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Tatouage Ch. 01

Tatouage Ch. 01



Traduction d’un texte de Evals22.

Ce récit est une fiction qui mélange de la soumission et dégradation féminine. Si vous pensez que cela puisse vous choquer, ne continuez pas à lire.

**********

La plus grande partie de cette histoire se déroule au cours des huit derniers mois. Cependant pour bien tout comprendre, il faut expliquer le contexte. David, maintenant âgé de 50 ans et Lori, 47 ans, se sont mariés il y a 25 ans. Ils se sont rencontrés en été. David venait d’être diplômé d’un Master en affaire et Lori venait de terminer sa troisième année d’université.

Leur rencontre fut un vrai coup de foudre et leur romance fut sans nuages. David eut une offre d’emploi d’une compagnie sur la côte Ouest et il devait déménager pour la Silicone Valley. Il était follement amoureux de Lori et il lui proposa le mariage, en lui disant qu’ils pouvaient bien attendre un an pour qu’elle finisse sa dernière année à l’université.

Lori lui répondit qu’elle ne voulait pas finir ses études, qu’elle ne pourrait supporter d’être séparée de lui et qu’elle voulait le suivre. Après de longues discussions ils se marièrent en invitant seulement leur famille proche. David trouva étonnant que sa future femme n’ait pas de copains étudiants à l’université à inviter lors du mariage. Ce fut sa sœur et ses cousines qui firent les demoiselles d’honneur. Quand il la questionna, elle lui dit qu’elle n’avait pas d’amis à l’université et elle changea rapidement de sujet.

Lori était une petite brune. Elle fut toute timide lors de sa rencontre avec la famille de David. Sa propre famille vivait aussi dans la banlieue de Chicago, mais tous les deux avaient été dans différentes écoles. Ils se sont rencontrés lors d’une soirée barbecue où leurs parents étaient invités.

On ne pouvait pas dire de Lori qu’elle était sexy ou très belle. Mais elle n’était pas moche non plus. Elle était dans la moyenne des étudiantes.

David, comme Lori, était un étudiant ni beau ni moche. Les femmes au barbecue disaient de lui qu’il avait un avenir prometteur dans l’industrie informatique. Lori tomba éperdument amoureux et pour lui, elle était la plus belle.

Depuis leur premier rendez-vous, ils furent toujours passionnés dans leur relation, mais ils n’allèrent jamais au-delà de simples caresses. Lori lui avait dit que leur couple était spécial et qu’elle voulait attendre le bon moment avant d’avoir des relations sexuelles. Bien sûr, tous les deux avaient déjà eu des expériences, mais Lori insistait sur le fait que ses liaisons à elle avaient été sans amour et insignifiantes. Elle ne voulait pas gâcher leur relation.

Une semaine avant leur mariage, elle lui dit qu’elle devait lui parler de quelque chose qui la déranger. Elle lui dit que c’était mieux de lui en parler avant le mariage. Dans un état émotionnel évident, elle lui parla de sa vie universitaire.

– Tu sais que je t’aime.

Elle s’arrêta un instant avant de continuer.

– Bon, je n’ai pas été complètement honnête à propos de l’université.

– Que veux-tu dire Lori? Rien de ce que tu me diras ne changera mon amour pour toi. Murmura David.

– Tu sais que j’ai eu quelques copains. Et bien c’est stupide, mais un soir que j’étais saoules je me suis faite tatouer les fesses avec les initiales VC, pour Valentin CARTER. Je suis tellement gênée.

David rigola :

– Ecoute, si c’est la chose la plus stupide que tu aies faite alors ne t’inquiète pas. Nous avons tous les deux des petites aventures à l’université. Mais aujourd’hui, tu es la seule personne que j’aime vraiment. Nous nous sommes promis d’être honnête et fidèle l’un à l’autre.

Il la tira vers lui et embrassa doucement son front. Puis il lui demanda de montrer le tatouage. Elle baissa son short et sa culotte juste assez pour montrer la partie haute de sa fesse droite. Il vit un petit cœur rouge de la taille d’une pièce de monnaie avec une flèche le traversant et les lettres VC au centre.

