« Joyeux anniiiiversaireeeeee, joyeux anniiiiversaireeeee… »
La lumière de la salle c’est éteinte. Une lueur tremblotante arrive du couloir.
« Joyeux anniiiversaireee…. Manon…. joyeux anniiiiversaireeeeee…………. »
Dans les cris et les applaudissements, un magnifique gâteau est déposé sur la table. Les petites bougies, disposées en forme de cœur, font briller les yeux de mes amis et scintiller leurs verres de champagne. Je prend une grande inspiration et…
« Pfffffffffffffffffffffffff !!!!!!! »
…souffle toutes les flammes d’un coup. Les applaudissements reprennent, la lumière revient et la musique recommence à jouer. Je suis couverte de cadeaux et de bisous. Une cinquantaine de personnes sont présentent, mais je n’en connais que la moitié. Les autres, sont des amis de mes amis. Plus on est de fou… Mes parents sont partis pour le week-end et m’ont donnée carte blanche pour organiser ma petite fête, dans notre pavillon de banlieue.
Mon grand frère est là aussi. Ca me fait plaisir, car ayant quitté la maison, je le vois moins souvent.
J’entame la découpe de l’immense gâteau, remplissant un nombre incalculable d’assiettes. Une main saisie mon poignet.
« Viens, on va se refaire une beauté. »
C’est Valérie. Une magnifique plante de quarante ans, que j’aime beaucoup et qui compte énormément dans ma vie. Elle m’entraîne dans la salle de bain du premier, en riant. Devant le miroir, nous retouchons mutuellement nos maquillages, débitant des âneries qui ne peuvent faire rire que nous. Je recoiffe ses longs cheveux noirs. Ils sont lisses, fins et soyeux. Elle me donne un bisou sur la bouche et voyant ma surprise, recommence à rire aux éclats.
« Aller ! Viens danser ma belle. »
Me reprenant la main, elle me tire et nous sortons en sautillant dans le couloir, comme deux enfants. Nous passons devant ma chambre, mais au moment où nous atteignons l’escalier, Valérie s’arrête et me regarde d’une façon étrange. Puis, sans lâcher ma main, elle fait demi tour et se dirigeant vers ma chambre, elle me dit.
« Viens. »
Nous entrons, elle referme promptement la porte et s’y adosse. Tout vas si vite, que je manque de tomber et me retrouvant face à elle, je me retiens à son épaule tout en riant.
« Tu es folle ? Qu’est-ce que tu fabriques ? »
Mais Valérie ne rie plus. Ses grands yeux sombres me dévisagent avec tendresse. Elle me tient toujours la main. De l’autre, elle replace délicatement une mèche de mes cheveux, derrière mon oreille. Puis ses longs doigts s’attardent sur ma joue, la caressant, la frôlant. Je suis bouleversée par tant de tendresse, mais, comme pour rajouter encore à mon émoi, son pouce maintenant, glisse sur mes lèvres.
« Je ne pense pas que ce soit une bonne idée ! »
« Chuuuuuuuuuttttttt ! »
Le léger souffle que produit sa bouche me fait fermer les yeux. Je sens sa poitrine frôler la mienne, au rythme de nos respirations. Bien que dans un trouble immense, je perçois les pointes des mes seins se durcir et se dressées, ce qui ne fait qu’augmenter mon désarroi. Mes jambes sont molles et ont bien du mal à me soutenir. Ses longs doigts fins glissent vers ma nuque, se perdent dans mes cheveux et poussent doucement ma tête pour mettre en contact nos deux bouches. Je ne peux que céder à ce moment si voluptueux. Sa langue fouille délicatement entre mes lèvres ouvertes. Elle me serre, à présent, tout contre elle. Je sens son ventre se soulever, se contracter contre le mien. Une de ses cuisses monte et descend sur la mienne. Nos lèvres parfois, se détachent, mais restent reliées par des fils d’argents. Je suis emportée dans un tourbillon de sensations. Sa respiration, bruyante, résonne dans ma bouche et la mienne dans la sienne. Ma chaleur est sa chaleur, mon corps est son corps. Nous ne sommes plus qu’une.
Elle se détache lentement de la porte et, tout en continuant à me donner de fabuleux baisers, elle me pousse doucement, me faisant reculer, reculer et encore reculer, jusqu’à atteindre le bord du lit. Celui-ci, plis mes genoux, me faisant perdre l’équilibre, et je m’écroule sur le lit.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, mon string se retrouve à terre et Valérie enfouie déjà son visage entre mes cuisses. Elle croque mon intimité comme elle croquerait un fruit d’été. Je sens ses dents glisser et écarter mes grandes lèvres, sous la douce pression de sa mâchoire qui se referme lentement. J’explose et libère une quantité impressionnante de mouille, qui inonde sa bouche et ses lèvres. Et tout comme elle le ferrait avec ce même fruit d’été trop mur, elle entreprend de lécher avec application, le jus, pour ne pas en perdre une goutte. Puis sa bouche remonte, s’attarde sur mon clito gonflé et provoque une nouvelle grande et belle jouissance.
