J’ai été engagé pour quelques mois dans une boîte relativement grande (environ 50 employés). J’ai été présenté à tous mes nouveaux collègues et une sortit du lot, Stéphanie. Brune aux yeux noirs, elle avait une forte poitrine et un cul bien arrondi. Le courant passait plutôt bien entre nous et on pouvait de choses et d’autres pendant les pauses et je sentais que quelque chose pourrait se passer entre nous mais étant en couple cela ne fut pas possible. Lors des pauses café du matin et pauses déjeuner du midi, on essayait de se mettre l’un à côté de l’autre et lorsque l’on devait se serrer autour des tables, cela ne nous dérangeait pas d’avoir nos genoux se toucher. Cela restait gentil entre nous, même si on s’envoyait souvent des regards provocateurs dans les couloirs, que nos bises étaient un peu plus appuyées entre nous qu’avec les autres et que je matais son décolleté souvent plongeant.
Tout se passait ainsi jusqu’à mon dernier jour de travail. Je faisais le tour des bureaux pour un dernier au revoir à tout le monde et j’avais voulu garder Stéphanie pour la fin, sachant qu’on allait certainement discuter un peu plus qu’avec les autres. Arrivé à son bureau, j’entre puis je referme la porte derrière moi pour ensuite aller m’asseoir à son bureau. Elle portait ce jour-là un chemisier noir à boutons pression un peu ouvert sur son décolleté et assez moulant, ainsi qu’une jupe noir jusqu’aux genoux et des bas. On se met à discuter de mon futur, de la suite dans la boîte après mon départ, puis de choses plus légères. On se promet de se revoir en ville un de ces quatre puis on se lève pour se faire la bise. Je la sens se coller à moi et je sens ses seins sur mon torse. Cela me donne un début d’érection et je commence à ne plus penser clairement. Je cache ce trouble du mieux que je peux et je l’embrasse sur la joue, sauf que nous visons mal et nous nous embrassons sur l’embrasure des lèvres. De plus, en s’embrassant sur l’autre joue, nos lèvres se frôlent et, certainement sans le faire exprès, nous nous embrassons à nouveau sur l’embrasure des lèvres mais une peu plus sur les lèvres. Nous éloignons nos visages sans pour autant rompre le contact de nos corps. Une seconde s’écoula où nous nous sommes regardés droit dans les yeux et aucun de nous deux ne reculait d’un pas. Un seul pas en arrière de l’un de nous deux et cela se finissait. Je ressentis plus que je ne compris qu’elle voulait m’embrasser à pleine bouche et réciproquement. En un clin d’œil, nos lèvres s’entrechoquèrent et je l’entendis même gémir de soulagement que cela se passe ainsi. Pour ma part, je bandais à m’en faire mal dans mon pantalon mais cela m’importait peu à ce moment-là. Je savais que je trompais ma copine mais je savais aussi qu’entre Stéphanie et moi, ce ne serait que du sexe, du physique à l’état sauvage.
Stéphanie ouvrit un peu sa bouche pour laisser passer sa langue jusqu’à la mienne mais je la devança et nous faisions danser nos organes à l’unisson. J’osais poser mes mains sur ses hanches et je les remontais jusqu’à ses seins pour les empoigner franchement et je lui ouvrit le chemisier d’un seul coup. Je voyais dans son regard une envie féroce que je la prenne sur son bureau et un sourire se dessina sur son visage, comme pour me défier de le faire. Elle s’est alors mise à genoux devant moi, a sorti mon sexe qui fut soulagé d’être libéré et elle l’engloutit entièrement sans autre forme de politesse. Je sentais le plaisir monter en moi très rapidement et je dus à regret lui faire lâcher prise pour la pousser jusqu’à son bureau pour la faire asseoir dessus. Je relevais alors sa jupe et découvrit une culotte blanche assortie à son soutien-gorge. Je lui écartais le tissu et lui fit un cunnilingus comme quelqu’un se jetant sur un morceau de viande après un jeune forcé de plusieurs jours. Elle se retint du mieux qu’elle pouvait pour ne pas exprimer fortement son plaisir puis je me suis relevé pour présenter mon sexe à l’entrée du sien.
Toujours dans la fièvre sexuelle du moment, je la pénétrais entièrement du premier coup puis je la besognais aussi vite et aussi fort que je pus. Pendant que Stéphanie subissait mes assauts et penchait la tête en arrière, j’ai approché mon visage de ses seins et les ai sortis de leur carcan un à un pour les manger à pleine bouche, ce qui redoubla ma vigueur et son plaisir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Stéphanie se mit à jouir et, son vagin se resserrant sur mon sexe, moi aussi de suite après. Nous reprîmes nos esprits et nous nous sommes rhabillés puis je suis sorti de son bureau.
Bien que nous ayons eu un rapport ensemble, nous nous sommes recroisés plusieurs fois sans qu’il y ait de sexe entre nous et elle était même devenue amie un moment avec ma copine avec qui je suis toujours en couple. Nous n’en avons jamais reparlé et nous n’avons jamais retenté l’expérience par la suite.
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