Comme l’utilisation de lasers pour le détatouage n’était pas encore inventé, ils décidèrent d’aller dans un salon de tatouage pour voir si le tatoueur pouvait changer les initiales CS en celle de David. L’homme dit qu’il ne pourrait pas. Par contre il suggéra de colorier l’intérieur du cœur en rouge pour effacer les initiales. Après que le travail fut fait, il fallait vraiment s’approcher de très près pour voir encore les contours des initiales. Cela ne dérangeait pas David, personne et même un médecin ne serait jamais aussi proche que lui. En fait il trouvait ça excitant. Il pensait à elle et son petit ami quand il voyait le cœur.

Un ami de lycée de David avait fréquenté l’université de Lori. Une soirée, David rencontra cet ami et ils parlèrent de leur vie depuis le lycée. David mentionna sa future femme Lori et demanda à son ami s’il la connaissait. Celui-ci lui répondit qu’il la connaissait sans la connaître. David lui demanda alors ce qu’il voulait dire. Son ami lui dit qu’elle sortait avec un des joueurs de basket-ball et que des rumeurs disaient que ces joueurs étaient assez sauvages. David lui demanda ce que ça signifiait. Son ami lui répondit qu’il ne savait pas vraiment car il n’avait jamais été invité aux soirées. Il semblait vague et nerveux dans ses réponses.

Puis il demanda à David s’il se souvenait de Sam PHILIPS. Sam avait obtenu son diplôme un an auparavant et avait reçu une bourse. L’ami dit à David que Sam était peut-être au courant de ce qui se passait dans les soirées étant donné qu’il faisait partie de l’équipe même s’il était le plus souvent remplaçant. David se souvint de Sam qui était bien connu au lycée, même si David ne le connaissait pas personnellement. En fin de compte, David laissa tomber le sujet, n’ayant aucune intention ni raison de revenir sur le passé de Lori. Le passé était le passé.

*******

Faisons maintenant une avance rapide de 23 ans. Le mariage de David et lori fut, dans tous les sens, un succès. Ils ont deux enfants et David a bien réussi dans l’industrie informatique. Il est vice-président d’une grosse entreprise, et même s’il n’est pas milliardaire, il est très riche.

Les premières années de mariage furent pour eux deux un pays de merveilles sexuelles. Ils s’aimaient profondément et étaient aventureux dans leurs rapports sexuels. Lori aimait s’habiller sexy pour David et ils expérimentaient toutes sortes d’expériences sexuelles. Chaque pièce de leur appartement devint un lieu où ils assouvirent leur passion. David découvrit qu’elle était expérimentée, surtout avec sa bouche. Mais à chaque fois qu’il lui demandait de lui parler de ses expériences, elle changeait de sujet ou ignorait son mari. Au début du mariage il essaya bien d’insister mais ils se disputèrent. Davis la laissa seule et décida de ne plus aborder le sujet.

Au fur et à mesure que le temps passe dans la vie d’un couple, les changements interviennent lentement au fil des ans. Les enfants apparurent dans leur couple et leurs temps de liberté furent réduits. David gravit les échelons dans son entreprise. Cela demanda plus d’heures de travail, moins de temps à la maison et moins d’heures à faire du sport pour se maintenir en forme, fini le gymnase et le tennis.

A 48 ans, David pesait 25 kilos de plus qu’à son mariage. Il dut porter des lunettes, et bien qu’il soit toujours un mari aimant, le feu de leur mariage s’était estompé. Lori, par contre, même après deux enfants, avait gardé la forme. Bien sûr, elle n’avait pas les mêmes obligations de son mari donc elle se faisait un devoir d’aller souvent au gymnase.

Après avoir fini d’allaiter leur deuxième enfant, elle n’était pas contente de sa poitrine. Ses seins avaient perdu de la fermeté et pendaient légèrement. Bien que David lui eût assuré qu’il l’aimait comme elle était, elle se fit poser des implants mammaires. C’était moins pour plaire à son mari que pour sa propre estime de soi. Elle pouvait maintenant porter les vêtements qu’elle voulait et elle était fière d’être l’une des seules mères du club de gym à se sentir à l’aise dans un maillot de bain deux pièces. Elle faisait maintenant un bon 95 C de poitrine.

Le couple faisait toujours l’amour, mais ce n’était plus spontané et ça se passait toujours dans leur chambre. Si David se sentait excité et qu’il s’approchait de sa femme, celle-ci repoussait ses avances jusqu’à ce qu’ils soient dans la chambre à coucher. Elle ne refusait jamais car elle l’aimait vraiment, mais l’étincelle n’était plus là.

