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Romance d’un dépucelage – 3ème partie

Romance d’un dépucelage – 3ème partie



Cette troisième romance fait suite au deux premiers volets que l’on peut lire à l’adresse suivante, sur ce même site : https://fr.xhamster.com/stories/romance-dun-d-pucelage-et-sa-suite-935457
peut être à lire avant ce troisième épisode

La romance d’un dépucelage ( 3 ) (6 pages)

Après cette première visite au domicile de Patrick, Clément envisageait déjà d’y revenir pour continuer son apprentissage sexuel ; pas question d’en rester là avec son délicieux amant. L’homosexualité naissante de Clément lui procurait des satisfactions qu’il ne soupçonnait pas. Il aime les baisers gourmands dans lesquels lèvres et langues s’entremêlent, il aime les attouchements sensuels dont les mains viennent toucher toutes les parties interdites, il aime les fellations qu’il donne ou qu’il reçoit et il aime maintenant les sodomies faites à tour de rôle. Clément adorait vraiment cette nouvelle sexualité découverte grâce à Patrick.

De ce fait, Clément avait hâte de retourner chez Patrick. Une semaine à tenir jusqu’au samedi suivant, ça allait être long. Clément se masturbait souvent ces derniers jours, chaque pensée allant vers son amant.

Comme secrètement convenu, Clément ne portait pas le moindre boxer sous son jean en ce nouvel après midi de samedi. Il sonnait à la porte de son amant avec une fringale sexuelle qui le rendait dingue. Rien que de se sentir tout nu sous son pantalon, ça l’excitait déjà énormément. Rien que de penser aux jeux de sexe qui l’attendaient, il s’en trémoussait. C’est avec un immense joie qu’il apparaissait devant son homme. La porte s’ouvrait alors plus largement et permettait ainsi aux deux amants de se jeter l’un vers l’autre pour une étreinte amoureuse.

Dès la porte refermée, les deux hommes s’enlaçaient à nouveau et débutaient un second baiser beau coup plus charnel. Tous deux mettaient la main sur le bas-ventre de l’autre à la rencontre de la bosse masculine. Leurs sexes étaient déjà gonflés de désir. Clément sentait déjà que le bout de son sexe s’humidifiait en raison des incessantes caresses de Patrick. Ce dernier prenait maintenant l’initiative de se mettre à genou face à une braguette déjà bien gonflée. Clément se laissait faire, une fellation à peine arrivé, ça lui convenait parfaitement.

Les mains de Patrick se mettaient alors à parcourir les formes de son sexe. Il prenait tout son temps pour bien sentir la virilité grandir de ce beau sexe, tendu à travers le jean. Il y prenait visiblement un grand plaisir. Puis, il prit soin de déboutonner délicatement la braguette et sortit alors le sexe en érection et les testicules gonflées de Clément. Ce dernier offrait une érection de son sexe, droit devant sa braguette ouverte. Pourtant, Patrick n’enchaînait pas avec la fellation tant attendue par Clément. Il refermait maintenant le bouton du haut du jean pour permettre à Clément de porter convenablement son pantalon. Sauf, que ainsi habillé, ses attributs sexuels se trouvaient à l’extérieur de la braguette restée grande ouverte. Patrick se redressait et l’invitait, heureux de son stratagème, à le suivre dans le salon. Clément semblait un peu gêné par sa tenue, mais sa queue était tellement excitée qu’il se laissait guider par son amant. Patrick feignait de ne pas se soucier de cette indécence. Ils s’installaient finalement tous les deux dans le canapé pour une franche collation amicale.

Malgré la bonne humeur des deux protagonistes, Clément semblait quelque peu déstabilisé par ces couilles et son pénis bien visibles. A l’inverse, Patrick semblait s’en amuser et ne perdait pas une miette de cette jolie vue. La discussion se portait évidement sur leur semaine de séparation et les envies qu’ils éprouvaient tous les deux. Ces envies avaient permis d’aiguiser chez eux un féroce appétit sexuel. Clément restait comme à son habitude peu bavard, qui plus est, mal à l’aise avec son sexe hors de son jean ; tout le contraire de Patrick qui bavardait avec entrain et matait toute l’attitude de son hôte.

Pour ne pas trop faire languir son jeune puceau, Patrick lui demandait enfin s’il avait envie de prendre une douche torride avec lui. Immédiatement, les yeux de Clément s’illuminaient, montrant un désir nullement dissimulé. Les deux amants filaient rapidement dans la salle de bain pour de dévêtir totalement. Très vite sous la douche, tous deux se savonnaient lascivement. Se faisant face, chacun présentait une belle érection de leurs pénis respectifs. Ils se frottaient, sexe contre sexe, et s’embrassaient avec gourmandise. Toute la gêne de Clément avait enfin disparu.

