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première sortie publique sans culotte

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Voici le récit de ma première journée publique sans culotte.

J’ai rencontré, disons un guide, Pascal, sur un site spécialisé où j’avais publier une annonce afin de rechercher des idées sur des pratiques très peu avouables.
Mon guide, d’expérience, m’a questionné sur ce que j’aime ou j’aimerais. Je ne dirais rien ici, le sujet n’est pas cet écrit, mais je je continue à écrire, et vous à me lire, vous le devinerez.

Après nos échanges, il me propose une liste d’actions à réaliser.
Je suis coquine, pas très obéissante et aime griller les étapes. Il m’impose donc de mettre une robe sage dont la longueur arrive au dessus du genoux. Je ne devrais pas me laver la chatte le matin puis j’irais en terrasse dans un bar. Je commanderais un café; lirait un peu puis je devrais allez aux toilettes; y ôter ma jupe, m’adosser contre le carrelage et me masturber.
Dans les grandes lignes, j’ai tenu mes engagements mais des impondérables sont survenus.
Il sait que rien qu’à l’idée qu’il me soumet, je mouille déjà comme une cochonne (c’est comme cela qu’il m’appelle lorsque je ne me tiens plus et j’aime cela).

Je n’ai pas bien dormi comme à chaque fois qu’il me dirige me propose un jeu.
Dès le réveil, je me connecte sur le site web xhamster. Je regarde des vidéos et je marque en favoris celles qui m’ont émoustillées.
Je relève rapidement ma boite et un mail de Pascal est arrivé. Il m’a vu sur xhamster et alors qu’il me savait encore au lit. Bien sûr il me rabroue, je suis une cochonne, etc

Je vais prendre mon petit déjeuner avec mes parents. Je suis un peu nerveuse mais ils ne remarquent pas mon état. Puis il partent travailler alors que je n’ai pas fini.
Je vérifie mon smartphone, un nouveau message de Pascal qui me donne des précisions sur ce que je dois faire.
Depuis que je l’écoute, j’ai découvert des plaisirs, non pas nouveaux mais plus intenses, je suis disposée à m’exécuter. A chaque fois cela a été délicieux. J’ôte ma nuisette et me retrouve nue, je place les pinces sur mes tétons et mes grandes lèvres. Puis je vais me laver, sauf la chatte. J’ai déjà choisie la jupe depuis la veille.
Il me demande aussi de « rafraichir » ma chatte; il faut comprendre de la rendre encore un peu plus imprésentable.
J’ôtes mes pinces puis je passe un coup de rasoir sur ma toison dans les trous existants.

Mais Pascal veux que j’en fasse plus. Je mets la jupe puis je m’assoit sur une chaise devant la glace pour voir ce que cela donne. Je prends mes repère pour voir la morceau de toison à sacrifier. C’est le mot de vénus qui va passer au rasoir, j’en rend lisse le tiers central. Je remet ma jupe et vérifie dans la glace; un rectangle blanc se devine; c’est horrible, j’ai honte.

Je lui demande si je peu pomper mon clito. après quelques minutes d’attente, je reçois son accord, mais un peu seulement. je m’exécute puis je m’enduit ma vulve d’huile de passage . Ce n’était obligatoire et il ne se prive pas de me le rappeler.

Je quitte la maison pour allez prendre le bus; j’ai bien pris soin de ne pas prendre ma ligne habituelle.
Le bus est plutôt vide Je n’ai pas compté les personnes mais Il y a deux vielles dames dans le carré de 4 et dans le sens de la marche un jeune retraité qui lui est dans le sens opposé.

Je vais m’assoir sur le siège près de la porte arrière dans le sens de la marche.
J’envoie un mail à Pascal pour le prévenir et je lui décris ma situation. Je focalise sur l’homme: il ne peut normalement pas voir mon entre jambe, ma gène certainement.
Je croise les jambes.
Pascal me demande de me concentrer sur mon entrejambes et non sur les passagers; j’ai du mal.
Le retraité descend et une jeune femme monte et s’assoit presque à coté où le retraité était assis. D’où elle est, mon entre-jambe doit être visible. Pascal me rassure, j’en ai besoin.
Nous arrivons en centre ville. Je laisse tout le monde descendre en je passe la dernière.

Il m’avait demandé de me promener et de faire les boutiques. Je m’oriente vers le magasin de lingerie que j’aime, j’y trouve un modèle de string en dentelle ajourée. Je ne l’achète pas même s’il me fait envie.
Je ressors et je vais m’assoir sur un banc le long du parc de l’hôtel de ville. Il m’a soufflé l’idée d’appeler une amie pour m’accompagner. Elle n’est pas disponible avant une heure et quart. je n’avais pas prévu cela et c’est l’heure de déjeuner. Mon choix se reporte sur un petit fast-foot où ils font des burgers gastronomiques. Je commande seulement un wrap et une eau pétillante.