Une nuit, David, se sentant excité, essaya de persuader Lori de lui faire une fellation dans la cuisine. Les enfants n’étaient pas là et personne ne pourrait les voir. Lori refusa gentiment ses avances. Mais quand il continua à la harceler, elle perdit son sang-froid.

– Ecoute, j’adorais me mettre à genoux et te tailler une pipe n’importe où. Mais c’est différent maintenant. Les gens de notre âge ne font pas les mêmes choses qu’ils faisaient quand ils étaient jeunes. Quand je levais mes yeux avec ta queue dans ma bouche, je voyais tes jolis yeux. Maintenant je vois ton ventre.

Dès que les mots quittèrent sa bouche, elle se sentit désolée. Le regard de son mari montrait la douleur qu’il ressentait. Ça lui faisait mal parce que c’était vrai. Il savait qu’il n’était plus sexy. Il savait aussi que si sa femme Lori avait pris 25 kilos, il ne serait peut-être plus autant excité.

Vraiment désolée, elle lui fit un sourire enjôleur et lui dit :

– Si tu perds ces 25 kilos en trop, je ferai n’importe quoi. Et je veux dire tout ce que tu voudras une fois par mois. Et tous les mois, tant que tu garderas la ligne.

David s’éloigna en colère et ne mentionna plus de baiser dans la cuisine. Il ne suivit pas non plus de régime. Il sentait qu’il était trop vieux pour changer.

Sans circonstance particulière, peut-être que leur vie se serait prolongée comme avant. Pourtant, parfois, un petit évènement peut déclencher une réaction en chaîne qui peut avoir un impact important sur la vie. Ce fut le cas, il y a 16 mois, avec un orage d’été dans le centre du pays.

David dut aller à New York pour ses affaires et son vol de correspondance ainsi que tous les autres, à l’aéroport de Chicago, furent annulés en raison de la tempête. Il appela son bureau et sa femme pour leur dire que ça prendrait des heures avant que les vols ne soient autorisés. Etant un voyageur de première classe, il alla dans la section VIP et s’assit au bar.

Assis à sa gauche, se trouvait un autre voyageur échoué qui buvait une bière. Cet homme semblait vaguement familier à David, mais il ne pouvait se rappeler. Après quinze minutes, le barman regarda la carte de crédit de l’homme et dit :

– Voulez-vous une autre bière M. PHILIPS?

Le barman reconnut le léger signe de tête et alla tirer une autre pression.

David se rapprocha légèrement et remarqua que l’homme était grand, environ 1m85. Il semblait avoir l’âge de David mais il était en meilleur forme. Sur le bar, à côté de l’homme, il y avait une brochure d’anciens élèves de l’université où Lori était allée.

– Excusez-moi de vous déranger!

David fit un signe à l’homme qui leva le regard de sa bière. Il continua :

– Il semble que je vous connais. Etes-vous Sam PHILIPS?

– Oui. Je vous connais?

Il ne sembla pas fâché mais juste lassé de devoir attendre dans l’aéroport.

– Nous nous connaissons un peu. J’étais à Roosevelt High en même temps que toi mais dans la classe un an en dessous. Je t’ai souvent regardé jouer au Basket-Ball jusqu’à ce que tu sois diplômé et que tu ailles à State. Pour moi ti as toujours été le meilleur joueur de Roosevelt.

L’homme sourit lentement, appréciant de revivre ses jours de gloire. Il se redressa sur son tabouret.

– Nous avons remporté les championnats d’Etat deux ans de suite. Comment vous appelez-vous? Dit-il en tendant la main vers David.

Celui-ci serra la main et se présenta. Ils parlèrent du passé et du basket. Sam aimait bien entendre parler de lui comme joueur. Il avait établi de nombreux records scolaires qui sont toujours existants aujourd’hui. Au bout d’un moment, David lui offrit une bière et lui parla du basket à l’université. Sam lui expliqua que son équipe n’avait jamais vraiment joué à leur réel potentiel et qu’ils perdaient souvent.

David se souvint de son ami qui lui avait parlé des fêtes de l’équipes et de Lori qui aurait rencontré un des joueurs. Il se dit qu’il pourrait peut-être obtenir plus d’informations de Sam. La meilleure façon était de flatter l’égo de l’homme.

– J’ai un ancien ami de classe qui a été lui aussi à State. Il a vu tous vos matchs et il se demandait si l’entraineur avait quelque chose contre vous. Il m’a dit qu’il ne vous avait pas assez fait jouer.

