Je me présente, j’ai 46 ans, je m’appel Max, je suis en couple depuis 25 ans à Laurence, une très belle femme, blonde, 1,70m, avec des formes bien placées et un très beau visage. Nous sommes mariées depuis 25 ans et la routine s’étant installée peu à peu dans notre couple nous avons commencé a intégrer des jouets pendant nos ébats: nous avons essayé des godes de toutes les tailles, toutes les formes et toutes les couleurs. Mais les préférés de mon épouse restaient quand même les plus réalistes et les plus épais (5 à 6 cm). Elle adore quand je la gode et que je me branle devant elle en même temps et je dois bien avouer que moi aussi, voir ces queues entrer et sortir de sa chatte m’excitent au plus haut point. A plusieurs reprises elle m’a dit:
– Si seulement tu avais deux queues, j’adorerais que tu me les mettent en même temps !
L’idée me plaisait et m’excitait
– Tu me propose un plan à trois?
– Oh non, je n’oserais jamais! j’aimerais juste que tu aies 2 queues
– Dommage, moi ça m’excite !
Un jour, alors que nous étions couchés elle se retournât sur le ventre et me dit:
– Dites moi Monsieur, je suis à la recherche d’un bon masseur, sauriez-vous ou je peux en trouver un?
– Mais oui madame, je m’appel Edouardo et je suis a votre service
Depuis ce jour nous avons souvent joué à ce jeu: Edouardo la massait et finissait toujours par la sauter, je lui disais que son mari était dans la salle d’attente à coté, elle répondait que ce n’était pas grave, que cela l’excitait de la savoir a côté et que si son mari nous surprenait il se joindrait à nous !
Puis un jour elle dit à Edouardo:
– Vous savez, si vous avez un collègue qui veut se joindre a nous je ne suis pas contre !
– Madame a envie d’un trio?
– Je dois dire que deux queues pour moi ne me déplairaient pas !
Ces paroles m’excitèrent tellement que je jouis sur le champ.
– J’espère que votre ami sera plus résistant que vous ! me lançât elle. Et je ne veux m’occuper de rien
– Ok il faudra donc me faire confiance et suivre ce que je dis à la lettre, sans dicuter !
– D’accord, je ne poserai pas de question
Quelques jours plus tard, un jeudi soir, je lui demandais de passer les vêtements que j’avais préparé: une robe portefeuille noire qui lui arrivait à mi cuisses et des bas. Elle prit la robe et me dit:
– Et mes sous vêtements?
– Enfile la robe, tu n’as pas besoin de sous vêtement ! et tu te souviens de notre accord: pas de question
Elle acquiesçât et enfila les bas et la robe, elle était super sexy, savoir qu’elle ne portait rien dessous m’excitait mais ce qui m’excitait c’était de l’imaginer se faire prendre par deux hommes. Nous sommes montés dans la voiture et avant de démarrer je l’ai embrassé, j’ai glissé ma main dans son décolleté et j’ai caressé ses seins, titillé ses tétons qui pointaient puis j’ai placé ma main entre ses cuisses et j’ai commencé à la masturber, la réaction ne se fit pas attendre, elle mouillait en quelques instants. Je pris une boule de geisha que j’ai introduite dans son vagin, puis j’ai joué avec la télécommande plusieurs minutes, elle se tortillait sur son siège me demandant d’arrêter car elle allait jouir. Pendant le trajet j’ai maintenu son excitation avec des vibrations plus ou moins intenses, elle avait les jambes écartées, les ses pieds posés sur le tableau de bord et se caressait en même temps. Une fois la destination atteinte elle me dit :
– Ou sommes-nous ?
– Dans un club, retire les boules maintenant tu n’en as plus besoin !
Elle s’exécuta sans rien dire, je la saisis par la main et nous nous sommes dirigés vers l’entrée, une fois à l’intérieur nous nous sommes installé sur un tabouret au bar. Il était encore tôt (20h00) et le club était pratiquement vide, il y avait un couple sur une banquette et un type derrière moi au bar qui prenait une coupe de Champagne, je remarquais qu’il dévorait Laurence des yeux. Nous avons pris un verre puis après que nous nous soyons familiarisés avec les lieux, Laurence me dit:
– Le type derrière toi ne me quitte pas des yeux, ça me gène un peu
Pour toute réponse je posais mes mains sur ses genoux, je lui ai lentement écarté les jambes, sa robe portefeuille s’ouvrit pratiquement jusqu’en haut, il faisait un peu sombre et je distinguais presque son minou épilé.
– Ecarte plus, je ne vois pas ta chatte. Lui dis je.