Chacun de ses gestes, chacune de ses caresses ou de ses baisers, sont emprunt de douceur, de passion. Rien n’est fait au hasard. Tous est là pour m’emporter sur un grand nuage de voluptés. Moi, appuyée sur mes avant bras, je laisse exploser mon plaisir, mais afin qu’elle ne puisse voir ma honte sur mes joues, je jette ma tête en arrière, ne lui laissant ainsi aucune chance d’apercevoir mon visage. Je ne sais pas quand, ni comment, mais je viens de me rendre compte que ma petite jupe écossaise ainsi que ma ceinture de métal, ont déjà étés rejoindre mon string, par terre.
Valérie continue son ascension. Elle embrasse maintenant mon ventre, soulevé par le plaisir. Les boutons de mon chemisier, sautent, les uns après les autres. Pour être un soupçon sexy, je n’ai pas mise de soutien gorge, mais dans cette situation toute particulière, je me sens un peu salope. Lorsque mon chemisier s’ouvre en glissant sur le coté, mes seins nus se dévoilent, durs et tendus, ils attendent les douces caresses de Valérie. Mais, elle les délaisse. Elle se redresse sur ses genoux et entreprend de se débarrasser de son tee-shirt moulant, ainsi que de son soutien gorge. Sa poitrine est magnifique. Plus imposante que la mienne, mais très ferme. Elle perçoit les rougeurs sur mes joues. Elle se penche vers moi et passe ses mains dans mes cheveux pour dégager mon front.
« Tu a chaud ? ». Me dit elle d’une voix douce.
« Non, ça va. Merci ». Je sens bien que je ne suis pas très convaincante.
« Allons ! Je ne suis pas née de la dernière pluie. Je vois bien que tu es gênée. Il ne faut pas. ». Un grand sourire illumine son visage. Un sourire qui se veut rassurant, accompagné par de longues et douces caresses sur mon visage. J’acquiesce timidement, essayant de lui faire croire que je vais mieux.
« Tu semble tellement fragile, ma petite Manon. Tu sais je n’en suis pas à ma première expérience avec une femme. Tu es entre de bonnes mains. Tu aimes ce que je te fais au moins ? ». Me dit elle en riant.
« Ho oui, Val. Beaucoup. Ce n’est pas ça. Mais c’est si soudain, si inattendue. Et puis… »
« Et puis quoi ? »
« Tu es ma tante tout de même. ». Je baisse les yeux.
« Quelle importance que je sois ceci ou cela. Fabrique toi un beau souvenir pour ton anniversaire. Apprend, grandie et goutte aux plaisirs que je te donne. Ils te serviront peut être plus tard. Et je suis fière d’être celle qui t’éduque à ce genre de choses. Ce sera notre secret, rien qu’à nous. D’accord ? »
Elle relève ma tête pour que je croise son regard. Il y a tellement de tendresse et d’amour dans ses yeux. Je craque et c’est moi qui l’attire pour l’embrasser. Notre corps à cœur reprend de plus belle à la différence que maintenant je participe. Les jouissances s’enchaînent. Les baisers, les caresses, les coups de langues ne se comptent plus et c’est naturellement que nos minous se recherchent. C’est ainsi que nous nous retrouvons face à face, les jambes entrelacées, cherchant la meilleure position pour mettre nos sexes en contact. En appuies sur nos avant bras, nous tendons nos chattes bouillantes, l’une vers l’autre. Nos chairs se touchent enfin. Nous partageons notre chaleur, notre humidité. Nos clitos gonflés se frottent, tentent de pénétrer l’autre. Les lèvres glissent les unes contre les autres. Les bruits de succions se mélangent à la musique de nos soupirs.
Brusquement la porte s’ouvre et Guillaume, mon frère, fait irruption dans la chambre. Nous restons pétrifiées et honteuses de se faire surprendre ainsi. Ce grand gaillard, n’a jamais su frapper à une porte. Mais, cette fois ci, il doit se dire qu’il aurait peut-être dû. Nous nous asseyons sur le bord du lit, cachant maladroitement nos poitrines de nos mains. Sa réaction me glace, tant elle est violente.
« Salope ! Tu n’avais pas le droit de faire ça ! Elle était pour moi ! Tu n’avais pas le droit ! »
Et il sort en claquant la porte.
Je m’effondre en larmes. Comment aurais-je pus imaginer qu’il avait des vues sur notre tante. Je suis perdue et j’ai peur pour la suite. Je me rhabille en pleurant. Valérie fait de même, puis elle me prend dans ses bras, mais je la repousse, trouvant que j’ai suffisamment fait de bêtises pour aujourd’hui.