David put voir la poitrine de Sam se gonfler pendant qu’il se mettait à expliquer ses relations avec l’entraineur. Au bout de trente minutes, David décida de pousser plus loin ses questions.

– Sam, mon ami m’a dit que l’équipe de basket faisait beaucoup de fêtes à l’époque. Il y avait des filles pas farouches. Est-ce vrai?

– Eh bien Dave, ton ami a raison. Il y avait une fille dont je ne me souviens pas du nom, c’était une vraie salope. Elle sortait avec Franck MACKENZIE, la star de l’équipe. Je ne sais pas si vous vous souvenez de lui, il a été acheté par Détroit, mais s’est blessé au genou avant de passer pro.

– Voilà, Franck et moi étions les seuls blancs de l’équipe et nous sommes devenus des amis proches. Je m’entendais bien avec les autres mais avec Franck nous étions comme des frères. Nous vivions tous dans la même fraternité Alpha Oméga.

– Voilà, Franck avait cette petite amie qui avait un an de moins que nous. On l’appelait « Vide-Couilles ».

Sa voix baissa d’un ton et il regarda autour de lui pour s’assurer qu’il n’offensait personne.

– C’était une fille mignonne, pas belle, mais gentille. On ne se serait pas attendu que quelqu’un comme elle agisse comme elle le faisait. Pendant ces vingt dernières années, j’ai eu quelques relations Domination/Soumission. Mais à l’époque je ne connaissais pas. Maintenant je peux dire qu’elle était l’une des femmes la plus soumise que j’ai connu.

– Désolé Sam, j’ai entendu parler de D/S et de SM, mais pour être honnête, je ne suis pas sûr de faire la différence.

– Les deux consistent en pouvoir sur quelqu’un. Contrôler et être contrôler avec de la douleur c’est du SM. La domination et la soumission peuvent être sans douleur. Une fille peut être excitée sexuellement si on lui ordonne certaines choses. Dans le cas de cette fille, on l’humiliait et on la dégradait.

– Hé, ce n’est probablement pas bien pour un vieux comme moi, mais parlez-moi d’elle. Quelle était sa particularité?

Sam rigola et continua :

– Vous continuez à payer les bières et je continuerai à te parler d’elle maintenant que certains souvenirs reviennent. Elle s’appelait Laurelle ou Lorna, quelque chose dans ce genre.

David sentit une démangeaison dans sa queue. Il se demanda s’il parlait de sa femme. Sam lui dit qu’après les premiers mois où ils se fréquentèrent, Franck commença à exiger certaines choses de sa petite amie. Il la caressait sans gêne et lui parlait cru devant ses amis. Il lui disait qu’il allait l’entrainer à devenir une grosse salope. Et elle se tenait là, sans rien dire, et rougissait. Mais, si on regardait de près ses mamelons, on pouvait voir qu’ils durcissaient.

– Vers la fin de la première année, Franck avait bien exploité sa nature soumise. Elle lui permettait de l’utiliser en privé comme publiquement quand il le souhaitait. Expliqua Sam.

Les bières continuèrent d’arriver et l’histoire se poursuivit. Maintenant, David avait peur de savoir si la fille dont parlait l’homme était sa femme. Il s’agissait de beaucoup plus que des petites aventures sexuelles. C’était les exploits d’une femme qui n’avait plus d’estime de soi et qui était une salope complète.

Sam décrivit comment elle suçait les amis de Franck et se dégradait devant eux. Souvent nue lors des soirées, elle se masturbait pour divertir les garçons de la fraternité. Et bien que sa chatte soit réservée à Franck, sa bouche pouvait être utilisée par tout garçon qui le demandait, quand il le voulait.

– Un jour, Franck organisa pour elle une initiation pour l’entrée dans une des meilleures sororités du campus, réservée aux filles riches et de bonne famille. C’était un ami des filles les plus garces de cette sororité. Sa petite amie pensait que seuls les membres de la fraternité de Franck étaient au courant de ses exploits. Mais en réalité, la plupart des étudiants du campus la connaissait sous le nom de « Vide-Couilles ».

– Un soir, elle rejoignit la sororité dont elle voulait faire partie. On lui expliqua que toutes les filles avaient dû subir ce rite de passage. Après quelques verres d’alcool elle accepta. Des tables furent installées et chacune des filles de la sororité donna un verre de liqueur à chacun des garçons de la fraternité. Ceux-ci allèrent dans une autre pièce et éjaculèrent dans le verre. Les filles de la sororité n’étaient pas du genre à s’exhiber sexuellement et ne voulaient pas ternir leur réputation en accompagnant les garçons pour les aider.

