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La tempête – 4

La tempête – 4



Surprise

Seul au grenier, les yeux tout ronds de surprise, bouche ouverte, j’en oubliai de me masturber en espionnant sur écran géant la belle Marie Lemieux en train d’embrasser une policière dans la salle de bain de mon motel. Les lumières clignotèrent un instant, une autre fois, mais pas de panne de courant, pas encore. Ouf ! Je les voyais de haut, par le miroir sans tain du plafond au-dessus du quelle une caméra était installée. Marie était en jupe grise, blouse satinée verte et bas nylon noir, mais la blonde elle, était juste en slip et soutien-gorge mauve. J’en oublier même de respirer tellement j’étais surprise. Visiblement, elle s’était donné rendez-vous ici, à mon motel. La belle Marie Lemieux trompait son mari, son beau grand Paul, mais avec une autre femme, une policière en plus. Wow ! Celle-ci avait du lui griffonner son numéro de portable au dos d’une contredanse. Elle est donc probablement bi, comme moi la belle grande Marie Lemieux, la vedette du petit écran ! Là, je fantasmais vraiment en comprenant qu’elle devait se texter tout à l’heure. Mon coeur s’emballait m’imaginant avoir peut-être une petite chance de me retrouver dans son lit moi aussi. Qui sait ? Si elle restait bloquée ici par la tempête quelques jours et que la policière retournait au travail. Je savais bien que je n’avais pas rêvé tout à l’heure à la réception quand elle avait louché une deuxième fois vers ma poitrine. Comme elle est bi, elle c’était peut-être dit : « Ouuuuuu ! Cette petite brune la avec ses gros seins, je me la taperais bien.» Ou : «Seigneur ! Je voudrais pas porter des boulles pareilles, pauvre femme. » Ça, je l’entendais si souvent dans mon dos depuis l’adolescence, mais je les aimais mes gros seins, j’en étais même fier. Ils se tenaient bien et ne rebondissaient pas trop.

Je résister a une soudaine envie de me ronger les ongles en même temps qu’une fièvre de voyeuse s’emparait de moi, je me sentais comme connecter a la télé par des fils invisibles. Je ne voyais plus rien d’autre que cette blonde et cette rousse plaquer l’une contre l’autre à s’embrasser avec fougues à grand coup de langue; leurs poitrines écrasées l’une sur l’autre, leurs mains sur leurs fesses et… C’est à ce moment que mon téléphone vibra, me faisant sursauter.

Je le pris agacé de manquer quelques secondes de ce spectacle formidable pour y voir une photo de Mélany qui faisait la grimace avec une minuscule tête de mort comme bijoux de langue. Je répondis distraitement les yeux à nouveau rivés sur l’écran, et dire que j’enregistrais ça. Elle s’embrassait toujours en se pelotant tout partout. La policière avait même relevé la jupe de Marie pour lui palper les fesses par-dessus ses bas-culottes noirs qui laissaient entrevoir son slip de fantaisie qui devait valoir une petite fortune. Je déglutis, subjuguer par la vue de son beau derrière aussi ferme que je l’imaginais et de ses longues jambes que je lui enviais tant. Hallucinant ! Incroyable ! J’aurais tout donné pour être à la place de cette blonde aux yeux bleus…

-Luce ! You ouuuu !

… Être la, en bas, dans les toilettes a serrer Marie Lemieux dans mes bras en lui tripotant le derrière tandis que nos langues jouaient ensemble et… ça y est, je me grignotais les ongles. Merde!

-Luuuuuuuuuce !
-Quuuuooooi ?
-Mon écran d’ordi est trop petit pour profiter du spectacle.

Je vis Mel sur la télé dans l’une des vignettes à côté de l’image principale en train de se lécher un doigt avant de le glisser entre ses cuisses me laissant imaginer le reste, car le maudit écran de son ordinateur portable me bouchait la vue. La caméra qu’elle avait cachée à mon insu dans notre chambre se trouvait devant elle sur ma commode, quelque part. Mel était nue, assise en Indienne sur mon lit, mignonne à craquer avec ses cheveux orange, ses tatouages et ses piercings et ses gros seins parfaitement ronds. Pas aussi gros que les miens, mais quand même très généreux et si dur. Elle m’avait embarré au grenier avec pour mission d’avoir 5 orgasmes. Encore l’un de ses jeux sexuels dont elle avait le secret et très excitants comme jeux. Et à voir ce que j’avais sous les yeux, ma mission serait facile à remplir. Nue, portant seulement mes bas nylons noirs, jambe écarter, talon sur le sofa, je devais me masturber en principe, mais la…

– J’aimerais voir sa sur grand écran. Wow ! Je ne m’attendais pas à un tel show ce soir Luce et toi ?
-Moi non plus ! Dis-je distraitement. Amène-toi Mélany on pourra se masturber ensemble en regardant la télé..
-Pas tant que tu n’auras pas accompli ta mission et arrête de te grignoter les ongles, tes supposer te branler.