A un moment, Patrick s’immobilisait et demandait avec un tact certain une faveur à son bien aimé. Dans une telle posture, Clément ne pouvait rien refuser à son amant. Patrick exposait alors son envie de le raser intégralement, expliquant que cette attention était un jeu plein de sensualité et de découverte du corps de l’autre. Clément, blond, longiligne et peu poilu s’en amusait, ne voyant pas trop ce qu’il y avait à raser. Son absence d’opposition avait bien sûre beaucoup plu à Patrick, qui attrapait déjà le flacon de mousse à raser.

Patrick était ravi à l’idée de cette séance de rasage érotique. Il attrapait les deux bras de Clément et les plaçait au dessus de sa tête. Il déposait alors un baiser sous les aisselles faisant frissonner son jeune puceau. Clément regardait ensuite Patrick lui badigeonner une mousse aux senteurs bien agréables sous les aisselles. Patrick n’hésitait pas à maintenir l’érection de son jeune amant en continuant une virile masturbation du pénis. Puis, il se mettait enfin à faire glisser un rasoir sur la mousse blanche déposée sur les aisselles de Clément. Ce dernier faisait apparaître une peau dénudée de tout poil. Patrick, au moment du rinçage, lui indiquait que la finesse de ses bras et que ses aisselles imberbes lui donnaient une impression qu’il avait des bras féminins, épilés avec élégance.

Cette allusion au sexe féminin embarrassait quelque peu Clément, mais le jeu était suffisamment sensuel pour maintenir son excitation et surtout sa belle érection. Il bandait sans équivoque, prouvant à son amant qu’il était bel et bien séduit par le jeu de l’épilation. Perdu parmi ces pensées, Clément regardait maintenant Patrick, accroupi devant son pénis. Il lui badigeonnait à nouveau de la mousse sous le ventre, tout autours de son sexe et à l’intérieur des cuisses. Clément ne pouvait pas émettre le moindre refus, Patrick venait à l’instant de masturber son membre et, simultanément, d’avaler son gland tendu totalement décalotté. Clément adorait sentir son gland bien gonflé dans la bouche chaude et humide de son homme. Tout en pratiquant cette gourmandise sexuelle, Patrick entamait le rasage de toutes les surfaces sur lesquelles il avait étalé de la mousse blanche.

Patrick cessait la fellation pour mieux s’appliquer sur le rasage, notamment autours des parties génitales de Clément. Clément se sentait en extase avec sa queue en parfaite érection et laissait ainsi Patrick œuvrer. Au rinçage, Clément découvrait son sexe rendu imberbe. A nouveau, il éprouvait une petite honte de se voir ainsi rasé. Il lui semblait se revoir à l’age de la puberté, lorsqu’il n’avait pas encore de poil pubien, manquant cruellement de virilité. Pour contrer cette pensée troublante, il se disait également que la longueur de son pénis lui semblait plus importante sans la présence de la touffe de poils pubiens. Patrick semblait d’ailleurs très admiratif devant ce beau sexe imberbe tendu face à son visage. Mais le voilà déjà en train de caresser de mousses blanches les jambes de son amant. Tout refus semblait maintenant trop tardif, Clément se sentait coincé également par sa timidité habituelle. Pourtant, il se sentait de plus en plus mal à l’aise avec l’idée d’être totalement rasé … comme une gonzesse. Pourquoi Patrick le rasait-il ainsi ? Aimait-t-il les hommes imberbes ou les adolescents sans poil ?

Après un rinçage complet, Patrick lui révélait cette fois la vraie raison de cette épilation totale. Il lui expliquait que son corps, longiligne et lisse, ressemblait maintenant à celui d’une belle jeune femme. Son corps mince, à l’épilation intégrale, ressemblait il est vrai au corps d’une jeune pucelle. Cette comparaison complexait énormément Clément qui, pourtant, de disait toujours pas un mot. Il était véritablement troublé car Patrick n’avait pas tout à fait tord sur sa nouvelle silhouette. Il se voyait ainsi transformé en une jeune femme parfaitement imberbe. Il lui restait de masculin que sa belle verge qui bandait toujours, dressée dans le vide. Patrick lui expliquait que la vue de son corps de femme lisse nanti d’un beau sexe masculin était une vue très troublante et très excitante à la fois. C’était justement ce côté ambigu, très androgyne, qu’il avait recherché en rasant Clément, voulant que son amant devienne sa femme.