« Ma pauvre Manon. Je suis confuse, j’aurais du vérifier que la porte était bien fermée. Ne soit pas fâchée après moi, je ne voulais pas te mettre dans l’embarras. Je vais aller lui parler et essayer d’arranger les choses. D’accord ? »
« Je ne suis pas en colère après toi. J’assume ce qui vient de se passer, et je te remercie pour cette fantastique expérience. Mais je crois qu’il est préférable que se sois moi qui lui parle. Il vaut mieux que tu disparaisses pour ce soir. Je te téléphone demain. »
«Comme tu veux. Ne pleure plus, tout cela n’est pas si grave, crois moi. »
Elle me donne un dernier baiser et sort de la chambre. J’y reste encore un moment afin de retrouver mon calme et de sécher mes larmes.
Je descends l’escalier, scrutant les visages qui s’amusent et qui rient. Mais, je ne le vois pas. Un ami me renseigne.
« Ton frère ? Oui, je l’ai vu sortir dans le jardin. »
Je l’aperçois par la fenêtre. Il est au bout du jardin, les mains dans les poches, tête baissée, appuyé contre la remise. Je prend mon courage à deux mains et vais le rejoindre.
« Tu dois être très déçu de ma conduite. »
« Moins que de la sienne. »
« Pardonne moi Guillaume. J’ai été faible. Peut-être l’alcool. Il ne faut pas m’en vouloir. »
« Ce n’est pas à toi que j’en veux, mais à elle. C’est une belle salope. »
« Tu dis cela parce que tu est en colère .elle est très gentille. »
« Elle n’avait pas le droit de faire ça ! »
« J’ignorais qu’elle te plaisais autant !? »
Il me regarde d’un air déconcerté et éclate de rire.
« Quoi ? Qu’est ce que j’ai dis ? »
« Ma pauvre Manon, tu n’as rien compris. Ha ! Ha ! Ha ! »
Puis il s’en va, remontant vers la maison et la fête, en riant aux éclats. Je le ratt**** et me plante devant lui.
« Bon ! Maintenant ça suffit. Explique moi ce qui te rend si euphorique ! »
Son visage reprend un air sérieux.
« Ce n’est pas de Valérie dont il s’agit. »
« Désolée, Guillaume, je ne comprend toujours pas !? »
« Valérie est ma maîtresse depuis déjà un bon bout de temps »
« Quoi ? »
Secouée par cette révélation, je dois précipitamment m’asseoir dans un fauteuil de jardin, pour ne pas tomber. Mais je ne comprends toujours pas.
« Mais quand tu es entré dans la chambre, tu m’as dis que je n’avais pas le droit, qu’elle était pour toi ? »
« Ce n’était pas à toi que je parlais. »
Le disque dur de mon cerveau tourne en rond, cherche, et disjoncte. De grosses larmes remontent à mes yeux et c’est d’une voix chevrotante que lui demande de s’expliquer, une bonne fois pour toute.
« Ca fait quatre ans que je te regarde grandir. Quatre ans que je te regarde prendre des formes. J’ai vu ta poitrine se développer, tes fesses se dessiner, tes reins se creuser. Quatre ans que je te désire comme un fou en secret, que je me masturbe le soir dans ma chambre, imaginant te serrer dans mes bras. Quatre ans, que je souffre quand je te vois avec d’autres types. Quand Valérie est devenue ma maîtresse, je lui ai avoué, lui demandant de garder le secret. Et cette salope… »
Il pousse un cri de rage et disparaît dans la maison, en me laissant plantée là, à décrypter seule, les aveux que je viens d’entendre.
Des tas d’images remontent à mon esprit et prennent une tout autre signification. Je vois mon frère, rentrant dans ma chambre sans frapper, ou trafiquant la serrure de la salle de bain, pour me surprendre sous la douche, ou encore, insistant pour entrer avec moi dans les cabines d’essayage, sous prétexte de m’aider à enfiler les robes que j’essayais. Moi, pauvre idiote, qui ne croyais que se n’était qu’un jeu. Je comprend également, pourquoi tout mes petits amis étaient cons et débiles à ses yeux.
Est-il amoureux de moi, ou désire t’il juste mon corps ? Pense t’il vraiment, qu’un jour, j’aurais pu accepter de coucher avec lui ? Et cette chère tata. A-t’elle fait ça pour rendre jaloux Guillaume, ou parce que ça l’excitait de se faire la nièce, après de s’être tapée le neveu ?
Je reste encore une heure dehors, à tourner milles questions dans ma pauvre caboche. Quand je décide enfin de réapparaître à la fête, je constate que grand nombre de mes amis sont déjà partis. Il reste encore beaucoup de monde, mais je ne les connais pratiquement pas. J’att**** une bouteille de champagne et je bois au goulot.