Je le fis en souriant, recommençant à caresser mon sexe ouvert et humide.

-J’ai l’impression à te voir que ça ne traînera pas Luce. T’es déjà tout rouge jusqu’aux épaules et tellement mouillé que j’en suis presque jalouse. Plus vite tu remplis ta mission, plus vite je te rejoins et quand je vais être la, je vais m’agenouiller devant toi pour enfoncer ma petite langue si profondément dans ton vagin que tu vas en pleurer de plaisir ma belle.

Elle se branlait comme moi en parlant et ce qu’elle me disait me faisait frémir d’envie tandis que les filles se caressaient toujours avec passions, sans ce lasser. Visiblement, elles se désiraient depuis longtemps. C’était peut-être même leur première baise. Marie Lemieux pressait les seins lourds de la blonde avec ses grandes mains et si forts que le gauche en était sorti du soutien-gorge. Elle le soulevait en caressant le mamelon brun avec son pouce et j’aperçus une petite cicatrice sous le sein. Tient ! Tient ! La blonde se les était fait grossir. Je souris en sentant mes doigts m’apporter du plaisir et celui-ci irradiait jusqu’a mes petits mamelons tendus qui me chatouillait. Je n’en revenais toujours pas de ce que je regardais, c’était à peine croyable. Marie Lemieux, avec une autre femme et ici, chez moi. Wow ! Ça, c’était vraiment un beau cadeau de Noël. Je me rendis compte que je souriais béatement quand Mélany me ramena a la réalité.

-C’est la grande rousse ennuyeuse que tu regardes tout le temps a la télé non ? Celle qui a cette émission sur les monstres avec son mari ? Des platitudes sur les zombis, les loups-garous et les fantômes.
-Hum, hum ! Fi-je simplement en l’écoutant toujours distraitement presque statufier par le spectacle surprenant que j’avais sous les yeux en laissant mes doigts descendre sur ma vulve gonfler, ouverte et si humide. Je me caresser lentement un moment en frissonnant de plaisir tandis que Mel disait quelque chose.

Puis, n’en pouvant plus, j’attaquai mon clito du bout des doigts en me mordillant les lèvres. Une douce chaleur m’envahit aussitôt le bas ventre jusqu’au rein. Savoir que Mélany me regardait faire en plus rajouta au plaisir qui grandissait en moi, une autre fois.

-Oh, fit-Mel amuser en se caressant les seins de sa main libre, tu fantasmes sur elle c’est ça ? Oui c’est ça. Je m’en doutais. Quand tu regardes son émission, tu ne me connais même plus tellement tu es concentré sur la télé et t’as plein de magazines ou elle fait la page couverture. Elle est pas mal pour une vieille, j’avoue. Là, je suis un peu jalouse.
-Tas fouillé dans mes affaires ?
-Non ! Mais je t’ai vue en lire en cachette dans la chambre. La caméra, tu te rappelles ? T’as pas remarqué que je traîne mon portable avec moi plus souvent ? La technologie sans fil c’est fantastique Luce.

Je me sentais démasqué, mais bon… Et tout à coup je réaliser que si elle regardait tout sur son ordi par les caméras camoufler dans chaque pièce elle pouvait aussi tout enregistrer.

-Tu peux enregistrer ? Tu nous as enregistrés ?
-Hummmm ! Oh oui ! Big brother voit tout et peu enregistrer ce qu’il veut Luce.
-On… oufff… On va devoir, se… se.. Parler Mélany.
-Tu ferais un malheur sur YouTube avec tes grosses boules a te branler comme ça jambe écartée, maman. Quel beau spectacle. Tes yeux sont tout petits, c’est mignon comme tout, ça me donne tellement envie de toi. Moi aussi je suis toute mouillé M’man. Tes grandes lèvres vaginal ouverte et gonflé me donne l’eau a la bouche.

Ça l’excitait de m’appeler maman et on s’amusait à se faire passer pour mère et fille au village ou personne ne nous connaissait. Un autre de ses petits jeux sexuel très excitant.

-Si jamais tu fais ça pour You Tube… ma petite tabarouette… on retrouvera ton squelette sous le motel quand quelqu’un décidera de… ouff… de le démolir dans un siècle ou deux.

Elle rit et rajouta :

-T’inquiet ma vielle, je te ferai jamais ça tu le sais bien. C’est juste pour nous deux, pour de belles soirées de sexe au salon. Tu vas nous faire un joli montage avec tes dons prodigieux de graphiste.
-OK ! Tu enregistres dans la salle de bain du motel ?
-Tu parles ! Et je t’enregistre toi aussi, t’es trop mignonne rouge comme ça, si près de jouir.
-Ouffff ! Fis-je au bord de l’orgasme me sentant presque défaillir. Mes petits orteils se retroussaient.

