Je m’appelle Grabriella et je j’ai dépassé mes cinquante ans il y a déjà quelques années. Je suis assez grande de taille et je suis bien charpentée : une belle paire de seins, un beau cul qui fait les hommes se retournent pour me mater, surtout lorsque je porte un short qui dévoile mes longues cuisses et met en valeur ma chute de reins. J’ai de gros besoins sexuels que mon mari ne satisfait guère ce qui m’oblige à me masturber fréquemment. Mon mari, Claudius, est à la retraite, il était prof de philo. Nous disposons d’une assez grande maison et mon mari s’est aménagé, comme cela est assez fréquent dans la région où nous habitons, une pièce au sous-sol dans laquelle il s’abstrait pour réfléchir me dit-il. En fait, il s’est installé un canapé, une table de travail et une petite bibliothèque. Son ordinateur, un portable occupe une bonne place sur la table de travail. Il s’agit d’une pièce sans fenêtre sauf une petite lucarne qui prend un peu de lumière dans notre escalier, couverte d’une voilette dans la pièce qui donne une fausse sécurité en matière d’intimité.
J’ai pris l’habitude d’observer mon mari dans ses activités dans son cabinet comme il l’appelle. Au début, je n’ai rien vu de spécial. Il était sur son ordinateur et prenait des notes sur un papier de temps en temps. Puis, j’ai remarqué qu’il restait le regard fixe sur son ordinateur comme s’il visionnait un film. Une autre fois, j’ai vu que les mains disparaissaient de sur la table et se plaçaient au niveau de son bas ventre. Quand j’ai vu que ses mains faisaient des va et vient sur ce qui ne pouvait être autre chose que sa bite, j’ai compris qu’il se branlait en regardant des films porno.
Prétextant qu’il serait plus facile pour moi de faire le ménage dans son cabinet, je me suis débrouillée pour avoir depuis ma petite fenêtre une vue sur l’écran de son ordinateur et sur lui dans ses exercices de branlette. Et c’est ainsi que je mate mon mari en train de se branler. Comme on est seuls dans notre maison, j’en profite pour faire de même, les cuisses largement ouvertes avec une de mes godes pour faire des va et vient dans ma chatte qui dégouline. Le plus souvent on arrive à l’orgasme en même temps, le fait de le voir décharger ses jets de sperme me faisant arriver plus vite à une jouissance complète se terminant par un bon jet de cyprine qui aboutit dans ma culotte. Je monte ensuite très vite à ma chambre pour me changer et je place ma culotte souillée de ma mouille dans le panier de linge devant passer à la machine. Généralement, je fais tourner une machine tous les deux jours et je n’avais pas l’habitude de passer en revue mes culottes devant être lavées jusqu’au jour où en en saisissant une, j’ai eu ma main toute mouillée. J’ai regardé le fond de ma culotte et à m’en pas douter c’était du sperme encore gluant, signe qu’il n’y avait très longtemps que Claudius avait vidé ses couilles sur mon slip.
Et de fait, le lendemain, toujours postée depuis mon observatoire, je le vois s’installer à sa table de travail et rapidement sortir de sa poche ma culotte de la veille où j’avais déversé une bonne rasade de ma mouille quand lui-même avait déchargé après visionné un film où une petite jeune se faisait prendre par le cul par un jeune étalon doté d’une bite monstrueuse. Le voilà avec mon slip dans sa main gauche tandis que de sa main droite il manipule sa bite qui n’est pas encore bandée. Il porte ma culotte à sas narines et je le vois humer le carré qui a recueilli ma mouille. Il sort sa langue et il lèche. Sa bite a grossi et il bande comme un âne. Il se masturbe en grands va et vient qui vont jusqu’à tirer complètement le frein en arrière et rendre son gland tout rouge et séparé en son milieu comme deux magnifiques petites fesses séparées par son méat où on devine déjà une goutte de sperme. C’est alors qu’il arrête sa masturbation pour allumer son ordinateur et se choisir un film porno. Moi, j’ai déjà ma main dans mon entrecuisse et mes doigts ont pris possession de l’antre de ma chatte et je suis en train de me donner du plaisir. De mon autre main, je me branle le clito, je l’ai fait sortir de son capuchon pour le sentir davantage pressentant que je vais jouir à fond en voyant mon mari décharger dans le fond de mon slip.