Je monte à l’étage, une mezzanine en fait, pour aller m’assoir. l’escalier est ajouré et je me place pour que les personnes qui monterons voient mes jambes sous la table.
J’ai le temps de déguster tranquillement mon repas, toujours personne en haut. Dès que j’ai fini, j’en profite pour soulever ma jupe et regarder ma chatte.
La voir et la sentir m’excite au plus haut point. Elle sent fort car Pascal m’a interdit de la laver, cela fait maintenant pas loin de 30 heures que je l’ai lavée pour la dernière fois.
Je replace ma jupe comme une gentille jeune fille. Des personnes montent et je dois encore attendre 30 minutes pour le rendrez-vous avec mon amie, j’en profite pour croiser et décroiser les jambes plusieurs fois. Je suis tellement excitée que je demande à Pascal si j’ai le droit d’aller aux toilettes pour me libérer. J’espère sincèrement qu’il va dire oui.
j’attends avec impatience sa réponse : Négatif, ce n’est pas un bar. J’ai le droit d’aller aux toilettes juste pour faire un pipi. J’y vais et je quitte le restaurant.

J’ai alors 10 minutes de marche par la grande avenue qui mène au front de mer et il y a un peu de vent. En ville c’est amoindri mais sur la plage? Et si un rafale relevais ma jupe, panique.

Je retrouve mon amie nous marchons un peu et allons nous assoir sur les galets. Pas question pour moi de me mettre en tailleur. Ce sera assise les deux jambes assez serrées.
Des personnes passes plus bas. j’ai l’impression que l’on voit toute mon intimité. Avec le temps qui passe j’ai de plus en plus mal aux fesses sur ces maudits galets. Nous sommes cotes à cotes, je dois changer de position, et je me mets en tailleur et je fais retomber ma jupe devant. Plusieurs personnes passent et j’ai toujours l’impression que l’on voit ma chatte.
Une personne passe 4 fois puis vient nous saluer poliment. J’ai l’impression qu’il ne regarde que mon entrejambe, je suis très gênée. Il repart, mon amie le connait et finissait sa balade avant de rentrer. Ouf, fausse alerte.

Nous allons enfin aller boire un café au bar. J’ai tellement envie de ce café, une terrible envie… Cela fait maintenant 4 heures que j’ai quitté la maison.

Nous nous installons en terrasse. C’est moi qui ai choisi car si ce n’était pas une terrasse je n’aurai peut être pas eu le droit d’aller aux toilettes.
Nous commandons un café puis finissons notre conversation. Je la préviens que je dois allez aux toilettes, elle me dit qu’elle aussi et je lui laisse le tour.
Je préviens Pascal que je vais aller aux toilettes puis j’y vais à mon tour. Ce n’est pas l’envie d’uriner qui me pousse. J’ôte ma jupe et me place cul nul sur le mur froid. Je consulte mes messages pascal m’a répondu. Je n’aurais pas le droit de me laver les mains après.
Je commence à me caresser puis j’étire mes grandes lèvres et je frottes mes mains sur ma vulve trempée. Je succombe à un orgasme en mois de 3 minutes. Je ne sais pas si j’ai fait du bruit mais c’est mouillé par terre et sur mes chaussures. Je suis libérée de cette tension accumulée depuis hier.

J’envoie un mail à Pascal et je lui dis que j’avais deux pinces dans mon sac comme il me l’avait demandé plusieurs jours avant.
Je nettoie rapidement le sol, je remets ma jupe. Pascal a déjà répondu. Je dois mettre les pinces sur mes lèvres et me précise qu’il ne m’a jamais dit cela et que mon inconscient me joue des tours. Je relirais à la maison mes mails pour vérifier.
Je rejoins mon amie, nous réglons le café et nous séparons.

Je retourne vers le centre, passe par le magasin de lingerie et achète le string qui me faisait envie ce matin puis je reprends le bus, debout cette fois car les pinces pourraient me blesser.
De retour à la maison. j’enlève la jupe pour voir si je ne l’ai pas tachée, ça va. Je n’ai pas le droit de me laver la chatte, seulement les mains.
Je vérifie mes mails, aucun message à propos de pinces, je suis folle.

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  • Agée de 73 ans, il y a des décennies que je vis SANS culottes (SANS soutien gorge) On est vraiment à l’aise.