– Bientôt il y eut douze verres remplis de sperme. Les filles les alignèrent par trois et dirent à l’amie de Franck qu’elle devait boire trois verres suivis d’un verre de vodka. Et qu’elle devrait le répéter quatre fois jusqu’à ce que tous les verres soient vidés.

– L’alcool, les cris des filles, le désir de devenir membre de la sororité et enfin l’insistance de Franck décidèrent la jeune fille de 20 ans. Elle accomplit la tâche sous le regard stupéfait des autres filles qui n’avaient jamais avalé une goutte de sperme.

– Une fois fait, la pièce devint silencieuse, mis à part des ricanement et rires de certaines filles.

Sam secoua la tête et continua :

– Ensuite, Franck dit à tout le monde que la dernière phase de l’initiation était de boire à la source. Jamais timide ou gêné par sa virilité, il ouvrit son pantalon et sortit sa grosse queue.

– Il regarda dans ses yeux effrayés sa copine ivre et confuse, et il lui ordonna de se mettre à genoux. Après une légère réticence, la fille soumise et naïve tomba devant son petit ami. En sachant ce qu’il attendait, elle lui fit une de ses meilleures fellations, dans un brouillard pervers, souhaitant impressionner les jeunes filles riches. Quand Franck jouit, il lui ordonna de garder le sperme dans sa bouche, afin que tout le monde puisse voir la grosse quantité déposée. Ensuite elle avala puis se dressa fièrement et demanda si elle avait réussi le test. Elle fut horrifiée, quand tout le monde, y compris son amour, éclatèrent de rire. Ils lui dirent sans prendre de gants, qu’elle ne serait jamais membre de leur sororité car les filles ne voulaient pas être associées à une « Vide-Couilles ». Elle fuit la pièce en larmes.

David posa son verre de bière et commanda une nouvelle tournée. Les haut-parleurs venaient d’informer les voyageurs que le temps se dégageait et que les nouvelles heures de vol allaient être affichées. David et Sam virent qu’ils avaient encore une heure avant de monter dans leur vol respectif.

David leva les yeux de sa bière et dit :

– Alors dis-moi, que lui est-il arrivée? Tu sais, à la « Vide-Couilles »? A-t-elle revu Franck après cette mauvaise farce?

– Tu sais mon ami, j’aurai pensé qu’elle ne le reverrait jamais. Comme toi, je pensais que Franck avait dépassé les limites. Il était le dominateur et avait rompu la confiance entre un dominateur et sa soumise. Il y a des choses à ne pas faire dans ce type d’arrangement et tu ne trahis pas ta partenaire.

La bouche de David resta ouverte alors qu’il aurait souhaité être dans son avion et ne pas savoir si cette femme, très probablement sa femme, avait continué d’être soumise à Franck. Il bredouilla :

– Sérieusement, elle continua à voir ce…

Il sentit la colère monter.

– …connard?

– Hé, ne prends pas ça au sérieux! C’était il y a déjà de nombreuses années. Et honnêtement je crois qu’elle avait oublié cette histoire. Ecoute, on ne dit plus rien, je ne pensais pas que tu prennes cela de la sorte.

Sam prit sa bière et commença à descendre de son tabouret.

– Attends Sam. Je suis désolé. Comme je te l’ai dit, j’ai eu une vie universitaire assez paisible.

David sourit et continua :

– J’ai étudié et travaillé pour aider à payer mes études. Allez, nous avons encore un peu de temps et je crois que je vais devenir fou si je n’entends pas comment ça se finit.

Sam sourit et dit qu’il comprenait. Toute histoire de sexe et de salope vaut mieux que de lire des journaux dans un terminal d’aéroport.

– Cette fille voulut quitter Franck. Elle refusa de répondre à ses appels et elle l’évita sur le campus. D’ailleurs, elle évitait presque tout le monde car la nouvelle de ses exploits se répandait partout. A chaque fois qu’elle allait en cours, elle devait supporter les ricanements et les pointages de doigts de personnes qu’elle ne connaissait même pas.

– Franck ne s’était jamais trouvé à cours de femme dans sa vie donc elle ne lui manquait pas vraiment. Une nuit, alors que j’étais avec Franck et d’autres gars, assis à regarder un match à la télé, un étudiant de première année vint nous voir et dit à Franck qu’il avait un visiteur.