Je me branlait avec énergie bien décider a jouir frottant mon sexe et mon clitoris en même temps.

-Seigneur Luce, tu devrais voir ta face. On dirait que quelqu’un vient d’égratigner ta belle voiture électrique ou comme quant je te lèche la fente ou que je te suce le clitoris. Mais je te comprends, la voir ici, ta belle Marie la rousse, en train de se taper une autre fille dans la salle de bain de ton motel. C’est le gros lot pour toi. Non ? Si seulement elle cessait de s’embrasser pour baiser.

-Huuuuum ! Fis-je distraitement en me mordant presque la langue en sentant finalement l’orgasme exploser en moi, ce qui me fit serrer les cuisses sur ma main, presque a l’ écraser et me plier vers l’avant en geignant. J’avais l’impression qu’on venait de me donner un coup de poing dans le bas ventre. Je faillis en échapper ma petite merveille de téléphone. L’ondée de plaisir me fit serrer les dents et me trémousser d’une fesse à l’autre. Me sentant vaseuse et rouge jusqu’aux épaules, je mis mon téléphone sur haut-parleur et le jeté sur le sofa pour glisser mes deux mains sur mon sexe en me plaignant faiblement comme si j’avais une grosse envie.

Mélany rit en disant :

-T’inquiètes pas Luce, c’est juste un orgasme, ton deuxième, ça vas passer. Et t’es trop belle à voir. Ouuuuuhhh ! Elle te fait vraiment de l’effet la rousse. Moi, c’est la blonde qui me branche. On se chicanera pas hein ! Ce serait cool un party à 4 non ? Deux petites rondes et deux grandes minces. Tu imagines ça Luce ? Luce !!!

Elle éclata de rire tandis que je frémissais perdue quelque part dans les limbes du plaisir en solitaire; les orteils tout croches, le souffle coupé, incapable de répondre. Voir la policière tripoter ma belle Marie et la frencher à grand coup de langue me rendait presque folle de désir et surtout de jalousie. Je me mis à me balancer d’avant en arrière comme un enfant qui a mal aux dents en sentant l’orgasme s’évanouir tout doucement mais tout de même trop vite.

– C’est pas vrai, fit Mel tout à coup, elle a une bite !

Les yeux révulser tandis que l’orgasme s’envolait, je ressentais un véritable soulagement après cette deuxième ondé de plaisir. Je flottais, bienheureuse, telle une sainte en pâmoison au paradis des voyeuses sans vraiment comprendre ce que Mélany me disait. Qui as une bite ?

-Luuuce !!!
-Quoi ?
-La policière Luce, regarde, c’est un homme, enfin plutôt une Shemale, un trans, enfin, je sais pas trop comment on les appelle. Regarde, ta Marie a baissé sa petite culotte et la branle. Wow ! Belle bite en plus, en train de bander dur et grosses couilles sans poil. Ouuuuu ! Là, ça devient vraiment cool. T’enregistres ça toi aussi, j’espère ? La résolution est meilleure sur tes vieilles cassettes.
-Hein ? Fis-je toujours dans les vapes en regardant l’écran a nouveau. Mais vue d’en haut, avec leurs cheveux longs c’était difficile a voir, pourtant je fini par apercevoir effectivement un pénis en réalisant pleinement tout à coup se que Mélany venait de me dire. Je vis une bite dans la main de Marie Lemieux et elle la branlait. Ben voyons ! Un gode ou une vraie ? Mais non, une vraie, aucun doute ! Un gode n’a pas de prépuce et tant de veines et ne bande pas comme ça. Je plissai les yeux en fixant la télé en sentant mon coeur bondir à nouveau.

C’était à peine croyable de voir cette belle queue gonfler entre les cuisses de la policière et surtout dans la main de Marie. J’en avais déjà vu sur internet des Shemales et cela m’avait procuré quelques nouveaux fantasmes, mais la… Il y en avait une dans mon motel et avec Marie Lemieux en prime, ça me semblait irréel, incroyable. Trop beau pour être vrai. Je commençais à me demander si je ne m’étais pas tout bonnement endormie sur le sofa au salon. De gros frissons me parcoururent l’échine.

-Luce ! Youhou ! Maman t’est la ? Il y a quelqu’un au grenier des voyeurs ? Plutôt des voyeuses ?