Les deux amants se retrouvaient maintenant sur le tapis dans la salle de bain. Tous deux se séchèrent mutuellement, des attouchements mutuels et joueurs permettaient à tous les deux de continuer à bander sans pudeur. Comme lors de leur dernière rencontre, ils se filaient dans la chambre à coucher. Embrassades gourmandes et gestes de masturbations reprenaient immédiatement le dessus. Cette fois, c’était Clément, n’y tenant plus, qui se baissait pour entreprendre rapidement une fellation à son homme. Pendant cinq bonnes minutes, Clément se délectait d’un gland bien gonflé, bien en bouche, tout en masturbant la verge. Patrick laissait sa belle pucelle le sucer avec ardeur, appréciant au passage, les rapides progrès en fellation de sa pucelle. Les coups de langues étaient sensuels et virils, les lèvres maintenaient serré son gland bien en bouche. Clément se laissait également aller à des pénétrations du membre au fond de sa gorge. Deux fois, Patrick sentit que le gland toucher le palais. C’était une bien belle fellation qui menait Patrick au bord de l’éjaculation. Patrick semblait de plus pouvoir contenir plus longtemps sa montée de sève. Il éjaculait abondement dans la bouche de sa pucelle et regardait Clément savourer la saveur de son sperme … une bien belle fellation.

Patrick demandait à Clément de se redresser, lui expliquant qu’il voulait continuer le jeu érotique qu’il avait commencé sous la douche. Clément était bien trop excité pour refuser, il était prêt à tout après cette fellation gourmande. Patrick plaçait alors un bandeau noir masquant les yeux de Clément. Plongé dans le noir, Clément se trouvait totalement à la merci de son amant. Et là, Patrick allait s’en amuser. Il se mit à caresser le corps imberbe de sa pucelle ; de petits attouchements sous les aisselles lisses, de petits coups de langue sur la queue en érection, de petites caresses sur les fesses lisses et rebondies ; toutes ces petites attentions rendaient insoutenables l’excitation de Clément, plongé dans le noir. Tantôt il sentait une langue sur son téton, tantôt une main sur ses couilles, tantôt une langue sur son gland, un petit jeu sexuel très sensuel et pervers à la fois.

Pourtant ce n’était que le préliminaire. Patrick faisait maintenant glisser délicatement un tissus de satin le long des jambes de Clément, comme on enfile un slip. Ce petit morceau de tissus trouvait rapidement sa position sur les hanches de Clément. Il sentait parfaitement sur lui la sensualité et la douceur du satin, mélangé à des parties certainement en dentelle. Clément comprenait aussi que ce n’était pas un slip masculin, mais un string féminin. Clément sentait que ses fesses étaient restées nues, il découvrait la sensation d’un tissus coincé au fond de sa raie des fesses. Pour couronner le tout, il sentait ses couilles bien positionnées à l’intérieur du string alors que sa queue, certainement trop grosse et trop tendue, était resté érigée à l’extérieur de string. La surface de tissus de cette lingerie était certainement trop faible pour contenir tous les attributs d’un homme en érection.

Patrick le flattait du port de ce string, plaçant les deux mains sur les fesses restées dénudées, tandis qu’il se mettait à sucer la verge dépassant du string de gonzesse. Il maintenait sans relâche l’érection de sa nouvelle femme. Clément, toujours plongé dans le noir, était anxieux de s’imaginer en femme, écoutant les comparaisons avec les sexe féminin qu’expliquait Patrick. Le jeu ne s’arrêtait pas là. Clément sentait maintenant une bouche se poser sur le bout de ses tétons. Patrick léchait et titillait les pointes pour les exciter un maximum. Puis, Patrick s’arrêtait et enchaînait en faisant glisser sur les bras de Clément un nouveau tissus très doux satiné. Très rapidement, il comprit que son amant mettait en place sur sa poitrine soutien gorge, ou plutôt un bustier. Il sentait les nombreuses agrafes que Patrick fermaient une à une dans son dos. Clément sentait également les deux armatures des bonnets prendre appui sur son buste. Patrick semblait continuer le travestissement de Clément par cette panoplie de lingerie. Patrick se délectait de la vue de ce corps mince, élégamment mis en valeur par cette lingerie, mélange de satin et de dentelles. L’absence de poil rendait cette silhouette tout à fait crédible avec celle d’une jeune femme, nantie il était vrai, d’un beau pénis érigé.

Patrick retirait le bandeau noir et invitait rapidement Clément à s’allonger sur le lit avant qu’il n’ai le temps de trop avoir honte de sa tenue. Après avoir été intégralement rasé, il était habillé d’un joli string et d’un élégant bustier. Cette lingerie mettait en valeur ses formes longilignes, mais offrait surtout une silhouette féminine et ambiguë en raison de son pénis. Il ressemblait à une belle androgyne.