Je me suis laisser aller à une petite rêverie et quand je rouvre les yeux, sur l’ordinateur de mon mari une femme bien chair offre ses deux fesses à un homme qui lui lèche le trou du cul pendant qu’elle se malaxe les seins. Cette vue a l’air de faire de l’effet à Claudius qui accélère le rythme de ses va et vient alors que maintenant il a mon slip dans sa bouche et il suce carrément le tissus de mon entrecuisse. Soudain, il sort mon slip de sa bouche et l’ajuste devant sa bite. Je sens qu’il va décharger ses jets de sperme et que moi je vais me laisser aller à ma jouissance. Ça y est, les jets de jus blanchâtre sortent de sa bite pour aboutir sur le minuscule carré en tissus de mon slip. Moi, j’ai quatre doigts dans ma fente et je le les tire en arrière pour à la fois les faire rentrer à fond et en même temps exciter mon gros clito pendant que mon autre main tire sur mon sein gauche pour jouir davantage. J’ai tellement joui que Claudius a failli me surprendre dans l’escalier les cuisses grand ouvertes, encore hagarde de m’être masturbée jusqu’à un orgasme fulgurant. Heureusement qu’il lui a fallu quelques instants pour sortir de son cabinet et aller rapporter mon slip plein de son sperme dans le bac de linge. A peine était-il sorti de la salle de bain que j’y étais m’ayant aucune difficulté à retrouver le slip qu’il venait d’utiliser pour se branler. Je l’ai pris dans mes mains, son sperme était encore tiède et, chose sue je ne fais jamais quand il m’est arrivé de lui sucer la bite, j’ai léché tout le jus qui était sur mon slip me délectant de sa semence comme une grosse salope.
On a continué comme ça nos après-midi, moi faisant de mine de rien et lui toujours très absorbé par ses travaux dans son cabinet. Il lui était arrivé par le passé d’inviter parfois un ancien collègue de travail à venir partager ses travaux. A l’époque, je n’y avais pas prêté attention alors que maintenant, je me doutais un peu de la nature de leurs travaux, de se branler ensemble en fait en matant des films pornos. Et c’est là qu’il m’annonce que son copain Hans va venir chez nous quelques jours de suite parce qu’ils ont un travail à faire en commun. Hans est un peu plus jeune que mon mari, à mi chemin entre mon âge et celui de Claudius. Il est encore très alerte, sportif et n’a pratiquement pas de ventre alors que mon mari est un peu plus enrobé, la bière qu’il a l’habitude de boire ayant fait son œuvre. J’ai toujours remarqué que Hans me regardait toujours de manière très intéressée et deux ou trois j’avais essayé de l’allumer dans le passé mais il ne s’était jamais rien passé. Vers 14h, voilà Hans qui arrive chez nous. Mon mari va l’accueillir et ils partent s’enfermer dans le cabinet. Un petit quart d’heure après, je m’installe à mon poste d’observation et ils sont là tous les deux côte à côte comme deux étudiants.
Soudain, les choses s’animent et je vois que mon mari a allumé son ordinateur et que les images que j’arrive à distinguer n’ont rien à voir avec une quelconque étude. C’est un film de cul qui s’affiche et je distingue des bites, des chattes, des paires de seins et autres bouches qui sucent des bites. Cela m’échauffe les sens et une de mes mains va se plaquer sur ma chatte, un doigt commençant à faire des allées et venues sur les lèvres de ma chatte. Les images font le même effet sur nos deux deux compères et je les vois qui sortent presque en même temps leurs bites de leurs pantalons et commencent à se branler en matant les images. De sa poche, je vois Claudius sortir une de mes culottes, une rose, celle que j’avais la veille et dans laquelle j’avais particulièrement mouillé en le regardant se branler. Et voilà que mon mari la tend à Hans qui la renifle, qui en lèche le carré de l’entrejambe, qui la met autour de sa bite, fait quelques va et vient avec et la redonne à mon mari. A son tour, même scénario et les voilà qui se passent mon slip à tour de rôle. De mon côté, je n’en peux plus d’être excitée, la mouille me dégouline dans la raie du cul et ce sont mes quatre doigts de la main plus le pouce sur le clito décalotté qui ont remplacé mon doigt chaste du début de ma masturbation. Je jette à nouveau un œil vers le cabinet et ej vois mon mari et Hans, chacun leur bite en main en train de viser l’entrejambe de mon slip pour y déverser leur sperme. Ils se branlent frénétiquement et c’est mon mari qui déverse le premier son jus, quelques jets de son liquide épais blanchâtre, suivi de Hans qui jute de façon plus abondante d’un liquide plus clair et qui gicle davantage que celui de mon mari. La vue de ces bite qui lâchent leur semence me fait immédiatement jouir et je reste plusieurs secondes les quatre doigts plantés dans la chatte sans bouger pendant que mon autre main s’activait sur mon clito. L’orgasme est venu, énorme et ravageur au point de rester sans bouger pendant plusieurs secondes qui me parurent de longues minutes.
J’étais à peine dans ma chambre que j’entendais mon mari entrer à pas de loup dans notre salle de bains pour remettre mon slip rose plein de leurs spermes, à lui et à Hans dans le panier de linge. Dès qu’il fut sorti, je me précipitai dans la salle de bain pour prendre mon slip. Il sentait leurs bites et il était plein de leurs jus encore tiède. Je me mis à jouer avec ce paquet de sperme avec mon index, en goûtant quelques gouttes d’abord puis en en léchant goulûment la totalité en me mettant encore plusieurs doigts dans la chatte pour me redonner encore un petit coup de jouissance.
Le reste de la journée s’est passé de manière agréable avec mon mari. Nous étions très détendus l’un et l’autre après les jouissances respectives que nous avions eues. Il me dit que Hans devait venir encore le lendemain pour poursuivre leur travail. Je mis bien évidence ma culotte dans le bac à linge, une mauve, pleine de ma mouille particulièrement abondante aujourd’hui en me disant qu’elle leur serait bien utile demain lors de leurs ébats dans le cabinet.
