Certificat médical
Cycliste amateur chevronné, je fais partie d’un club local. Chaque année, je dois fournir un certificat médical pour renouveler ma licence.
Je prends donc rendez-vous chez le médecin qui soigne toute la famille. C’est un qui me connait depuis que je suis né. Le rendez-vous est fixé à 19 heures la semaine suivante.
Je sais que cela ne sera qu’une formalité.
Bien propre comme à chaque fois que je vais chez le médecin, je sonne et entre dans la salle d’attente qui à ma surprise était déserte. A peine le temps de prendre un magazine, que la porte du cabinet s’ouvre. Je vois un homme d’une trentaine d’années, cheveux brun frisé, petite chemisette ouverte sur son début de torse, jean délavé, bien ajusté.
En me serrant la main il me dit qu’il était le remplaçant du docteur. Il s’assoit derrière son bureau en face de moi pour me poser la question de savoir ce pourquoi j’étais venu. Je lui expliquais qu’il me fallait un certificat médical pour renouveler ma licence de cycliste.
Il lit mon dossier à voix haute pour que je confirme les informations.
– vous êtes né le 1er mai 1997, vous pesez 65 kilos, mesurez 1,78 m.
Après avoir confirmé toutes les informations, il me dit de me mettre en sous-vêtement pour vérifier si cela n’a pas bougé.
Je me retrouve en caleçon fac à ce jeune médecin. Je me positionne sous la toise. J’ai toujours la même taille. Ensuite, il me demande de monter sur la balance. Là j’ai pris 2 kilos.
Il me dit de m’installer sur la table d’auscultation. Je reste assis. Il ausculte le cœur, les poumons, les réflexes aux genoux et aux coudes. Il me dit de m’allonger.
Il manipule mes pieds, masse mes chevilles, mes mollets, mes cuisses rasés de près, car il faut dire que je suis très poilu, qu’en vélo il est conseiller de se raser les jambes. A chaque fois que je me fais masser au club, il faut que je me maitrise tellement je suis réceptif à ce genre de contact. Je sentais mon sexe gonfler dans l’espace que lui laissait mon caleçon de tissu. . Je ne voulais pas que cela se voit, alors je me contenais quand même en laissant mes bras pendent de chaque côté de la table.
Une fois cette partie de l’examen terminé, il me palpe l’abdomen. Il me précise qu’il doit tout examiner, qu’il doit baisser mon caleçon. Je soulève mon bassin pour lui faciliter la tâche. Il le fait glisser jusqu’à mi-cuisses. Il pouvait voir que ma verge était un peu dressée. Il n’en fit rien remarquer, mais quand même :
– heureusement que vous vous rasez les jambes, vous êtes sacrément poilu.
Il est vrai que mon pubis, mes boules et ma raie sont bigrement poilus.
Il s’était collé à la table pour procéder à son auscultation, si bien que ma main pouvait le toucher. Il devait bien s’en rendre compte lorsque ma main frôlait sa braguette. Je ne bronchais pas. Il se pencha pour tâter le côté opposé, si bien que ma main reposait entièrement sur son entre jambe. Je sentais une belle bosse. Il savait bien que ma main touchait sa braguette. Je trouvais qu’il mettait beaucoup de temps à ausculter cette partie là. Enfin, il me dit :
– mettez-vous debout, il faut que je vérifie votre dos.
Au moment où je me mets debout, mon caleçon tombe sur mes chevilles. Me voilà complètement nu devant ce jeune médecin, la verge encore plus dressée.
Il se positionne derrière moi. Je sens son doigt glisser le long de ma colonne vertébrale jusqu’au début de ma raie. Puis il me demande de me pencher en avant. Mes vertèbres saillent. Il recommence son inspection, mais là son doigt entre dans ma raie pour aller toucher mon coccyx qu’il remonte et me demande si c’était douloureux. Je fis signe non de la tête.
Il me précisa qu’avec la selle, une irritation du coccyx pouvait se produire. Il me fit mettre face à lui pour m’ausculter la verge et les testicules. Mon sexe était maintenant perpendiculaire à mon ventre. Il tâta une à une mes boules pendante, le fit rouler entre ses mains.
– aucune douleur ?
– Non.
Il revint sur ma verge, la décalotta. Mon gland était luisant de lubrifiant, ce qui ne posa aucune difficulté à ce qu’il le décalotte au maximum. Il écarta mon gland pour regarder l’urètre.
Après cette inspection, je pensais la consultation terminée, lorsqu’il me dit :
– l’un de problèmes avec le vélo, se sont aussi les hémorroïdes, cela aussi fait partie de l’examen. Remettez vous sur la table.
–
Une fois en position, il me soulève les jambes, les pose sur les étriers. Me voilà comme une femme chez le gynécologue.
Il me demanda de l’aider en m’écartant les fesses avec mes mains. J’obtempérais. Avec sa lampe de spéléologue sur la tête, il pouvait ne rien rater de mon anus. Il m’enduisait ma rondelle de gel. Je sentis qu’il introduisait quelque chose de métallique qui doucement m’écartait l’anus. Il dit :
– je regarde avec un spéculum si vous n’avez pas d’hémorroïdes internes. Dites moi si je vous fais mal.
J’avais l’impression de sentir le souffle de sa respiration entrer dans mon anus béant. Lorsque la douleur devint difficile à tenir je lui demandais d’arrêter. Il retira le spéculum. J’avais l’impression que mon anus ne se refermerait plus.