Clément était allongé maintenant sur le dos, les jambes bien écartées. Son amant prenait place aisément devant lui. Patrick exhibait à nouveau une belle érection car le jeu de travestir sa pucelle et le résultat final l’avait bien excité. Clément se laissait lever les jambes et comprenait clairement qu’il offrait une jolie vue de ses fesses dénudées à son amant. Ce dernier prenait le temps d’écarter l’arrière du string et de dégager ainsi l’anus. Il mettait alors du gel lubrifiant sur cette belle rondelle rose ainsi que sur son pénis. La pénétration était rapide et surtout profonde. Patrick besognait sa femelle avec ardeur tandis que Clément découvrait pour la première la sodomie face à son amant. Cette position permettait à tous les deux de se regarder et rendait ainsi l’accouplement très sensuel, chacun pouvant regarder visage de l’autre, tant expressif pendant l’acte sexuel.

Clément oubliait qu’il portait de la lingerie, oubliait qu’il était tout rasé. Il se laissait envahir par cette sodomie qu’il accueillait avec complaisance. Patrick émettait de grands râles de satisfaction, il sentait son sexe bien serré par l’anus étroit de sa pucelle. De sa main droite, il saisissait le pénis tendu de Clément. Il se mettait à le masturber avec d’un geste rapide. Sa main, positionnée à la base du pénis, maintenait de plus en plus serré la verge faisant ressortir les veines du membre. Le gland semblait encore plus gonflé qu’à l’accoutumé et prenait une couleur rouge sombre. La masturbation virile était un mélange de douleur sur la verge serrée très fort et une extase au bout du gland qui en était devenu très sensible et qui luisait tel un miroir. Clément, sous cette sensation d’extrême semblait perdre la réalité, prit d’un ivresse sexuelle jamais atteinte. Patrick restait un moment bon moment, le sodomisant et le masturbant ainsi. Il prenait un certain goût à martyriser sa jeune pucelle partie dans le monde de la jouissance.

Patrick relâchait enfin légèrement la pression de la main qui tenait la virilité la queue de sa femelle. Clément se mettait à gémir presque comme une gonzesse prête à jouir. Il n’avait jamais atteint un tel niveau de sensations sexuelles, tant au fond de son anus que de sa verge. La masturbation lui faisait perdre le fil de la réalité, son pénis était au bord de l’explosion. Clément éjaculait au moment où la pression n’était plus qu’une caresse du membre. Du coup, de violentes giclées de sperme sortaient de son gland boursouflé. La semence s’étalait tout autour de la main de Patrick, mais des gouttes avaient également atteint le bas ventre et avait sali le haut du string. Cette salope s’était visiblement bien tachée et offrait une vision de pute couverte de sperme.

N’y tenant plus, Patrick donnait encore de grands coup de reins. Il sortait sa bite subitement de l’anus de Clément pour éjaculer droit dans sa direction. Sa deuxième éjaculation contenait moins de sperme, mais la principale giclée avait aspergé tout le ventre de sa pucelle. Patrick prenait soin d’essuyer son gland sur le devant du string pour encore davantage le souiller. La scène qu’offrait Clément était sublime, l’extase d’une femme couverte de sperme ayant sali sa lingerie.

Clément avait reposé les jambes autours de son amant qui lui offrait toujours la vison de son érection. Clément semblait cette fois accepter sa féminité, mais également d’être ainsi souillée. La masturbation féroce qu’il avait subi lui laissait un souvenir mémorable. Jamais il n’avait giclé avec autant d’intensité. Les deux amants prenaient maintenant le temps de s’embrasser en guise de remerciement pour cette partie de jambes en l’air, chacun ayant apprécié leur éjaculation respective. Ferveur retombée, ils regagnèrent la salle de bain pour se laver le corps lascivement. Clément avait presque quitté sa lingerie avec regret et comprenait qu’il allait rester avec un corps totalement imberbe.

Tous deux, enfin surtout Patrick, rediscutaient de la silhouette féminine que pouvait avoir Clément. Patrick expliquait avec franchise son envie de revoir son amant, pucelle imberbe, afin de poursuivre sa formation sexuelle mais surtout, sa féminisation. Il ne lui cachait pas l’envie de le travestir d’avantage, lui se sentant l’homme de la maison, Clément la parfaite compagne sensuelle et gourmande. Le rendez-vous de samedi prochain promettait encore plus de sensualité et d’intensité dans les éjaculations.

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