– Quand elle entra dans la pièce, le silence se fit. Elle était vêtue d’une jupe et d’un pull avec des chaussettes et chaussures d’écolière. Elle ressemblait à un agneau jeté dans la fosse aux lions. Franck lui demanda ce qu’elle voulait sans vraiment détourner son attention du match. Elle lui demanda à lui parler en privé.

Sam dit à David qu’il se souviendrait toujours de cette nuit. Ça lui donne toujours la chair de poule. Il raconta au mot près ce qui se passa.

*****

– S’il te plaît Franck, je dois te parler. Tu me manques. Implora-t-elle.

– Si tu avais besoin de me parler, tu n’avais qu’à répondre à mes appels téléphoniques. Je t’aurais alors donné l’occasion de t’excuser.

Les yeux de Franck se fixèrent sur les siens et elle frissonna.

– M’excuser? Franck, ce que tu m’as fait… Je ne devrais pas être celle qui s’excuse… je suis la risée de… Oh tant pis, s’il te plaît, pouvons-nous parler en tête à tête?

Franck se leva et se dirigea vers la télévision et l’éteignit. Il se retourna et tout le monde vit un sourire diabolique sur son visage. La tension dans la pièce était palpable.

– « Vide-Couilles ». C’est ton nom sur le campus. Très bien « Vide-couilles », si tu veux revenir avec moi, ça se fera à mes conditions et seulement aux miennes. Sinon tu peux partir. Il y a plein de filles, plus belle que toi…

Il s’arrêta et attrapa son entrejambe tout en continuant :

– … qui veulent ça.

Sami dit que lui et les autres garçons se regardèrent en se demandant si quelqu’un serait assez courageux pour dire à Franck que les choses allaient trop loin. Mais, dit Sam avec une certaine culpabilité dans la voix, ils voulaient tous voir comment ça allait se terminer.

– Alors? demanda Franck en croisant les bras et en fixant la jeune fille qui se recroquevilla sur elle-même.

– Je vais, oui je vais… mais allons dans ta chambre… n’importe quoi, mais pas ici s’il te plaît.

– Dis à mes amis ce que tu es. Dis-leur à qui tu appartiens. Dis-leur quelle salope stupide tu es et comment tu es désolé de m’avoir embarrassé devant les filles de la sororité.

Il avait un regard froid. Il ajouta :

– Ou alors va-t’en!

– Je suis une « Vide-Couilles », je suis la propriété de Franck, sa stupide…

Elle bafouilla sur le mot « salope » et continua :

– Je suis désolé de t’avoir embarrassé.

– Et tu écriras une lettre à la sororité. Tu t’excuseras d’avoir quitté la fête si brusquement. OK?

Sans montrer aucune résistance, elle secoua la tête pour donner son accord. Franck sourit et lui demanda de se déshabiller. Comme elle avait déjà été nue devant la fraternité, elle n’hésita pas à enlever ses vêtements.

– Règle numéro 1 : Pas de soutien-gorge ni de culotte sur le campus. Sauf, bien sûr pendant tes règles où tu es autorisée à porter une culotte rouge. Si l’un de mes camarades de fraternité ou moi-même voyons sur le campus que tu ne te conformes pas aux règles, nous déciderons, PAS TOI, de l’endroit discret où tu subiras une inspection. Compris?

Elle hocha la tête. Ses tétons se tenaient debout dans la chaleur de la pièce.

– Règle numéro 2 : Pas de poils sur ta chatte.

– Règle numéro 3 : Quand tu arriveras à la fraternité, tu enlèveras tous tes vêtements à l’entrée et tu enfileras mon maillot de basket ainsi que le collier et la laisse que tu iras acheter demain à l’a****lerie.

Il augmenta sa domination :

– Peu importe qui sera ici, tu te déshabilleras dans l’entrée.

– Règle numéro 4 : Tous les hommes dans cette pièce…

Sa main balaya l’air devant lui et montra les six autres garçons.

– S’il te disent « A genoux », tu arrêteras ce que tu es en train de faire, te mettras à genoux et les suceras. En dehors de cette maison, tu les suivras partout où ils se sentirons bien pour se faire sucer.

Il sourit et continua :

– Assure toi d’avaler tout ce qu’ils t’offriront et n’oublie pas de les remercier. Par contre, ils ne sont pas autorisés à te baiser. Ta chatte est à moi. OK?

