiquait méthodiquement à dix centimètres de ma tête, allant même jusqu’à immiscer son gland et sa tige entière dans mes cheveux. Ayant pu vérifier de l’état de désertification persistant de cette allée, brutalement, je tournai la tête et je me retrouvai face à la bite bandée. Elle me plut tout de suite malgré cette odeur forte qui m’oppressait un peu. J’eus envie de la prendre en bouche pour affoler les deux autres et aussi le boutonneux qui s’était rapproché sur ma gauche, tout en faisant le guet.
Soupesant les couilles et caressant la bite de ma main sur toute sa longueur, oubliant toute retenue car persuadée d’être invisible, j’ouvris grand ma bouche et je me mis à sucer ce gros dard puant le désir du mâle affamé : le vicieux se cambra sous cette immense et fabuleuse caresse conjuguée de ma bouche suceuse et de ma main. Il m’empoigna la tête par ma chevelure de rousse flamboyante et accompagna mes pompées m’obligeant à avaler la tige entière jusqu’à la garde, je frôlais l’étouffement.
Accaparée par cette belle grosse queue, sur laquelle je m’appliquais (finalement, c’est bon de sucer une bite qui sent bien la bite), je ne m’étais pas rendu compte que les autres étaient tout près de moi. C’est quand j’entendis le murmure collectif que je compris que j’étais cernée :
« hmm ! qu’est-ce qu’elle suce bien sa queue cette garce ! »
« elle me suce comme une reine cette salope ! »
« ah ! ouais, qu’elle est belle cette salope avec ses bas »
« hmm ! la belle salope ! elle aime les bites celle-là oui ! »
Et je sentis la présence des trois autres queues tout tout près de mon visage. Le boutonneux sur ma gauche avait enfilé sa bite dans mes cheveux : les deux autres queues bien bandées tapotaient ma joue et mon menton.
Lâchant un instant la grosse tige, j’en saisis deux autres à pleines mains et je me mis à pomper la quatrième. Prestement, allant de l’une à l’autre, accroupie à hauteur de ces quatre mandrins, je suçais les glands, pompais les tiges, flattais les couilles, caressais les hampes dures. De temps en temps même, arrondissant mes lèvres au maximum, je gobais deux glands en simultané. Là, les odeurs de bites étaient devenues intenses : ça puait -en fait ça sentait bon- la queue, les bites de mâles en rut. Je suçais, pompais, je me régalais avec ces quatre engins tantôt en bouche tantôt en mains. Folle de bites, je suçais tous ces inconnus comme une folle, je m’enivrais de queues.
Ils me firent me relever. L’allée était toujours déserte… à part un autre bonhomme, nettement plus âgé, qui observait la scène à trois mètres de là. Les quatre types me serraient de très très près, de tellement près d’ailleurs que je devais avoir disparu de la vue de quiconque se serait aventuré par ici. Ils se mirent à me palucher de toutes parts, j’avais leurs huit pognes partout : dans mes deux bonnets de soutien-gorge, où mes bouts de seins étaient devenus durs sous les caresses et saillaient au-dessus de la dentelle, sur mes fesses, le long de mes cuisses par-dessus le tissu soyeux de mes bas, à ma taille et bien entendu dans ma culotte. Chaque mec avait une main près de ma chatte ou carrément dedans ; je sentais des doigts agacer ma toison, un autre immiscé entre mes lèvres maintenant trempées me doigtait de plus en plus profond, les deux autres en haut des cuisses, une pogne explorait mon cul, caressant mes fesses et un doigt s’immisçant profondément et doucement dans mon petit trou. Ils me galochèrent à tour de rôle et je m’offrais à leurs langues dardées dans ma bouche. En même temps, je branlais deux queues en cadence, tandis que je sentis une troisième s’infiltrer dans ma culotte derrière, dans la raie de mes fesses. Les odeurs de bites étaient de plus en plus fortes et les engins durcissaient dans mes menottes qui se régalaient de manipuler les colonnes et d’agacer les glands humides et turgescents, qui se frottaient et se pressaient contre mes chairs et mon nylon.