« Hé ! Arrête, tu vas être bourrée. Viens plutôt danser ! »
C’est un type d’une vingtaine d’année qui viens de me retirer doucement la bouteille des mains et qui s’accroche à mes hanches pour me faire danser un slow langoureux. J’étais prête à l’envoyer promener, quand, dans un coin de la pièce j’aperçois mon frangin, affalé dans un canapé, en compagnie d’une « Barbie pouffiasse » qui lui mange les lèvres. Tout en embrassant goulûment la fille, il me dévisage, épiant tout mes gestes. Son regard est provocateur, voir haineux ou peut être tout simplement envieux. Que dois je faire ? Cesser de danser pour ne pas le faire souffrir ? Ne plus m’amuser ? Rentrer au couvent ?
En fait, je suis très énervée et décide de le rendre jaloux pour de bon, pour me venger de ses mauvaises pensées. Je passe mes bras autour du cou de mon cavalier et me laisse porter par la musique. A chaque passage, je le vois me regarder. Il a maintenant attrapé la poitrine de la fille et la malaxe sans ménagement. Au tour suivant, sa main est passée sous le tee-shirt moulant, et elle, lui caresse l’entre cuisse au travers de son pantalon, que je vois gonflé par l’envie. Encore un tour et à la lumière tremblotantes des bougies, je vois la fille penchée sur lui, lui pratiquant une fellation gourmande, sans gêne, devant tout le monde. Mon frère, les bras en croix sur le dossier du canapé, rythme l’action en se soulevant à chaque succion. Son regard plonge dans le mien. Il veut me rendre jalouse ou est-ce moi qui l’excite ? Ce qui est sur, c’est qu’il me provoque.
Intérieurement, je me dis « tu veux jouer à ça, frangin ? Ok ! Jouons ! ».
Je regarde mon partenaire et lui souri. Puis, je me serre un peu plus à lui. Je sens son sexe se coller à mon bas ventre. J’augmente le mouvement de mon bassin. Désormais, je me frotte comme une salope contre le type. Le résultat ne se fait pas attendre et une chose énorme est désormais entre nous. Mon frère n’en perd pas une miette et semble très en forme. Je descends ma main et tout en embrassant le type. Je défais sa braguette, sort son sexe et le glisse sous ma jupe contre mon string. Je danse maintenant, avec une bonne queue qui glisse entre les jambes. La sensation est terriblement enivrante. Mon string est trempé de moi et de lui. Guillaume surenchéri. La « petite pute » est maintenant assise sur lui, empalée sur son sexe. Il continu à me dévisager par-dessus son épaule. L’ardeur avec laquelle il pénètre cette fille, est à la hauteur de la fièvre que je dois lui transmettre. Je prends conscience que je commence à aimer cette situation. Plus question de le rendre jaloux, plus question de me venger. Je perd pied et me jette corps et âme dans la luxure. Je tombe à genoux devant mon cavalier et aspire sa queue entre mes lèvres. Je le suce avec ferveur, excitée à la pensée que mon frère m’observe. Dans ce tourbillon de folie, j’en ai oubliée où j’étais. A cette pensée et sans interrompe ma fellation, je jette un oeil aux alentours. Six hommes m’entourent, sexe à la main. Derrière une fille se fait prendre en levrette tout en suçant la chatte d’une autre. Une fièvre sexuelle s’est emparée du groupe et mon anniversaire s’est transformé en une gigantesque partie de jambes en l’air. Peut être n’est t’il pas trop tard pour faire machine arrière. Mon honneur est encore sauf. Je ne suis pas encore souillée. Je me relève et me dirige vers le champ de ruines du buffet. J’avale une coupe de champagne. La tête me tourne, mais qu’importe. J’en prends une seconde, mais avant que d’avoir le temps de la porter à mes lèvres, une avalanche de mains s’abat sur moi. Mes seins, ma chatte, mon cul, mon ventre, mes jambes, tout est touché, malaxé, caressé. En moins d’une minute, je suis mise nue et couchée sur la table au milieu des restes de petits fours. Un homme se présente face à moi et me pénètre sans ménagement. C’est le début d’une longue série d’orgasmes qui commence. Je sombre dans une espèce de douce folie, qui me pousse à en vouloir toujours plus. Chaque jet de sperme en moi, provoque une intense jouissance et je veux être de nouveau remplie tout de suite, sans attendre. Le plaisir est si fort, que j’en pleure et c’est dans une vision troublée par mes larmes, que j’aperçois Guillaume jouir sur le visage de sa « poupée », le regard toujours tourné vers moi. Je le vois remonter son pantalon, avaler un verre et sortir de la maison, me laissant à mon hystérie et à mes hommes en ruts.
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