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le copain de ma coloc

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Début juin, j’ai eu 19 et j’ai eu mon bac au passage. Voilà un nouveau départ pour moi, ce qui m’angoisse énormément mais je ne montre rien. En septembre j’emménage à lyon avec une amie et j’irais à la Fac.
Rémi et moi ne faisons presque plus rien car nous sommes presque jamais seuls en se moment et puis même, je ne sais pas… j’ai envie d’aller voir ailleurs et je me dis que la Fac est l’indépendance d’avoir un appartement pourra m’ouvrir encore plus. Durant l’été je n’ai rien fait part de longues masturbations endiablé dans la salle de bain. Lorsque je suis seule je gémis comme une folle en m’insultant quelques fois, j’ai découvert que cela m’excite beaucoup. Je ne sais pas d’où me viens ces envies de sexe mais je sais que j’adore ça.
Le mois de juillet passa à une allure folle, à la mer je ne pouvais m’empêcher de regarder les paquets des garçons, vieux, jeunes même les filles.. et j’imaginais qu’ils me prenaient dans l’eau. Parfois je sentait les regards de Rémi sur moi, il me voulait je le savais mais je n’avais plus envie de lui, je voulais jouir, jouir vaginalement.
Le mois d’août passa encore plus vite car il fallait préparer le départ à Lyon. C’est au mois de septembre qu’un peu stréssée j’ai pris le car avec ma valise et mon ami et que nous sommes partit le cœur lourd. J’ai de la chance dans cette appart j’ai une grande salle de bain et une baignoire d’enfer, je prend mon pied avec le puissant jet dès que je le peux.
Mon ami avait sa chambre et parfois son copain venait dormir chez nous, je ne les entendais pas baiser mais je le deviner quelques fois. Je me masturbais dans mon lit en prenant soin d’étouffer mes gémissements, je prenait un déo et me baiser avec en branlant mon clito devant un porno. C’est… tellement bon…

Un soir alors que j’étais tranquillement dans ma chambre quelqu’un frappa à la porte de ma chambre.
-Anissa ?

En pyjama la tête dans le pater j’ai ouvert la porte au copain de mon ami. Il se tenait là, devant moi torse nu, les cheveux mouillés avec un bas de jogging.
-Oui?
-J’peux te prendre un coton tige? Pauline en a pas.
-Bha oui faut pas demander, d’ailleurs elle est où?
-Chez sa mère, elle te l’a pas dit?
-Non…
-Elle a pas cours demain et tu la connais.
-hum… Bon bha bonne nuit.
-Merci toi aussi.

Le cœur un peu battant je retournait me mettre au lit. Il était 20h30 et je regardait Touche pas à mon poste. Soudain je me mis à fantasmer sur lui mais vite fais j’arrêta de penser à lui car j’avais mal à la tête.

La porte grinça et un courant d’air froid me glaça le sang. Des pas sur le parquet en bois, un souffle court et le drap se souleva.Mon cœur se mit à battre la chamade, une main se posa sur mon ventre pour monter sur ma poitrine. Elle me pressa si fort le sein que j’en eu un peu mal. Des lèvres brûlantes se posèrent dans ma nuque.
-Qu’est-ce que tu fou? Dis je en chuchotant la voix tremblotante.
-T’aimes pas?

Prise le cul entre deux chaises je ne répondit pas.
-Je vais prendre ça pour un si.

Il me mit sur le dos et je sentis ses lèvres se poser sur les miennes, sa langue me caressa les lèvres et s’enfila dans ma bouche pour jouer avec la mienne. Je laissa échapper un gémissement ce qui le vit réagir. Sa main glissa sur mon ventre puis entre mes cuisses, nous étions dans le noir et ce ne me déplaisais pas. Son doigt froid se colla sur mon clito.
-Putain tu mouilles !
-Dé…Désolé… Dis je timidement.
-J’adore ça.

Tout mes complexes me quittèrent lorsqu’il j’entendit ses paroles et prit l’initiative d’enlever mon pyjama. Il fit de même, dès lors je pouvais sentir son engin contre ma hanches. Je pris sa bite dans ma main et constata qu’elle était bien plus grosse que celle de Rémi et j’en salivais déjà. Son majeur s’enfonça dans ma chatte, ce qui m’arracha un long soupire. Je l’entendit rire dans mon oreille.
-T’aimes ça?
-Oui trop…

Il inspira fort et se plaça entre mes jambes. Je ne voyais vraiment rien mais mes sens étaient décuplés. Dans un suspens insoutenable il passa sa langue entre mes lèvres. Je frissonna. Sa langue s’enfonça plus pour toucher mon clito, il faisait des petit rond dessus, puis des 8 tout en me doigtant. Je gémissait comme une petite chienne.Je ne tardais pas à jouir.

Il revint m’embrasser, je sentais ma mouille dans ma bouche, ses lèvres en étaient enduites.
-Suces moi ! Me dit il comme un ordre.

A tâtons je pris sa bite dans ma main et passa ma langue dessus, sans complexe qu’il puisse voir ma tête déformé par la grosseur de sa bite dans ma bouche, je le suçais comme une salope. Je crachais dessus, l’enfonçais dans ma gorge, la branlais fort. Je pouvais l’entendre gémir lui aussi et glisser des petits « oh fuck ».
Après au moins 10min à le pomper il me poussa sur le dos et se mis sur moi. Je pouvais sentir son gland sur ma chatte trempée, il faisait bougé son bassin. En un seul coup il aurait pu me pénétrer.
-Ta une capote? Dis-je doucement.
-Oui t’inquiète touche…

Je pris sa queue dans ma main et en effet le petit morceau de latex était bien sur sa bite.
-Alors vas y baise moi !
-Oh oui ma p’tite salope.

Il me claqua une fesse et me pénétra d’un coup ce qui m’arracha un énorme gémissement. Je n’avais jamais eu une aussi grosse bite en moi mais qu’est-ce que c’était bon. J’attrapait ses fesses entre mes mains pendant qu’il faisait de rapides va et vient en moi. Je sentait sa chaude haleine sur mes lèvres enflées.
-Mets toi sur moi !

Sans me faire prier je me mis sur lui, assise sur sa queue je remuais le cul de plus en plus vite. Il lâchait des « ah ouais » ce qui m’encourageais toujours d’aller plus vite. Il posa ses mains sur mes fesses et aida mes ondulations à bien engloutir sa queue dans ma chatte. Soudain il tourna vite son pousse sur mon clito trempé et je n’avais jamais connu une aussi bonne sensation.
-Oh ouiii ! Gémissais-je
-T’aimes ça ma ptite salope?
-Oui continues s’il te plait !

Plus j’ondulais sur sa queue plus il tournait sur mon clito, je ne tarda pas à jouir comme une chienne, toute tremblante je sentait bien sa queue dans ma chatte. Lui aussi se mit à poussa un long soupire en aillant de petits spasmes.
-Putain je viens de jouir ! Me dit il en caressant mes fesses.
-On est deux.

Après quelques minutes de silence allongés côte à côte on se jura de ne rien à dire à mon amie quoiqu’il arrive. On prit notre douche et s’endormirent ensemble..

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