Les larmes coulaient sur son visage. Elle ne pouvait s’empêcher de sangloter. Mais tout le monde dans la pièce pouvait sentir l’odeur musquée de sa chatte. Il était évident qu’elle mouillait. Elle hocha la tête pour acquiescer.

– Une dernière chose avant que je te pardonne Vide-Couilles! Dans la camionnette les gars!

Franck se dirigea vers le garage et, en passant dans la buanderie, il attrapa un tee-shirt puant et sale qu’un des gars avait porté pour s’entrainer. Il lui lança et lui demanda de suivre ses amis dans le véhicule.

Quand elle entra dans le garage, le tee-shirt lui arrivait au raz des cuisses. Les manches découpés laissaient apparaitre les côtés de ses seins. Quand elle pénétra dans la camionnette, l’odeur de sueur et de sa chatte remplit l’endroit.

Ils se rendirent dans la partie la plus mal fréquentée de la ville et ils s’arrêtèrent devant un salon de tatouage. Franck y pénétra pendant quelques minutes, puis il revint et ouvrit la camionnette pour leur demander à elle et ses amis d’entre dans le salon.

Etant donné l’heure tardive, ils trouvèrent l’endroit vide. La seule personne présente était un homme barbu et tatoué. Des images étaient gravées en couleur sur ses bras et sa poitrine. Il portait un gilet en cuir et un jean délavé. Il était la photo même du « biker ».

– Alors c’est la « Vide-couilles »? Demanda-t-il sans regarder personne en particulier.

Franck demanda à la jeune fille d’enlever le tee-shirt, ce qu’elle fit, heureuse de pouvoir échapper à la puanteur. Le tatoueur regarda la fille nue et lui demanda de s’allonger sur la table. Mais plutôt que se coucher dessus comme elle aurait pu s’y attendre, il la fit seulement se plier à 90 degrés. Ses pieds, toujours sur le sol, furent attachés aux pieds de la table, écartant ainsi ses jambes. Une ceinture fut placée autour des jambes. Une ceinture fut placée autour d’elle pour tenir son ventre et sa poitrine appuyés sur le plateau de la table. Ses bras furent attachés de chaque côté.

Elle se sentit exposée et vulnérable. Elle savait pourquoi elle était là. Franck allait la marquer. Il la marquerait comme étant sa propriété, mais elle s’en fichait. Elle était dans un tel esprit qu’elle n’aurait rien refusé. Elle entend Franck et le tatoueur murmurer sur ce que voulait son maître.

Après quelques minutes, elle entendit une chaise tirée derrière elle. L’homme du salon s’assit derrière son cul et sa chatte. Des mains touchèrent son cul et elle sentit une lingette imbibée d’alcool frotter le haut de sa fesse droite pour la désinfecter.

Franck parla assez fort pour que tout le monde entende :

– Pendant que « Vide-couilles » reçoit son petit cadeau, nous allons la tenir occupée. Alignez-vous les gars et utilisez sa bouche. Je veux que vous la baisiez comme si c’était une chatte. Et même si elle aime avaler le sperme, je veux que vous gicliez sur son visage de salope. Dis à mes amis qu’ils peuvent!

Attachée à la table avec la douleur de l’aiguille du tatoueur qui travaillait sur son cul, son jus dégoulinait de sa chatte le long de ses jambes. Elle voulait ça autant que Franck. D’une certaine manière elle sentait qu’elle méritait ce traitement et cette humiliation augmentait son excitation.

– S’il vous plaît, baisez ma bouche! Utilisez ma bouche! Non ce n’est pas une bouche mais une chatte qui parle. Utilisez là et jouissez sur ma figure s’il vous plaît.

Bientôt les bites furent sorties. Les six camarades de la fraternité ne ressentaient plus aucun remord, ni embarras envers elle. Ils ne voulaient que se libérer. Sam déclara que lorsque ce fut son tout, le visage et les cheveux de la jeune fille étaient trempés de sueur et de sperme. Lui comme les autres se vida sur elle. Il fallut encore vingt minutes pour que le tatouage soit fini, la fille resta allongée, le foutre coulant de son visage vers le sol.

Un fois le travail terminé, le tatoueur appela Franck Il sourit quand le jeune garçon le remercia pour un si bon boulot. Il lui dit qu’il pouvait être payé avec de l’argent ou avec la bouche de sa copine. Le « Biker » se dirigea sur le côté et enfonça sa bite dans la bouche ouverte. Alors qu’elle suçait, l’étudiante sentit la queue de Franck pénétrer sa chatte humide. Elle jouit une première fois, puis une deuxième et encore.