Le lendemain, Hans arriva à la même heure que la veille et il partit avec mon mari s’enfermer dans le cabinet. Je jetai un bref coup d’œil dans le bac à linge et je constatai que mon slip mauve avait bien disparu. Je descendis à mon poste d’observation et le même manège que la veille démarra. J’attendis que tous les deux aient bien leur bite bien bandée, celle mon mari bandant légèrement moins que celle de Hans, plus longue et plus vigoureuse que la sienne, et je décidai d’entrer en tapant brièvement à la porte. Je les trouvai tous les deux bien embarrassés, Hans ayant cependant un regard d’envie dans les yeux en voyant ma jupe ultra courte (c’est ce que j’ai trouvé de plus pratique pour me branler depuis mon poste d’observation) et mon chemisier largement échancré et laissant voir ma grosse paire de seins sans soutien gorge et aux pointes déjà érigées. Ils avaient eu juste le temps de mettre en magazine pour cacher leurs bite et ils avaient bien du mal à le faire tenir en place.
Je m’approchai d’eux pour venir faire la bise à Hans et je fis exprès de faire un faux mouvement pour que le magazine tombe et il tomba. Je découvris ainsi, pratiquement sous mes yeux la bite de Hans qui avait eu à peine le temps de débander mais qui restait encore grosse et belle, le gland décalotté. En m’approchant, je vis que mon slip mauve était au sol, ayant été jetée parterre dans leur précipitation. Face à ce spectacle, je ne pus que leur dire « Eh bien ! On ne s’ennuie pas il me semble ! On se branle ! » et me tournant vers mon mari, j’ajoutai « Et avec ma culotte en plus ! ». Ils avaient l’air penauds, eux, les grands intellectuels de se faire att****r comme des gamins. Mais je m’empressai d’ajouter : « Mais, non, je rigole, je vais vous aider, si vous le voulez bien ! ». Ils furent rassurés et je vis que leurs bites firent deux ou trois mouvements de reprise comme pour acquiescer à ce que j’avais dit.
Je me mis à genoux et pris la bite de Hans dans ma bouche en commençant à la sucer et à l’aspirer. Mon mari eut l’air un peu surpris de me voir sucer, moi qui ne lui avait pas fait une pipe depuis si longtemps. Il se remis simplement à s’astiquer la tige avec sa main en me regardant avidement. Hans était aux anges et se laissait faire. Je pris le temps de relever la courte jupe, j’écartais ma culotte et je me tournais pour m’empaler sur la bite de Hans montant et descendant sur sa bite. Hans attrapa mes seins, les fis sortir de mon chemisier et commença à les malaxer. Mon mari changea de place pour avoir un meilleur spectacle de la bite de Hans s’enfonçant dans ma chatte dégoulitante de mouille. De ma main droite, je me touchais le clito, le faisant sortir de son capuchon pour des sensations plus fortes. Ayant abandonné mes seins, Hans s’intéressait à mon cul et je sentis qu’il cherchait à y introduire un doigt. Il le fit entrer avec une facilité qui le déconcerta sans doute car il s’empressa d’en faire entrer un autre puis un troisième. Il me ramona ainsi la rondelle pendant quelques minutes puis, le coquin, profitant que je m’étais dressée un peu trop haut, il orienta sa bite vers mon trou du cul et elle entra avec aisance, normal car pratiquant régulièrement la masturbation anale.
Claudius, mon mari, n’en revenait pas de découvrir que j’étais une parfaite salope, chaude du cul. Il continuait à se branler et je voyais qu’il n’étais pas loin de décharger. Je lui fis signe de venir et je pris dans ma bouche pour le faire éjaculer. Je ne mis pas longtemps à lui sucer la bite. Je l’aspirais, je fis quelques va et vient dans ma bouche et je récupérais ainsi son sperme, pas très abondant mais épais et crémeux. Je retrouvais ainsi le goût de son jus que j’avais goûté une première fois quand j’avais récupéré ma culotte dans laquelle il avait juté. Ce sperme chaud dans ma bouche que j’avalais avec plaisir me fis bouger du cul et me contracter que Hans déchargea aussi dans mon cul. Je pris tout son sperme tandis que j’étais submergée par mon orgasme qui me fis hurler mon plaisir comme je l’avais rarement fait auparavant. Je me relevai, du sperme s’écoulait de mon cul. Heureusement que je n’avais pas enlevé ma culotte car celle-ci en récupéra une bonne partie ce qui évita à Hans de l’avoir sur son pantalon.
« Bon, maintenant, je sais ce que vous faites ! Je viendrai de temps en temps vous rendre visite ! ». Je me gardai bien de leur dire que je continuerai mon manège de les épier à travers la petite fenêtre de l’escalier, la masturbation à laquelle je m’étais habituée me donnant un plaisir exquis et sans cesse renouvelé.
Cette histoire est librement traduite et adaptée d’un récit en allemand lu sur le site
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