Je fixais le membre imposant que masturbait Marie Lemieux sans y croire pendant que la blonde lui pressait les seins par dessus la blouse avant de commencer à la déshabiller avec fougue. Wow ! Ça me ramena à la réalité en une fraction de seconde. J’arrivais à peine à y croire en regardant toujours le pénis et pourtant, je l’avais sous les yeux. Qui aurais pu dire que cette policière, mignonne comme tout, avait une bite. Je me demandais si ces collègues étaient au courant. Probablement pas. La blouse de Marie s’envola, elle portait un soutien-gorge de dentelle noire, qui s’envola aussi. Je regarder ses seins magnifiques comme si c’était le st-Graal, ils tombèrent un peut, mais pas trop. J’en avais tant rêvé et là, je les avais sous les yeux. J’en bavais presque. La policière aussi se débarrassa de son soutien-gorge et frotta ses seins contre ceux de Marie qui branlait toujours le sexe gonfler, palpitant, au long prépuce. Marie aussi les avait plus lourd que ce que j’imaginais, j’en avais l’eau a la bouche et le feu a nouveau au bas ventre a voir les seins se frotter, les mamelons dresser se toucher. Je savais très bien ce qu’elle ressentait en ce moment, je faisais la même chose si souvent avec Mélany.

-J’aimerais bien essayer ça une fille avec une bite Luce, pas toi ? C’est le meilleur des deux mondes pour des filles comme nous , non ? T’es la ma vieille ?
-Hum !

Elle rit en me regardant tout en se branlant. Moi j’avais recommencer a agacé mon clito bander dur. Ce que je regardais était trop… fantastique, trop excitant.

-Seigneur Luce, t’es dans vraiment en pleine extase. Tu dis juste ; hum ! Hum ! Hein !
-Hein !

Cette fois Mel éclata de rire un long moment tandis que je planais.

-On va être cramper de rire quand on va regarder ça en bas au salon, surtout avec ta petite culotte que ta balancer derrière toi et qui ces accroché a un clou a une poutre au plafond.
-Ooohhhh shiiit ! Fi-je en me pliant en deux le corps tremblant sous la v******e d’un autre orgasme clitoridien qui me traversa le bas ventre et remonta encore jusqu’a la pointe de mes seins, mes pieds en tombèrent sur le plancher cette fois. J’en eus les yeux pleins d’eau en grimaçant tellement celui-là fut puissant. Le souffle couper, le coeur battant à toute allure, je pressai mon sexe détremper des deux mains, en gémissait et me mordillant les lèvres. C’était si… si bon…. que je fermer les yeux un instant.

-Oh ! Luce ouvre les yeux, ça devient cochon leur affaire.

Je le fis pour apercevoir Marie Lemieux, qui ne portait plus que sa jupe et qui était à genoux maintenant en train de faire une pipe baveuse à la policière qui lui tirait les cheveux. Le sexe long et courber vers le haut, luisant de salive, allait et venait entre ses belles lèvres arrondit. Elle lui pressait les couilles de la main gauche, la droite enserrant la hampe en donnant de la tête. On suce toutes nous les femmes, mais voir Marie Lemieux le faire, elle si distinguer, sans être pédante pour deux sous, c’était… étrange, fascinant, très érotique, excitant et… wow ! Ce membre sur ce corps de femme me donnait aussi l’eau à la bouche. J’aurais tout donné pour être avec elles, en bas, à sucer cette bite avec Marie tout en se tripotant toutes les deux. Je m’imaginer même étendu dans un lit, jambe en l’air a me faire besogner par cette policière la langue enfouie dans le sexe de Marie Lemieux assise sur mon visage et les deux me caressant les seins tandis que Mélany filmait tout et…

-Ta fini de jouir Luce ?
-Hein !

Encore un rire et…

-Luce ?
-WAIS ! Soupirai-je en me redressant et reprenant mon téléphone, le coeur cognant dans ma poitrine, les joues en feux.
-Super ! Déjà 4 orgasmes. Le spectacle te fait de l’effet. Moi je passe tout près c’est tout. Merde ! Encore un et je monte te rejoindre Luce. C’est tellement excitant de te voir jouir comme ça, si vite, en fixant la télé. T’es tellement plus belle quand tu jouis, ça te rajeunit ma belle maman. Moi j’y arrive pas si facilement sans vibrateur. C’est quoi ton grand secret ?
-Beaucoup de pratique Mel. Fis-je exciter comme une gamine délaissant mon sexe un moment pour me caresser doucement les seins. Marie suçait toujours en branlant le membre rougi, ou le léchait pour ensuite sucer les couilles et les mordiller. La blonde aussi semblait en pleine extase et ça se comprenait. C’était tout de même étrange à voir, cette belle blonde avec cette bite. Soudain, n’en pouvant plus, je me lever en disant :

– Amène toi Mélany, parce que moi… je veux les regarder de plus prêt pour mon cinquième orgasme…
-Quoi ! Luce tu…