– Le type nous regarde, il voit tout !
– Justement, on va lui offrir un beau spectacle, je suis sur qu’il bande et qu’il a très envie de te baiser !
– Tu crois ? Oh non, je ne peux pas faire ça !
– Mais si, laisse toi faire
J’appuyais un peu plus fort sur ses genoux, elle eut un moment d’hésitation me regardant fixement puis finalement elle écarta largement les cuisses, sa robe s’est ouverte jusqu’à sa ceinture, je pouvais voir luire son vagin. Le type derrière moi ne ratait rien du spectacle.
Pour lui dégager un peu plus la vue, je me suis levé et je suis passé derrière elle, je la caressais partout, des chevilles à la nuque, l’intérieur de ses cuisses… Le type comprit mon invitation et changeât de place, il vint s’installer sur mon tabouret, ses genoux butaient contre ceux de ma femme, il posât ses mains sur ses cuisses et commençât à la caresser. De mon côté je libérais ses seins de sa robe, ses tétons pointaient en direction du type, il ouvrit sa braguette et sortit l’artillerie lourde, il avait un beau sexe d’environ 20 cm, il commençât a se caresser en faisant glisser ses doigts lentement sur toute la longueur de sa queue, puis la saisit à pleine main et commençât a se masturber. Laurence a toujours été excitée par la vision d’un homme en train de se masturber je savais que cela l’excitait, elle ne lâchait pas sa queue des yeux elle semblait hypnotisée, je saisis sa main et la posât entre ses cuisses, je lui demandais de se masturber ce qu’elle fit sans hésiter. Je l’embrassais dans le cou, lui suçait les lobes des oreilles, je sentais sa chaleur et l’excitation montée.
Elle passait sa langue sur ses lèvres, se les mordait, les suçait.
Je la connaissais bien, je savais qu’elle était sensible aux paroles et je lui dis:
– Sa queue te plait? je crois qu’il a très envie de te baiser
– hummm oui, j’ai tellement hâte de la sentir au fond de ma chatte !
Sur ces paroles, le type est descendu de son tabouret, sa queue pointait à quelques centimètres de la chatte humide de ma femme. Il s’approchât et vint frotter son gros gland entre ses lèvres tout en se masturbant.
Laurence prit l’initiative, elle saisit sa queue entre ses doigts et la guidât dans sa chatte, le type s’enfonçât comme dans du beurre, les jambes de Laurence s’enroulèrent autour de sa taille le serrant fort pour qu’il la baise bien à fond. Je restais derrière elle, lui malaxant les seins pendant qu’il la labourait comme une bête.
– Alors, elle est bonne ma femme ?
– Oh oui, un délice, sa chatte est serrée, chaude et humide comme je les aime. J’ai tout de suite eu envie de la baiser. Maintenant je vais lui remplir la chatte salope.
– Oh oui, je suis une grosse salope, je me fais sauter sur un tabouret par un inconnu ! Ooooooh, oui, baise moi bien, mets moi du sperme plein la chatte
– Oui, tu vas recevoir salope, ça fait quatre mois que je ne me suis pas vidé les couilles, tu vas recevoir !
Elle glissa une main entre ses cuisses et lui malaxât les couilles
– Oh oui, elles sont bien pleines ! vas-y envois la sauce !
Le type accélérât le mouvement puis s’est tendu, s’enfonçant tout au fond de la chatte de ma femme, il était secoué par des soubresauts. Laurence lui demandait de la baiser plus fort.
– Elle est bonne ma chatte hein ?! Hummm, encore, encore, ne t’arrête pas, lime moi bien profond
– Haaaarggg! Oh la salope ! Hummm qu’elle est bonne, continues de remuer ton cul, fais moi cracher jusqu’à la dernière goutte
Après avoir repris ses esprits il me dit:
– elle est vraiment bonne ta femme, c’est un vide couilles de luxe !
Le type s’est retiré, j’ai sorti ma queue et j’ai aussitôt pris sa place, sa chatte était chaude humide et gluante, elle dégoulinait de sperme. Je l’ai baisé à nouveau sur le tabouret, la semence du type coulait sur les fesses de ma femme et sur mes couilles, sa chatte était remplie. Je me suis retiré et introduit deux doigts dans son minou pour recueillir son foutre, j’ai ensuite déposé mes doigts sur ses lèvres, elle ouvrit la bouche, aspirât mes doigts et les nettoyants avec sa langue, je renouvelais l’opération deux fois. Du sperme dégoulinait sur ses joues et ses lèvres étaient luisantes et visqueuses. Soudain Laurence me saisit la tête et m’embrassât goulûment à pleine bouche, elle glissât sa langue dans ma bouche et me donnât tout le sperme qu’elle avait. Elle se dégageât et me regardât en souriant puis elle à rouvert la bouche en grand et tirât sa langue, je lui recrachais dans la bouche, elle avalât le tout en se léchant les lèvres.
