Trois limousines noires Mercedes comptant chacune un chauffeur et deux membres de la Gestapo font irrruption devant l’entrée du château.
Les 9 membres des sis se dirigent d’un pas rapide vers la porte.
Le Capitaine ordonne :
« Ouvrez! »
Lentement le majordome ouvre la porte.
« Le Baron Lenoir. »
« Je dois annoncer qui? »
« Vous n’annoncez personne : vous m’indiquez où se trouve le Baron. »
« Dans son bureau au second étage. »
« Il est seul? »
« Non, monsieur l’officier, il est avec sa nièce. »
« Montez, nous vous suivons. »
Les 10 hommes se précipitent dans l’escalier alors que le majordome les précède et les dirige vers le bureau du Baron.
« Baron Lenoir, nous sommes de la Gestapo et nous vous ordonnons d’ouvrir la porte immédiatement ou nous défonçons. »
« La porte n’est pas barrée. »
L’officier ouvre la porte et il aperçoit le Baron assis derrière un bureau et une jeune femme qui se relève d’a coté du lui.
La jeune femme essuie sa bouche du revers de sa main tandis que le Baron remonte en toute vitesse le fermoir éclair de la braguette de son pantalon. Le tout ne passe pas inaperçu aux yeux de l’officier et des soldats qui l’accompagnent.
Le rapide mouvement du revers de la main de la jeune femme n’est pas suffisant pour effacer toutes les traces de sperme; des gouttes de sperme sont toujours visibles aux commissures de sa bouche.
De plus, des traces de sperme sont également visibles sur la braguette du pantalon du Baron.
« Vous deux, vous n’en avez pas finis avec nous. »
« Capitaine, je vous en prie. »
« Qui est cette jeune femme? »
« C’est ma nièce, elle s’appelle Sonia. Quelques fois par semaine, Sonia passe au château en revenant de son collège. »
La jeune femme est vêtue d’un petite jupe à carreaux, d’un chemisier blanc, des bas blancs et des petites chaussures à talons plats.
« Quand elle vient vous voir, elle se tient toujours à genoux à vos cotés? »
« Non, elle ramassait un objet que j’avais échappé. »
« Quel âge à votre nièce? »
« Elle vient d’avoir 18 ans. »
« Baron vous les aimez jeunes? »
« Je vous en prie, Capitaine, ne soyez pas vulgaire. »
« C’est vous Baron qui êtes vulgaire en vous faisant prendre sur le fait d’une fellation complète que vous a faite votre nièce. »
« Vous pouvez oublié ce que vous venez de voir? »
« Absolument pas: votre nièce va devoir s’exécuter sur un de mes soldats tandis que, vous Baron, je me réserve votre cul. »
« Je vous en supplie, Capitaine, je suis prêt à vous satisfaire mais épargnez ma nièce adorée. »
« Je regrette pour vous que vous soyez si tentante chère demoiselle. »
« Pourquoi vous me dites cela Capitaine? »
« Parce que votre oncle et vous, avant d’être en état d’arrestation, vous devrez compléter avec un de mes soldats, ce que vous étiez en train de faire à votre oncle. »
«
« Mon oncle, que va-t-il m’arriver? »
« Ne résistes pas ma chérie, sinon ça va être pire. »
« De toutes façons, après l’acte de terroriste dont vous êtes soupçonné d’avoir commis, il ne peut vous arrivez rien de moins pire que la torture et la mort. Monsieur le Baron, vous êtes soupçonné d’avoir participé au déraillement d’un de nos convois ferroviaires causant la mort de 200 de nos soldats d’élite et de leurs officiers. »
« C’es absolument faux Capitaine, je n’ai absolument rien à voir avec cet attentat. »
« Pour chaque allemand tué par la Résistance dont je suis persuadé que vous faites partie, nous tuerons 2 français : donc 400 français vont devoir mourir pour l’attentat que vous et vos proches ont commis. »
« Je vous demande grâce sinon pour moi, du moins pour ma nièce. »
« Il n’en est pas question : Monsieur le Baron, je vous ordonne de bien vouloir venir vous mettre devant votre bureau. »
Le Baron acquiesce à l’ordre du Capitaine.
« Jeune fille, je vous ordonne de vous mettre à genoux à coté de votre oncle. »
La jeune fille de 18 ans obéit à l’ordre. »
« Baron, je vous ordonne de baisser votre pantalon. »
« Devant ma nièce? »
« Oui, devant votre nièce et j’ai l’impression que ce ne sera pas la première fois qu’elle va vous voir nu. »
Le Baron détache la ceinture de son pantalon, il baisse le fermoir éclair de sa braguette et laisse choir son pantalon par terre.
« Retirez le pantalon de vos pieds. »
N’étant pas capable de retirer ses pieds de son pantalon, le Baron se penche et retire ses souliers de ses pieds.
Il se redresse et sort ses pieds de son pantalon.
« Baron, retirez votre caleçon. »
« Je vous en prie, pas devant ma nièce? »
« Oui, devant votre nièce. »
Le Baron baisse son caleçon jusqu’à ses genoux.
« Enlevez votre caleçon. »
Le Baron le laisse choir par terre et dégage ses pieds.
Bien malgré lui, son pénis commence à bander.
La nièce regarde le pénis de son oncle.
« Il est beau,, mon oncle! »
« C’est de voir votre nièce à vos côtés qui vous fait bander? »
« Non, c’est de savoir que je vais me faire enculer par vous qui me fait bander. »
« Jeune fille, placez-vous en face de votre oncle tout en demeurant à genoux? »
La nièce prend la position demandée et elle se retrouve avec le pénis bandé de son oncle à la hauteur de sa bouche.