Je fermer mon téléphone et le jeter sur le sofa, je planais comme après un bon joint. Je calai mon verre de vin, puis j’allai devant une grande commode ancienne et décolorer, appuyer au mur mitoyen donnant sur le grenier du motel et ouvrit les doubles battants. Le vieil oncle qui m’avait léguer ce motel et installer le système de caméra, l’avait truquer, en l’ouvrant on découvrait qu’il avait enlevé les tablettes et le fond de l’armoire pour cacher les escaliers menant au grenier du motel plus bas que celui de la maison. La, sous les combles, quelques marches menaient a une passerelle étroite avec des gardes-fou, elle traversait le grenier en plein centre sur toute la longueur jusqu’a la salle de bain tout au bout. Le seul éclairage, la en bas, provenait des chambres quand elles étaient occupées par les grands miroirs sans teins au-dessus du quelle il avait installé les caméras aux poutres du plafond. J’enlevai mes bas nylons avant de pénétrer dans l’armoire le coeur battant et encore un peut groggy par mon dernier orgasme et griser par le vin et surtout par cette soirée de voyeuse incroyable. Je les jeter sur le sofa et pénétrer dans l’armoire. Je voulais être entièrement nue pour profiter du spectacle en direct, pour sentir le moindre déplacement d’air sur ma peau, le moindre petit frisson et surtout entendre Marie gémir quand à blonde allait la pénétrer a moins qu’elle ne jouisse dans sa bouche.

Mes gros seins sursautaient et s’entrechoquait tandis que je descendais l’escalier en sentant le bois rugueux sous mes pieds. Ici aussi, comme la chaleur s’accumulait sous le toit, il faisait chaud et ça sentait la sciure de bois et le renfermer. Je franchis la passerelle a pas de loup jusqu’au bout en faisant attention de ne pas me cogner la tête et la, je me pencher sur la rambarde, je me trouvais juste au-dessus de la salle de bain, seins pendants me bouchant un peut la vue. Je dus me les compresser avec un bras pour mieux voir. Mon souffle s’accéléra tout comme les battements de mon coeur tellement c’était stressant de me retrouver là, si près d’elles. J’avais peur quelle lève les yeux et me voit même si je savais que c’était impossible. Moi et Mélany on l’avait vérifié. Je me remplis les yeux du spectacle en écoutant les rafales de vent contre le toit qui craquait. C’était la première fois que je venais ici entièrement nu pour espionner et c’était étrangement dérangeant, mais surtout très excitant. Être la, juste au-dessus de Marie Lemieux, à genoux, en train de faire une fellation a une jolie blonde avec une bite. C’était incroyable ! Je me remis à me branler en retenant mes gémissements, genoux fléchis, en écrasant mes seins sur la rambarde pour avoir les mains libres. Ainsi plié en deux, je ressentais le moindre petit courant d’air effleurer mon anus si sensible. Je recommencer a me masturber en sentant mon corps se couvrir de grosse chair de poule. Être nue comme ça, ici, décuplaient toutes mes sensations. J’assouvissais pleinement mon plus gros vice; le voyeurisme.

Marie suçait toujours et sortait souvent le sexe de sa bouche pour le lécher, le mordiller et le ravaler avec plus de fougue et de vigueur. Mais surtout pour reprendre son souffle. J’avais assez sucé d’homme dans ma vie pour le savoir. De la salive lui pendouillait du menton pour tomber sur ses seins lourds qui se balançaient joliment. La policière elle, toujours en pleine extase, les deux mains sur la tête de Marie levaient parfois le visage vers moi pour ce regarder dans le miroir du plafond. Ça me donnait d’étranges frissons tout en retenant mes gémissements, de peur qu’elle ne m’entende. J’aurais juré qu’elle me regardait avec ses grands yeux bleus. De vrais yeux de fille, en homme elle devait être très efféminée. Je l’entendais gémir, mais faiblement, ce qui me rappela que je devais retenir les miens, mes gémissements. Bien décider a jouir une cinquième fois j’attaquai mon clitoris et mon sexe de la main droite en glissant la gauche par derrière entre mes fesses rondes pour me glisser le bout d’un doigt encore dans l’anus. J’aimais trop ça et ça décuplait mes sensations au niveau du vagin que je me pénétrais aussi, mais a deux doigts. L’effet fut immédiat et je dus pincer les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Être la, nu, a me branler a regarder ce qui se passait en bas c’était trop excitant.