Ce petit nous a tellement excité que nous avons joui en même temps, je lui remplit a nouveau la chatte.
– Dis donc tu t’es lâchée, tu as vraiment été Salope ce soir, lui dis je
– Ça t’a déplu ?
– Ho non j’ai adoré du début à la fin ! et toi?
– Moi aussi, je ne pensais pas pouvoir me faire baiser et jouir comme ça avec un autre homme, tu as eu une super idée et on remet ça quand tu veux!
– Et pourquoi pas tout de suite ? dit une voix derrière moi
C’était le type, il se tenait derrière moi, sa queue avait repris une belle forme, il prit Laurence par la main, la plaçât debout contre le bar, il versa du champagne au creux de ses reins, elle se cambrât, le liquide coulait dans la raie de ses fesses jusque sur son minou, il se mit a genoux et bu le précieux liquide, Laurence écartât un peu plus les jambes. De mon côté, je pris un peu de recul afin d’admirer le spectacle. Le type s’est relevé et la prise debout contre le bar, les deux mains sur le comptoir, il la besognait si fort que ses mains glissaient sur le zinc. Le barman qui était resté en retrait jusqu’à présent vint à la rescousse et posât ses mains sur les poignets de Laurence la maintenant en place. Le type lui labourait la chatte sans ménagement et elle adorait, elle grimaçait et gémissait de plaisir. Le barman s’est approché d’elle et lui parlât à l’oreille, de ma place c’était inaudible, j’ai juste vu que ma femme disait « oui », il s’est redressé et à introduit sa langue dans sa bouche, elle lui aspirait la langue, lui mordillait, lui suçait. Le barman a fait le tour du bar et a pris Laurence par la main, ils ont tous les trois traversés la pièce et se sont dirigés dans un couloir sombre, je les suivais à distance. Je m’aperçus qu’ils s’étaient arrêté dans le couloir, Laurence était accroupi, une queue dans chaque main les suçant en alternance ! Ils sont resté ainsi quelques minutes puis le barman l’a emmené dans une petite pièce au fond du couloir, un lit était au centre avec au pied du lit un petit canapé et deux fauteuils dans les coins. Une petite fenêtre était aménagée, je pouvais ainsi suivre leurs ébats sans interférer.
Le Barman demandât à Laurence de se mettre a quatre pattes sur le canapé, elle s’exécutât, lui tendant son cul comme une chienne en chaleur, il ne se fit pas prier, il enfonçât sa bite au fond de son minou brûlant. Le premier type ne restait pas sans rien faire, il se plaçât devant elle, lui tendant sa queue qu’elle avalât goulûment. Je bandais déjà depuis un petit moment mais je me rendis compte que j’étais en train de me branler comme un jeune puceau.
Afin de mieux voir, je rentrais dans la pièce, Laurence me vit et lâchât la bite qu’elle avait dans la bouche et me dit:
– Hummm, chérie, installe toi dans un fauteuil et regarde bien je me fais sauter par deux mecs en même temps ! C’est bien ce que tu voulais, non? J’adore, merci!!!!
Le barman s’est retiré et a posé sa queue sur sa petite rondelle s’enfonçant lentement.
– Oh, oui!!! Manu, regarde il m’encule !!! Mffffff, ouiiiiii, encore, encore!!!!
Les types l’ont baisé a tour de rôle et par tous les trous pendant une vingtaine de minutes, puis se sont placés debout devant elle en se branlant, telle une actrice de films porno, Laurence a ouvert la bouche et passait sa langue sur leur gland. Le barman a déchargé en premier suivi du type quelques secondes après. Elle avait le visage maculé de sperme, ça lui coulait sur le menton, les seins, les cuisses, elle les suçât jusqu’à ce que leurs queues soient complètement ramollies. Les deux types l’embrassèrent à tour de rôle et s’éclipsèrent.
Laurence me rejoint sur mon fauteuil, elle prit ma queue entre ses doigts et me dit:
– Attends je vais te faire passer ça
Elle me branlât et me suçât, il ne fallut que quelques secondes pour que je jouisse au fond de sa gorge.
Nous sommes rentrée après une bonne douche, satisfait de notre soirée et prêt a recommencer
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