« Baron, écartez vos jambes. »
Le Baron obéit..
« Jeune fille, ouvrez la bouche. »
Sonia ouvre la bouche.
« Baron, faites pénétrer votre pénis dans la bouche de votre nièce. »
« Chérie, acceptes que je fasse pénétrer mon pénis au complet dans ta bouche. »
« Mon oncle, ma bouche est grande ouverte pour recevoir votre pénis. »
Le Baron fait entrer lentement son pénis dans la bouche de sa nièce.
« Lèche et suce le pénis de ton oncle : je te permet de lui faire une dernière fellation pendant que je vais l’enculer. Ça va être la dernière fois que ton oncle va pouvoir jouir en éjaculant : à la kommandantur, il va être castré. Maintenant Baron, penchez vous par en avant et écartez encore plus vos jambes.»
Le Baron se penche par en avant et écarte ses jambes tant qu’il peut.
« Tout en continuant à sucer votre oncle, écartez ses fesses avec vos mains. »
La nièce passe ses bras autour du bassin de son oncle et lui écarte les fesses .
Le Capitaine baisse le fermoir éclair de son pantalon, extirpe son pénis en pleine érection de son caleçon et dirige le bout de son pénis contre le sphincter du Baron. Il lubrifie le gland de son pénis avec sa salive.
« Écarte ses fesses encore un peu plus. »
Sonia prend un malin plaisir à écarter encore un peu plus les fesses de son oncle.
Le gland du pénis se pose contre le sphincter du cul du Baron et la Capitaine pousse son pénis de sorte que les muscles du sphincter se relâchent et que son membre franchisse lentement cette barrière naturelle du cul du Baron.
« Chérie suce moi comme il faut car le pénis qui vas pénétrer dans mon cul va me fait atrocement mal. Oui, chérie, comme ça, tu me fais du bien. »
Le gland est maintenant entré dans les entrailles du Baron.
Le Capitaine pousse de plus en plus fort et son pénis pénètre de plus en plus profondément dans les entrailles de l’enculé.
« Chérie, essaie de me faire venir, ça me fait atrocement mal. »
Le Capitaine procède par de lents mouvements de va et vient dans les entrailles du Baron puis à un moment donné, d’un violent coup de rein, il se propulse au plus profond des entrailles du Baron qui ne peut retenir un cri de douleur.
« Noooonnnnnnnnnnnnnnn! »
Au même moment,sous l’effet combiné de la fellation de sa nièce et du violent coup de butoir qui atteint sa prostate, un jet de sperme est propulsé au fond de la gorge de sa nièce.
La jeune femme conserve le sperme de son oncle dans sa bouche.
Le Baron s’effondre sur son bureau pendant que le pénis du Capitaine lui travaille toujours les entrailles.
« Je n’en peux plus Capitaine, de grâce libérez mes entrailles. »
Comme seule réponse le Capitaine feint de sortir son pénis des entrailles du Baron et au moment où ce dernier pense que sa sodomie tire à sa fin, le Capitaine se propulse violemment à nouveau dans le fond de ses entrailles avec toute la force qu’il peut déployer.
«Nooooooooonnnnnnnnnnnnn! »
À nouveau, le Capitaine se retire presque au complet des entrailles du Baron puis de toutes ses forces replongent avec encore plus de force dans les entrailles du supplicié.
« Je vais perd………………………….. »
Le Baron perd connaissance et sous la v******e du coup de butoir du Capitaine, sa vessie se vide dans la bouche de sa nièce.
Elle veut esquisser un mouvement de recul mais pas assez vite; l’urine de son oncle se mêle dans sa bouche à son sperme.
Sonia fait un mouvement de recul et se dégage du pénis de son oncle qui dégouline toujours de son sperme et de son urine.
Sonia vient pour cracher le tout mais le Capitaine lu dit :
« Je vous ordonne de tout avaler. »
La nièce avale le sperme et l’urine de son oncle.
« Tu demeures à genoux. »
Le Capitaine se retire en partie des entrailles du Baron inanimé et il replonge à nouveau de toutes ses forces dans les entrailles du Baron inconscient.
Il éjacule et il s’affaisse sur le corps inanimé du Baron.
Sonia se tient toujours à coté du Capitaine.
Ce dernier retire son pénis souillé des entrailles du Baron et se tourne vers sa nièce.
« Nettoie mon pénis avec ta bouche. »
« Je ne suis absolument pas capable de nettoyer votre pénis qui est souillé des excréments de mon oncle. »
« Soldat, maîtrisez cette jeune femme et bouchez lui le nez pour qu’elle soit obligé de respirer par la bouche. »
Un soldat ramène les bras de la jeune femme derrière son dos, il lui passe les menottes et avec deux doigts de sa main droite, il presse le nez de la jeune femme.
Cette dernière n’a d’autre choix que d’ouvrir sa bouche pour respirer et le Capitaine fait pénétrer son pénis souillé des excréments du Baron au fond de sa bouche et le ramène en le faisant passer sur la langue de la jeune femme à plusieurs reprises jusqu’à ce que son pénis sorte de sa bouche complètement propre.
« Maintenant, laissez-la respirer par le nez mais maintenez lui la bouche fermée pour qu’elle n’ait pas le choix que de tout avaler. »
La jeune femme n’a pas d’autre choix que d’avaler le sperme du Capitaine et les excréments de son oncle.
« Maintenant, vous réanimez le Baron : permettez à sa nièce de l’aider à se rhabiller puis vous les amenez sous bonne escorte à la Kommandanture de Limoges. »
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