Je faillis jouir une cinquième fois, mais, au même moment en bas, la blonde sortit précipitamment ça bite de la bouche de Marie pour ce masturber avec force en grimaçant a n’en devenir laide, une main sur ses seins. Visiblement elle allait décharger et Marie n’avait apparemment pas envie de recevoir du sperme en plein visage et je la comprenais trop bien. Je détestais ça, comme la plupart des femmes que j’avais connues, tout comme avaler. Parfois, le sperme a un goût franchement dégueulasse, mais on se force, car ça semble faire tellement plaisir aux hommes. Marie pencha la tête par en arrière en retenant sa longue chevelure sur son dos osseux tout en projetant sa poitrine magnifique vers l’avant, visage lever vers moi comme si elle me voyait. Comme si elle me disait; regarde Luce, je veux que tu voies ça. Inconsciemment, je poussé mon doigt plus profondément entre mes fesses jusqu’a sentir ceux dans mon vagin en serrant les cuisses de plaisir. J’allais voir la policière jouir sur ses seins. Ça me donna de nouveaux frissons et j’enregistrais tout ça. La blonde aussi semblait me regarder à présent, car elle avait levé la tête au bord de l’orgasme. Les dents serrer elle se branlait rapidement et soudain, elle desserra les dents et gémit en éjaculant. Elle ne put contrôler le premier jet, le plus puissant, qui revola malgré tout sur le beau visage de Marie jusque sur sa tête. Je perçus ça, étrangement, comme la profanation d’une idole. Encore la, elle si distinguer, si racer, la voir se faire éjaculer au visage c’était tout aussi dérangeant qu’excitant. C’était du foutre épais et visqueux pas très ragoûtant, mais qui me fit tout de même saliver. Elle ferma la bouche et les yeux tandis que la policière baissait son gland pour éjaculer abondamment sur les seins tout blanc en pressant son membre rougit. Le liquide poisseux qui giclait se mit a coulé jusque sur son ventre plat jusqu’a lui remplir le nombril et toucher sa jupe.

Voir ça, et d’aussi prêt, me fit déglutir plusieurs fois et surtout gémir pour jouir aussi sec en serrant les lèvres pour ne pas crier de peur qu’elles ne m’entendent. Mon doigt fut expulsé de l’anus et mon vagin eut des contractions. Et, au même moment j’entendis :

-Luce !

Seigneur ! je sursauter comme si je venais de prendre une décharge électrique en sentant mon coeur s’arrêter, en plein orgasme en plus. Je tournai la tête en m’accrochant a la rambarde de ma main libre, genoux fléchit et vit Mélany, nue, avec ses gros seins durs et parfaitement ronds. Elle sortit de l’armoire pour descendre les escaliers se retrouvant dans l’ombre et elle chuchota :

-Luce, ta mère vient d’arriver.
-Huummm ! Fis-je en regardant a nouveau en bas. La blonde essuyait le visage puis la poitrine de Marie avec l’une des serviettes. Son sexe toujours dur et palpitant entre ses cuisses dégouttait et il me faisait drôlement envie.
-Luce !
-Oui ! Murmurai-je agacer.
-Ta mère est la.
-Quoi ?
-Ta maman, elle est en bas.
-Merde !
-Oh ! La madame a un autre orgasme on dirait. Fit- elle tout sourire en restant au pied des marches. Je la voyais à peine avec le seul éclairage provenant de l’armoire derrière elle.

Au même instant toutes les lumières clignotèrent et cette fois… elles s’éteignirent pour de bon. Dans le noir absolu et en plein orgasme, j’entendis :

-Oh non ! Luce, on a plus de courant. Maudite tempête ! J’espère que ça va revenir, sinon, on va avoir froid.

Pour toute réponse je gémis le moins fort que je pouvais.

-Et ben, tu t’ennuies pas et ta remplit ta mission on dirait. Je descends m’occuper de ta mère, elle est trop mignonne et elle doit se demander ou on est. Faudrait pas qu’elle monte. Hein Luce !
-Vite vas s’y ? Murmurai-je faiblement de peur d’être entendu et a bout de souffle.
-T’inquiète pas et je vais me rhabiller, mais très légèrement. Elle est très sexy ta mère, elle pourrait être ta soeur. Outch ! Je me suis cogné un orteil. Maudit ! Ah ! Elle n’est pas seule, y a un grand type rigolo avec elle. Ils sont venus en ski-doo.
-Ben voyons?
-Je trouve une lampe de poche, des chandelles pour les clients et je reviens te chercher Luce.

Dans le noir absolu, j’entendis un petit rire et des pas menus s’éloignant. Je rester la, seul, a finir de jouir, le souffle court, en réalisant soudainement que je ne pouvais plus rien enregistrer ni rien voir d’ailleurs. Et merde ! Je ne voyais même plus mes mains, mais j’entendis des rires et la douche sous moi. Elle se douchait dans le noir pour ensuite probablement aller baiser dans une chambre à la chandelle et j’allais manquer ça. La policière avait pourtant une lampe de poche, pourquoi ne l’allumait t-elle pas dans la salle de bain ? Au moins, je verrais quelque chose avant de partir. Et ma mère qui venait d’arriver et j’étais la, nue au grenier sans la moindre lumière. Ma chance venait de tourner. Je décider de ne pas attendre le retour de Mel n’y du courant. Mauvaise idée. Je m’en retourner prudemment, pencher vers l’avant, en m’accrochant a la rambarde des deux mains et soudain… Bang ! Mon front heurta brutalement l’une des poutres. Je me maudis aussitôt pour ne pas m’être assez penché en sentant mes genoux plier.