Il me le massa pour faciliter sa rétractation. Une fois fermé, il introduit deux doigts pour aller me titiller la prostate. Ce massage prostatique fit remonter mes boules, raidir mon sexe. Je m’entends dire :
– arrêtez, je vais jouir !
Le docteur retire ses doigts. Je reprends mon souffle et mon contrôle. Il s’approche de la table, se colle à nouveau sur ma main. Sans hésiter, je le caresse, il semble apprécier puisqu’il ne bouge pas. Je dégrafe sa ceinture, ouvre le jean, défais un par un les boutons, glisse ma main. Je sens son sexe gonflé à travers son boxer mouillé. Il se laisse faire. Alors, je fais glisser jean et boxer sur ses chevilles. Il avait encore sa chemisette qu’il enleva rapidement. Nous étions égaux dans la nudité. Il avait un sexe assez trapu, épais, circoncis et rasé. Je n’en avais encore jamais vu un comme ça – bien que pendant les douches communes j’en ai maté quelques spécimens – mais un comme ça pas encore.
Il dit :
– l’examen est terminé, vous pouvez vous relever.
Je pivote, me retrouve assis en face de lui, ma queue toujours aussi raide que la sienne qui me fascinait. Sa queue était moins longue que la mienne mais deux fois plus épaisse. Je me demandais si je pourrais l’engouffrer dans ma bouche.
La voix du médecin me sortit de ma fascination devant cette bite, dont je me demandais si je pouvais la recevoir.
– ça va ?
– oui, oui, j’étais troublé par votre sexe.
– Je sais, cela surprend.
– Je me demandais comment elle pouvait entrer dans une bouche ou un trou.
– Tu veux essayer ?
– Pour la bouche, oui, mais le reste j’ai un doute.
– Tu vas voir de combien j’ai écarté le spéculum.
il prit l’appareil, l’ouvrit. Je ne pensais pas que je pouvais me dilater autant.
– tu vois, tu devrais pouvoir.
Je descendis de la table, me mis à genoux devant cette queue pour essayer de la gober. Ma main ne pouvait pas l’entourer entièrement. J’approchais ma bouche, léchais le bout du gland déjà bien humide. Il avança doucement. Le gland pénétra à moitié. J’ouvrais au maximum ma bouche, je ne pus aller plus loin. Il n’insista pas. Il me releva, m’installa sur la table. Les jambes relevées, il m’écarta les fesses. Je sentis le bout de son gland toucher ma rondelle, marquer un temps d’arrêt, puis s’enfoncer doucement. Je me demandais quel préservatif pouvait recouvrir un tel sexe. Je pense que la séance de spéculum à facilité la pénétration, car il put s’introduire sans grande douleur pour moi. Une fois entièrement entré, il commença le va et vient. Je sentais bien son chibre frotter dans mon cul à chaque mouvement. Le plaisir augmentait au fur et à mesure de son limage. La raideur de ma queue était à la hauteur du plaisir que je prenais. Il en profitait pour la saisir et me branler. Je voulais contrôler mon plaisir pour éjaculer le plus tard possible. Il augmenta la cadence, puis se colla à moi, de bougea, poussa quelques gémissements m’indiquant qu’il venait d’éjaculer. Il resta immobile quelques secondes, puis se retira. Le préservatif était gonflé de sperme. Il l’ôta. Sa queue était maculée de sperme. Il se retira dans son cabinet de toilette.
A son retour, j’avais remis mon caleçon, pensant que la séance était terminée. J’étais frustré de ne pas avoir juté au bon moment. Il dit :
– Tu ne vas pas partir comme ça, ce n’est pas fini.
Il me retira mon caleçon, m’allongea sur la table d’auscultation. Ses mains s’occupaient de mon sexe qui reprit de la vigueur, de mes boules presque détendues. Sa bouche goba mon sexe pas encore au maximum de sa raideur. Le massage de mes boules contribuait à ce quelques instants après, ma queue était dure comme du fer. Il savait s’y prendre le bougre !
Sa langue entourait mon gland entièrement décalotté passant derrière le collet, redescendait sur le frein qu’aucun pli du prépuce ne gênait. Il descendit le long de ma verge qui n’avait plus besoin de tuteur pour rester droite, pour aller lécher mes boules devenues dures, qui disparaissait dans mes poils, qui n’avaient pas l’air de le déranger, pour revenir sur mon gland, absorber entièrement ma queue jusqu’à venir toucher mes poils pubiens. Avec ce traitement, le plaisir montait à grande vitesse. Je lui signalais que j’allais juter. Pensant me retirer, il retint ma tête jusqu’au moment où je lâchais plusieurs jets de sperme dans sa bouche. Il avala tout, goulument, avec le sentiment qu’il appréciait mon « sirop de corps d’homme » puisqu’il n’en gâcha pas une goutte, s’appliquant même à tout me nettoyer.
La tension étant retombée, il finit de me nettoyer avec une lingette. Nous nous sommes rhabillés. Avant, j’ai pu regarder une fois encore son sexe au repos qui était toujours aussi impressionnant à voir.
– Tu es en pleine forme, tu peux faire tout le sport que tu veux.
– Merci docteur pour cet examen approfondi.
– Pas de souci, si tu as un problème, tu peux m’appeler sur mon portable. Je m’appelle Sébastien.
Mon certificat en poche, je suis retourné à la maison. Le soir dans mon lit, en passant mes mains sur mon sexe, les portant à mon nez, je pouvais encore sentir l’odeur de la lingette qui me rappelait cette visite médicale.
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