Un des types, un costaud binoclard d’un certain âge, m’attira en avant contre lui et me galocha profondément, me rendant encore plus docile. Du coup, me hissant un peu sur la pointe des pieds, je dus cambrer un peu plus mes fesses pour suivre et répondre à sa langue goulue. Je sentis que deux autres avaient soulevé ma jupe, offrant ainsi un peu plus mes fesses à la bite du quatrième qui commença à appuyer le long de ma gouttière et peu à peu se fraya un passage par côté de ma culotte ample jusqu’à l’entrée de ma chatte. Bloquée, je laissais faire et je sentais le gland pénétrer lentement en écartelant sans trop de peine doucement mes lèvres. Sentant la progression, je commençais à gémir pour le plus grand plaisir des trois mecs qui me maintenaient en position favorable et, là, derrière moi, brusquement la queue me pénétra d’un coup fort et profond. J’eus un sursaut mais la langue du binoclard dans ma bouche m’empêcha de crier et je sentais les deux autres sur les côtés accompagner mon baiseur en plaquant fermement leurs pognes sur mes fesses et sur mon ventre.
« Vas-y, baise-la, on te la tient » dit fermement un des types surexcité.
« Montre-nous ta queue dans sa chatte » dit l’autre en soulevant encore plus ma jupe et se penchant pour mieux voir la bite de son compère s’enfiler entre mes fesses.
J’étais baisée debout dans les rayons de ce grand magasin par une grosse queue inconnue qui me faisait un plaisir immense, encerclée par trois autres types, leurs bites appuyées contre mes bas, mes hanches et mon ventre. C’est alors que je me rendis compte que, à chaque extrémité de la rangée de l’étalage deux autres types mataient tout cela, tout en faisant office de guetteurs… au cas où.
Le jeune boutonneux me murmura à l’oreille quelques mots que je ne compris pas puis :
« madame, branlez-moi plus fort, vous êtes belle, j’aime, ah ! je vais partir… »
Me disant bien qu’il fallait aller vite, je lui obéis et je saisis sa bite que je branlai avec frénésie et plaisir, dans la cadence des coups de treuil que l’autre derrière m’assénait vigoureusement et de plus en plus vite. L’engin durcissait dans ma main.
Le jeune boutonneux se mit à se trémousser et à gémir, j’accélérai le rythme de ma menotte et je sentis qu’il crachait son foutre, qui macula le côté du haut de ma cuisse, à même la chair (heureusement que ma jupe était bien relevée !) et me dégoulina dans le creux de ma main. Heureux comme un jeune chiot il m’embrassa dans le cou en murmurant à mon oreille « je jouis, oh, oui, je jouiiiiiiis… c’est bon… je vous aime » et son sperme coula le long de ma cuisse. Probablement excité par cela et se doutant bien qu’il ne fallait pas trop traîner, mon baiseur de derrière se planta brutalement en moi, vissa sa queue bien au fond de ma chatte, tout en me plaquant bien à lui en m’ayant saisie aux hanches, son corps entier se raidit et il se mit à décharger dans ma chatte de longues saccades chaudes de foutre en grognant de plaisir.