Je réussis à regagner le grenier de la maison à tâton, une main sur le front y sentant une grosse bosse extrêmement douloureuse qui grossissait. Quand Mélany revint avec une lampe de poche je m’étais rhabillé de peine et de misère et je rattachais ma blouse.

-Wow ! Fit-elle en m’éclairant le visage violemment, ce qui accentua ma migraine et me fit me retourner. T’as un troisième sein dans le front Luce, mais sans mamelons.
-Très drôle Mélany. Baisse ça !
-Bonne nouvelle, Gaston va nous amener une génératrice.
-C’est qui Gaston ?
-Le gars qui baise ta mère, je suppose, il habite au village et mon père viens d’arriver.
-Ok, y manque que le père Noël.
-Pas de problème y nous reste une chambre de libre. Tylénol et glace pour ta bosse ?
-Oh oui ! Merde ! Plus question d’espionnage ce soir.
-Et non ! Viens ma belle, on descend. Tout le monde est dans la cuisine, sauf nos deux baiseuses.
-Super ! Je vais être belle à voir.
-Wais, avec tes maudites pantoufles rose surtout et ta bosse dans le front, tu vas faire fureur. T’as pas remis tes bas nylons, ni ta petite culotte. Elle éclaira mon slip toujours accroché à une poutre près du plafond.
-Tu veux qu’on fasse la courte échelle pour la récupérer Luce?

Je ris avant de répondre.

-Pas la peine, on reviendra.
-Tu veut qu’on aille a la chambre pour que tu en enfiles un autre slip ou un string ?
-Pas la peine, on reviendra.
-Ouuuu ! On file vicieuse ce soir.
-Et toi, ta rien de plus petit comme mini jupe ? Seigneur on te voit quasiment le slip et ta même pas mit de soutien-gorge sous ton t-shirt de Blondie. Ça bouge ton affaire. Ça te gêne pas devant ton père ?
-Non, et ça bouge pas tant que ça, moi. Et je te jure que le pauvre Gaston n’avait pas vraiment envie de repartir dans la tempête chercher sa génératrice après m’avoir vue. Je pense qu’il aurait bien aimé tripoter blondie.
-Ça, j’imagine. Comment ça se fait que ma mère sort avec un gars du coin et que j’en savais rien ?
-C’est un grand mystère, pour le moment… Te fâche pas Luce… mais… ta mère m’as regardé un peut comme toi, les yeux brillant, pas jalouse du tout apparemment que Gaston ai salivé en voyant mon corps de rêve de petite jeune. Ouuuuuuu !

Je ris en la suivant prudemment dans les escaliers jusque dans l’établie glacial avant de dire :

-Rêve pas en couleur ma belle. T’imagines pas que tu vas baiser la mère et la fille… jamais ma mère ne ferait ça avec une fille de toute façon. Compris… ma fille.
-Oui patronne. Mais oublie pas Luce, je ne suis plus ta fille, mais juste ton employé, très sexy d’ailleurs. Et t’inquiète pas, on verra pas ma petite culotte, j’en ai pas non plus.
-Seigneur ! Tu me donnes autant mal a la tête que cette satanée bosse Mélany. Ton père est la tu dis. Ouuuuuuu !
-Non, non, non ! Pas touche à mon père Luce.
-Plus de courant, vas bien falloir se réchauffé non ? Il est très sexy ton père. Son petit côté Clint Eastwood est très craquant. Ces beaux avant-bras veiner surtout. J’y pense, tu vas devoir dormir dans la chambre qui est libre le temps que nos parents restent ici.
-Merde ! Je vais t’avoir à l’oeil Luce, surtout si Gaston nous installe une génératrice, on va ravoir le courant et les Cams vont fonctionner. Je vois tout sur mon ordi. Je suis Big brother, n’oublie pas.
-Moi aussi ma belle je vais t’avoir a l’oeil. Attends, faut que je ferme a clef la porte du grenier. Ma mère aime trop fouiller partout. Et, j’y pense, faut éteindre l’enseigne vu que toutes nos chambres sont occupées.
-Oui patronne. Mais on a plus de courant je te rappelle.
-Ah ! Ben oui ! Au lieu de rire de moi donne-moi don un french avant de redescendre, sans doute notre dernier avant quelques jours.
-Oui patronne.
-Je peux tripotée Blondie ?
-Non patronne !