David regarda Sam et ils ressentirent tous les deux un certain lien. Comme des enfants regardant des magazines pornos, ils étaient entrés dans une connivence érotique à l’aéroport.

Alors qu’ils commandaient leur dernière bière, Sam ajouta :

– je dois vous dire qu’elle était autre chose. Depuis ce jour jusqu’à notre sortie de l’université, elle était le fantasme de tout étudiant. Elle faisait tout ce que demandait Franck. Je n’ai jamais eu autant de fellations que pendant cette partie de ma vie. Aujourd’hui, j’en ai une à chaque anniversaire.

– Qu’est-il arrivé à cette fille? Demanda David.

– Eh bien, elle était supposée être là la dernière année, mais on raconte qu’elle a rencontré quelqu’un et s’est mariée. Chanceux, Franck a découvert où elle était et il s’est rendu à son mariage. Il donna un petit papier à une demoiselle d’honneur pour qu’elle lui donne. La jeune fille devait dire qu’elle avait besoin de parler à Franck, que c’était un vieil ami à qui elle devait dire au revoir, qu’il l’attendait dans le hall où les invités arrivaient.

– Et?

– Ils se sont cachés dans un coin et Franck lui a ordonné de quitter sa petite culotte et de lui la donner. Il m’a dit qu’il l’avait fait mettre à genoux pour qu’elle le suce. Il lui dit qu’il voulait que son premier baiser en tant que femme mariée ait le goût de son sperme.

David sentit sa queue durcir encore plus. Lori lui avait dit qu’elle avait enlevé sa culotte pour le surprendre quand il enlèverait sa jarretière au diner. Est-ce que ça pourrait être elle? Est-ce que cette fille était vraiment Lori? Pas étonnant qu’elle n’ait jamais parlé de ces années-là. Il sentit la colère monter car ils avaient toujours été fiers de leur honnêteté l’un envers l’autre. Techniquement, tout ça s’était passé avant qu’ils n’échangent leurs vœux. Et puis, même si c’était elle, ce dont il doutait un peu quand même, comment aurait-elle pu cacher ses désirs pendant toutes ces années. Il sourit intérieurement, c’était une histoire dont il se souviendrait toujours.

– Eh bien Sam, c’était sympa de parler avec toi. Tu m’as donné une histoire sur laquelle fantasmer. Dit David à son ami en lui faisant un clin d’œil.

– C ‘est sûr. Ça fait des années que je pense à elle. Et puis tu sais… Non tu ne le sais probablement pas… Mais Franck est mort. Un accident de voiture. Un pauvre gars qui est mort seul et endetté. Nous étions quatre personnes avec moi à assister à son enterrement.

Sam soupira :

– Il n’y avait même pas ses camarades de la fraternité. La vie est comme ça, ça vient et ça s’en va.

Les haut-parleurs annoncèrent l’embarquement pour l’avion de Sam. Alors qu’il ramassait son sac, il ajouta :

– Je l’ai vu l’année avant sa mort. Et ce bâtard m’a dit qu’il faisait l’effort de la voir à chaque anniversaire de son mariage pour la baiser. Il lui a même dit de faire refaire ses seins qui s’affaissaient après ses deux enfants. T’imagine l’arrogance de ce type? Pour son dixième anniversaire de mariage il l’a rejointe dans sa maison avec trois amis pendant que son mari l’attendait au restaurant.

Ils se serrèrent la main et David resta planté pendant que Sam se dirigeait vers la porte. Ça ne pouvait pas être Lori. Ils s’étaient promis de ne jamais se mentir. Bon Dieu! David essaya de se souvenir de leur dixième anniversaire de mariage mais rien d’inhabituel lui vint à l’esprit. Il savait que ce n’était pas elle mais quelque chose le dérangeait et il voulait savoir.

Il courut après Sam et l’attrapa avant l’embarquement.

– Sam, le tatouage?

L’homme, agacé et prêt à partir continua son chemin.

– Le tatouage, à quoi il ressemblait? Tu te souviens?

– je ne sais plus. Et ça n’a pas d’importance.

Il secoua la main, puis s’arrêta et se retourna :

– Oh maintenant je me souviens. Il s’agissait d’un petit cœur rouge avec, au centre, les initiales VC, pour « Vide-couilles ». Au revoir!

A suivre…

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