Puis il ressortit presque aussitôt et tel un soudard il dit aux autres : « je l’ai remplie de foutre cette salope, elle est bien huilée, allez ! à vous, je vous la tiens ! »
Le vieux binoclard me tendit sa verge dure, qui était demeurée plaquée sur mes poils et, alors que celui qui venait de me baiser et le boutonneux me tenaient cette fois un peu plus penchée en arrière, il m’embrocha de face, sous le regards de deux des types spectateurs du bout de l’allée qui s’étaient rapprochés du groupe, l’un d’eux venant même sucer un de mes seins, alors que l’autre me galocha à son tour. Je fus soulevée par le groupe pour que le binoclard puisse mieux m’enfiler, mes genoux et mes escarpins, que je nouais autour de la taille du binoclard, furent remontés, caressés et flattés au passage, tout comme mes bas contre lesquels des glands venaient se frotter en attendant de me prendre. Deux autres spectateurs étaient d’ailleurs venus caresser mes bas auxquels ils commencèrent à frotter leurs queues bandées. Je sentis alors une langue venir lécher mon cul et s’enfiler dans la raie, humidifiant mon petit trou. Cette caresse buccale langue dardée couplée à la bite drue du binoclard m’arracha des gémissements de plaisir et je commençais sérieusement à dodeliner de la tête, signe chez moi de la montée de la jouissance. Dans toutes ces pognes et avec ces queues, je me mis à jouir lentement mais… sûrement. C’est alors que derrière, la langue fut remplacée par une bite bien graissée par le foutre du premier qui avait ruisselé et m’encula en même temps que la queue du binoclard avait suspendu un instant son va-et-vient pour faciliter la double pénétration. Je n’eus pas le temps de dire ‘ouf’.
Cette fois, j’étais prise en sandwich debout. C’était l’extase. Ils me limèrent tous deux sous le regard approbateur des autres types. Puis, ne pouvant plus tenir, le binoclard se retira d’un coup, me fixant intensément du regard avec ses petits yeux de myope, il astiqua son gland trois secondes et m’arrosa copieusement la toison :
« Que t’es bonne, qu’elle est bonne ta chatte, prends mon foutre salope, tiens ! je t’arrose la chatte de sperme, tu me fais jouir chienne va, tiens, tiens… »
Et les autres applaudirent :
« ouais, vas-y, arrose-lui la chatte »
« putain, il lui décharge dessus ! »
« allez, passe-nous la »
Aussitôt un autre type, plus petit et gros le remplaça dans ma chatte offerte et me pilonna presque brutalement en grognant des insanités, son visage crispé et laid me fixant intensément : « tiens, pute, prends ma queue, salope, t’es bonne, qu’elle est bonne ta chatte, han ! han ! han ! » et il déchargea aussitôt dans ma chatte. Derrière, mon enculeur avait lui arrosé copieusement mes fesses et céda la place. En moins de dix minutes, ils m’eurent tous baisée ou enculée. Trois autres mecs avaient rappliqué entre temps, c’était un véritable attroupement de queues autour de moi et un défilé dans mes deux trous.
Le final devait arriver car l’heure tournait et une vendeuse était apparue de l’autre côté du rayon, se doutant de quelque chose peut-être. Alors, les derniers qui m’avaient limée par l’un ou l’autre de mes trous baignant dans le foutre, se retirèrent. On me fit m’accroupir et ce furent quatre queues qui n’avaient pas encore éjaculé qui vinrent danser autour de ma tête et mes seins dénudés. J’en saisis quelques unes au hasard et je flattais des couilles, je gobais quelques glands au vol, je suçais un peu des bites pour finir le boulot, pendant que des pognes caressaient mes miches pour mieux les offrir à la douche promise. Je fus copieusement arrosée de sperme, sur mon visage, sur ma poitrine, sur mes bas et même dans mes cheveux. J’en avais partout qui ruisselait.
Rassasiés, les mecs rangèrent leurs bites dans les pantalons, un salaud s’essuya la queue sur ma jupe laissant de larges traces blanchâtres et un autre épongea son dard dégoulinant sur mes bas ; je léchai un autre gland dégorgeant qui avait éjaculé sur ma joue et mon menton puis ils s’éclipsèrent tous me laissant avec leur foutre.
Je me retrouvais là seule dans ce rayon du grand magasin, couverte de foutre, mes trous en feu, pantelante et harassée de tant d’assauts qui m’avaient laissée épuisée et un peu hagarde mais comblée. Quel moment !
Le lendemain, au moment du café matinal, je m’empressais de raconter cet épisode hard et scabreux à mon patron, qui me demanda une foule de détails et finit par me donner sa bite à sucer, qui déchargea bien vite tellement il fut excité par mon récit.
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