Nos grosses poitrines s’écrasèrent l’une contre l’autre tandis que nos petites langues pointues jouaient ensemble et que l’on se tripotait un peu. Je ne pus m’empêcher de glisser une main sous la mini-jupe pour toucher ses fesses nues. Effectivement, elle ne portait même pas de slip non plus.

-Seigneur Mélany, penche-toi pas trop devant ton père.
-Et toi devant ta mère.
-Ou devant Gaston.
-Ou la belle policière Luce. Elle est très bien armée non ? Elle a même deux matraques.

On se lâcha à regrets en riant pour rejoindre nos invités. Heureusement que j’avais remis mon gros chandail parce que côté mamelons, ça pointait en tabarnouche. Je remis la clef dans la vieille broîte de conserve en fixant le beau petit cul de Mélany en là suivant une main sur le front. Pieds nus, en micro jupe, elle avait l’air plus que jamais d’avoir 14 ou 15 ans. Moi qui m’attendais a une petite soirée tranquille avec elle au lit…

C’est ce que j’étais en train de me dire en dérapant dans les escaliers pentus à cause de mes maudite pantoufle et en les dévalant sur le cul jambes écarter en criant tout en entraînant Mélany avec moi. Paniquer, je la tenait par la taille comme en toboggan. Ça releva nos jupes évidemment… Je sentit chacune des marches me frapper les fesses et le sexe jusqu’en bas. Quelle belle vision eu le père de Mélany qui apparue aussitôt au salon avec un lampe de poche pour nous secourir.

-Pas trop de mal les filles… oh !

Je serrer les bras très fort sur le ventre de Mélany pour l’empêcher de se lever et cacher mon sexe. Elle, elle n’eu pas cette chance et se dépêcha de tirer sa jupe, mais elle était si courte que elle n’y arriva pas complètement et cria:

-P’pa, regarde ailleurs !!!

Il le fit mais ne put s’empêcher de jeter un coup d’oeil rapide a mes fesses qui me faisait déja très mal et qui étaient bien visible de côté. Merde ! Et j’entendis ma mère qui arrivait avec les autres pour s’exclamer en riant :

-Et ben, fallait nous le dire les filles que c’était une soirée sans petites culottes.

Seigneur !

Tout le monde rit, même Marie Lemieux qui arrivait, les cheveux tout trempe suivit de la policière, elle aussi les cheveux mouiller et qui nous éclairait avec sa grosses lampe de poche. Je voulait mourir de honte.

-Lache moi, fit Mélany en se démenant tout en riant et se tortillant, mais je la serré plus fort son dos écrasant mes gros seins.

Elle, ça l’amusait, mais pas moi prude comme je suis.

-Vous pourriez éclairer ailleurs, ordonnai-je courousser en rougissant a vu d’oeil cherchant déja une bonne explication a donner en retenant toujours Mélany qui se démenait comme un chat malheureux d’être dans mes bras.
-Seigneur que ta mauvais caractère ma fille. Fit ma mère tout sourire. Comment ta fait pour te faire une bosses dans le fron en dévalant des escalier sur le cul et sans…
-Ok! Ok ! Hurlai-je presque en les regardant rire. Mon employer a oublier de faire le lavage.Tout le monde a la cuisine svp.

Ils obéirent en riant de plus belle et, une fois seule toutes les deux, je lacher Mélany qui se leva pour rabaisser aussitôt sa mini en se tortillant.

-C’est ça, fit-elle amuser en m’aidant a me relever avant de se frotter les fesses, mets moi ça sur le dos patronne.
-C’est a ça que ça sert une employer ma belle, dis-je en rabaissant ma jupe a mon tour et me frottant le cul. Seigneur que j’ai honte et mal au fesses.
-Ta honte, c’est moi qui a tout montrer et a mon père en plus et aux autres.
-Maudite pantoufles, dis-je en les enlevant.
-Je peux les brûler Luce ?

J’éclatai de rire, de nervosité et de fatigue sans doute en les balançant dans les escaliers. On riaient encore comme des folles en entrant a la cuisine, mais maudit que j’avais mal a la tête et au derrière. Tout le monde nous regardait avec des petits sourires en coin tandis que ma mère servait du vin a la ronde et que le père de Mélany, beau comme un dieu, allumait des chandelles en me jetant des coups d’oeil narquois. Marie Lemieux, elle, me regardait les yeux pétillant, la policière aussi d’ailleurs. C’est un rêve, sûrement. J’allais me réveiller sur le sofa devant la télé bouche ouverte en me bavant dessus. C’est a ce moment que j’entendis le ronronnement d’une motoneige qui approchait.

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